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(25/02/2010 16:40:40)
Une proposition de loi pour mieux protéger les données personnelles
Une proposition de loi « visant à mieux garantir le droit à la vie privée à l'heure du numérique » vient d'être enregistrée par la commission du Sénat des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du règlement et d'administration générale, où siège Alex Türk, le président de la CNIL. Cette proposition n'est qu'un avant-projet dont aucune date d'application ne peut être fixée pour l'heure. Il n'est même pas certain qu'elle aboutisse, sans oublier les multiples amendements qui vont survenir au cours du travail parlementaire. Cependant, ce qu'elle apporte pourrait modifier sensiblement la loi « Informatique et Libertés ». La première mesure prévue complète le Code de l'Education en imposant aux écoles un devoir de sensibilisation des enfants et adolescents à leurs droits et aux bonnes pratiques en matière de préservation de leurs données personnelles et de leur vie privée. Vérifier la présence de fichiers illégaux La proposition de loi prévoit également une obligation pour les entreprises et administrations de disposer d'un Correspondant Informatique et Libertés dès lors qu'elle met en oeuvre un traitement de données sensibles soumis à autorisation de la CNIL (et non pas seulement à déclaration). Elle limite les finalités des fichiers de police et de sécurité nationale. La CNIL verrait ses pouvoirs renforcés, notamment avec l'apparition d'une procédure très proche de la perquisition dans sa forme pour vérifier la présence de fichiers illégaux dans des locaux professionnels, avec création un délit d'entrave à cette « perquisition ». Elle pourrait être amenée à apporter un témoignage ou une expertise au cours de procédures judiciaires. Les acteurs du marketing direct sont visés par une disposition pas très contraignante pour les acteurs honnêtes : l'obligation de prévenir tout inscrit dans leurs bases en cas de cession à des tiers (les fameux « partenaires ») en laissant un droit d'opposition gratuite pour les personnes concernées. Enfin, les sanctions frappant les contrevenants à la loi « Informatique et Libertés » seraient doublées. (...)
(25/02/2010 11:51:08)Fibre optique : le FTTH Council Europe salue les efforts de la France
Le FTTH Council Europe, conseil industriel assurant la promotion et le déploiement des réseaux à fibre optique, a indiqué que la France intègre le classement des pays européens les plus connectés en fibre. En valeur absolue, la France occupe le deuxième rang européen avec 308.000 foyers (sur 25 millions) ayant accès à Internet par fibre optique à domicile. « Nous avons le plaisir d'accueillir la France parmi les économies les plus avancées en matière d'accès à la fibre », a déclaré Karel Helsen, président du FTTH Council Europe. "Bien que le taux de pénétration de la fibre optique dans l'hexagone ne dépasse que légèrement le seuil requis de 1 %, l'entrée dans le classement d'une nation si vaste, après l'Italie en 2006, est d'une importance considérable à l'échelle européenne. Elle souligne une véritable accélération du déploiement de la fibre. » En matière de pénétration (taux d'abonnés à la fibre par rapport au nombre total de foyers), la France se classe en 12ème position du classement, dominé par les pays baltes et scandinaves (Lituanie, Suède, Norvège, Estonie, Danemark, etc.). Une accélération des déploiements Selon l'organisme, le nombre total d'abonnés en France à la fibre optique a connu une augmentation de 71% l'année dernière, passant de 180.550 foyers connectés en décembre 2008 à 308.200 en décembre 2009, dont 220.000 abonnés chez Numericable. De plus, le nombre de foyers éligibles à la fibre est passé de 4,5 millions à 5,7 millions sur la même période. Le FTTH Council Europe estime que le nombre d'abonnés français à la fibre optique devrait continuer de croître rapidement dans les prochaines années, du fait notamment du programme d'Orange sur 2010-2015 (2 milliards d'euros) et du gouvernement qui prévoit d'investir pour permettre aux zones moins denses de bénéficier de l'Internet très haut débit. Le régulateur a par ailleurs annoncé en début de semaine la publication des offres de référence des opérateurs sur la mutualisation de la fibre au sein des immeubles. (...)
(24/02/2010 12:44:39)La Commission européenne examine des plaintes contre Google
Foundem.co.uk, un comparateur de prix sur internet basé au Royaume-Uni, ejustice.fr, site français spécialisé dans le droit et de Ciao.de, un moteur de recherche allemand, récemment acquis par Microsoft, voilà le trio dévoilé par Google et qui ont déposés plainte pour abus de position dominante auprès de la Commission européenne. Comme à son habitude dans ce genre de cas, l'institution européenne, qui a confirmé sa saisine, va commencer par examiner les trois plaintes en questions et déterminera ensuite s'il y a matière à poursuivre l'enquête ou non. Piloté par Microsoft ? Révélée hier par le Wall Street journal, le moteur de recherche s'est empressé de réagir sur l'affaire via son blog officiel :« En attendant de recevoir de plus amples informations, nous pouvons déjà affirmer que nos opérations commerciales se font toujours dans l'intérêt de nos utilisateurs et de nos partenaires, elles sont toujours conformes aux lois européennes » et d'ajouter « Nous avons toujours eu de bonnes relations avec Ciao.de qui a longtemps été le partenaire de Google. Les plaintes ont commencés en 2008, lorsque Ciao s'est allié avec Bing, le moteur de recherche de Microsoft ». Le site eFoundem, quant à lui fait partie, de l'organisation ICOMP « qui a notamment été fondée par Microsoft » précise le post. Face à ces sous-entendus, la firme de Redmond n'a souhaité faire aucun commentaire. (...)
(24/02/2010 15:07:10)Yahoo labs : l'utilisateur au centre de la recherche
« Bing et Yahoo search sont toujours concurrents » affirme Yoelle Maarek, directrice de recherche de Yahoo Labs en Israël. « C'est comme aux jeux olympiques, poursuit-elle. On court les uns contre les autres et on se remet en question mais c'est toujours pour le bien de l'utilisateur ». Ainsi, si l'accord entre le portail et la firme de Redmond offre bien la gestion de la régie publicitaire au premier, et la gestion des serveurs, climatiseurs et autres matériels au second, les deux moteurs de recherches ne seront en aucun cas fusionnés. Loin derrière Google en part de marché, ils vont s'entraider et se concurrencer pour devenir plus compétitifs. Améliorer l'expérience utilisateur «Depuis plusieurs années, l'évolution des moteurs de recherche patine. Il faut désormais jouer sur l'expérience utilisateur » affirme la chercheuse en soulignant, que pour rendre un moteur de recherche plus attractif, il faut simplifier sa façon de donner des résultats. Yahoo, après avoir intégré la « recherche rapide » qui proposait des mots « types » de recherches pour anticiper les requêtes utilisateur, se tourne maintenant vers ce qu'on appelle les « liens modules », qui offrent la possibilité aux sites, bloggeurs ou entreprises, d'agrémenter leurs liens des pages de recherche par des images et des liens précis, pour interpeller l'utilisateur. La directrice ajoute qu'en plus de sa volonté de simplicité, c'est le comportement entier de l'utilisateur qui a changé. «Le but aujourd'hui n'est plus de chercher mais de trouver directement» précise-t-elle. Ainsi découvre-t-on le prochain objectif de Yahoo : le « Woaw effect » (effet de surprise). Il consiste, pour les développeurs, à afficher un patchwork de pages internet, directement depuis le moteur de recherche. « Un moyen d'afficher directement une réponse plutôt qu'un lien vers celle-ci » S'adapter à l'utilisateur mais respecter sa vie privée Aujourd'hui, Yahoo affirme utiliser l'historique des utilisateurs pendant 90 jours à peine, contre 9 mois pour Google et 6 mois pour Bing. Yoelle Maarek a en effet expliqué qu'il était tentant, pour les moteurs de recherche, d'utiliser des donnés privées d'utilisateurs afin de leur proposer des liens ciblés et sponsorisés. « Cela m'exaspèrerait au plus haut point » confie-t-elle. Le portail Yahoo qui souhaite éviter ce genre d'abus prévoit donc à l'avenir, de faire coïncider les recherches d'un utilisateur avec le contexte dans lequel il se trouve. « Si un utilisateur lit les pages Sport du portail Yahoo et qu'il tape une requête dans la barre de recherche, notre moteur orientera les réponses sportives en premier lieu ». Une manière de cibler l'intention et non pas l'individu lui-même. (...)
(23/02/2010 16:11:40)Fibre optique : mutualisation contractualisée, déploiement officialisé
Il y a encore quelques mois, les opérateurs menaient bataille sur la mutualisation des réseaux de fibres optiques au sein des immeubles. Certains comme Free militaient pour la pose de plusieurs fibres et la location du surplus aux autres opérateurs. Orange, lui, souhaitait le déploiement d'une seule fibre et louer la capacité de cette fibre. L'ARCEP s'est prononcé en faveur de l'opérateur alternatif en soulignant que la méthode de déploiement assurait une plus grande concurrence. Après ces tergiversations, le régulateur français des télécoms s'est félicité lundi de la publication par les opérateurs de leurs offres d'accès à leurs réseaux de fibre optique. Pour le gendarme des télécoms, « la publication de ces offres rend effectif le démarrage par les opérateurs du déploiement mutualisé de la fibre optique jusqu'aux logements. » Les opérateurs (France Télécom, SFR, Numéricable et Free) vont ainsi pouvoir discuter entre eux du déploiement de réseaux mutualisés dans les zones très denses. L'Autorité publie à cette occasion un guide sur la fibre optique dans les immeubles à destination des bailleurs, syndics, copropriétaires et locataires. Ce document, téléchargeable sur Internet, a vocation à répondre aux questions relatives à la fibre optique, son cadre réglementaire et la manière dont va se dérouler l'équipement des immeubles. (...)
(22/02/2010 17:51:18)L'Icann pointe les inexactitudes de Whois
Plus des trois quarts des noms de domaine Internet enregistrés sont incomplets, invalides ou identifiés sous un faux nom. En outre, il s'avère impossible de retrouver 22% des propriétaires de sites Web. C'est ce que montre une enquête réalisée par l'Université de Chicago à la demande de l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), régulateur d'Internet, pour vérifier la précision des résultats du service Whois (prononcer 'Who is ?), utilisé pour tracer les noms de domaine et s'assurer de leur disponibilité. Ce rapport détaille un certain nombre de problèmes rencontrés par les organisations chargées de gérer les noms de domaine d'un TLD ou des adresses IP pour une région définie (les registries).
L'enquête révèle ainsi que seuls 23 % des noms et adresses sont tout à fait précis, c'est à dire qu'ils satisfont aux critères déterminés par l'organisation de gestion des noms de domaine. 8 % ne fournissent pas d'informations détaillées ou portent un nom manifestement faux, et 14 % sont tout simplement injoignables. Selon Doug Brent, DG de l'Icann, cette étude est la première tentative sérieuse de vérifier la précision du service Whois. « L'enregistrement de noms de domaine se situe au niveau mondial. Déterminer sa précision représente plus qu'une simple évaluation de la validité d'un nom et d'une adresse. L'enquête a vérifié le lien existant entre le déclarant et le nom/adresse qui l'identifie. En d'autres termes, elle a montré qu'il était possible de posséder un nom et une adresse parfaitement valides, sans pour autant avoir la certitude qu'ils correspondaient bien au nom de domaine du déclarant. »
Problèmes connus, mais réponses difficiles
Le régulateur d'Internet, qui a déjà fait état de sa préoccupation quant à la précision du service Whois, s'est employé à informer régulièrement les bureaux d'enregistrement des noms de domaine (registrars) de certaines inexactitudes. Il a d'ailleurs augmenté le nombre de ses ressources dans ce domaine. Mais Doug Brent a indiqué qu'en l'état actuel, l'Icann ne pouvait pas aller plus loin. « Toute solution en vue d'améliorer la précision du Whois est étroitement liée aux pouvoirs de l'Icann qui, aujourd'hui, ne peut faire autre chose que d'enquêter sur les plaintes déposées pour ces inexactitudes », a-t-il ainsi admis. « Trouver des réponses à ce problème apparemment simple est, depuis des années, un défi pour la communauté Icann.
Parallèlement aussi, des solutions sont envisagées par les défenseurs de la propriété intellectuelle, les législateurs, les experts de la confidentialité de la vie privée et par ceux qui utilisent des alphabets non latin, souvent avec des objectifs différents ». Mais les choses pourraient bientôt changer. En effet, Doug Brent pense que la publication de l'étude va susciter plus de débats sur ce sujet. Il a également souligné que les engagements de l'Icann aux côtés du Département américain du Commerce, comprenaient un renforcement de la politique relative au service Whois, et a indiqué qu'il considérait l'examen périodique des progrès accomplis dans ce domaine comme un élément essentiel. (...)
Pour une bonne intégration des réseaux sociaux en entreprises.
La notion de réseau social appartient à la sociologie et est loin d'être neuve. Elle a été introduite par l'anthropologue John A. Barnes en 1954. Cependant, c'est sa traduction sous la forme de plates-formes sur Internet qui lui donne toute sa signification actuelle. Aujourd'hui, plus aucune entreprise, même de petite taille (à l'exception peut-être des boutiques de quartier), ne peut plus se permettre de ne pas avoir de site web, au minimum une vitrine de présentation et de contact. Le développement des réseaux sociaux interdit de la même façon aux entreprises de les ignorer : leurs clients, leurs partenaires, leurs salariés voire leurs concurrents y sont déjà.Y être, soit. Mais pour faire quoi, avec quels moyens, quels profits et quelles stratégies ? L'objectif du dernier ouvrage de Christine Balagué et David Fayon, Facebook, Twitter et les autres... Intégrer les réseaux sociaux dans une stratégie d'entreprise, est précisément de répondre à cette question. Pour commencer, les auteurs s'attachent à préciser ce qu'est un réseau social, à quoi les individus utilisent les différents types, pourquoi et avec quelles conséquences. Une fois ce contexte indispensable posé, les auteurs s'attachent à tous les usages possibles des réseaux sociaux en ligne pour les entreprises : communication pure, publicité en ligne classique, échanges avec des prospects ou des clients, recrutement de salariés ou de partenaires... Sans oublier les risques, limites et, bien entendu, manières de mesurer l'efficacité de la stratégie mise en oeuvre. Les outils périphériques comme les agrégateurs sont également étudiés. Enfin, l'ouvrage se projette sur les enjeux de demain, à commencer par la question de la pérennité économique des réseaux sociaux en ligne. Sur le fond, le seul sujet qui manque, finalement, c'est l'usage interne aux organisations des réseaux sociaux avec les enjeux de management et les risques liés aux indiscrétions voire aux félonies des salariés ou ex-employés. L'ouvrage est loin d'être un exposé théorique. Il alterne analyses, interviews d'acteurs du domaine, anecdotes, schémas et exemples. Il en est très agréable à lire. (...)
(19/02/2010 15:25:33)Yahoo et Microsoft, union bénie par l'Europe et les Etats-Unis
Les différentes autorités de la concurrence américaines et européennes n'ont pas émis de restriction à cette union. Pour la Commission, « les activités de recherche en ligne et des annonces liées à ces recherches de Microsoft et de Yahoo sont très limitées et leurs parts de marché cumulées demeurent généralement inférieures à 10 %. À l'inverse, Google détient généralement des parts de marché supérieures à 90 % ». L'accord peut donc stimuler la concurrence dans ce domaine d'activité et bénéficier à l'ensemble des acteurs (annonceurs, éditeurs, fournisseurs de technologies de recherche). Vers une mise en route progressive Cet accord, qui avait été annoncé fin juillet 2009 après de longs mois de négociations, vise à renforcer les deux groupes face à Google qui domine la recherche sur Internet. L'accord, d'une durée de dix ans, prévoit que Yahoo utilise le moteur de recherche, Bing, de Microsoft, et que le portail américain apporte sa force de vente aux annonceurs qui souhaitent faire de la publicité sur les sites des deux groupes. Ainsi, les ingénieurs vont commencer dans les prochains jours la migration des plateformes payantes et algorithmiques de Yahoo Search, qui devient la régie exclusive des annonceurs achetant des liens sponsorisés « premium » aux deux sociétés. Cette phase d'intégration doit aboutir avant la fin de l'année 2010 au moins aux Etats-Unis. L'accord prendra son plein effet au début de l'année 2012. (...)
(17/02/2010 17:26:45)MWC 2010 : Facebook Zero, version super light pour mobiles
Facebook, qui revendique plus de 400 millions de membres dans le monde, a annoncé mardi au salon Mobile World Congress de Barcelone l'arrivée d'une nouvelle version simplifiée de son site destinée aux téléphones mobiles. Baptisée "Zero", cette version allégée permettra aux utilisateurs disposant d'un faible débit d'accéder rapidement aux messages publiés sur leurs pages et celles de leurs contacts. Facebook Zero devrait être disponible dans les prochaines semaines. Le célèbre réseau social a récemment indiqué que plus de 100 millions de personnes utilisent régulièrement leur téléphone portable pour se connecter à Facebook. (...)
(17/02/2010 16:05:15)Google Buzz mode d'emploi
Lancé récemment, il était presque impossible pour les utilisateurs d'un compte Gmail de passer à coté de Buzz, le réseau social de Google. Pratiquement obligés de cliquer, de nombreux d'utilisateurs sont devenus, parfois malgré eux, les premiers membres du troisième plus gros réseau social après Facebook et Twitter. A peine un jour après, les accusations concernant le non-respect de la vie privée ont fusées, a tel point que le buzz s'était retourné contre la firme de Mountain View. Cacher vos contacts Contrairement à Twitter où les utilisateurs affichent le nombre des 'followers' à leur page, les utilisateurs de Google Buzz ont de multiples raisons de garder certaines informations privées. En effet, s'il est possible de se cacher derrière un pseudonyme sur Twitter, les listes d'abonnées sur Google Buzz sont publiques et contiennent de nombreuses informations comme, par exemple, les noms, prénoms, adresses e-mail ou encore leur blogs personnels des contacts. Avec la suggestion automatique des profils d'abonnés, ce procéder peut conduire à des situations inconfortables pour les utilisateurs qui auraient supprimés ou ajoutés des contacts jugés indésirable par leur entourage. Il est possible de cacher les listes de ses abonnés et abonnements, pour les protéger en se rendant dans les paramètres de son profil Google et de désactiver leur affichage. Apprendre à gérer l'interface de Buzz Si vous êtes débordés par le flux d'informations trop massif de votre page, des filtres sont disponibles par défaut en bas à gauche du menu. Ils trient ou actualisent les affichages de vos contacts. Pour les configurer, il suffit de gérer ces derniers à partir de votre messagerie Gmail. Sachez qu'il est évidemment possible de cacher les « buzz » des personnes qui ne vous intéressent pas et même d'arrêter de les suivre. Concernant vos propres buzz, il est possible de les supprimer, les modifier et de les passer sous silence. [[page]] Habiller le texte Même si la fenêtre de statut pour Buzz ne dispose pas de toutes les options d'habillement de la police des traitements de texte, boîtes e-mail et blogs, sachez qu'il suffit d'entourer votre texte * d'astérisque * _ d'underscore _ ou de - tirets - pour transformer votre texte en gras, italique ou rayé. Des add-ons en complément Pour mieux intégrer Buzz à leur environnement internet, les utilisateurs de Chrome peuvent d'ores et déjà télécharger Chrome Buzz, un module qui intègre les options de Buzz directement dans le navigateur, offrant aux utilisateurs un accès à leur compte indépendamment de la page de messagerie Gmail. Supprimer son compte Google Buzz Même s'il existe un lien pour désactiver Google Buzz en bas au centre de la page Gmail, celui-ci ne permet pas de supprimer son compte Google Buzz. Il existe tout de même un moyen pour se désinscrire totalement du réseau. Pour empêcher aux autres utilisateurs d'accéder à votre profil, il faut, d'abord cliquer sur la liste de vos abonnés depuis votre compte Buzz et les bloquer manuellement un à un. Idem pour ce qui est des profils auxquels vous êtes abonnés. Ensuite, vous devez supprimer votre profil Google en vous rendant dans vos paramètres profils et en cliquant sur supprimer mon profil en tout bas de page. Désactivez ensuite Buzz depuis la fenêtre Gmail comme indiqué au-dessus, vous serez alors totalement déconnecté du réseau. (...)
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