Flux RSS

Internet

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

5069 documents trouvés, affichage des résultats 1271 à 1280.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(23/08/2010 12:29:34)

Facebook acquiert Hot Potato, réseau social géolocalisé

Hot Potato a annoncé sur son blog son rachat par Facebook sans donner d'indications sur le montant de l'opération. Le service de cette société  vise à permettre aux personnes de partager ce qu'ils font avec leurs amis et se connecter avec d'autres personnes qui font la même chose dans le même lieu. Les gens visitent la page et choisissent le début d'une phrase comme "je participe à ..." ou « j'écoute..." puis complètent les informations. Ils ont ensuite se joindre à un groupe de personnes qui ont posté des intérêts similaires. Le groupe peut partager ses photos et vidéos et se poser des questions.

Hot Potato a cessé de recruter des utilisateurs et à indiquer que les actuels devront télécharger toutes les informations et le contenu qu'ils veulent sauvegarder. Dans environ un mois, l'entreprise supprimera toutes ces données sans les transférer à Facebook. On note toutefois que ce service avait des passerelles avec le réseau social, recherche d'amis sur les deux sites,  intégration des profils Facebook et des comptes Twitter.

Concurrencer Foursquare


Cette annonce est à rapprocher du lancement la semaine dernière de « Places » aux Etats-Unis par Facebook. Les services de géolocalisation commencent à se développer sur les réseaux sociaux comme le montre le succès de Foursquare, application que l'on retrouve justement sur Facebook. Ce dernier entend bien concurrencer cette solution à travers des éléments qualitatifs à la localisation. Hot Potato sera donc un élément complémentaire à cette stratégie.

(...)

(23/08/2010 11:40:41)

Google acquiert Like.com, site de shopping visuel

Google a acheté Like.com, qui offre un moteur de recherche visuelle de produits en vente sur Internet. Ceci devrait augmenter les capacités de recherches de type « shopping » de Google et améliorer des services tels que son moteur Products, encore en bêta. Il y a plusieurs années, des rumeurs circulaient déjà, signalant que la firme de Mountain View était intéressée par le rachat de Like.com, appelé Riya lors de sa création en 2004.

Intelligence artificielle destinée au shopping

Munjal Shah, PDG et co-fondateur du site, a annoncé ce rachat sur la page d'accueil de son entreprise. « Pour nous, rejoindre Google est un moyen d'élargir exponentiellement notre vision et notre passion », a-t-il écrit. Utilisant la vision par ordinateur et l'apprentissage automatique des machines, Like.com fournit un moteur de recherche visuel centré principalement sur les vêtements, bijoux et éléments de décoration. « Nous avons développé une technologie qui nous fait comprendre visuellement ce que des termes comme « chaussures rouges à talons hauts » ou « robe à fleur sans manches » peuvent vouloir dire », peut-on lire dans une description de l'entreprise. Like.com possède aussi Covet.com, décrit comme un guide de shopping mode, et le studio de mode virtuel Couturious.com.

Le PDG du site n'a donné aucun détail financier sur la transaction, et Google n'a pour sa part pas encore répondu à la demande de précisions.


Illustration : Munjal Shah, PDG de Like.com
Crédit Photo : D.R.

(...)

(20/08/2010 14:40:37)

Hadopi sensibilise les internautes aux péages

Certains y verront une allégorie aux flux Internet filtrés, mais a quelques semaines de l'envoi des premiers mails aux contrevenants, ce sont 260 000 dépliants, "soit plus de 830.000 contacts potentiels" estime la Haute autorité, qui vont être distribués au public les deux derniers week-ends d'août aux péages des autoroutes. Cette action de sensibilisation se déroulera les week-ends des 20 au 22 août, et des 27 au 29 août dans différents péages autoroutiers.

Dans un communiqué, Hadopi explique ce choix par la forte affluence aux péages dans la période de retour des vacances. La distribution de dépliants permettrait de toucher le grand public, aussi bien les adultes que les jeunes.

Un mode d'emploi anti-téléchargement

Le dépliant en question se présente comme un mode d'emploi de l'Hadopi. Un premier volet aborde la question du respect des droits des créateurs et l'intérêt de télécharger des oeuvres de manière légale. Un second explique pourquoi et comment sécuriser sa connexion Internet. Enfin, un schéma central explique le fonctionnement de l'Hadopi et les risques encourus par les internautes qui téléchargent illégalement.

L'Hadopi a pour mission de favoriser et d'encourager l'offre légale de contenus sur Internet, et de lutter contre les internautes contrevenants. Ces derniers seront d'abord avertis par e-mail, puis par lettre recommandée en cas de récidive. En cas de troisième infraction, l'internaute risque une suspension de son abonnement Internet, ainsi qu'une amende pouvant aller jusqu'à 300.000 euros, assortie d'une peine de prison pour les plus gros pirates. Par ailleurs, l'abonné reconnu coupable de négligence caractérisée risque une amende de 1 500 euros, qui peut être doublée en cas de récidive (3 000 euros), voire multipliée par cinq (7 500 et 15 000 euros) pour les personnes morales. L'abonné peut également être condamné à une suspension de son accès Internet pour une durée maximale d'un mois.

Les premiers courriels d'avertissement devraient être envoyés aux contrevenants dès le mois de septembre.

(...)

(20/08/2010 10:54:41)

Le Crédit Agricole saute le pas du réseau social d'entreprise

La Fédération Nationale du Crédit Agricole réunit les 39 caisses régionales et a notamment pour rôle de faciliter le partage des bonnes pratiques remontées du terrain. Or sa communication était plutôt verticale. Elle souhaitait donc faciliter la collaboration entre dirigeants et salariés de l'ensemble du réseau en recourant aux outils dits « 2.0 » en lieu et place d'outils plus traditionnels comme un journal papier. Les échanges devaient pouvoir comporter non seulement des textes mais aussi des vidéos et des images.

Elle a donc mis en oeuvre un site web collaboratif doté d'un réseau social et comportant des groupes thématiques. Chaque « club » ainsi créé possède un espace d'actualités de l'activité des membres, un espace de discussion et un espace de stockage et de partage de documents.

A ce jour, 3000 participants ont rejoint l'outil construit en utilisant Jalios Social Collaborative Suite.

Le coût du projet n'a pas été précisé. (...)

(20/08/2010 10:54:25)

5 milliards d'objets connectés cet été

La barre des 5 milliards d'objets connectés à internet a été franchie durant le mois d'août. Dans 10 ans, ce chiffre aura plus que quadruplé selon IMS Research qui étudie la base installée d'équipement connectés au Web.

En surface, cette seconde vague de croissance des terminaux connectés sera portée par les téléphones mobiles et l'électronique grand public. Mais un phénomène plus grand, bien que invisible, va dynamiser la croissance : les communications en mode « machine-to-machine » telles  que les réseaux intelligents (smart grid), les solutions de surveillance et de sécurité publique, le contrôle du trafic automobile et des parkings, ainsi que les réseaux de capteurs. Aujourd'hui, il existe environ 1 milliard d'ordinateurs régulièrement connectés à internet. Ces classes de terminaux, incluant les PC et les ordinateurs portables ainsi que leurs équipements de réseau associés continuent de croître.

Mais les produits cellulaires, tels que les smartphones ont dépassé ce total et ont une croissance bien plus rapide. Additionnez les tablettes, les livres électroniques, les TV connectées, les caméras, les cadres photo numérique et tout autre équipement pouvant être connecté et on arrive rapidement à un total de 22 milliards de produits connectées ou connectables à Internet en 2010 toujours selon IMS Research.

Un développement exponentiel


L'institut prédit que dans 10 ans, 6 milliards de téléphones seront en circulation et la plupart seront connectés. Les 2,5 milliards de télévisions existantes seront pour la plupart remplacées par des télévisions connectés à internet, directement ou via une set-top box. La majeure partie du milliard de voitures qui roule actuellement seront remplacées par des modèles plus récents qui disposeront d'un accès Internet embarqué.

Cependant, comme dit plus haut, le plus grand réservoir de croissance potentiel concerne le machine-to-machine selon le président d'IMS Research, Ian Weightman. L'institut Gartner  a d'ailleurs nommé le MtoM comme étant une des technologies de l'année 2010. Du côté des constructeurs, Qualcomm et Verizon ont créé, il y a un an, une co-entreprise dédiée ce marché spécifique.

(...)

(19/08/2010 17:12:52)

Les opérateurs télécoms domineront le marché du cloud d'ici 2 ans

Les « Telcos » devraient prochainement être les acteurs principaux du cloud computing. Peter Hall, analyste du marché chez Ovum affirme en effet que les utilisateurs de ces services devraient croître rapidement durant les prochaines années. « Nous nous attendons à ce que l'intérêt grandisse vivement pendant les deux ou trois prochaines années, il est donc temps pour les opérateurs de développer des stratégies concernant leur entrée sur le marché ».

Selon lui, cette avancée est logique pour ces fournisseurs qui utilisent actuellement des datacenters pour stocker leurs données. « Ils ont un historique, du moins pour les plus importants, en matière de mise à disposition des services et hébergements gérés par des datacenters, et ont combiné ceci avec leur expertise en réseau et en sécurité pour fournir à leur clientèle des services sur le cloud ».

Un rapport documenté


Ce rapport se base sur l'étude mondiale de 150 entreprises de plus de 1 000 salariés, et intègre des contributions d'Orange Business Services, AT&T et Verizon. Peter Hall précise que chaque société interrogée était bien consciente du lien direct entre le cloud computing et leur coeur de métier. « Tous les acteurs en question ont vu que le cloud pouvait profiter à leurs compétences de base, et Orange a même appliqué le terme « opérateur IT » pour refléter cette évolution de son rôle de fournisseurs de services IT, et ce par analogie à son rôle d'opérateur télécom. ». L'analyste veut néanmoins rassurer ceux qui n'auraient pas encore développé de stratégie cloud, les utilisateurs finaux étant encore prudents face à ce marché « embryonnaire ».

Crédit Photo : D.R.

(...)

(19/08/2010 16:31:42)

Le PDG de Google dénonce le côté obscur des réseaux sociaux

Le PDG de Google, Eric Schmidt, admet son inquiétude quant à l'excès d'informations partagées sur Internet et prédit qu'un jour les individus devront aller jusqu'à changer leur nom et se réinventer une identité pour fuir leur passé numérique. Ce point de vue pourrait paraître extrême, mais les réseaux sociaux, de par leur expansion, poussent à la redéfinition des concepts de confidentialité et d'identité. Les avantages de l'évolution du web et du réseautage social sont pourtant nombreux : Facebook et Twitter ont rendu possible à leurs utilisateurs des retrouvailles avec amis et familles. Ils leur ont fourni une plateforme de partage d'informations. L'aspect « temps-réel » des mises à jour de statuts ont aussi transformé les usages et le mode d'accès aux actualités. Néanmoins, ces réseaux peuvent aussi être un bon moyen pour ruiner une réputation et se mettre dans d'inconfortables et durables situations. Dès qu'un élément est mis en ligne, il est partagé en l'espace de quelques secondes tout autour de la planète et est accessible potentiellement pendant des dizaines d'années.

Risques pour la vie professionnelle...

Il n'est pas rare de partager les informations des comptes de réseaux sociaux sur lesquels ont est inscrits dans des candidatures à des offres d'emplois. Les employeurs peuvent vouloir vérifier les profils Facebook et l'historique des tweets sur Twitter pour évaluer la personnalité des candidats. La façon de se comporter sur Internet offre alors un aperçu brut et sans trop d'artifice de qui est réellement l'individu. Cela peut-être bien plus efficace que les batteries de tests psychologiques utilisés depuis des années. Ces réseaux peuvent aussi être utilisés pour la situation inverse au recrutement. La liste des personnes licenciées à cause d'un statut Facebook ou d'un tweet ne cesse en effet de s'allonger. C'est toujours une bien mauvaise initiative que de malmener son patron, se plaindre de son futur emploi, ou de se vendre en postant des photos de la plage pendant un congé maladie sur ces plateformes.

Les banques aussi, avant d'accorder un prêt, se basent parfois sur le réseau de connaissance de l'utilisateur du réseau social, et vérifient les données bancaires de ses membres, si tant est qu'ils aient déjà eu recours au même organisme, pour s'assurer de la solvabilité potentielle du demandeur. Elles utilisent des services comme Rapleaf pour scanner ces réseaux et déterminer le risque encouru à prêter de l'argent à cette personne en fonction de ses relations.

...et pour la vie personnelle

Il paraît par ailleurs évident que les conjoints sont amis sur Facebook et sont followers de l'un et de l'autre sur Twitter. Tout partager pourrait paraître une bonne idée jusqu'à ce que cela ne le soit plus. Si la relation se termine, il faut supprimer l'ex de la liste d'amis et faire attention à ce qui est mis en statuts ou en tweets. Un article du Time Magazine raconte que « les avocats adorent ces sites qui peuvent s'avérer être de véritables mines d'or. Est-ce que la petite amie de votre ex-mari a tweeté sur l'obtention de bijoux ? Le tribunal pourrait voir cela comme des actifs maritaux étant cédés à un tiers. Est-ce que votre femme a déclaré être incapable de trouver un emploi ? Votre avocat devrait demander pourquoi elle procède à des entretiens d'embauche sur LinkedIn ».

Internet n'oublie rien. Il a une capacité quasi infinie d'archivage des données qui peuvent être parcourues en quelques secondes grâce à des moteurs de recherche. Les critiques d'Eric Schmidt interviennent d'ailleurs paradoxalement à une période où l'entreprise accumule les éléments constitutifs d'un futur réseau social maison, Google Me, sensé faire de l'ombre à Facebook.

Illustration : Eric Schmidt
Crédit Photo : D.R.

(...)

(19/08/2010 11:15:15)

Verizon s'essaye au gigabit en fibre pour l'abonné

C'est de la vitesse ! Verizon a mené un essai complet sur le terrain sur son réseau de fibre optique FiOS, dans lequel il fournit une bande passante approchant 1 Gbit/s. Dans un premier temps, le test a été réalisé auprès de clients professionnels à Taunton dans le Massachusetts (Etats-Unis). FiOS est une offre de triple play (internet, télévision et téléphonie fixe) sur réseau optique.

L'opérateur précise que la démonstration, réalisée en juin via son réseau optique passif gigabit (GPON), était conçue pour montrer qu'aujourd'hui l'équipement FiOS peut prendre en charge une bande passante plus élevée, incluant un débit de 1 Gbit/s, sans provoquer de changements majeurs sur le réseau. La plate-forme GPON, développée par l'équipementier Motorola, accepte des bandes passantes de 2,4 Gbit/s sur les flux descendants et de 1,2 Gbit/s sur les flux montants. Par ce test, Verizon va augmenter sensiblement les débits fournis aux particuliers, limités aujourd'hui à 50 Mbit/s pour les flux descendants.

Plus de débits, de services et de concurrence

Brian Whitton, directeur exécutif du groupe technologique chez Verizon, explique dans un communiqué que "cette capacité en bande passante nous permettra de continuer à satisfaire les besoins des clients FiOS en offrant davantage de bande passante afin de délivrer des services tels que la TV en 3D, la TV ultra Haute Définition, les jeux multijoueurs ainsi que la conférence vidéo en HD".

Les débits réels actuels obtenus lors des essais sur le terrain étaient de 925 Mbit/s pour un serveur local et de plus de 800 Mbit/s pour les serveurs de test régionaux. L'entreprise précise que le service FiOS existant a été maintenu et que le test n'a pas dégradé les services voix, données ou vidéo des clients. Verizon a de grands projets pour sa marque FiOS. L'entreprise travaillerait avec Motorola sur le développement d'une tablette qui permettrait au client de regarder la TV numérique délivrée par l'offre triple play.

L'opérateur américain rejoint ainsi la volonté d'un acteur comme Google de proposer lui aussi du très haut débit en fibre optique dans certaines villes américaines. L'éditeur de Moutain View souhaite proposer lui aussi un débit de 1 Gbit/s et plus de 1100 villes se sont déjà déclarées intéressées pour l'expérimentation. Il faudra attendre la fin de l'année pour connaître le nom des lauréats et peut-être aussi le tarif d'une telle connexion.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >