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Infrastructure serveur
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(17/11/2006 16:57:45)
Passe d'armes entre IBM et HP sur l'efficacité énergétique des serveurs lames
IBM a profité hier du lancement de la seconde génération de sa technologie de gestion d'énergie PowerExecutive pour affirmer que ses serveurs lames BladeSystem consomment jusqu'à 30% de moins que la dernière génération de BladeCenter d'HP. On se rappelle qu'HP avait fait de l'efficacité énergétique l'un de ses grands arguments lors du lancement du BladeCenter Class-c. Selon IBM ses serveurs lames sont "fondamentalement meilleurs" que ceux d'HP pour ce qui concerne l'efficacité énergétique. Dans un test mené en interne [et dont les conditions n'ont pas été détaillées], IBM a mesuré que son BladeCenter équipé de lames LS21 à base d'Opteron consomme 30% d'énergie en moins qu'un BladeCenter équipé de lames Opteron BL465c au repos et 18% de moins en pleine charge. Avec des lames Intel (HS21 et BL460c), IBM affirme être 26% plus efficace au repos et 13% en charge maximale. "Maintenant nous savons pourquoi HP utilise le terme ligths out pour ses serveurs lames" a expliqué Doug Balog, le vice-président de la ligne de produits BladeCenter d'IBM :" l'extinction de la lumière dans le datacenter est conçue pour compenser l'inefficacité de leurs serveurs lames". L'agressivité du commentaire est plutôt rare dans le monde habituellement sage des fabricants de serveurs. Elle l'est d'autant plus que le test d'IBM ne repose pas sur une méthodologie ouverte ce qui ne permet pas de vérifier les dires du géant d'Armonk. C'est d'ailleurs ce que fait remarquer HP tout en affirmant que la firme serait heureuse de participer à un test indépendant opposant ses équipements à ceux de Big Blue... Pour mieux comprendre la guerre des mots en cours, il faut replacer l'affrontement entre les deux constructeurs dans son contexte. Depuis 5 ans, HP et IBM rivalisent pour la domination du marché des serveurs lames, un marché qui s'adresse notamment aux grands datacenters. Selon IDC, les lames devraient ainsi compter pour 30% du nombre de serveurs installés dans les datacenters d'ici 2010. Du fait de la densification des architectures informatiques liée à l'utilisation des lames, les questions d'alimentation électrique et de refroidissement des lames sont devenues l'une des préoccupations des administrateurs de grands centres informatiques. Le sujet est d'autant plus "chaud" aux Etats-Unis que le prix de l'électricité y est significativement supérieur aux tarifs européens et que certaines régions sont en quasi sous-capacité de production. Une situation qui pousse un électricien comme le californien PG&E à rembourser 300€ par serveur vieillissant retiré de la production et à offrir une prime de 1000€ sur l'achat de serveurs réellement économes en énergie comme les serveurs T1000 ou T2000 de Sun Microsystems. (...)
(16/11/2006 17:26:34)TechEd ITForum 2006 : Emulex propose la virtualisation de carte Fibre Channel pour Virtual Server
Profitant du salon TechEd ITForum qui se tient actuellement à Barcelone, Emulex a annoncé le lancement de Vpilot, une nouvelle application d'administration pour l'environnement de virtualisation Virtual Server de Microsoft qui permet de simplifier la création et la migration de machines virtuelles dans des environnements connectés à un réseau SAN Fibre Channel. Conçu pour fonctionner avec l'ensemble de la gamme d'adaptateur FC LightPulse à 4Gbit/s, Vpilot permet aux utilisateurs de Virtual Server de virtualiser leur connexion au SAN sans avoir à recourir à iSCSI, qui était jusqu'alors la solution par défaut pour le stockage en réseau. Concrètement, Vpilot permet d'assigner de multiples World Wide Name virtuels à une même carte Hôte Fibre Channel (HBA), de sorte que chaque machine virtuelle dispose de son propre World Wide Name qui la suit même lorsque la machine virtuelle est déplacée d'un serveur à un autre. Le World Wide Name est un identifiant unique pour les cartes Fibre Channel similaire dans son principe à une adresse MAC en environnement Ethernet. La gestion de multiples World Wide Names par carte est aussi une fonction supportée par la plupart des commutateurs Fibre Channel récents, du moins dans leur dernière révision de Firmware. Simple à utiliser, VMPilot fonctionne avec Virtual Server 2005 R2 et est actuellement disponible en version bêta. La version finale devrait être disponible gratuitement au premier trimestre 2007 et sera aussi compatible avec le SP1 de Virtual Server R2. Elle s'intégrera aussi à l'environnement d'administration de machines virtuelles de Microsoft, System Center Virtual Machine Manager. Il est à noter qu'Emulex avait fait une annonce similaire pour les environnements VMware lors du dernier Vmworld, qui s'est achevé le 11 novembre dernier. (...)
(14/11/2006 17:44:47)Intel mise sur le quadri-coeur pour reprendre de l'avance sur AMD
Intel vient enfin de présenter officiellement ses processeurs quadri-coeurs des gammes Xeon et Core 2. Présentés sous la référence Xeon 5300, les nouveaux processeurs quadri-coeurs d'Intel pour serveurs et postes de travail sont cadencés de 1,6 GHz à 2,66 GHz. Ils embarquent tous 8 Mo de cache de second niveau partagé et la technologie d'aide à la virtualisation d'Intel. Le modèle X5355, à 2,66 GHz, se distingue du reste de la gamme avec une consommation électrique de 120 W contre 80 W pour les autres Xeon 5300. Son bus fonctionne à 1,33 GHz, comme ceux des Xeon E5345 à 2,33 GHz et E5335 à 2 GHz. Selon Intel, les Xeon 5300 affichent un gain de performances de l'ordre de 50 % sur les Xeon 5100, à consommation électrique égale. Selon les modèles, les nouveaux Xeon 5300 sont commercialisés de 455 $ à 1 172 $, par lots de 1000 unités. Dell, HP et IBM ont déjà présenté leurs premiers serveurs animés par ces puces. Le Core 2 Extreme QX6700, pour les stations de travail, serait, selon Intel, 80 % plus rapide que son prédécesseur, le X6800. Tous deux sont gravés en 65 nm mais le QX6700 gagne 4 Mo de cache de second niveau à 8 Mo et se contente de fonctionner à 2,66 GHz contre 2,93 GHz. Alienware, Dell et Gateway, notamment, prévoient d'utiliser le nouveau Core 2 Extreme QX6700 pour leurs machines haut de gamme. Ce lancement arrive à point nommé pour Intel. Il permet en effet à Intel de devancer significativement AMD qui ne présentera ses premiers Opteron quadri-coeurs que mi-2007. Surtout, ces puces quadri-coeurs permettent à Intel d'afficher l'efficacité énergétique qui faisait défaut à ses processeurs et avait notamment permis à AMD de gagner du terrain sur le marché des serveurs. Enfin, ce lancement survient alors qu'Intel a publié des résultats en berne au second et troisième trimestre 2006. La direction d'Intel ne cache plus les espoirs qu'elle place dans ces processeurs quadri-coeurs pour redresser la barre. D'autres modèles de ce type sont prévus pour le premier trimestre 2007. (...)
(14/11/2006 17:24:31)64bit, virtualisation et iSCSI dans le périscope de Microsoft
Profitant de son salon TechEd ITForum qui s'est ouvert aujourd'hui à Barcelone, Microsoft a fait le point sur sa stratégie en matière de virtualisation et d'administration de systèmes. Bob Muglia, le vice-président de Microsoft, a également fait le point sur les développements en cours autour de Windows Server et d'Exchange. Après avoir sommairement présenté la version finale de Windows Vista, dont la production a commencé la semaine passée, Bob Muglia a concentré son intervention sur le portefeuille serveur de Microsoft. Selon lui, les développements menés actuellement par la firme partent de plusieurs constats techniques. Tout d'abord les plates-formes 64 bit se généralisent et apportent des avantages réels pour les utilisateurs. De ce fait, Exchange 2007, la prochaine mouture du serveur de messagerie de la marque ne sera disponible qu'en version 64 bit et Longhorn Server sera le dernier OS disponible en version 32 bit. L'ensemble des mises à jour ultérieures, et notamment celle qui verra arriver l'Hyperviseur Windows (nom de code "Veridian"), ne seront disponibles que pour les puces 64 bits. Bien sûr elles conserveront la possibilité de faire tourner des applications 32 bit. Ensuite Bob Muglia pointe du doigt la montée en puissance des environnements virtuels. Microsoft estime qu'à l'avenir toutes les applications tourneront dans des environnements virtuels et il prévoit trois offres de virtualisation. La première est la virtualisation de serveur au travers du futur Hyperviseur Windows, attendu en 2008. La deuxième est la virtualisation du système d'exploitation au travers d'une couche similaire à celle que propose aujourd'hui Virtuozzo. Microsoft entend offrir prochainement une telle offre, qu'il juge notamment bien adaptée pour les hébergeurs. Enfin, Bob Muglia met en avant la virtualisation d'applications au travers de son acquisition récente de Softricity. Pour l'instant, le géant a concentré ses efforts sur l'intégration de l'offre Softricity avec son offre d'administration de postes clients SMS. A terme, il pourrait intégrer le client Softgrid directement dans Vista. iSCSI le futur du stockage en réseau Le dernier point est la montée en puissance des technologies de connexions filaires et sans fil. Côté filaire, l'arrivée du 10Gigabit Ethernet devrait accélérer l'adoption d'iSCSI que Bob Muglia considère comme la technologie d'avenir pour le stockage en réseau et dont il prédit la généralisation à terme (le tout n'est bien sûr pas désintéressé, Microsoft ayant beaucoup investi dans iSCSI aussi bien dans Windows que dans Windows Storage Server). Côté sans fil, Bob Muglia prédit une ère de connectivité généralisé et juge nécessaire d'adapter ses produits à cette réalité. "Cela permet d'envisager la distribution de logiciels comme un service" précise-t-il. Bien sûr, Windows Server "LongHorn" sera "au coeur de ces évolutions" estime Muglia, qui pointe du doigt les améliorations qu'apportera le futur OS tant en termes de performances, de sécurité, de simplicité que d'administration. "Nous fournissons une fondation solide pour l'avenir avec Windows Server" a ainsi expliqué le vice-président de Microsoft en s'appuyant sur des démonstrations des outils de streaming d'application de Softricity, mais aussi sur une démonstration des nouveaux outils de management qui accompagneront LongHorn Server à son lancement. (...)
(14/11/2006 16:59:36)Blue Gene toujours le plus puissant des super calculateurs
Le BlueGene d'IBM reste la machine la plus puissante du monde. Il s'arroge en effet, comme lors du semestre précédent, la première place du classement Top 500 des super calculateurs, basé sur le benchmark Linpack. BlueGene, installé dans le laboratoire Lawrence Livermore du ministère de l'Energie américain en Californie, réalise une performance de 280,6 teraflops (ou milliers de milliards d'opérations par seconde). Le Red Storm de Cray se place deuxième, avec 101,4 Tflops. C'est seulement la deuxième machine à dépasser la barre des 100 Tflops dans l'histoire de l'informatique. On retrouve IBM sur la troisième marche du podium avec son eServer BlueGene installé au centre de recherche Thomas Watson (appartenant à Big Blue) qui atteint 91,2 Tflops. Notons enfin la septième place du NovaScale construit par Bull pour le Commissariat à l'énergie atomique, réalisant 52,84 Tflops. Il perd deux places par rapport au précédent classement publié en juin. Selon Jack Dongarra, professeur à l'université du Tennessee, les capacités des super calculateurs évoluent plus rapidement que les principes posés par la loi de Moore. Selon celle-ci, la puissance des processeurs double tous les 18 mois. Pour les supercomputers, c'est tous les 14 mois. La puissance cumulée de l'ensemble des machines figurant au Top 500 atteint 3,54 Petaflops (milliers de Tflops). En juin, cet indice s'élevait à 2,79 Pflops et à 2,30 il y a un an. (...)
(14/11/2006 16:11:42)Java en GPL : bientôt le tour d'OpenSolaris ?
Dans la foulée de Java, ce pourrait bien être le tour d'OpenSolaris de passer sous licence GPL, en plus de la licence Open Source maison, la CDDL. C'est ce qu'ont laissé entendre Jonathan Schwartz, le CEO de Sun, et Rich Green, le vice-président en charge du logiciel, lors de l'annonce officielle du passage de Java en Open Source sous licence GPL. Evoquant le sort du système d'exploitation, et l'intérêt des développeurs pour la licence GPL, les deux hommes ont joué le dialogue suivant : - « Etes-vous contre un changement de licence, Rich Green ? - Certainement pas. - Allez-vous mettre Solaris en GPL ? - Nous allons étudier cela de près. » (...)
(14/11/2006 15:49:47)HP lance à son tour ses serveurs quadri-coeurs
Prenant la suite de Dell et d'IBM, HP vient de présenter ses premiers serveurs animés par le nouveau processeur Xeon 5300 quadri-coeur d'Intel. Pour ces serveurs, Hewlett-Packard a retenu les processeurs Xeon E5310 à 1,66 GHz et E5320 à 1,86 GHz, exploitant tous les deux un bus à 1066 MHz. Au format tour, le ML370 G5 est disponible à partir de 3 739 $. Au format rack, on compte trois modèles, les DL140 G3, DL360 G5, et DL380 G5, à partir de 2 239 $. Deux modèles de serveurs lames sont également proposés, les BL460c et BL480c, à partir de 2 629 $. Selon les modèles, ces nouveaux serveurs sont livrables outre-Atlantique entre la fin novembre et la mi-décembre. Par ailleurs, HP a profité du lancement de ces nouveaux serveurs pour annoncer des stations de travail animées par les processeurs quadri-coeur Intel Xeon 5300 et Core 2 Extreme QX6700, commercialisées à partir de 2 349 $. Pour le moment, les configurations et dates de disponibilité de ces produits ne sont pas connus. (...)
(10/11/2006 16:39:13)IBM présente ses premiers serveurs Xeon quadri-coeur
Emboîtant le pas à Dell, IBM vient de présenter ses premiers serveurs animés par le processeur Xeon 5300 quadri-coeur d'Intel, les x3650, x3550, x3500, x3400 et BladeCenter HS21. Proposé en format 2U, le x3650 est destiné aux applications critiques pour les centres de calcul. Il est commercialisé à partir de 2 419 $. Le x3550 est conçu pour la même cible mais se contente d'un format 1U. Il est proposé à partir de 2 369 $. Le x3500, vendu à partir de 2 189 $, adopte quant à lui un format tour. Destiné aux PME et divisions de grandes entreprises, le x3400 est commercialisé à un premier prix de 1 839 $. Le BladeCenter HS21, enfin, se présente sous la forme d'une lame, proposée à partir de 3 049 $. Ces cinq serveurs sont livrés avec IBM Director 5.2 qui intègre le gestionnaire de virtualisation de Big Blue. Ce gestionnaire permet d'administrer de manière centralisée les serveurs et les machines virtuelles qu'ils hébergent sous VMWare, Microsoft Virtual Server et Xen. Le processeur Xeon 5300 rassemble deux processeurs Xeon 5100 bi-coeur sur une même puce. Selon IBM, le gain de performances serait de l'ordre de 64 % pour son serveur x3650 avec un Xeon 5300 au lieu d'un Xeon 5100. Après Dell et IBM, HP prévoit de présenter ses premiers serveurs à base de Xeon 5300 dans le courant de cette semaine du 13 octobre. (...)
(10/11/2006 14:47:20)Bull se rapproche de Microsoft pour offrir des solutions de calcul aux PME
Habituellement, les constructeurs font le choix de passer leurs solutions serveurs sous Linux, en mettant en avant les économies pour leurs clients. Bull opère la démarche inverse. Le constructeur vient de nouer un partenariat avec Microsoft pour proposer ses clusters de calcul Novascale sous Windows Compute Cluster Server 2003 (CCS). De façon à pouvoir séduire « les PME qui n'ont pas forcément les moyens d'avoir un administrateur Linux, ou à qui, pour une raison ou une autre, Linux fait peur », explique Olivier David, responsable des relations avec les éditeurs de logiciels pour Bull HPC (l'entité high-performance computing du constructeur). L'annonce a été faite hier, au cours du Forum Fluent à Paris, salon consacré aux « simulations numériques des écoulements de fluides et transferts thermiques ». Bull, déjà bien présent dans le secteur de la recherche, désire en effet « se diversifier en allant sur le marché de l'industrie », commente Olivier David. Les PME visées sont celles qui se sentent frustrées avec les performances de leurs stations de travail en termes de puissance de calcul, mais n'ont pas les moyens ou la volonté de migrer à Linux. Bull leur offre alors une solution intégrée, avec un système d'exploitation préinstallé et des applications préconfigurées, « sans nécessiter d'intervention hyper pointue de la part d'un administrateur », souligne Olivier David. Tarifs identiques pour les configurations sous Windows ou Linux La différence avec les solutions sous Linux est essentiellement à ce niveau puisque, sur le plan de la tarification, Bull assure que les prix des configurations identiques sous Linux ou Windows sont les mêmes. Il faut ainsi compter « quinze à vingt mille euros pour une configuration de base à quatre n?uds, selon la mémoire ou la technologie d'interconnexion », indique Olivier David. Le choix se fera donc sur la nature du système d'exploitation et les compétences en place, le cluster, sous Windows, s'intégrant dans le reste du système d'information Windows de l'entreprise. Windows CCS est en effet une déclinaison de l'édition 64 bit de Windows Server 2003, conçue uniquement dans ce but. « Elle est limitée à cet usage, donc beaucoup moins chère que la version standard, explique Eric Nataf, responsable de l'offre HPC chez Microsoft France. Elle inclut en revanche des outils spécifiques, liés par exemple à la sécurité, à l'ordonnancement des tâches ou à l'administration du cluster. » Microsoft disposait déjà d'accords similaires avec d'autres constructeurs. Pour ces derniers, être OEM de Microsoft signifie qu'ils peuvent préinstaller le système d'exploitation, bénéficier de l'expertise de Microsoft sur le sujet, et de son aide au niveau du marketing. « Cela permet également de discuter à trois avec les éditeurs partenaires », rappelle Olivier David. Côté Microsoft, l'accord lui permet de renforcer sa visibilité sur un marché plutôt orienté Linux en règle générale (l'offre HPC de Bull avec les serveurs Itanium reste sous Linux uniquement), et lui procure une certaine visibilité en France et en Europe, les « marchés dominants » de Bull. (...)
(08/11/2006 17:40:27)VMWorld 2006 : VMware montre son outil Fusion pour Mac
A VMWorld, VWware fait la démonstration de son outil de virtualisation pour MacOS X, connu sous le nom de code "Fusion". Actuellement en phase de bêta restreinte, Fusion est en quelque sorte la version Mac de VMWare WorkStation. L'outil apporte plusieurs améliorations par rapport à Parallels, le seul outil de virtualisation disponible à ce jour pour les Mac Intel. Comme son homologue pour Windows et Linux, il permet l'affectation de plusieurs c?urs processeurs physiques au sein d'une même machine virtuelle et supporte la plupart des systèmes 64 bit du marché. "Fusion" apporte aussi un support prototype de l'accélération de l'affichage 3D (via OpenGL) ainsi que l'accès à l'ensemble du catalogue d'appliances VMware existant. Comme VMware Workstation, Fusion nécessite la présence d'un OS sous-jacent, en l'occurrence MacOS X 10.4. En l'état actuel de ses développements, VMware n'a pas décidé de porter son hyperviseur ESX Server sur Mac. Expliquant que ce serait sans doute un projet intéressant et que certains clients avaient fait part de leur intérêt pour une version d'ESX tournant sur les serveurs XServe d'Apple, le chef de produit Mac de VMware a toutefois noté que le principal obstacle au projet reste le fait que la licence OS d'Apple n'autorise pas, à ce jour, l'exécution de son OS serveur au dessus d'une couche virtualisée. (...)
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