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(16/01/2012 17:59:56)

L'UE veut accélérer le paiement électronique

La Commission européenne a lancé un livre vert dédié aux obstacles qui peuvent entraver l'amélioration du système de paiements électroniques dans l'espace européen. Les commerçants, les fournisseurs de services de paiement mais aussi les consommateurs sont invités à donner leur avis à ce sujet jusqu'au 11 avril prochain, qu'il s'agisse de paiements par carte sur internet ou sur téléphone mobile.

Bruxelles ambitionne d'identifier « les obstacles à lever pour parvenir à un marché des paiements pleinement intégré, ainsi que les sources de ces obstacles ». Ce livre vert compte poser la question de la sécurité des paiements et la protection des données, la transparence et l'efficience de la tarification des services de paiement.

La Commission européenne précise que d'autres étapes sont prévues avant l'été 2012 pour améliorer le système de paiements électroniques au sein de l'Union européenne.

(...)

(12/01/2012 15:29:18)

La normalisation des avis consommateurs planifiée

A compter du mois de décembre prochain, les avis des consommateurs seront certifiés par une norme développée par l'Afnor, spécialiste de la question. Après la réunion d'une première commission le 10 janvier, le groupe de normalisation annonce qu'un calendrier a été établi pour rendre plus fiables les commentaires d'internautes, publiés sur des produits ou des sevrices.

La Direction générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF), le site de communauté de voyageurs TripAdvisor, Voyages SNCF et 17 autres entreprises ou organismes ont accepté de participer à l'élaboration d'une norme, établie pour les avis de consommateurs sur internet.

Après plusieurs réunions de travail, la parole sera donnée aux internautes qui pourront faire part de leurs idées et de leurs commentaires via une enquête publique, relayée via le site Internet Enquetes-publiques.afnor.org. Cette consultation publique commencera dès le mois de juillet, pour un dépouillement des avis en septembre prochain.

(...)

(12/01/2012 15:15:25)

Nouveaux noms de domaine, l'Icann démarre son Big Bang

L'Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (Icann), « l'organisation de droit privé à but non lucratif chargé d'allouer l'espace des adresses de protocole Internet (IP), d'attribuer les identificateurs de protocole, de gérer le système de noms de domaine de premier niveau pour les codes génériques (gTLD) et les codes nationaux (ccTLD), et d'assurer les fonctions de gestion du système de serveurs racines, » lance son programme pour les nouveaux codes génériques du domaine de premier niveau (Top-Level Domains - TLD). Les demandent doivent être déposées auprès de l'organisme régulateur dans les trois mois, soit au plus tard le 12 avril 2012. Selon les experts, ce programme visant à instaurer de nouveaux gTLD est le plus grand changement intervenu dans le système de nommage de l'Internet depuis 1998, c'est-à-dire au moment de la création de l'Icann lui-même. « C'est un changement important, » déclare Fred Felman, directeur marketing chez MarkMonitor, qui fournit des services de protection de marque en ligne à des entreprises américaines, comme FedEx et DuPont. « C'est probablement le plus grand changement depuis le premier élargissement de l'Internet, passé d'un petit nombre de registres à 23 registres. »

Aujourd'hui, les noms de domaine couvrent 280 domaines, depuis les dénominations génériques telles que .com pour les sites commerciaux, jusqu'aux codes de pays comme .de pour l'Allemagne par exemple. Selon le dernier rapport Brief Domain Name Industry de Verisign publié en décembre 2011, il y a actuellement environ 220 millions de noms de domaine enregistrés dans le monde. Le domaine .com, réservé à l'origine pour les entreprises, continue à dominer : il représente environ 100 millions de tous les noms enregistrés. « Je pense que le nombre de nouveaux domaines va se situer autour de 1 000... Nous parlons donc ici d'une multiplication par 5 du nombre de domaines disponibles, » explique Roland LaPlante, vice-président senior et directeur du marketing chez Afilias, qui gère les registres .info, .org, plus 13 autres registres de noms de domaine. Mais pour lui, «  le plus gros changement va concerner l'ajustement du comportement des consommateurs et la manière dont la confiance dans ces nouveaux TLD va évoluer. »

Des centaines de nouveaux domaines

Le projet de l'Icann d'ajouter des centaines de nouveaux domaines, en chantier depuis six ans, n'a pas suscité que des approbations. À deux reprises, l'Icann a tenté d'étendre l'espace des noms de domaine Internet : une fois en 2000, quand l'organisation a ajouté sept extensions, dont .biz et .info, et une nouvelle fois en 2004, quand elle a ajouté huit extensions plus comme .asie et .emploi... Mais aucune de ces nouvelles extensions de nom de domaine n'a vraiment eu de succès. Si la dernière tentative de l'Icann d'élargir l'espace des noms de domaine réussit, cela pourrait changer fondamentalement la façon dont les noms de domaine sont utilisés.

Parmi les nouvelles catégories de noms de domaine qui devraient être approuvées, on trouve les noms de domaine internationalisés dans des écritures non-occidentales; les noms de domaines localisés géographiquement pour des villes et des régions; les noms de domaine liés à des intérêts spécifiques, ainsi que les noms de domaine liés à des entreprises individuelles et des marques. « L'innovation sera présente dans le nom lui-même et la façon dont il sera utilisé, avec un objectif plus marketing, » explique le vice-président senior d'Afilias. « D'une manière générale, la plupart des demandes seront techniquement évidentes. Mais, il y aura quelques vérifications d'éligibilité intéressantes et utiles à suivre. Cela va aussi donner lieu à de nouveaux services de registres pas encore disponibles aujourd'hui. Mais la plupart des nouveaux registres fonctionneront comme ils le font aujourd'hui. »

Le support des caractères chinois, arabe et cyrillique

Dans le cas des nouveaux codes génériques de premier niveau gTLD, la plus grande innovation sera sans doute l'apparition de noms de domaine internationalisés. On pourra trouver des caractères comme l'arabe, le chinois et le cyrillique dans l'extension de nom de domaine. Cela signifie que les entreprises américaines qui veulent vendre leurs produits à l'étranger pourront acheter pour leurs marques des noms de domaine à 100% dans le caractère de la langue originale du pays, comme le Chinois simplifié. « Les personnes qui ne savent pas lire, écrire et parler dans notre langue veulent avoir la possibilité de naviguer sur le web en utilisant leur langue maternelle, » explique Fred Felman. « Cela va être très utile par exemple pour la population d'utilisateurs chinois toujours plus nombreuse. Mais d'une manière générale, cette innovation est bonne pour l'ensemble de l'Internet. »

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Ainsi, malgré les oppositions, le projet de l'ICANN va de l'avant. Mais les représentants de l'administration américaine et certaines entreprises ont fait part de leurs inquiétudes. Ils craignent que le prix à payer pour enregistrer des noms de domaines dont la fonction est de protéger la propriété des marques n'augmente. Sans compter que, selon eux, cela risque d'engendrer sur le Web une certaine confusion pour les consommateurs. De nombreuses entreprises américaines qui possèdent d'importants portefeuilles de noms de domaine redoutent la mise en oeuvre de ces nouveaux gTLD par l'ICANN. Elles pensent qu'elles vont devoir consacrer plus d'argent pour acheter des noms de domaines pour défendre leur marque, lutter contre le squattage éventuel de leurs noms de domaine, source de litiges et de marchandages, et qu'elles devront faire davantage de publicité pour éviter la confusion chez les consommateurs. « Chaque fois que l'on a introduit de nouveaux gTLD, les marques ont eu des problèmes. Elles ont du lutter contre l'appropriation de leurs noms, assumer des couts supplémentaires en termes d'enregistrements défensifs et résoudre des problèmes avec les cybersquatteurs, » ajoute Fred Felman. « Les mécanismes de protection des droits qui sont proposés pour les nouveaux gTLD ne sont probablement pas proportionnellement suffisants. Alors, elles continuent à être préoccupées par ce système qui est source pour elles de couts supplémentaires. »

Les entreprises américaines disposent de quelques semaines seulement pour faire la demande d'une extension de nom de domaine reprenant l'appellation de leurs marques. Le processus est compliqué : les candidats doivent fournir des business plans détaillés, des données financières et une documentation technique expliquant comment ils comptent gérer leur nouveau registre de nom de domaine. Les frais d'inscription s'élèvent à 185 000 dollars. Quelques sociétés américaines pionnières, comme le cabinet d'experts-comptables Deloitte Touche et le géant de  l'informatique IBM, ont fait savoir qu'elles demanderaient un TLD pour leurs entreprises.

Beaucoup de demandes en préparation

Mais les experts pensent que de nombreuses entreprises, qui font du commerce en ligne, préparent discrètement leurs candidatures pour bénéficier des nouveaux gTLD. « Beaucoup de grandes entreprises nous ont appelés pour protester sur la mise en oeuvre de ce programme, mais elles travaillent quand même à couvrir leurs arrières. Elles seront prêtes à postuler dans le délai imparti, » a déclaré Roland LaPlante. « On voit des entreprises de distribution... mais il y a aussi des banques et des sociétés de services financiers. N'importe quelle grande marque susceptible d'être copiée sur le Web se penche aussi sur le sujet. »

Selon le vice-président senior d'Afilias, les entreprises peuvent trouver deux avantages à exploiter leur propre registre de nom de domaine. D'abord, le fait de contrôler l'utilisation du domaine leur permet de mieux se protéger en matière de sécurité et elles peuvent ajouter de nouvelles fonctionnalités comme des extensions de sécurité DNS, qui empêchent l'usurpation de leur site web. Ensuite, elles peuvent mieux sensibiliser les consommateurs sur leurs marques en valorisant leur présence en ligne autour de leurs propres noms, plutôt qu'avec une extension générique de type .com. « La plupart des consommateurs connaissent déjà bien les grandes marques. Par exemple, ils achèteront plus facilement une Rolex en ligne si la boutique affiche un nom de domaine .rolex, qu'ils ne le feraient sur une boutique avec un nom en .com, » a expliqué Roland LaPlante. L'ICANN devrait rendre ses premières décisions pour les nouveaux gTLD d'ici la fin de l'année 2012, et les nouvelles extensions seront opérationnelles sur Internet en 2013.

(...)

(11/01/2012 13:47:18)

Mozilla prépare une version de Firefox pour les entreprises

Mozilla a avancé sa feuille de route dans le but de sortir une version de Firefox taillée pour les entreprises afin de permettre aux départements informatiques de pouvoir l'administrer à partir d'une console centrale.  La Fondation a indiqué que les mises à jour de cette mouture, qui devrait être baptisée Extended Release Support (ESR), seraient réalisées à un rythme beaucoup plus lent que pour une version ordinaire,  afin que les département IT disposent du temps nécessaire pour pouvoir la tester, la certifier et l'adopter

Le fait de développer Firefox ESR est partie d'une simple «proposition» pour passer à ce que Mozilla qualifie désormais de "plan d'action", a indiqué Jay Sullivan, porte-parole de la Fondation dans un billet de blog publié hier.

«Nous publierons une version du navigateur ESR une fois par an, fournissant ainsi aux entreprises une mouture qui contiendra des mises à jour sur la sécurité et qui ne nécessitera pas de changements sur le web ou sur la plateforme Firefox add-ons », a-t-il précisé .

L'éditeur Open Source a travaillé sur le projet en étroite collaboration avec son groupe de travail constitué d'utilisateurs professionnels. «Au cours des derniers mois nous avons reçu d'excellents commentaires sur la proposition initiale de la communauté Mozilla et croyons fermement qu'ESR y répond », s'est réjoui le représentant de la Fondation.

Les grands comptes soucieux sur les mises à jour

Les détails sur la mise en oeuvre du navigateur ESR seront publiés  d'ici une semaine sur le forum de discussion Mozilla Dev Planning et sur la liste des destinataires du groupe de travail de l'organisation.

Al Hilwa, analyste chez IDC a estimé que l'idée de proposer une version professionnelle de Firefox était intelligente, les grandes entreprises étant très à cheval sur le rythme de mise à jour des logiciels sur les  machines de leurs employés.

« Vous pouvez discuter des avantages et des inconvénients de ce type de stratégies informatiques ou les organisations doivent s'adapter à un rythme plus rapide », considère-t-il « Mais vous ne pouvez pas discuter lorsque les éditeurs décident d'exercer un contrôle. Dans ce cas-ci, Mozilla est particulièrement accommodant. »

(...)

(11/01/2012 09:37:14)

Pour protester contre la loi SOPA, Google, Amazon et Facebook envisage un blackout

Selon différents médias en ligne, Google, Amazon et Facebook se seraient alliés dans leur lutte contre le projet de loi baptisée SOPA (Stop Online Piracy Act). Ils envisageraient ainsi, en signe de protestation contre cette loi controversée, de fermer leurs sites web l'espace d'une journée, dans le but d'attirer l'attention des utilisateurs sur les problèmes liés à cette loi loin de faire l'unanimité. Aucune date n'a encore été fixée pour ce «blackout», néanmoins des rumeurs circulent autour du 23 janvier.

En effet, le 24 janvier, le Sénat américain doit se réunir pour discuter de cette loi, qui a pour objet de renforcer les droits des détenteurs de copyright, mais qui va si loin qu'il deviendrait possible de faire fermer n'importe quel site dans de très brefs délais. Ce projet de loi a donc déclenché une vague de protestations, de nombreux utilisateurs d'internet craignant pour la liberté du web.

En décembre déjà, Wikipedia avait communiqué son intention de se mettre brièvement hors-circuit en signe de protestation, mais n'a pas non plus indiqué de date précise.

ICTJournal.ch

(...)

(10/01/2012 10:46:56)

Numericable dévoile sa première Box

Si La Box by Numericable se veut en théorie surpuissante (jusqu'à 200Mb/s de débit), elle n'apporte pas pour autant de nouveautés, comparée à celles de ses concurrents. L'offre intégrale « Power + Cinéma » sera proposée à partir de 59,90€ par mois au public à partir du lundi 16 janvier.

Sur le papier, la Box by Numericable affiche un débit de 200Mb/s, une connexion WiFi de 300Mb/s, quatre tuners TV, deux lignes téléphoniques (avec communications fixes et mobiles illimitées), un disque dur extractible de 40 Go à 500 Go et un lecteur Blu-ray (en option). Numericable propose en outre une télécommande unique en son genre car bi-face, avec un côté numérique et un autre doté d'un clavier complet AZERTY.

Des services multimédias


Au niveau des services proposés, La Box by Numericable se présente comme une offre de TV connectée, avec la possibilité de surfer sur Facebook sur son téléviseur, son système de recommandation de programme intelligent, son comparateur de prix VoD ou encore la possibilité de visualiser deux programmes différents à l'écran (tout en en enregistrant deux autres simultanément).

L'abonnement intégral triple play incluant plus de 300 chaînes thématiques est proposé à 59,90€ par mois. Il inclut l'option multi-écrans, permettant de suivre ses programmes télévisés sur des plateformes mobiles (ordinateurs, iPhone et prochainement iPad et terminaux Android).

Numericable a avancé la présentation de cette box, prévue à l'origine le mardi 10 janvier, pour prendre de vitesse Free, qui doit annoncer sa très attendue première offre mobile ce même jour.

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(10/01/2012 10:15:28)

Les pages des marques et personnalités de Facebook attirent les fans

Selon une étude de l'Institut Harris Interactive, 65% des inscrits français au réseau social Facebook seraient des fans actifs d'au moins une fanpage d'une marque ou d'une personne publique. Cela représente 16 millions de consommateurs. En tout, 80% sont des adhérents français de Facebook sont fans d'au moins une page mais seulement 65% sont qualifiés d'actifs, c'est à dire qu'ils suivent effectivement le fil d'actualité de cette page. Plus de 80% des fans actifs sont des utilisateurs quotidiens du réseau social.

Ces chiffres suffisent à justifier l'attention des DSI pour suivre le comportement des fans des marques de leurs entreprises au travers d'outils décisionnels.

La « fan-attitude » concerne surtout les jeunes utilisateurs : trois sur cinq ont moins de 35 ans, même si toutes les tranches d'âges sont représentées. Les autres critères démographiques (sexe...) renvoient à la composition de la population des internautes.

Cependant, ce ne sont pas les marques de grande consommation qui ont le plus de fans. La majorité des fans le sont de personnages publics, notamment dans la tranche 15-24 ans : chanteurs, acteurs, comédiens, sportifs...

Les pages de marques et de produits n'arrivent qu'en quatrième position, avec seulement 29% des fans de pages, derrière les personnages publics (47%), les médias (40%) et les organismes et associations (35%). Au sein de ces pages, tout ce qui est « mode » ou « branché » attire particulièrement les fans : habillement (54% des fans de marques) et technologies et télécommunication (37%). Hygiène-beauté et alimentation sont bien derrière, même si certaines marques ont de beaux succès à revendiquer : Oasis (2 millions de fans français), M&M's (1,2 million), Kiabi (1 million), La Redoute (700 000), etc. Le public des pages de marques est féminin (57%) et jeune (47% dans les 15-24 ans).

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(09/01/2012 10:28:04)

Radio France ouvre sa boite à podcasts aux émissions musicales

Confrontée jusqu'ici au droit d'auteur, la mise à disposition d'émissions radiophoniques musicales est en passe de se libéraliser. Radio France vient de s'accorder avec la Société civile des producteurs phonographiques (SCPP) pour proposer les émissions musicales du groupe public en réécoute ou en téléchargement sur internet.

Courant sur trois ans, cet accord, le premier du genre dans l'Hexagone, permettra à Radio France d'ajouter ses émissions musicales à son offre de podcasts. Les émissions déjà diffusées sur les différentes antennes du groupe, de FIP au Mouv' en passant par France Culture, pourront être mises en ligne de manière illimitée. Le téléchargement sera limité, lui, à un an.

Les difficultés à aligner le droit d'auteur sur l'écoute différée et mobile des émissions musicales radiophonique limitait jusqu'ici, à de rares exceptions,  les podcasts aux émissions dites de "talk". Plus d'informations sur les podcats proposés par Radio France : www.radiofrance.fr/boite-a-outils/podcast

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(06/01/2012 10:42:01)

CES 2012 : Google relance sa TV connectée

La dernière mise à jour du service de TV connectée de Google sera en démonstration au CES 2012 de Las Vegas (du 10 au 13 janvier) sur les stands des constructeurs LG, Samsung et Sony, selon un communiqué publié le jeudi 5 janvier par Michael Kim, le responsable des partenariats pour Google TV.

Google TV a subi de nombreuses modifications, intégré de nouvelles applications (plus de 150 entièrement dédiées disponibles). Toutes ces nouveautés seront présentées en exclusivité au CES de Las Vegas sur les stands de leurs partenaires, à commencer par LG, Samsung et Sony, mais aussi Marvell, MediaTek et Vizio.

Dans son communiqué, Michael Kim explique que Google TV continuera à servir de passerelle entre les services web et les programmes télévisés et s'invitera dans de nouvelles contrées dès cette année. Le service est toujours très attendu en Europe.

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(05/01/2012 15:45:57)

Le piratage devient une religion en Suède

Depuis 2010, le groupe Suédois pro-piratage nommé Kopimi tente de se faire reconnaître officiellement en tant que religion. Après plusieurs tentatives répétées et vaines, l'Eglise missionnaire du Kopimism est maintenant officiellement enregistrée en tant qu'organisation religieuse en Suède. Les adeptes du Kopimism (un dérivé suédois de « copy me ») militent pour que la copie soit un sacrement, les touches CTRL + C et CTRL + V sont leurs symboles et leur credo est « l'information est sacrée ». L'église a été fondée par Gerson Isak, un étudiant en philosophie  et revendique 3000 membres. Avec cette reconnaissance, les kopimistes espèrent échapper aux poursuites judiciaires en cas de partage et d'échanges de fichiers.

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