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(15/12/2011 16:32:38)
Microsoft prévoit des mises à jour automatisées d'IE en 2012
A partir de l'année prochaine, Microsoft modifiera le processus de mise à jour de son logiciel Internet Explorer (IE). La plus récente version du navigateur web pour Windows XP, Vista et Windows 7 s'installera automatiquement, sans passer par la notification (oui/non) proposée actuellement à l'utilisateur. Le concurrent Google agit de cette façon avec son navigateur Chrome depuis la sortie de celui-ci en 2008.
Le processus de mise à jour général de Windows, qui incite à passer à la version suivante, mais sans contrainte, sème une certaine confusion auprès des utilisateurs et ralentit la mise à jour des navigateurs, a expliqué Ryan Gabin, directeur général de l'activité IE chez Microsoft. Effectuer automatiquement l'opération constitue une approche plus sûre, selon lui. Le navigateur est une cible pour les attaques de malware, rappelle-t-il. « Sa mise à jour est très simple. Et les experts en sécurité sont unanimes sur la nécessité de porter les utilisateurs sur la toute dernière version ».
Le projet de Microsoft, qui débutera en janvier sur quelques zones géographiques avant de se généraliser, est salué par certains experts. « Les mises à jour automatisées sont une très bonne idée dans tous les domaines où je les ai vues, a indiqué Jeremiah Grossman, directeur technique et fondateur de White Hat Security, à nos confrères de Network World. « Garder les logiciels à jour, en particulier les navigateurs web, est critique pour la sécurité en ligne. Sachant cela, je suis content que Microsoft s'oriente vers un modèle d'automatisation, en particulier parce que leur approche va s'équilibrer avec celle des entreprises qui ont toujours besoin d'un mécanisme pour gérer les mises à jour ».
Toujours possible de revenir à une version antérieure
Wolfang Kandek, CTO de Qualys, apprécie lui aussi la démarche. Il fut de ceux qui ont, depuis 2009, pressé Microsoft d'instaurer ces évolutions « silencieuses ». « Je considère qu'il s'agit d'une reconnaissance du bon fonctionnement de l'automatisation, au moins pour un composant comme le navigateur », a-t-il indiqué à Computerworld. Chrome est le seul à le faire pour l'instant, Mozilla travaillant sur une direction similaire avec Firefox. Ce qui était prévu au départ pour Firefox 10 arrivera finalement avec Firefox 12, attendu pour le 24 avril 2012.
Néanmoins, le modèle de Microsoft diffère de ceux de Google et Mozilla dans la mesure où les entreprises conserveront un certain contrôle. De même que les utilisateurs individuels qui ont déjà refusé d'abandonner d'anciennes versions d'IE. L'évolution « silencieuse » ne concernera que les utilisateurs ayant opté pour cela dans le service Windows Update.
[[page]]La nouvelle procédure démarrera avec l'Australie et le Brésil et sera progressivement étendue aux autres régions du monde. Même si Microsoft n'indique pas précisément le nombre de versions d'IE actuellement utilisées, Ryan Gavin reconnaît qu'il y en a quelques centaines de millions.
Uniquement pour les versions majeures
La dernière version, IE9, a été livrée en mars dernier. Selon Ryan Gavin, environ 35% des utilisateurs en disposent aux Etats-Unis. Tous les systèmes d'exploitation de Microsoft ne supportent pas exactement la même, mais l'objectif de Microsoft est de porter les utilisateurs vers la dernière version disponible sur chaque plateforme. L'éditeur indique qu'il prendra soin de ne pas changer les paramètres des utilisateurs dans l'opération, qu'il s'agisse de la page d'accueil, du moteur de recherche choisi ou du navigateur indiqué par défaut.
Le déroulement du processus ne devrait intervenir que lorsqu'une version majeure du navigateur sera disponible, ce qui ne devrait se produire qu'une à deux fois par an suivant le calendrier défini par Microsoft. Si, pour une raison ou une autre, l'utilisateur ne veut pas de cette procédure automatique, il lui est possible d'effectuer une modification dans le registre de Windows en recourant à l'Automatic Update Blocker Toolkit, explique encore Ryan Gavin, de Microsoft. Toutes les mises à jours peuvent être bloquées, à tout moment.

Ci-dessus, le Blocker Toolkit pour ceux qui ne voudraient pas de mise àjour automatisée
Microsoft souligne que la mise à jour ne sera pas automatique pour les clients qui ont refusé les précédentes installations d'IE8 et d'IE9 via Windows Update. Les prochaines versions d'IE proposeront une option pour les utilisateurs qui veulent se désengager de la procédure automatique.
A noter aussi qu'il sera aussi possible de désinstaller la mise à jour pour revenir à une mouture plus ancienne (fournie avec la version de Windows de l'utilisateur). Néanmoins, Ryan Gavin doute que beaucoup de gens veuillent le faire.
Ces changements pourraient concerner les utilisateurs individuels davantage que les entreprises, ces dernières exerçant des contrôles plus stricts sur les processus de mises à jour, rappelle le responsable d'IE. Mais celles-ci devraient tout de même en tirer deux avantages. D'une part, de nombreux ordinateurs utilisés dans les bureaux ne sont pas nécessairement gérés par la IT. Disposer de la dernière version du navigateur comporte des avantages. Microsoft se défend toutefois de vouloir influer sur la façon dont les entreprises gèrent leurs mises à jour.
D'autre part, les développeurs web devraient aussi en profiter, l'éditeur accélérant ainsi le remplacement des vieilles versions d'IE (qui continueront malgré tout à être supportées par l'éditeur).
Facebook propose Timeline pour tous
Facebook annonce que la mise en page des profils, baptisée Timeline ou journal en version française, est désormais accessible à l'ensemble de ses membres, dans le monde entier. Ce profil s'apparente à une véritable biographie, incluant des événements et des documents antérieurs au lancement de Facebook, classés année par année.
Sur Facebook, il devient maintenant possible de compiler toute sa vie sur une seule et même page, de sa naissance à sa dernière mutation professionnelle, de ses coups de coeur musicaux à ses derniers articles partagés.
Pour activer ce « journal », il suffit de se rendre sur sa page dédiée (www.facebook.com/about/timeline) et de valider son utilisation. Chaque membre dispose dès lors de sept jours pour personnaliser son profil avant de le publier et de le rendre public.
Facebook compte plus de 800 millions de membres dans le monde.
Google App Engine adopte la réplication et la modularité des instances
La dernière version du SDK de Google pour la plateforme cloud App Engine inclut le service de réplication de données, baptisé High-Replication Datastore (HRD). Une version expérimentale de ce service avait été publiée en janvier 2011. Au bout de 6 mois, Google a constaté des problèmes de fiabilité dans les options standard de stockage. L'éditeur a donc attendu de résoudre ces difficultés pour l'intégrer dans son kit de développement.
Avec HRD, les données sont répliquées sur plusieurs datacenters. Cette offre, selon Google, accorde le plus haut niveau de disponibilité des données, mais cela se fait au prix d'une latence plus élevée en raison de la propagation des données. L'éditeur estime qu'un des avantages de HRD est que les applications demeurent entièrement disponibles lors de périodes de maintenances, mais aussi en cas de problèmes imprévus comme des pannes de courant.
Modularité des instances et API expérimentales
Parmi les autres apports du SDK, Google a introduit deux classes d'instance supplémentaires pour les applications plus gourmandes en puissance CPU et mémoire. Un troisième type sera modulaire. Par défaut, elle utilisera une instance basique comprenant 128 Go de Ram et 600 MHz de CPU. Les entreprises pourront faire évoluer les ressources de leur serveur virtuel en payant un complément.
La firme de Mountain View a intégré aussi des API expérimentales. L'API Conversion permet aux utilisateurs de convertir du HTML en PDF, d'extraire du texte au sein d'image en utilisant un OCR. Logs Reader donne, quant à elle, la possibilité de créer des rapports, de recueillir des statistiques, et d'analyser des requêtes.
Le SDK est disponible pour Java et Python, et les deux sont en version 1.6.1. Ils peuvent être téléchargés sur le site de Google.
Plus de 200 milliards de vidéos regardées sur le web
Près de 88,3 milliards de ces 201,4 milliards de vidéos, soit 43,8%, ont été visionnées sur des "sites Google", catégorie dont YouTube représente 99%. A la deuxième place suit Youku Inc. avec 2,3% de parts de marché. 4,6 milliards de vidéos en ligne ont été regardées sur la plateforme chinoise en octobre 2011.
Vevo arrive troisième, avec 3,7 milliards de vidéos, soit 1,8% de parts de marché. A noter: 97% des vidéos de Vevo ont été vues sur la chaîne YouTube de la plateforme. Facebook est quatrième avec 1,3%, suivi de Dwango Co. Ltd avec 1,2%.
En septembre, YouTube avait été classé numéro un de la vidéo en ligne aux Etats-Unis en termes d'audience comme en nombre de flux dans une enquête Nielsen report publiée le 3 novembre. En termes de "temps par spectateur", en revanche, c'est le service de VOD Netflix qui s'était illustré.
(...)(14/12/2011 16:28:03)La télémédecine se met en place doucement
Lancée par deux professionnels de santé (un médecin et un gestionnaire), cette plateforme en ligne permet aux internautes de profiter de conseils médicaux à distance. L'objectif est de renforcer l'accès aux soins dans les zones reculées. Pour profiter de ce service, il suffit de s'inscrire sur le site en question, puis d'indiquer l'objet de sa demande et la tranche horaire durant laquelle le médecin généraliste ou spécialiste peut prendre contact. Les internautes peuvent également fournir via la plateforme des documents médicaux tels qu'une radio, une ordonnance ou des résultats d'analyse.
Ce service de téléconseil médical est accessible à 3 € la minute par téléphone, ou à 13 € par prestation de conseil réalisé par messagerie électronique. A long terme, la société France médecin souhaite développer la télémédecine libérale, qui permet à un professionnel de santé agréé d'établir un diagnostic ou une prescription médicale à distance.
Les nouveaux noms de domaine attendus en janvier 2012
C'est à Singapour, le 20 juin 2011, que l'Icann a autorisé l'utilisation de nouveaux suffixes dans les adresses web. Les premiers à en profiter devraient en toute logique être les entreprises et les villes, dans des visées marketing évidentes. Ainsi, à la place d'un traditionnel .com ou .fr, il va bientôt falloir s'habituer à ".microsoft" ou un ".paris".
Du 12 janvier au 12 avril 2012, une première vague de demandes pourra être adressée à l'Icann. Le processus d'attribution, encore abstrait, promet toutefois d'être complexe et relativement cher. Le ticket d'entrée pourrait se situer à plus de 100.000$ (73.333€ environ).
L'Icann n'a jusqu'à présent accordé que 22 noms de domaines génériques (contre environ 250 extensions, correspondant chacune à un pays). La dernière extension autorisée a été le fameux .xxx, réservé à l'industrie pornographique.
(...)(14/12/2011 16:00:11)Google s'empare de Clever Sense et de son assistant personnel
Google s'est offert la start-up Clever Sense, créatrice d'Alfred, une application mobile de recommandations personnalisées de lieux, pour un montant non encore divulgué. Le géant des bons de réduction Groupon aurait également été sur les rangs pour racheter Clever Sense. Mais c'est la firme de Moutain View qui a eu le dernier mot avec ce rachat qui lui permettra de se renforcer dans le domaine des recommandations locales. En septembre dernier, Google s'était emparé de Zagat et de ses guides gastronomiques, ce qui lui avait permis de disposer des meilleures offres de restaurants et des recommandations des consommateurs sur leurs endroits favoris.
Alfred est un assistant personnel qui fournit des suggestions sur les restaurants, les bars et sur la vie nocturne dans la localité où l'utilisateur se trouve.
Une application pour le grand public et les professionnels
Babak Pahlavan, co-fondateur et PDG de Clever Sense, a précisé, dans une note publiée sur le site Internet de la start-up, que l'application Alfred pouvait inclure d'autres sources de données et services. Pour lui, la découverte de l'information locale est importante et les particuliers, comme les professionnels, profiteront de l'acquisition de la société.
Le patron de Clever Sense estime aussi qu'aujourd'hui, il est devenu plus que nécessaire d'avoir un assistant personnel compétent, toujours prêt à ses côtés, qui passera au crible la surcharge d'information quotidienne et offrira des choix réellement pertinents en fonction de ce que l'on aime ou ce que l'on veut faire.
Andy Rubin, vice-président de l'activité mobile chez Google, avait cependant déclaré, lors de la conférence AllThingsD Asiad en octobre dernier, qu'il ne pensait pas qu'un smartphone devait faire office d'assistant. « Vous ne devriez pas communiquer avec votre smartphone, mais plutôt être en communication avec quelqu'un grâce à celui-ci », avait-il souligné.
La plateforme, autour de laquelle Alfred est bâti, est décrite par son éditeur comme étant conçue « pour connecter le monde en ligne avec le monde hors ligne en fournissant des recommandations aux utilisateurs, en tenant compte de leur temps, du lieu et de leurs intentions ».
L'assistant est disponible pour les terminaux sous Android et également pour les iPhone et les iPad.
Un moteur d'extraction intégré dans la plate-forme Clever Sense traite d'importants volumes de données non structurées en utilisant le traitement du langage naturel, l'apprentissage automatique statistique, et des algorithmes de data mining. Il est informé des intérêts des consommateurs et de leurs préférences en se fondant sur des interactions avec diverses sources, comme les applications de Clever Sense, mais aussi avec Facebook et Twitter.
(...)
Face aux critiques, AdBlock Plus justifie l'affichage de certaines pubs
Hier, l'éditeur allemand Eyeo a livré la version 2.0.1 d'AdBlock Plus pour Firefox, laquelle aura par défaut, la fonctionnalité « Autoriser la publicité non-intrusive ». Celle-ci permet de ne pas bloquer les publicités à condition qu'elles ne soient pas intrusives, comme l'a fait savoir le co-fondateur Till Faida. Néanmoins, il reste possible de la désactiver. « Depuis plusieurs années, les utilisateurs nous disent qu'ils ne sont pas opposés aux publicités, mais qu'elles sont trop dérangeantes, » a déclaré Till Faida, qui travaille avec Wladimir Palant, le chef de projet d'AdBlock Plus depuis 2006. « Mais les webmasters font valoir qu'ils ne peuvent pas créer des contenus gratuits si nous bloquons la publicité et nous disent que nous supprimons leur seule source de revenus, » a-t-il ajouté.
La nouvelle fonctionnalité permettra d'afficher des pubs statiques, sans animation et sans bande-son, par exemple en texte seul et sans images cherchant à capter l'attention. De plus elles ne doivent utiliser qu'un script au maximum pour ne pas alourdir le chargement de la page. « C'est une sorte de compromis, » a reconnu Till Faida. « Mais notre position est claire : nous avons établi le profil des annonces acceptables et de celles qui sont trop intrusives pour être affichées. » Un sondage effectué auprès des utilisateurs d'AdBlock Plus a montré que, si 21% des utilisateurs de l'extension affirment ne vouloir aucune publicité, les autres 79% ont déclaré que la publicité était tolérable tant qu'elle n'était pas dérangeante.
« L'impact d'AdBlock Plus sur les revenus publicitaires des webmasters se fait sentir depuis deux ou trois ans, » a ajouté Till Faida. Selon Eyeo, qui se base sur la mise à jour de ses extensions sur ses serveurs, au moins 12 millions de personnes utilisent AdBlock Plus chaque jour. Mais le co-fondateur estime le nombre d'utilisateurs à environ 30 millions dans le monde. « Avec AdBlock Plus, certains sites ont vu leurs recettes publicitaires diminuer de 50 à 60%, » a-t-il précisé.
Des critiques depuis l'annonce de cette mise à jour
Depuis l'annonce des modifications apportées à l'extension la semaine dernière, les développeurs d'AdBlock Plus sont sous le feu des critiques. On les accuse, à tort, selon Till Faida, d'avoir passé une sorte d'accord avec les régies publicitaires. « Ils craignent que nous abandonnions nos principes et que nous collaborions avec Google, » a ajouté Till Faida, précisant que l'éditeur « n'a pas l'intention de soutenir les réseaux publicitaires de grande envergure comme Google. » AdBlock Plus ne sait pas identifier automatiquement les publicités polluantes. Par contre, Till Faida a confirmé avoir passé des accords avec plusieurs sites allemands. Ceux qui acceptent de diffuser des publicités qui répondent aux spécifications ne sont pas bloqués. Si d'autres réseaux publicitaires souhaitent se conformer à ce cahier des charges, AdBlock Plus pourra supprimer le blocage dès que les entreprises commenceront à diffuser des publicités conformes.
C'est le cas par exemple du site Netzwelt.de, spécialisé dans les nouvelles technologies. Sur ce site, si l'option « Autoriser la publicité non-intrusive » n'est pas désactivée, il affichera des publicités sponsorisées par Google au format texte seulement, lesquelles apparaitront après une recherche sur le web via le moteur de Google, » a expliqué Till Faida. Sur l'autre site partenaire T3N.de, AdBlock Plus, avec la fonction activée, laisse s'afficher des images statiques sponsorisées sur le côté droit de la page web. Le co-fondateur d'AdBlock a déclaré qu'Eyeo ne tire aucun bénéfice financier de ce changement. « Notre petite entreprise se consacre uniquement au développement d'AdBlock Plus, une extension gratuite. Elle est financée par les donateurs privés, concernés par les questions de confidentialité et de traçage des utilisateurs sur Internet, » a-t-il ajouté. « Dans ce domaine, les théories du complot ne manquent pas, » a déclaré Till Faida. Quant à cette nouvelle fonctionnalité, « elle était demandée, selon lui, par une large majorité. » La version 2.0 d'Adblock Plus pour Chrome est en cours de portage.
(...)(13/12/2011 15:36:02)Un magazine sur mesure avec Youmag
Avec la multiplication des sources d'information sur Internet (journaux en ligne, blogs, tweets...), la revue de presse quotidienne est devenue une activité prenante. Si certains grands groupes bénéficient encore de revues de presse quotidiennes sur les sujets concernant l'entreprise et son marché, beaucoup ont choisi de passer par un agrégateur de news - Google Actus, Netvibes, Flipboard, Zite ou Pulse - pour gagner du temps. Youmag, une jeune pousse créée par Guillaume Multrier (Webedia et ancien dirigeant d'Aegis Media) et Antoine Levêque (ancien dirigeant de Marvellous Isobar), propose ainsi un agrégateur de news qui se présente sous la forme d'un élégant magazine numérique pour iPad. À la différence de Google Actualités ou de NetVibes, qui restent 100% web (HTML et Javascript), Youmag est une application gratuite pour iPad disponible en version bêta sur l'App Store depuis le 12 décembre. Les versions pour iPhone, Android et online sont attendues courant 2012 nous a précisé Antoine Levêque.
Un dashboard peuplé de news
Doté d'une interface particulièrement élégante et épurée, Youmag permet de composer un tableau de bord spécial actualité en sélectionnant une liste de thématiques : Politique, International, Sciences, Informatique... On peut ensuite déterminer des sujets plus précis comme le ski ou le vélo pour afficher les dernières actualités sur le thème. On conçoit donc en quelques clics un magazine personnalisé avec des vignettes, avec ou sans photos, qui affichent les dernières news du moment. On aurait aimé un peu plus d'actualités par page, mais l'accent a visiblement été mis sur la lisibilité et le confort de lecture. En complément, l'application propose également la « Une de Youmag» qui rassemble les news à ne pas manquer, et la « Une de mes amis », qui pioche dans les contenus partagés sur les médias sociaux (Facebook pour commencer) pour afficher une synthèse des activités de ses connaissances. À la différence de certains concurrents (voir plus haut) qui se contentent de trier et d'afficher les actus, l'équipe dirigeante de Youmag insiste sur le travail d'un pool éditorial chargé de hiérarchiser les informations affichées dans chaque thématique. L'application connaît encore quelques petits bugs, avec des disparitions intempestives, mais dans l'ensemble, elle est parfaitement fonctionnelle. Une application à découvrir.
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