Flux RSS

Internet

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

5069 documents trouvés, affichage des résultats 1491 à 1500.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(27/04/2010 13:28:04)

Microsoft toujours déficitaire sur sa division Online Services

Si Microsoft a publié la semaine dernière de bons résultats trimestriels grâce aux ventes de Windows 7, en revanche, ses activités de recherche et de publicité en ligne affichent toujours d'importantes pertes. Sa division Online Services (OSD) a bien augmenté son chiffre d'affaires de 12%, à 566 millions de dollars, à la faveur de revenus publicitaires en hausse de 19%. Mais cela n'aura pas suffi à couvrir les dépenses opérationnelles de ce troisième trimestre fiscal : les pertes se sont creusées de 73%, à 713 millions de dollars, alors qu'elles s'élevaient à 411 M$ un an plus tôt, entre janvier et mars 2009. Outre l'activité publicitaire et le moteur de recherche Bing, la division Online Services regroupe les différents sites web MSN.

Ce sont les opérations de transition entraînées par l'accord signé avec Yahoo qui ont surtout causées la hausse des dépenses opérationnelles sur le trimestre écoulé. La société de Carol Bartz gère maintenant certaines ventes d'espaces publicitaires pour Microsoft, tandis qu'elle utilise le moteur Bing pour ses propres sites web. L'autre source de dépenses provient du poste R&D qui a augmenté de 33% pendant le trimestre, à 77 M$, mais c'est également lié au rapprochement avec Yahoo. Enfin, les dépenses de promotion associées aux ventes et au marketing ont elles aussi grimpé, de 30%, à 69 M$.

Points positifs néanmoins, outre la hausse de 19% des revenus publicitaires, le moteur de recherche Bing a gagné quelques parts de marché aux Etats-Unis. Celles-ci se sont élevées à 11,7% pendant le mois de mars, selon Comscore. En France, où Google est très utilisé (plus de 90% de parts), elles n'atteignaient que 3,3% ce même mois (à comparer néanmoins aux 2,5% de septembre 2009).

(...)

(26/04/2010 12:01:15)

L'e-commerce ne progressera que de 9% en 2010

Depuis 2006, la progression du chiffres d'affaires des sites de e-commerce est de moins en moins dynamique, année après année, passant de +33% à +11% en 2009. La croissance du e-commerce sera en perte de vitesse cette année et devrait enregistrer +9%. Néanmoins, si le bilan ne ressemblera aucunemement aux années phares du secteur que sont 2003 (+53%) et 2004 (+44%), les sites Internet concernés réussiront à recruter davantage d'acheteurs. Finalement, leur chiffre d'affaires devrait s'établir à 16,9 milliards d'euros en 2010. "L'e-commerce profitera en revanche d'un meilleur contexte global sur ses deux marchés phares : le tourisme et la high-tech", analyse l'étude. Le secteur du tourisme pèse à lui seul 45,1% dans l'e-commerce, devant les rayons virtuels high-tech et électroménager (20,8%).

Le développement de l'accès à Internet sur les téléphones portables et la mise en place d'applications sur les smartphones ont ouvert la voie à une nouvelle façon de profiter du e-commerce. 12% des sites interrogés par cette enquête se sont ainsi mis à ce que l'on appelle le "m-commerce". 18% d'autres plateformes sondés comptent s'y mettre en 2010. Ce marché émergent ne représente pour le moment "qu'une part infime du total des ventes : moins de 1% du chiffre d'affaires Internet", précise l'étude.

Cette enquête a été réalisée auprès d'un panel de 51 sites de commerce électronique, dont Fnac.com, Dell, Pixmania, Air France, Accorhotels.com, ebookers, Voyages-sncf.com, vente-privee.com, Brandalley... (...)

(23/04/2010 18:06:58)

Conférence F8 : Une API pour mailler Facebook aux autres sites

Facebook a modifié sa plateforme de développement d'applications pour que le réseau social puisse mailler les informations de ses utilisateurs avec les données d'autres sites web afin accroître encore ses capacités de personnalisation et de valorisation. Ainsi, un internaute se rendant sur un site d'actualités ou de partage de titres musicaux pourra se voir proposer un contenu tenant compte des préférences qu'il aura indiqué sur Facebook ou sur d'autres sites inclus dans la boucle.

Ou encore, il pourra accéder à la liste de ses amis Facebook déjà enregistrés sur le site et, pourquoi pas, consulter les commentaires qu'ils y ont postés. De cette façon, un accueil personnalisé sera mis en place, au hasard des sites que l'on visite, a expliqué Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, à l'occasion de sa conférence développeurs F8 qui s'est tenue le 21 avril à San Francisco

C'est la nouvelle interface de programmation (API) Open Graph, remplaçant Facebook Connect, qui va permettre aux développeurs d'interfacer le réseau social et les activités des utilisateurs avec les autres sites web.

Illustration : Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook lors de la conférence F8 (Crédit photo : DR)

(...)

(23/04/2010 10:15:23)

Fibre : un cadre tarifaire qui inquiète les collectivités locales

L'association craint que le très haut débit ne soit deux fois plus cher en campagne, ou dans les zones moins denses, que dans les villes. En cause ? Les principes et les règles de tarification de l'Arcep pour la tarification du très haut débit sur fibre optique. L'Autorité vient en effet, de publier son projet, soumis à consultation, de tarification pour l'usage des infrastructures de génie civil de France Télécom, qui seront utilisées pour déployer les nouveaux réseaux de fibre optique. « Le régulateur propose que le coût soit proportionnel au volume, donc à la longueur occupée » estime l'Avicca.  « or il faut évidemment d'autant plus de longueur que l'habitat est moins dense » critique l'association.

Les règles qui avaient été retenues pour l'ADSL n'ont pas été reprises. « Un opérateur public national [NDLR : France Télécom] a construit les dizaines de millions de lignes téléphoniques que nous utilisons aujourd'hui pour l'ADSL. L'ensemble du coût est réparti, quelle que soit la longueur » reprend l'organisation de collectivités locales.

Un projet discriminant pour les campagnes

Or, pour l'association, demain, c'est le principe de concurrence par les infrastructures qui va être poussé au bout. « Les opérateurs privés vont couvrir la partie la plus rentable, et faire payer de faibles longueurs de déploiement de fibre optique, et de faibles loyers de fourreaux à leurs abonnés. Et pour le reste ? » questionne l'Avicca, soucieuse du sort des citoyens situés en zone faiblement urbanisée.

Yves Rome, président d'AVICCA et du Conseil Général de l'Oise rappelle qu'aujourd'hui, on ne paye pas une ligne de 10 kms au fond de la Corrèze dix fois plus cher qu'une ligne de 1 km à Neuilly. « Quel que soit l'opérateur qui utilise cette ligne, il verse le même prix à France Télécom, que ce soit pour l'abonnement téléphonique, ou pour fournir l'accès à internet, soit environ 9 € par mois et par ligne. »  D'où l'interrogation : veut-on une France à plusieurs vitesses ? En conclusion, l'association demande à l'ARCEP d'adopter pour commencer une tarification du génie civil à la ligne, indépendante de la longueur afin de couvrir les zones non denses, et plus généralement de tenir compte des objectifs d'aménagement du territoire dans la fixation du cadre de déploiement de la fibre optique. Le message sera-t-il reçu ? (...)

(23/04/2010 09:52:40)

Nerim, un opérateur résolument optimiste pour 2010

Dans l'après crise, il y a les optimistes, les modérément optimistes et, catégorie peu fournie, les très optimistes. Dans cette dernière se retrouve Nerim qui  a réalisé 10,5 millions d'euros (M€) de chiffre d'affaires en 2007, 12,5 en 2008, 15 en 2009 et ambitionne de bondir à 20 M€ cette année 2010. « Le résultat d'exploitation est lui-même toujours en progression » nous explique Xavier Grossetête, directeur commercial des ventes indirectes.

Au départ, la société s'est appuyée sur deux points : son propre coeur de réseau et la qualité de service. L'opérateur a également intégré de nouvelles activités :  le xDSL et  la fibre optique, l'hébergement (avec le rachat l'an passé de Sivit), la téléphonie, les architectures privées (pour concurrencer les offres MPLS des grands opérateurs), le centrex, la collecte de trafic. Il est probable que de nouveaux développements vont intervenir, comme la téléphonie mobile. 

Dans cette montée en puissance, les ventes en indirect jouent un rôle privilégié. Il y a dix huit mois, à l'arrivée de Xavier Grossetête, elles représentaient 25% des ventes et ne concernaient que les ventes d'accès internet. Aujourd'hui, elles sont devenues majoritaires, avec deux changements de fonds : la totalité du catalogue est passé en indirect et les partenaires sont dotés d'un programme.

Nerim passe par deux types de partenaires : les courtiers et les intégrateurs en marque blanche.  Parmi ces derniers, Nerim fait appel à plusieurs types de partenaires possibles : VARs, intégrateurs, SSII, revendeurs informatiques.  La société a également mis au point un programme partenaires, nommé : Avantage. Il repose sur la notion de guichet unique (chaque partenaire est affecté à un ingénieur commercial Nerim) et comprend un arsenal de services d'accompagnement  : le catalogue produit, les formations, le support technique, un guichet commercial dédié partenaires, une assistance back-up.

Nerim s'est également structuré en région avec un responsable partenaires Rhône-Alpes et Ile-de-France, un pour la Bretagne, le Nord et l'Est, Xavier Grossetête supervisant lui-même le grand Sud Ouest. La direction des ventes indirectes comprend également un formateur à plein temps et une responsable avant-vente. Nerim compte actuellement 350 partenaires actifs et veut passer à 400. Le Tour de France qui aura lieu en mai juin et à l'automne doit permettre de les rencontrer tous et de recruter. (...)

(23/04/2010 09:46:37)

Alcatel-Lucent teste le 300 Mbit/s sur le xDSL

Selon Stefaan Vanhastel, directeur marketing chez Alcatel-Lucent Wireline Network, les chercheurs des Bell Labs ont présenté une technologie permettant de transférer des données à 300 Mbit/s sur une distance de 400 mètres en utilisant la technologie VDSL2 (Very high bitrate Digital Subscriber Line). Le responsable précise que selon le test, le débit peut même atteindre 100 Mbit/s sur 1000 mètres.

En soi, le VDSL2 plafonne à 100 Mbit/s sur une distance de 400 mètres. Donc pour obtenir un débit trois fois plus important, l'équipementier associe un certain nombre de technologies différentes. Il a ainsi recours à une première astuce, à savoir utiliser deux paires de cuivre simultanément. Une autre possibilité consiste à utiliser ce qu'il appelle le « mode fantôme ». Cette technologie s'emploie à créer virtuellement une troisième paire de cuivre qui envoie des données sur la combinaison des deux lignes physiques. Malgré tout un problème se pose. Lorsque l'on utilise ces deux technologies, on s'expose à beaucoup de diaphonie,  une forme de bruit qui dégrade la qualité du signal et réduit la bande passante. Donc au lieu d'avoir 300 Mbit/s, on n'a plus que 200 Mbit/s.

Pour résoudre ce problème, Alcatel-Lucent utilise la vectorisation, un procédé technique qui s'apparente aux casques anti-bruit. Ce système analyse en continu les conditions de bruit sur les lignes de cuivre et envoie ensuite un nouveau signal pour supprimer ce bruit. Stefaan Vanhastel annonce que « c'est une technologie vraiment complexe qui nécessite le traitement de Go de données sur le signal uniquement pour calculer les modèles de perturbation. »

[[page]]

A long terme, placer de la fibre-optique jusqu'aux foyers est la meilleure solution pour avoir une bande passante élevée. Et selon le dirigeant, dans 15 ou 20 ans, tous les foyers en seront équipés. Mais en attendant, les opérateurs doivent être capable d'optimiser les réseaux de cuivre existants.

Une technologie en voie de normalisation

Une étude marketing du cabinet Point Topic dévoile qu'actuellement, le cuivre est le moyen le plus répandu pour délivrer du haut-débit. Environ 65% des abonnés ont une connexion haut-débit basée sur le DSL (Digital Susbscriber Line), alors que 20% sont câblés et 12% bénéficient de la fibre optique.D'après cette étude, aujourd'hui, la vitesse moyenne de l'ADSL pour les ménages varie de 9,2 Mbit/s en Europe de l'Ouest et en Asie-Pacifique à 1,9 Mbit/s en Asie du Sud-Est.

Le recours à la vectorisation sur VDSL2 est actuellement en cours de normalisation par l'Union Internationale des Télécommunications. La dernière révision de la normalisation s'achève aujourd'hui et s'il n'y a pas d'autres commentaires, Alcatel-Lucent précise qu'elle sera ratifiée à la fin du mois d'avril. Pour Ericsson, qui travaille aussi sur des produits qui utiliseront la vectorisation, tout sera finalisé au plus tard au mois de juillet. Les deux sociétés pensent débuter cette année les essais sur le terrain de la vectorisation pour commercialiser cette technologie dès 2011.

Des débits qui dépassent les 300 Mbit/s peuvent être atteints en utilisant plus d'une paire de lignes de cuivre. Néanmoins, Alcatel-Lucent opte pour deux paires de cuivre car ce sera selon eux le scénario le plus réaliste au moment où cette technologie sera déployée dans les foyers. Stefaan Vanhastel estime que l'on pourrait utiliser six paires, mais ce serait fait uniquement pour raccorder les entreprises et peut-être pour un usage dans les réseaux de collecte des réseaux télécoms mobiles. Il ajoute : « nous aurions pu annoncer 1 Gbit/s ou 2 Gbit/s, mais nous avons volontairement choisi de ne pas le faire car ce n'est pas un scénario réaliste ». (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >