Flux RSS

Internet

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

5069 documents trouvés, affichage des résultats 1481 à 1490.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(04/05/2010 09:20:07)

L'ICANN ouvre des domaines en alphabet non latin

L'emprise des noms de domaines en langue latine a pris fin. Terminé, les adresses incluant les 26 lettres de l'alphabet de A à Z et qui étaient adressées principalement aux pays anglo-saxons. Certains territoires avaient quelques difficultés comme la Russie, avec l'alphabet Cyrillique, les pictogrammes en Chine ou l'écriture arabe. Des pays européens étaient également en proie à des problèmes d'accents comme l'Autriche ou l'Espagne.

Il existe plusieurs types de noms de domaine, les génériques .com, .org ou .net, les dédiés tels que .aero, .museum. et les géographiques se distinguant par un suffixe à 2 lettres .fr, .uk, etc.

Aujourd'hui, 4 extensions géographiques ont été acceptées avec la capacité d'écriture dans leur alphabet. Il s'agit de l'Egypte, la Russie, l'Arabie Saoudite et les Emirats Arabes Unis. Ils garderont néanmoins leur nom de domaine en alphabet latin. D'autres pays sont en attente de validation, comme la Chine, la Jordanie, le Sri Lanka et la Thaïlande.

Depuis quelques années, l'Icann travaille sur le renforcement du système des noms de domaines, pour internationaliser ces extensions. Mais cela pose quelques difficultés, dont la principale est que l'architecture des DNS a été élaborée sur des noms de domaines écrits en alphabet latin. Pour contourner cette problématique, les noms de domaines ainsi internationalisés se voient affecter des caractères latins commençant par xn--  suivis d'une séquence de code représentant la langue. Ainsi pour la Russie, le nom de domaine sera enregistré comme xn-p1ai, alors que pour l'Egypte, l'enregistrement se fera sur xn-wgbh1c. L'Icann laisse aux navigateurs le soin d'effectuer la traduction des noms de domaines dans l'alphabet idoine. L'association a réalisé une page test pour vérifier que les navigateurs supportent cette fonctionnalité.

(...)

(03/05/2010 15:48:54)

Google poursuit ses acquisitions à un rythme record avec le rachat de BumpTop

L'annonce de la transaction a été rendue publique par BumpTop dès vendredi. «Aujourd'hui, nous avons une communication importante à faire : nous avons été racheté par Google ! Cela signifie aussi que les versions Windows et Mac de BumpTop ne seront plus disponibles à la vente et qu'aucune mise à jour de ces produits n'est aujourd'hui prévue. » Plus tôt dans la semaine, Google avait acheté LabPixies, un créateur de widgets utilisés dans la page d'accueil personnalisable iGoogle. Selon certains, Google a dû débourser pas moins de 25 millions de dollars pour LabPixies qui développe aussi des applications de jeu comme Flood It! Pro.

Google essaye par ailleurs de boucler certaines de ses acquisitions 2009, en particulier son offre de rachat d'AdMob, un fournisseur de publicité aux opérateurs de téléphonie mobile, toujours examinée par la Federal Trade Commission (FTC) et qui pourrait poser des problèmes de concurrence. Compte tenu de la bonne santé financière de l'entreprise - Google vient de publier un Q1 2010 affichant des recettes en hausse de 23% par rapport à la même période en 2009 - il n'y a aucun doute que l'entreprise va poursuivre sa politique de rachats très active. Ses dirigeants ont d'ailleurs indiqué que l'entreprise envisageait de réaliser au moins un rachat par mois. Compte tenu du pactole de 26,5 milliards de dollars en cash, quasi-espèces et titres négociables à court terme (à compter de la fin mars) dont dispose Google, peu d'entreprises se trouvent hors de portée du géant de l'Internet.

Voici un aperçu des entreprises achetées par Google cette année, parmi les 60 acquisitions réalisées et rendues publiques :

- Aardvark : sa technologie de recherche spécialisée dans les réseaux sociaux permet d'obtenir des réponses à ses questions de la part des personnes les plus expertes du cercle social en ligne auquel l'utilisateur appartient. Google aurait déboursé 50 millions de dollars pour cette entreprise.

- reMail :  a développé une application pour iPhone qui permet de rechercher des comptes de messagerie Gmail et IMAP. Le fondateur de l'entreprise faisait parti de l'équipe Gmail de Google. Le voilà de retour au bercail.

 

Illustration Bureau BumpTop, crédits D.R.

 

[[page]]

- Picnik : vend une technologie de retouche d'image sur le Web, laquelle fonctionne avec d'autres outils de traitement de photos en ligne comme Picasa de Google.

- DocVerse : supporte le partage collaboratif de documents avec les fichiers Microsoft Office. Cet achat de 25 millions de dollars renforce le portefeuille de Google Docs, alors que l'entreprise fait monter d'un cran sa compétition avec Microsoft sur le marché de la gestion de documents en ligne.

- Episodic : un fournisseur de technologie de streaming video en direct Live qui devrait compléter l'offre de YouTube.

- Plink : une start-up anglaise dont les deux fondateurs se sont fait remarquer avec une application pour téléphone mobile capable d'identifier des oeuvres d'art et permettant aux utilisateurs d'en commander un tirage papier.

- Agnilux, une start-up discrète créée par d'anciens d'Apple et de PA Semi qui travaille sur le design des architectures des puces Arm

(...)

(29/04/2010 09:36:33)

Wikipédia propose une encyclopédie papier

Après les ordinateurs et les téléphones portables, Wikipédia est désormais accessible en livre papier. L'encyclopédie libre et collaborative propose un "Créateur de livres" qui permet à un utilisateur de sélectionner, au fil de sa navigation sur le site, ses articles favoris. Les passionnés d'Histoire qui préfèrent le papier à l'écran peuvent par exemple se constituer une petite encyclopédie Wikipédia sur différentes périodes historiques (l'Empire romain, le siècle des Lumières, la Seconde Guerre mondiale, etc.).

Une fois la sélection terminée, cet outil propose de commander les articles choisis sous la forme d'un ouvrage imprimé en format A5, relié et livré à domicile. L'impression nécessite deux à trois jours, et la livraison prend deux à dix jours supplémentaires. La commande du livre, qui s'effectue via le service PediaPress, le "Créateur de livres" propose à l'internaute de choisir un titre ainsi qu'un sous-titre à son ouvrage. Un aperçu montre la couverture et les premières pages du livre.

Le paiement s'effectue par carte bancaire ou compte PayPal. Plus le nombre de pages est important, et plus le tarif est intéressant : 8 euros pour 100 pages, 11 euros pour 200 pages, et jusqu'à 26 euros pour 700 pages. La Wikimedia Foundation, à l'origine du site Wikipédia, touche 10% du total brut sur chaque livre vendu.


(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >