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(12/08/2010 12:36:04)

Wimax 2, standard officiel en novembre ?

Tandis que le LTE (3GPP) fera ses grands débuts chez les fournisseurs en 2011 aux Etats-Unis, le Forum Wimax espère pouvoir mettre en place le standard Wimax 2 début 2012. Connu officiellement sous l'appellation 802.16m, le standard pourrait être finalisé par l'IEEE pour le mois de novembre si l'on en croit Declan Byrne, directeur marketing du Forum. Il espère par ailleurs qu'en conséquence, des appareils utilisant cette technologie pourront être construits dès 2011, et que les FAI déploieront le standard pour 2012 sur le territoire américain.

Concurrence et très haut débit

Le Wimax 2 sera bien plus rapide que son aîné souligne le vice-président du Forum, Mohammad Shakouri, qui déclare vouloir atteindre un débit moyen de 100 Mbit/s. Par comparaison, l'offre WimaxX Xohm de Sprint, lancée en 2008, délivrait des débits compris entre 3,7 et 5 Mbit/s. Par contre, il ne faudra pas espérer un élargissement de la zone de couverture, qui restera la même que le standard précédent, à savoir environ 80 km² par point d'accès. Au niveau de la compatibilité, le standard Wimax premier du nom, aussi appelé 802.16e, sera supporté par son successeur afin de faciliter la transition pour les fournisseurs d'accès. L'un d'entre eux, Clearwire, qui est le principal FAI à utiliser un réseau sans fil basé sur le standard Wimax, a pourtant annoncé vouloir passer prochainement au LTE, soit comme alternative ou complément de son offre actuelle. « D'une certaine façon, cela pourrait être positif à la fois pour LTE et Wimax puisque cela désamorcerait la rivalité qu'ont créé certaines personnes concernant les deux technologies », déclare Declan Byrne sur le sujet. Ces deux standards arriveront sur le marché à un moment où, selon Cisco, le trafic Internet mobile devrait doubler chaque année jusqu'en 2013, notamment via la vidéo qui consommera beaucoup de la bande passante.

Crédit Photo : Wimax Forum

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(11/08/2010 15:16:43)

Skype veut entrer en bourse

Skype a déposé à la Securities and Exchange Commission un dossier d'introduction en Bourse sur le marché new-yorkais, le Nasdaq. Le prix et le nombre d'actions qui découleront d'une telle proposition ne sont pas encore connus pour l'heure, mais l'entreprise espère de cette façon récupérer 100 millions de dollars environ. Cela peut sembler modeste, mais en dépit de sa notoriété, le chiffre d'affaire de la société sur les six premiers mois de l'année n'est estimé qu'à 400 millions de dollars.

Skype sort d'ailleurs à peine d'une période difficile après avoir été vendu par eBay à un groupe d'investisseurs et subi des troubles judiciaires coûteux entre ses fondateurs (Niklas Zennstrom et Janus Friis) et ses propriétaires. Ebay avait déjà songé à une introduction en Bourse avant de finalement renoncer à sa participation dans la société, la VoIP ne s'étant pas révélée aussi rentable qu'escompté.


Crédit Photo : © Copyright 2006, The Nasdaq Stock Market, Inc. (...)

(11/08/2010 11:34:58)

Google pourrait s'offrir un spécialiste de la monnaie virtuelle

Si l'on en croit TechCrunch, Google serait en passe d'acheter Jambool, société créant de la monnaie virtuelle et le système de paiement associé. La firme de Mountain View espère ainsi continuer à glâner tous les éléments constitutifs d'un réseau social capable de rivaliser avec Facebook, à l'instar de ses partenariats avec les éditeurs de jeux comme Zynga, Playfish et autres. Les rumeurs sont ici basées sur diverses sources du site TechCrunch, et n'ont toujours pas été confirmées par l'une ou l'autre des sociétés impliquées. Ces mêmes sources affirment par ailleurs que la transaction aurait coûté entre 70 et 75 millions de dollars à Google.

Plus avantageux que les Facebook Credits pour les développeurs

Jambool est l'éditeur de la plateforme d'achat de monnaie virtuelle Social Gold, qui offre la possibilité aux développeurs d'applications de mettre en place de véritables économies virtuelles au paiement sécurisé à l'entrée. Social Gold est tarifé à la transaction, retenant entre 7 et 10% des sommes gagnées par les développeurs par cet intermédiaire. On peut remarquer quelques similarités avec les Facebook Credits récemment lancés, la principale différence résidant dans le pourcentage retenu par la plateforme, qui dans le cas de Facebook s'élève à 30% de la transaction. Vikas Gupta, directeur de Jambool a d'ailleurs publié une entrée sur son blog, s'intitulant « The Case Against Facebook Credits » pour critiquer le système.

Si les rumeurs s'avéraient fondées, il s'agirait là de la 18ème acquisition de Google pour 2010, dont plus récemment Slide, éditeur d'applications à destination des réseaux sociaux, pour un montant compris entre 180 et 230 millions de dollars. Ces dernières acquisitions sont donc toutes dans la même lignée de perfectionnement de Google Me, le futur réseau social du géant d'Internet.

Crédit Photo : Jambool

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(09/08/2010 16:46:40)

Google rachète Slide, créateur de mondes virtuels

Avec l'acquisition de la société Slide, spécialisée dans le développement de communautés virtuelles, Google va pouvoir ajouter d'autres fonctions de réseau social à ses services, a expliqué en fin de semaine dernière David Glazer, directeur du développement chez Google, sur un billet de blog. Il souligne au passage que Gmail, Docs, Blogger, Picasa et YouTube proposent déjà de solides outils dans ce domaine.

Slide développe des applications utilisées sur des réseaux tels que Facebook et MySpace. Son PDG fondateur, Max Levchin, fut aussi le co-fondateur de PayPal en 1998, une société qu'il porta en Bourse en 2002 et revendit à eBay dans la foulée pour 1,5 milliard de dollars. Le jeune dirigeant n'avait alors que 26 ans. Sur son site web, Slide explique « créer des mondes virtuels où les utilisateurs peuvent s'amuser et même gagner de l'argent ». La société cherche à construire des communautés où l'on pourrait créer et distribuer des biens virtuels.

Un rachat évalué entre 180 et 230 millions de dollars

Google n'a pas communiqué le montant de la transaction. TechCrunch, qui fut le premier à signaler le rachat, l'évalue à 182 millions de dollars. Le New York Times, de son côté, l'estime à 228 millions de dollars.

Parmi les rumeurs soulignant l'intérêt de Google pour les réseaux sociaux, il a été évoqué une prise de participation dans la société Zynga, la société qui développe Farmville, jeu populaire sur Facebook. Il a également été dit que le géant du Web discutait avec des acteurs du jeu pour construire une plateforme sur ce terrain. Pourtant quelques-unes de ses précédentes tentatives dans ce domaine ont échoué, notamment Google Buzz, qui permettait aux utilisateurs de Gmail de partager statuts, photos ou vidéos. Ce service a déclenché un tohu-bohu à sa sortie lorsqu'on s'est aperçu que les listes de « followers », générées automatiquement sur la base des destinataires des courriels envoyés, étaient publiquement partagées avec les autres utilisateurs. Google a par la suite modifié sa politique de protection des informations privées.

Son service Orkut a connu un certain succès dans plusieurs régions, notamment au Brésil, mais il n'a pas rencontré l'engouement suscité par MySpace et Facebook.

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(06/08/2010 15:55:39)

Les réseaux sociaux touchent 20,3 millions d'internautes en France

Les sites communautaires tels que Facebook ou Twitter sont en plein boom en France. Selon le rapport de Médiamétrie, le nombre d'inscrits sur ce type de sites a augmenté de 4,2 millions de personnes en seulement un an. Ces sites plaisent surtout aux jeunes. Les moins de 24 ans représentent plus du tiers des inscrits (36,9%), alors que cette tranche d'âge représente à peine plus du quart des internautes en France (26,3%). Le nombre d'inscrits âgés de 11 à 15 ans a connu une progression de 63% au deuxième trimestre 2010. Ils représentent plus de 2,1 millions d'adeptes. Les 35-49 ans ne sont pas en reste ; leur chiffre s'élève à 5 millions d'inscrits, soit 28% de plus qu'il y a un an. Autre tendance, la féminisation des sites communautaires. Selon l'étude, les femmes sont 10 millions à les fréquenter, soit 49% du total, contre 46,5% en 2009.

Ces internautes se montrent très actifs sur ce genre de sites. 8 millions s'y connectent tous les jours, et 40% plus d'une fois par semaine. Par ailleurs, 4 millions y mettent à jour leur profil "très régulièrement". Les premiers motifs d'inscription aux sites communautaires avancés sont la volonté de rester en contact avec des amis (80%) et le fait de vouloir retrouver d'anciennes connaissances (76,2%).

Enfin, en matière d'influence, plus de la moitié de ces internautes (54,4%) disent lire l'avis d'autres internautes sur les sites communautaires pour préparer leur achat, et 21,6% le font même de manière systématique, soit plus que les internautes en général (19,1%).

L'Observatoire des Usages Internet de Médiamétrie est réalisé chaque mois auprès de 1.000 individus âgés de 11 ans et plus, interrogés par téléphone.

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(05/08/2010 11:53:34)

Google laisse tomber son service Wave

Un peu plus d'un an après avoir lancé sa plateforme de communication Wave, Google y met un terme. La société californienne l'a annoncé hier, mercredi 4 août. « Wave n'a pas été adopté par les utilisateurs comme nous aurions aimé qu'elle le soit », a expliqué dans un billet de blog Urs Hölzle, vice-président senior pour les opérations chez Google.

Le service sera maintenu jusqu'à la fin de l'année et la technologie sera reprise pour d'autres projets de Google, a ajouté Urs Hölzle. Quelques-unes de ses fonctionnalités sont déjà disponibles sous forme de composants Open Source et des outils seront proposés pour permettre aux utilisateurs pour récupérer facilement les contenus qu'ils ont placés dans Wave.

Peut-être un peu trop 'radical'

Il semble que le concept du service ait été un peu trop « radical » pour une adoption de masse, en dépit des tentatives de ses concepteurs pour l'expliquer au public. « Une application web pour communiquer et collaborer en temps réel, cela met la barre assez haut pour ce qu'il est possible de faire dans un navigateur web, admet Urs Hölzle. Nous n'étions pas vraiment sûrs de la façon dont les utilisateurs répondraient à ce mode de communication totalement différent »

La décision paraît avoir été prise assez rapidement. Pas plus tard que lundi dernier, la société avait publié des renseignements sur de prochaines discussions avec les développeurs de Wave à Washington DC et dans le Michigan. Malgré tout, lors de la conférence O'Reilly Open SOurce du mois dernier à Portland (Oregon), Dan Peterson, l'un des développeurs de Wave, avait reconnu, lors d'un atelier, que les premières versions du service étaient lentes et qu'elles avaient tendance à 'planter'. Les performances avaient par la suite été améliorées et le produit avait été stabilisé.

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(05/08/2010 10:52:22)

Très haut débit : le programme national est lancé

Considéré par François Fillon, le chef du gouvernement français, comme un «enjeu industriel majeur », le déploiement des réseaux à très haut débit bénéficie d'une enveloppe de 2 milliards d'euros dans le cadre du grand emprunt.  La phase de lancement opérationnel du programme national « très haut débit » a été engagé hier mercredi 4 août, conjointement par Michel Mercier, ministre de l'Espace rural et de l'aménagement du territoire, Christian Estrosi, ministre chargé de l'Industrie, Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique, et René Ricol, commissaire général à l'Investissement.

Dans un premier temps, un appel à projets pilotes va permettre de sélectionner cinq projets associant collectivités et fournisseurs d'accès à Internet. Ces projets pilotes plancheront sur le déploiement, à titre expérimental, de réseaux en dehors des zones très denses. Une subvention de 500.000 euros par projet est prévue par l'Etat. Les candidats ont jusqu'au 5 octobre 2010 pour remettre leur dossier. « Le retour d'expérience de ces expérimentations permettra de préparer le lancement du programme national « très haut débit » à l'échelon national », indique un communiqué.

Dans un second temps, un appel à manifestations d'intentions d'investissement invitera les opérateurs et collectivités locales à faire connaître, avant le 31 janvier 2011, leurs intentions d'investissement dans les réseaux à très haut débit. Il permettra d'établir la première cartographie prévisionnelle du très haut débit à l'horizon 2015. L'Etat pourra ainsi concentrer les futurs investissements publics sur les zones les moins rentables du territoire.

Le très haut débit peine toujours à décoller

A terme, l'objectif de ce programme est de couvrir 100% de la population en très haut débit à l'horizon 2025. Malgré l'arrivée des offres dans les grandes agglomérations, le très haut débit peine à décoller en France. Selon les derniers chiffres publiés par l'Arcep, le régulateur des télécoms, seuls 330.000 lignes Internet fixes bénéficiaient du très haut débit au premier trimestre 2010, sur un peu plus de 20 millions d'abonnements à Internet.

75.000 de ces abonnements très haut débit sont des abonnements en fibre optique jusqu'aux abonnés ou jusqu'aux immeubles (FFTH ou FFTB), tandis que 255.000 sont des accès en fibre avec terminaison en câble coaxial. Au 31 mars 2010, le nombre de logements se situant dans des immeubles éligibles aux offres très haut débit s'élevait à 860.000.

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