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Internet

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(13/09/2010 14:14:45)
Les Américains passent de plus en plus de temps sur Facebook
Citée par la presse américaine, l'étude du cabinet spécialisée dans la mesure d'audience sur Internet révèle que les internautes américains ont passé le mois dernier un total de 41,1 millions de minutes sur Facebook, soit près de 10% des minutes passées sur le web aux Etats-Unis. Google a pour sa part totalisé 39,8 millions de minutes avec ses nombreux sites (moteur de recherche, Gmail, Google Maps, YouTube, etc.). C'est la première que Facebook passe en tête sur un mois complet, en terme de temps passé sur Internet. Il y a quelques mois, l'institut Hitwise avait déjà constaté un inversement de tendance entre Google et Facebook, mais sur des périodes plus courtes, notamment le jour de Noël 2009 ou lors de la semaine du 6 au 13 mars 2010.
Facebook devant Google et Yahoo
En août 2009, Facebook représentait près de 5% du temps total passé par les internautes américains sur Internet, soit à peu près le même niveau que Google, et nettement moins que Yahoo! (12%). Ce dernier est aujourd'hui relégué en troisième position. En France, le réseau social aux 500 millions d'amis pointait, en juillet dernier, en troisième position de l'audience Web (24,4 millions de visiteurs uniques par mois), derrière Google (34,7 millions) et Microsoft (32,4 millions), selon les données de l'institut Médiamétrie.
Crédit photo : Payless Images
Michael Borman devient PDG de Blue Coat
Le spécialiste la distribution d'applications en réseau (ADN) a annoncé la nomination de Michael Borman au poste de PDG, succédant ainsi à Brian Nesmith, qui reste dans la société au poste de CTO. Avant d'être nommé PDG d'Avocent Corporation, une société de développement de systèmes de commutation rachetée par Emerson Electric en décembre 2009, Michael Borman a passé 30 années au service d'IBM, à différents postes de direction senior, en charge des produits et ventes à l'international, et a dirigé Blue Martini Software, un éditeur de systèmes de vente automatisés.
Le dirigeant a expliqué dans une conférence téléphonique, ne pas vouloir changer la stratégie de Blue Coat, qui est centrée sur la sécurité et l'amélioration des performances des applications sur le réseau. (...)
Les Français restent attachés au .fr
Dans le cadre de l'achat d'un nom de domaine pour leur site Internet, les internautes français sont 62% à déclarer opter pour l'extension en .fr, plutôt que celle en .com ou .org. Pour 78% des personnes interrogées, cette extension .fr évoque avant tout le rattachement au territoire français. Ils sont aussi 76% à chercher spontanément le site d'une entreprise française sous cette extension. En revanche, si 71% des internautes interrogés savent que les particuliers, en France ou à l'étranger, ont la possibilité de déposer un nom de domaine en .fr, ils sont moins nombreux (56%) à savoir qu'ils peuvent aussi le faire pour créer une adresse e-mail personnalisée, et seulement 30% pour mettre en place des blogs ou des pages personnelles.
Il existe actuellement 1,8 million de noms de domaine en .fr, selon l'AFNIC. Ce chiffre a connu une forte croissance ces dernières années, du fait de l'assouplissement des modalités d'enregistrement ainsi que l'ouverture du .fr aux particuliers en juin 2006. L'extension .fr a été créée le 2 septembre 1986. En Europe, l'extension allemande (.de) demeure la plus populaire avec plus de 13 millions de noms de domaine.
L'étude de l'AFNIC a été conduite par Métro-Pannel, du 3 au 15 juin 2010, auprès de 555 internautes répartis sur toute la France.
Site : www.afnic.fr
(...)(09/09/2010 18:16:51)Google ouvre un centre de R&D à Paris
"La France est l'un des plus importants centres de culture, d'affaires et de technologie au monde. Nous sommes très enthousiastes à l'idée de renforcer nos investissements et ainsi permettre la création de nouveaux partenariats et de nouvelles opportunités ici en France", a déclaré Eric Schmidt, cité dans un communiqué. Le centre parisien de Google "permettra d'accroître les efforts de recherche et développement en France et d'employer de nombreux ingénieurs talentueux et diplômés des universités françaises chaque année".
L'institut culturel financé par Google sera quant à lui un espace dédié à la technologie et à la promotion des cultures européennes passées, présentes et futures. Les détails de ce plan d'investissements seront dévoilés un peu plus tard, a précisé la firme américaine.
Avec son moteur de recherche, son portail de vidéos YouTube, ou encore son site de cartographie Maps, Google représente la première audience de la Toile en France avec plus de 34 millions de visiteurs uniques, devant les sites de Microsoft (32 millions) et Facebook (24 millions), selon les données de l'institut Médiamétrie.
Illustration : Eric Schmidt, PDG de Google (...)(09/09/2010 17:43:23)Jonathan Schwartz, l'ancien PDG de Sun, crée une entreprise de santé publique
Jonathan Schwartz, ancien patron de Sun Microsystems, a rompu un silence de six mois sur son compte Twitter par ces quelques mots « Started a new company ». Cette entreprise qu'il vient donc tout juste de lancer, Informed Biometry, a pour but d'améliorer la santé publique en développant un logiciel à interface web pour les consommateurs, tout simplement parce que « la plupart du temps, sur Terre, Internet est plus accessible que l'électricité, l'eau potable ou les soins élémentaires ». Ce logiciel utilisera largement des fichiers issus de données publiques pour fonctionner.
L'idée n'est pas spécialement neuve, quelques applications pour iPhone se basant déjà sur les données publiques pour améliorer la santé des utilisateurs. Mais Informed Biometry entend étendre cette approche à un public plus large. L'entreprise a un site Internet, www.pictureofhealth.com, et des bureaux à Seattle, San Francisco et là où ses futurs employés désireront travailler. En effet, la société, en pleine phase d'embauche, ne comporte pour l'heure que son PDG, Jonathan Schwartz, et son directeur technique, Walter Smith, ancien employé de Microsoft. Le message Twitter précise même qu'il y a une préférence pour les « geeks matheux ». Walter Smith avait travaillé au développement de Windows et d'Internet Explorer, et avant cela, il avait contribué à celui de l'OS Newton d'Apple. Plus récemment, il a été le cofondateur de Jackson Fish Market, petit éditeur de logiciel basé à Seattle.
Une entité autonome
Les deux responsables d'Informed Biometry souhaitent être contactés par des généralistes du logiciel, capables d'effectuer toute une gamme de tâches aussi diverses que variées dans ce domaine, et aussi par un directeur artistique orienté web. Néanmoins, d'après son profile LinkedIn, l'entreprise n'a absolument pas besoin d'investisseurs, étant déjà « très bien financée » et « possédée à 100% par ses employés ».
Même si cette société sera extrêmement concernée par les données, Jonathan Schwartz veut clairement s'éloigner des bases de données d'Oracle pour la suite de sa carrière. La page de recrutement affiche rechercher des développeurs qui « savent quand et comment utiliser Postgresql » et qui sont « intrigués par NoSQL mais pensent que le nom est nul ». NoSQL est un terme décrivant des stockages non-relationnels de données qui n'ont pas d'interface SQL.
Pour l'anecdote, Jonathan Schwartz avait aussi annoncé son départ de Sun sur son fil Twitter.
Illustration : Jonathan Schwartz, PDG d'Informed Biometry
Crédit Photo : D.R.
Google Instant : Recherche en temps réel
Annoncé mercredi, Google Instant présente et ajuste les résultats de recherche - et les publicités qui les accompagnent - à la volée au moment même où les utilisateurs renseignent la case du moteur. L'idée est de réduire la boucle qui commence avec l'écriture de la requête, le parcours des résultats de recherche, l'affinement de la requête et la vérification des nouveaux résultats, un processus qui peut être répété plusieurs fois et se terminer parfois de manière frustrante.
La fonctionnalité repose indéniablement sur un tour de force informatique, mais reste à voir comment elle sera perçue par les utilisateurs finaux et quel impact elle aura sur les performances et l'efficacité des publicités, ainsi que sur la visibilité des résultats de la recherche organique. Mettre au point une fonctionnalité aussi novatrice et audacieuse montre que chez Google, l'activité liée au moteur de recherche reste prioritaire, même si l'entreprise se positionne sur de nombreux autres marchés. "Google va clairement faire fructifier son patrimoine en matière de recherche sur Internet, un domaine qu'elle maitrise parfaitement," a déclaré l'analyste Charlene Li du groupe Altimeter. Google précise, que Instant "ne lance pas la recherche en même temps que l'on tape la requête " mais plutôt "lance la recherche avant même que l'on tape," parce que le moteur travaille sur une anticipation des mots-clefs et sur une prévision de ce que pourra être "le plus probablement" la requête de l'utilisateur.
Une amélioration pour les power users
Alors que Google met en route sa fonctionnalité, les utilisateurs experts sont plus susceptibles d'apprécier la nouvelle manière que propose Google d'effectuer des recherches que le commun des mortels. Si les premiers apprécieront la commodité et les gains de temps que cela peut représenter, les seconds risquent d'être plutôt déconcertés, du moins au début. "C'est une amélioration, et elle offre plus d'efficacité et de commodité à ceux qui sont habitués à utiliser le système de recherche," a déclaré l'analyste Greg Sterling, de Sterling Market Intelligence. "Mais ce clignotement de page qui s'enchaîne pour afficher les changements à mesure de la saisie des caractères peut dérouter plus d'un utilisateur." Charlene Li trouve pour sa part que ces changements à la volée suscitent d'abord "un sentiment de vertige," mais elle prédit que Google sera proactif et peaufinera sa fonctionnalité en l'adaptant aux besoins, programmant éventuellement quelques retards dans l'actualisation de la page si trop de gens trouvent ça perturbant. "Dans l'ensemble, le résultat devrait être positif pour les utilisateurs," estime-t-elle.
Désactivation en option
Pour Hadley Reynolds, analyste chez IDC, l'accélération du processus d'affinage des requêtes, qu'il désigne sous le terme de "pogo stick", offre un potentiel important. "Google Instant permettra d'identifier plus rapidement les liens proposés dans la colonne de droite," a-t-il déclaré. "Il faudra s'y habituer. Mais je pense que la plupart des utilisateurs s'adapteront à ces changements et apprécieront la manière dont Google réduit le temps de recherche et les choix proposés." Anticipant peut-être une certaine résistance, Google prévoit quand même d'offrir la possibilité de désactiver Google Instant, lequel sera dans un premier temps limité aux recherches internet généralistes effectuées par tous les utilisateurs à partir du portail américain Google.com, et accessible dans quelques pays comme la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni uniquement aux utilisateurs connectés à leur compte Google. La recherche instantanée sera ensuite rendue disponible aux utilisateurs dans le monde, ainsi que sur les appareils mobiles. On ne sait pas si et quand elle sera ajoutée aux moteurs verticaux de Google, pour la recherche d'images, les actualités les cartes et les livres.
Repenser le référencement
Selon les analystes, pour tenir compte du fait que les utilisateurs interagissent différemment avec les pages de résultats d'une recherche, les éditeurs devront peut-être revoir la manière dont ils optimisent leurs pages web pour s'ajuster au classement organique de Google et les annonceurs affiner leurs campagnes de marketing basées sur la recherche. "Les utilisateurs pourront consulter les pages beaucoup plus rapidement. Cela implique nécessairement de modifier l'approche pour se positionner dans le classement », a déclaré Greg Sterling. "En quelque sorte, cela peut limiter les possibilités d'optimisation pour les moteurs de recherche." Dans une déclaration à la presse, les responsables de l'agence en recherche et en marketing social Greenlight a fait valoir que certains sites pourraient subir une baisse dans le classement et le trafic dans le cas où ils sont optimisés pour les requêtes longues, a mots-clefs multiples, que Google Instant pourrait rendre moins efficaces. Ils ont également averti que les commerçants pourraient subir un préjudice dans leurs scores de qualité de Google en raison d'une augmentation du nombre de publicités affichées qui ne seront pas suivies d'un clic, les annonces étant actualisées plusieurs fois alors qu'une requête sera en cours de frappe. Hadley Reynolds ne prévoit pas de perturbations majeures pour les éditeurs et les distributeurs, mais il reconnaît que le comportement de l'utilisateur final va inévitablement changer. "Ces modifications pourraient ouvrir de nouvelles perspectives comme délivrer un contenu spécifique aux utilisateurs dans l'environnement Instant," a-t-il dit. Il estime aussi que les moteurs de recherche concurrents, comme ceux de Microsoft, Yahoo et Ask.com, "devront fournir une expérience comparable à Google Instant." Ajoutant que "Google Instant prouve que Google a une forte volonté de continuer à dominer l'espace de la recherche Internet - tant en matière de technologie, que de trafic."
(...)(09/09/2010 11:07:33)Le triple play à 32 euros en 2011 ?
Jusqu'alors, la moitié du forfait de base, à savoir 29,99 euros par mois, était soumise à une TVA de 5,5% au titre de l'offre télévision. L'autre moitié du forfait, qui couvrait l'accès Internet et la téléphonie, était en revanche soumise à une TVA de 19,6%. Le ministre du budget a expliqué au quotidien économique "notre priorité, c'est aussi et surtout de protéger le financement du cinéma, auquel contribuent les FAI et Canal+. Et je pense que le cinéma devrait sortir renforcé des arbitrages définitifs".
Des abonnements à 32 euros ?
Pressée par la Commission européenne de mettre en oeuvre une TVA qui reflète la juste part de l'offre télévision au sein de l'abonnement triple play, la France se dirige vers une normalisation complète en appliquant un taux unique de 19,6%. Cette évolution pourrait, théoriquement, porter l'abonnement de base à environ 32 euros par mois, soit une hausse de 6,7%. (...)
Les Français achètent de plus en plus sur Internet
Sur les six premiers mois de l'année, les Français ont dépensé sur Internet un total de 14,5 milliards d'euros. Selon la Fevad, le chiffre global sur l'ensemble de l'année pourrait dépasser les 32 milliards d'euros, soit un montant supérieur aux prévisions et aux attentes du marché. « La France reste ainsi l'un des marchés les plus dynamiques en Europe en terme de croissance des ventes sur Internet », précise la Fédération dans un communiqué.
93 euros en moyenne
Au total, 156 millions de transactions ont été enregistrées par les sites de e-commerce au cours du premier semestre, contre 110 millions il y a un an. Le montant moyen de la transaction se maintient à 93 euros, alors qu'il était passé sous la barre des 90 euros au premier semestre 2009. Sur les six premiers mois de l'année, la dépense moyenne par cyberacheteur s'est élevée à 650 euros, soit sept transactions en moyenne par acheteur. Pour la Fevad, la bonne santé du e-commerce s'explique en partie par le dynamisme des professionnels sur la Toile. Le nombre de sites marchands actifs en France s'établit aujourd'hui à 70.000, contre 54.000 il y a un an. Le nombre de cyberacheteurs a lui aussi progressé : +17% en un an.
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