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(30/11/2010 17:35:54)

Un ancien de Pirate Bay dévoile un projet alternatif au DNS de l'ICANN

Le DNS (Domain Name System) est un élément clé de l'Internet, qui traduit les adresses IP (Internet Protocol) pointant sur les noms de domaines. L'ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers) est une organisation à but non lucratif responsable de la gestion des adresses IP et noms de domaine de premier niveau.

Peter Sunde a rendu public sur son compte Twitter un projet dont la première étape est la mise en place d'un nouveau serveur racine et la deuxième l'installation d'un autre système DNS. Le projet P2P DNS vise à maintenir un Internet non censuré, écrit-il dans le blog. Avoir un système centralisé qui contrôle la circulation de l'information n'est pas acceptable. L'ancien porte-parole pointe du doigt les récentes affaires aux Etats-Unis pour supprimer les noms de domaines, « il est extrêmement important de trouver une alternative », souligne Peter Sunde.

Une des choses qui le préoccupe, c'est la loi dite COICA contre la lutte contre la contrefaçon et la vente en ligne, dont la commission juridique du Sénat a recommandé un vote positif. Le projet de loi autorise le gouvernement américain à fermer des sites soupçonnés d'hébergement de produits contrefaits, et permettre au ministère de la Justice, par ordonnance du tribunal, d'imposer aux FAI de rediriger le trafic des clients. En outre, le département américain de la Justice et le ministère de l'Immigration Homeland Security and Customs Enforcement (ICE) ont récemment pris des ordonnances de saisie afin de fermer 82 sites pour leurs implications présumées dans la vente de produits contrefaits.

Infrastructure BitTorrent et sécurisation

Ces actions ont contribué à susciter l'intérêt pour le projet P2P DNS. Rarement les gens n'ont été aussi bouleversés que maintenant, dit Peter Sunde. Le projet est toujours à la recherche de plus de gens souhaitant s'impliquer, mais l'ancien membre de Pirate Bay a été impressionné par la vitesse à laquelle les gens rallient ce projet. Toutefois, il ne veut pas dire qui d'autre est impliqué sur le sujet.

L'infrastructure sous-jacente sera basée sur la technologie BitTorrent, et sera simple et sécurisée. Pour améliorer la sécurité des données, la transmission sera signée, a déclaré Peter Sunde. L'objectif est de construire un système sur lequel les utilisateurs ont autant sinon plus confiance que le DNS actuel. Aujourd'hui, il existe un code de test et une RFC (Request for Comments) est en cours de réalisation. A la question de savoir quand cela arrivera : « nous ne voulons pas nous mettre la pression », a déclaré Peter Sunde.

Développer un système qui peut rivaliser avec le DNS ne sera pas facile. Un des principaux défis sera d'offrir la même robustesse, a déclaré Fredrik Ljunggren, consultant en sécurité IT pour la société suédoise Kirei. Le projet P2P DNS, qui n'est pas nouveau,  pourrait réussir à attirer les utilisateurs dans les cercles de partage de fichiers, mais il aura du mal à obtenir l'assentiment des autres utilisateurs. Le projet pourrait également susciter une plus grande crainte, selon l'analyste, qui est le fractionnement en plusieurs parties du DNS. « Cette menace est importante lorsque les politiciens tentent de contrôler davantage le système » conclut-il.

(...)

(30/11/2010 15:02:48)

La presse française s'allie pour contrer Google

En juillet dernier, les éditeurs français de journaux avaient déjà exprimé leur volonté de créer un moteur de recherche d'actualités, afin de proposer aux internautes français et francophones une alternative à l'agrégateur d'articles de Google. Les journaux reprochaient notamment à Google News (ou "Google Actualités" en France) d'utiliser leurs contenus sans contrepartie financière.

Lundi, huit grands titres (Les Echos, L'Equipe, Le Figaro, Libération, Le Parisien, L'Express, Le Nouvel Observateur et Le Point) sont passés en l'acte en lançant le groupement d'intérêt économique E-Press Premium. Objectif fixé : lancer, début 2011, un kiosque numérique où ces éditeurs pourront commercialiser leurs contenus, sous des formes variées (achat d'un article, d'un numéro, ou via un abonnement).

Un opérateur pour diffuser

Pour se lancer dans l'aventure, E-Press Premium a noué un partenariat avec Orange. Il s'agira d'intégrer les articles gratuits des sites des journaux sur le portail d'actualités de l'opérateur, mais aussi d'intégrer Read and Go, le kiosque numérique payant d'Orange. Les trois magazines sont déjà présents sur ce site, et les cinq quotidiens le rejoindront d'ici la fin de l'année. Enfin, le moteur de recherche d'Orange sera intégré sur les sites de ces huit journaux afin de référencer leurs contenus et optimiser leur présence en ligne. En quittant Google Actualités, les grands titres de la presse française courent le risque de perdre une partie du trafic Web que leur assure Google, moteur de recherche le plus consulté de France.

Lancé en 2002, Google News est un agrégateur d'articles d'information provenant de différentes sources sur Internet, notamment les versions en ligne des grands quotidiens. Pour chaque article trouvé, ce service renvoie à chaque fois l'internaute vers le site source.

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(30/11/2010 14:47:12)

La Commission européenne lance une enquête sur Google

Au mois de février dernier, Foundem.co.uk, un comparateur de prix sur internet basé au Royaume-Uni, ejustice.fr, site français spécialisé dans le droit et de Ciao.de, un moteur de recherche allemand acquis par Microsoft, avaient déposé plainte pour abus de position dominante de Google auprès de la Commission européenne. Cette dernière avait alors envoyé un questionnaire à la firme de Mountain View pour répondre de ces différentes accusations. L'exécutif européen, non content des réponses, a décidé de monter en gamme en lançant officiellement une enquête sur le comportement de Google.

Elle portera sur le fait que les services de recherche en ligne de Google pénaliseraient les services concurrents aussi bien dans les résultats de recherches gratuits, que dans les liens sponsorisés en privilégiant ses propres services. Une récente étude tendrait à démontrer que l'éditeur américain favoriserait effectivement ses propres sites dans les résultats.

Les exclusivités aussi scrutées


L'enquête devra aussi déterminer si Google impose des clauses d'exclusivité à des partenaires publicitaires en leur interdisant de disposer certains types de publicités fournies par des concurrents sur leur site web, ainsi qu'aux fournisseurs d'ordinateurs et de logiciels, ce dans le but d'exclure des outils de recherche concurrents.

En réponse à cette ouverture d'enquête, l'éditeur a répondu « depuis la création de Google, nous avons travaillé dur dans l'intérêt de nos utilisateurs et de notre secteur, en nous assurant de toujours indiquer clairement les publicités, en permettant aux utilisateurs d¹exporter facilement leurs données quand ils changent de services et en investissant largement dans les projets open source. Bien sûr, nous sommes conscients qu¹il existe toujours une marge de progression, c¹est pourquoi nous collaborerons avec la Commission pour répondre à toute préoccupation. » De son côté, l'institution bruxelloise a indiqué qu'il n'y avait pas de délai pour clore les enquêtes concernant les pratiques anticoncurrentielles.

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(29/11/2010 15:23:38)

Google Maps bientôt bloqué en Chine ? (MAJ)

En juillet prochain, la Chine va ouvrir une enquête et envisage, le cas échéant, de poursuivre Google si l'entreprise ne sollicite pas les indispensables autorisations nécessaires à l'exploitation de son service Google Maps dans le pays. Cette date limite a été fixée après que le bureau de Topographie et de Cartographie chinois ait modifié ses règlements un peu plus tôt cette année. Dorénavant, ce service d'État exige que toutes les entreprises fournissant des services de cartographie en ligne requière son approbation.

Google n'ayant pas encore fait sa demande, le bureau chinois hausse le ton dans un e-mail menaçant : après le 31 mars de l'année prochaine, les entreprises sans licence seront dénoncées au public. Si ces mêmes sociétés n'ont toujours pas obtenu de licences avant le 1er juillet, le service pourra les sanctionner conformément à la loi. Le bureau ne précise toutefois pas quelles mesures spécifiques seront prises à l'encontre de Google si l'éditeur ne parvenait pas à acquérir la licence à temps.

Une mise à l'écart programmée ?

Si Google est le moteur deuxième recherche en Chine, avec un 21,6% de
part de marché, selon le cabinet d'études Analysys basé à Pékin, l'entreprise a déjà vu certains de ses populaires services web bloqués en Chine, y compris YouTube et Blogger. Le moteur de recherche national, Baidu, qui détient une part de marché de 73%,
a déjà reçu l'approbation du bureau chinois pour une licence de cartographie. Microsoft, qui travaille en joint-venture en Chine, est en train d'effectuer les démarches pour obtenir sa licence d'exploitation.

« Nous examinons les règlements afin de comprendre leur impact sur notre
service de cartes en Chine, » a simplement déclaré Google. La Chine aurait introduit ces nouveaux règlements pour limiter la diffusion de données confidentielles liées à la cartographie et s'assurer que toutes les cartes en ligne fournissent des informations précises aux utilisateurs. Et pour obtenir leur licence d'exploitation, les entreprises doivent stocker toutes leurs données de cartographie sur des serveurs situés en Chine.



Le bureau national de Topologie et de Cartographie a en outre lancé son propre service de cartographie en ligne le mois dernier. Tout simplement baptisé, « Map World», le site est encore en phase bêta, mais propose des cartes en deux et trois dimensions. Une fois de plus, Google sera-t-il obligé de plier devant l'hégémonie chinoise ?

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(29/11/2010 14:15:49)

La personnalisation, prochain défi de Twitter

« Avec 100 millions de tweets qui transitent à travers le système quotidiennement, il y a de tout pour tout le monde », a déclaré Evan Williams, ex PDG et co-fondateur de Twitter, dans une interview diffusée à la National Public Radio américaine. Pour lui, le réel défi consiste à trouver ce qui aura vraiment de l'intérêt pour chaque utilisateur. « Cela peut être une alerte provenant d'une entreprise à propos d'un produit, une information sur un ami ou dans les actualités ». Or, il est difficile de trouver ce genre d'informations et de faire cela en temps réel, mais c'est ainsi que le service pourra être réellement valorisé, souligne le dirigeant.

Analyser les tweets publicitaires en continu

«Nous voulons vraiment faire de Twitter une source d'information que l'on consulte plusieurs fois par jour sur un téléphone portable, a ajouté Evan Williams. Je pense que c'est actuellement le cas, mais il reste encore un long chemin à parcourir pour lui donner une valeur encore plus importante.» Interrogé sur le fait que la génération de revenus par Twitter peut rendre le service moins attrayant pour ses adhérents, le co-fondateur s'est dit confiant. Pour lui, faire de l'argent et conserver la satisfaction des utilisateurs ne sont pas incompatibles. L'actuelle limite fixée à un seul tweet publicitaire par recherche est une façon de préserver le charme du service. L'analyse en continu des réactions aux tweets publicitaires est une autre façon de le faire. «Si les gens ne répondent pas, ne retweetent pas, ou encore ne cliquent pas sur un lien, nous interprétons cela comme un signal qui montre que ce n'est pas très intéressant et qui nous conduit à arrêter de le mettre en avant. »

De meilleurs taux de retour

Générer du chiffre d'affaires grâce à de la publicité signifie que Twitter doit rivaliser avec d'autres médias en ligne tels que Google et Facebook. Néanmoins, l'ex PDG de Twitter pense que le service propose une formule qui est aussi attrayante pour les commerçants que celle de ses concurrents. «La nature de Twitter en tant que réseau d'informations est extrêmement précieuse pour tous ceux qui veulent faire passer un message qui sera entendu par beaucoup de gens, a-t-il expliqué. «De toute évidence, c'est ce pourquoi les annonceurs paient. » Mieux encore, les annonceurs peuvent être en mesure d'obtenir de meilleurs résultats avec Twitter qu'avec d'autres services en ligne. Evan Williams cite un récent tweet publicitaire du Washington Post destiné à attirer du trafic vers sa couverture des élections. « On arrive à un taux d'engagement d'environ 9% pour les personnes qui l'ont vu, ce qui signifie, pour nous, que les ordres de grandeur sont plus élevés que la plupart des publicités sur le web, indique-t-il.  C'est un ordre de grandeur pour la plupart des spécialistes du marketing Internet, aussi, qui constate que la moyenne de taux de clic pour une annonce en ligne est inférieure à 1%. »

Illustration : Evan Williams, ex PDG et co-fondateur de Twitter. Crédit photo : Wikipedia

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(29/11/2010 11:11:59)

Zijob rend le recrutement accessible à tous

Positionné sur le marché des cadres et des non cadres, le portail Zijob est né d'un constat simple : recruter sur Internet coûte cher et n'est pas accessible à l'ensemble des acteurs, en particulier les entreprises de petite taille. De quelques centaines  à plus d'un millier d'euros, c'est le prix proposé aujourd'hui par les acteurs de l'emploi sur Internet pour poster une offre. Outre la publication d'annonces à partir d'un euro (par jour et par offre), ce site low-cost donne aux entreprises la possibilité de consulter une CVthèque pour la même somme. Un recruteur peut ainsi visualiser la base de CV de Zijob avec achat de CV à l'unité à moindre coût. Pas besoin d'abonnement ou de relation avec un commercial, tout se fait en ligne en un clic.

700 postes à pourvoir en informatique et télécoms

Des services comme la réception (par email) et la gestion des candidatures, l'ajout de logo et la publication des annonces sur Twitter et Facebook sont proposés gratuitement. Zijob regroupe 15 000 postes dans plus de 700 métiers du secteur privé et public, de même que 19 000 CV. Le service  possède une rubrique informatique et télécoms dans laquelle plus de 700 offres sont répertoriées. De leur côté, les candidats ont la possibilité de consulter rapidement la liste des postes situés à coté de chez eux grâce à des fonctions de recherche localisée.


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