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(18/01/2010 12:10:56)

Wikimedia a finalement reçu 8 millions de dollars de dons en 2009

Ils sont 230 000 donateurs du monde entier, soit deux fois plus qu'en 2008 (125 000), à avoir accepté de contribuer à l'aventure Wikipedia avec 33 dollars de don en moyenne (23€). Sue Gardner, directrice exécutive de la Fondation Wikimedia, remercie les donateurs et précise que la majorité des sommes ne proviennent pas de gens riches."Ce sont des étudiants, des professeurs et des parents - les personnes qui utilisent régulièrement Wikipedia, et qui sont disposés à aider pour le faire fonctionner. Leur générosité est ce qui maintient Wikipedia disponible pour les gens du monde entier, gratuitement et sans publicité." Ce succès, Wikimedia le doit aussi à l'action exceptionnelle de Pierre Omidyar (le fondateur d'eBay), qui a offert cette année de doubler chaque don supérieur à 100 dollars, ajoutant de ce fait 500 000 dollars de plus à la totalité des dons espérés. L'année 2010 semble désormais assurée pour l'encyclopédie Wikipedia et ses 14 millions d'articles traduits en 270 langues que son fondateur Jimmy Wales qualifie comme " le plus grand recueil de connaissances humaines jamais réalisé .». (...)

(15/01/2010 18:30:45)

La consommation électrique des TIC va baisser d'ici 2012 en France

En France, en 2008, l'usage des équipements informatiques, télécoms et électroniques grand public a représenté 7,3% de l'ensemble de la consommation électrique, contre 6,2% en 2005. Or, dans le même temps, le nombre d'équipements actifs pour l'accès aux TIC a progressé de 40% et le nombre d'abonnés au haut débit a plus que doublé, passant à 17 millions fin 2008. C'est ce qu'expose l'Idate, qui vient de communiquer les résultats d'une étude lancée par plusieurs fédérations industrielles(*). Globalement, constate l'Institut, les consommations électriques de la filière TIC ont donc augmenté moins vite que les usages. Il s'agit de la conséquence directe, estiment les acteurs du secteur, des efforts d'éco-conception qu'ils ont engagés pour améliorer l'efficacité énergétique des matériels (ordinateurs, écrans...). Des efforts soutenus par les instances gouvernementales, par exemple avec la labellisation Energy Star et les codes de conduite européens pour les équipements haut débit et les décodeurs. D'ici à 2012, cette évolution vers une meilleure efficacité énergétique va se poursuivre jusqu'à parvenir, en 2012, à une consommation électrique de la filière TIC inférieure à ce qu'elle était quatre ans plus tôt. On devrait ainsi revenir à 34,3 TWh [teraWatt heure, soit 35,3 milliards de kWh] par an en 2012, entre équipements IT (11,4 TWh/an), télécoms (8,5 TWh/an) et électronique grand public (14,4 TWh/an), contre une consommation de 35,3 TWh/an en 2008 (consommation totale corrigée selon le scénario de référence RTE). A l'horizon 2020, la projection de l'Idate prévoit une diminution à 33,9 TWh/an, en dépit de la progression des usages, notamment à la faveur des effets de migration de parc. Réduire les gaz à effet de serre par la diffusion des TIC Par ailleurs, la filière TIC ne se prive pas de rappeler que la diffusion de ses technologies dans les différents secteurs de l'économie doit aussi contribuer à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES). Un deuxième rapport, réalisé par le Boston Consulting Group, montre que ces réductions sont évaluées, à l'horizon 2020, à 32 MtCO2, ce qui correspondra à 7% des émissions totales françaises, soit un tiers de l'objectif national. Pour y parvenir, la filière TIC mise principalement sur trois axes d'action. Le premier vise l'optimisation des consommations électriques en heures de pointe, par exemple par la mise en place d'outils de pilotage à distance du chauffage et des équipements domestiques (à terme, rappelle le BCG, également par la recharge 'intelligente' des véhicules électriques). Le deuxième axe concerne les transports avec des solutions d'optimisation des réseaux logistiques professionnels et davantage de TIC embarquées. La dématérialisation des échanges représente le troisième axe d'action, avec le développement de la visioconférence, du télétravail et du commerce électronique. (*) Alliance TICS (équipementiers télécoms et informatiques), la Fédération française des télécoms et la FIEEC (Fédération des industries électriques, électroniques et de communication) ont lancé en commun une étude composée de deux volet, l'un conduit par l'Idate, l'autre par le BCG. (...)

(15/01/2010 12:23:39)

9 ans déjà pour Wikipédia qui compte 900 000 articles en français

Wikipédia souffle ses neuf bougies. La célèbre encyclopédie libre sur Internet a été lancée le 15 janvier 2001 par la fondation Wikimedia. Elle compte plus de 13 millions d'articles rédigés et sa version francophone vient juste de franchir le cap des 900.000 articles. Lancée en 2001, Wikipédia est une encyclopédie accessible en ligne, et dont le contenu est alimenté par les contributions d'internautes. Elle existe aujourd'hui dans plus de 250 langues, de l'anglais au swahili, en passant par le français, l'arabe, l'espagnol, l'occitan, le tamoul ou encore le groenlandais. Dépourvue de publicité, elle assure son financement par l'argent versé par les donateurs (7,5 millions de dollars récoltés en 2009). La langue la plus utilisée demeure l'anglais, avec pas moins de 3,158 millions d'articles publiés dans la langue de Shakespeare, suivi de l'allemand (1 million), et du français, qui vient juste de dépasser le cap des 900.000 articles. En 2009, un classement établi par le cabinet comScore positionnait Wikipédia à la 5ème place des sites Internet les plus consultés dans le monde avec 273 millions de visiteurs uniques par mois, devant eBay, Facebook et Amazon. En France, la fréquentation de Wikipédia s'élève à environ 15 millions de visiteurs uniques tous les mois. Si la réactivité de Wikipédia constitue l'un de ses points forts (l'annonce du décès d'une célébrité y est parfois publiée avant certains médias en ligne), la pertinence de ses articles est souvent sujette à controverses, notamment à cause de son système de rédaction ouvert au public. En décembre 2007, une enquête menée par le magazine allemand Stern sur 50 articles pris au hasard avait toutefois révélé que les textes, dans 43 cas, étaient plus précis et plus actualisés que ceux de l'encyclopédie en ligne et payante Brockhaus. Comme chaque année, l'anniversaire de Wikipédia sera célébré le 15 janvier à travers le "Wikipedia Day". Plusieurs événements sont notamment prévus à New York ainsi qu'en Inde. Site : http://fr.wikipedia.org (...)

(14/01/2010 17:35:04)

Recrutement : une Charte pour contrer les dérives liées aux réseaux sociaux

L'engouement pour les réseaux sociaux a conduit des professionnels du recrutement à rédiger en novembre dernier une Charte pour prévenir les dérapages liés à l'utilisation abusive des données privées trouvées sur le Web. Cette initiative, lancée par l'association 'A Compétences Egales' (qui regroupe 40 cabinets de recrutement français autour de la lutte contre la discrimination à l'embauche), a reçu ce matin à Paris le soutien du Medef, de l'Apec et de Syntec Conseil en recrutement, de plusieurs associations impliquées sur les métiers de l'emploi(*) et du réseau social Viadéo. Une convention de partenariat a été signée entre ces différents intervenants afin d'assurer la promotion de cette « Charte réseaux sociaux, Internet, Vie privée et Recrutement », qui vise à sensibiliser tout autant les employeurs et les cabinets spécialisés que les candidats. Ne pas utiliser les moteurs de recherche ni les réseaux sociaux comme outils d'enquête « En tant que recruteurs, il est difficile de passer à côté des réseaux sociaux et les pratiques sont assez variables, reconnaît Alain Gavand, président de l'association A Compétence Egale. Selon lui, les risques de dérapage sont évidents puisque l'on peut accéder sur Internet à des informations « qui ne doivent pas être prises en compte dans le recrutement ». Ainsi, la Charte préconise d'abord à ses signataires de « limiter le recours aux réseaux personnels, du type Facebook ou Copains d'avant [...] à la seule diffusion d'informations, plus particulièrement d'offres d'emplois à des utilisateurs ayant manifesté leur intérêt pour de telles informations ». Elle suggère ensuite de « privilégier l'utilisation des réseaux professionnels, du type Viadeo ou LinkedIn » et, surtout, « de ne pas utiliser les moteurs de recherche ni les réseaux sociaux comme outils d'enquête pour collecter des informations d'ordre personnel [...] ». Ce souci de protection des données privées s'inscrit dans le cadre des préoccupations évoquées le 12 novembre dernier à l'occasion de « l'atelier sur le droit à l'oubli numérique », organisé par Nathalie Kosciusco-Morizet, secrétaire d'état chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique. Lors de cette journée, au cours de laquelle Alain Gavand avait présenté la charte d'A Compétences Egales, NKM avait souhaité voir globalement les acteurs s'unir autour de bonnes pratiques, plutôt que de recourir à une loi. A ses côtés, Alex Türk, président de la CNIL, avait lui aussi déploré l'utilisation par les employeurs d'informations personnelles publiées sur le Web par les internautes. Un engagement qui correspond à la déontologie de la profession, juge Syntec Conseil en recrutement (*) Parmi les signataires de la Convention de partenariat pour la promotion de la Charte figurent Prisme (Professionnels de l'intérim, services et métiers de l'emploi), le CDJ (centre des jeunes dirigeants d'entreprise), les associations Ethique & Recrutement et IMS-Enterprendre pour la Cité, ainsi que l'ANDRH (association nationale des DRH). Par ailleurs, les sites d'annonces Adenclassifieds et Monster se seraient également engagés à signer. [[page]] «Il faut trouver le juste milieu entre le développement des outils numériques et la sauvegarde de notre droit à la vie privée», a rappelé ce matin le sénateur Yves Détraigne en saluant la Charte promue par 'A Compétences Egales'. Avec la sénatrice Anne-Marie Escoffier, il est à l'origine d'une proposition de loi qui permettrait de soumettre au droit français les acteurs internationaux impliqués sur la Toile, dès lors qu'il s'agit de protéger les données privées. Des dispositions qui viendraient compléter la loi 'Informatique et Libertés' de 1978 dont « les principes demeurent valables et permettent de faire valoir ses droits, insiste Yves Détraigne. On peut s'opposer à la publication d'une information, la faire rectifier, etc. La Charte, de son côté correspond à une prise de conscience des acteurs concernés ». Egalement présents ce matin, des représentants de la CNIL et du secrétariat d'Etat au développement de l'Economie numérique ont souligné l'intérêt de trouver une complémentarité entre les différents moyens d'action possibles : la loi, le régulateur et la charte de bonnes pratiques. Un engagement qui correspond à la déontologie de la profession, juge Syntec Conseil en recrutement Maryvonne Labeille, présidente de Syntec Conseil en recrutement, signataire de la Charte établie par 'A Compétences Egales', estime que cet engagement correspond à la déontologie de la profession. Elle a tenu à rappeler que les réseaux sociaux avaient sensiblement favorisé la diversité dans la recherche des profils : « Nos chargés de recherche surfent en permanence sur ces outils ». D'où l'importance de règles de bonne conduite parmi les recruteurs et d'un effort de pédagogie auprès des candidats. « Nous ferons passer le message auprès des adhérents du Syntec pour que ces informations aillent jusqu'au bout de la chaîne du recrutement, a-t-elle affirmé. Nous recevons des milliers de candidats cadres auprès desquels une action de sensibilisation sera menée ». Au passage, la présidente de Syntec Conseil en recrutement a tenu à souligner que les jeunes gens n'étaient pas les seuls à faire quelquefois un mauvais usage des outils du Web 2.0. « Attention au manque de confidentialité vis-à-vis de l'employeur », a-t-elle conseillé aux seniors tentés de communiquer sur le Web des informations d'ordre professionnel, sur des blogs ou sur les réseaux sociaux. La Charte réseaux sociaux, Internet, Vie Privée et Recrutement peut être signée en ligne. (...)

(14/01/2010 11:40:45)

Les clients des RIA Adobe témoignent : productivité et fluidité sont au rendez-vous

Plus de productivité en interne et davantage d'interactions avec les clients : Flash n'est pas là que pour faire joli, et Adobe veut le faire savoir. L'éditeur a organisé pour la deuxième fois consécutive à Paris, en fin d'année, une journée consacrée aux applications Internet riches (RIA), Adobe Business Exchange RIA 2009. De nombreux représentants d'entreprise ont encore une fois répondu à l'appel et, malgré un criant manque de démonstrations 'live', couvert les différents aspects de la solution, de la réflexion en amont jusqu'aux résultats obtenus. En ouvrant cette journée, Rachel Hunt, directrice de recherches pour IDC Financial Insights EMEA, a expliqué que les RIA peuvent avoir autant d'intérêt sur Internet et intranet : « Cela permet de différencier l'entreprise vis-à-vis des utilisateurs externes, et cela apporte plus d'efficacité en interne. » Une étude menée par IDC en Europe détaille ainsi les principaux avantages des RIA : collaboration accrue entre départements d'une entreprise (47%), productivité accrue (46%), plus d'interactions avec les clients (45%), capacité donnée aux employés de prendre des décisions en temps réel (34%), meilleur moral des employés (33%)... Directeur technique d'Orange Vallée, structure d'incubation de projets innovants liés à Internet haut débit, filiale de France Telecom, Jean-Guillaume Birot a évoqué un aspect primordial pour les développeurs d'applications : la possibilité de fournir « une expérience utilisateur coordonnée sur les quatre écrans (ordinateur, smartphone, MID [appareil connecté à Internet] et set-top box [boîtier connecté à Internet branché sur la télévision]) avec une grande richesse fonctionnelle et ergonomique ». Pour lui, les RIA sont la réponse à ce problème ; elles évitent d'avoir à porter un projet d'une technologie ou d'un type d'écran à l'autre. Flash présente ensuite le double avantage de pouvoir servir à réaliser rapidement des prototypes, et d'être adapté pour « des gens qui viennent du monde J2EE ». Une promesse de client universel encore dure à tenir sur les mobiles et les set-top box Tout n'est pas encore merveilleux, a toutefois noté Jean-Guillaume Birot. « Il y a besoin d'outils rapprochant le design et le développement. » A cette fin, l'équipe d'Orange Vallée explore Flash Catalyst, un tout nouvel outil dans la gamme d'Adobe, permettant d'assembler des éléments graphiques pour créer des interfaces Flash prêtes à intégrer pour les développeurs. Autre inconvénient des RIA : leur insertion dans un site remet en cause les politiques d'optimisation pour les moteurs de recherche, les formats publicitaires et les choix de gestionnaires de contenus. Enfin, côté mobiles, le déploiement des RIA reste problématique, la faute à « l'hétérogénéité des technologies et des contraintes des opérateurs » ; idem pour ce qui est des set-top box et autres MID, souvent basés sur Linux, un OS « où on attend les mêmes performances », a remarqué Jean-Guillaume Birot. Toujours chez Orange, une autre équipe a choisi les RIA non pas pour harmoniser différents écrans, mais pour intégrer plusieurs comptes et services au sein d'un même écran : le portail Next eCare, où le client Orange doit pouvoir gérer à la fois son abonnement au fixe, au mobile, à Internet... Côté client, a expliqué Franck Mendras, directeur du projet, « l'objectif est de lui simplifier la vie ». Mais l'intérêt est surtout pour l'équipe marketing, qui peut ainsi « cibler les offres en fonction de chaque client ». Et de rappeler qu'un site plus attrayant, c'est un facteur d'économies (Orange prévoit d'éviter 6 millions d'appels au call-center entre 2008 et 2011, soit 19 M€ d'économies), mais « cela devient aussi un vecteur de vente ». Des interfaces rapidement prises en main par les utilisateurs [[page]] Parmi les autres projets, on peut encore noter que chez BNP Paribas Assurance, les RIA servent d'interface Web à une application de workflow Tibco. Cela permet de décliner l'interface en fonction des rôles, d'offrir aux utilisateurs un système de défilement d'écrans plus convivial qu'en HTML simple (avec un panneau latéral pour revenir à une étape, par exemple), de réaliser des glisser-déposer, de visualiser des données sous forme graphique... Dict.fr, plateforme d'échanges de documents dématérialisés, a de son côté remplacé l'application PHP/MySQL datant de 2002, « en limite de son potentiel », afin de pouvoir « multiplier la charge par 5 minimum ». Le développement a été effectué en Flex, la transmission des données confiée à LiveCycle Data Services, entre le front-end en Flash et le back-end, réalisé cette fois en J2EE, sur Jboss et PostGreSQL. Les concepteurs de l'application louent la compatibilité de leur solution avec les différents systèmes d'exploitation et navigateurs du marché, la possibilité de réaliser simplement des cinématiques complexes et un temps de formation des clients à l'outil divisé par deux. En revanche, notaient-ils, cela demande de forger de nouvelles compétences, pour appréhender le framework Flex, pour associer ergonomie et technique, et enfin pour traquer les fuites mémoire ! Le DSI de Virgin Mobile avoue avoir dû également optimiser le code pour obtenir des performances correctes. Chez cet opérateur virtuel, les RIA ont servi à améliorer les capacités de qualification lors d'un appel au service après-vente. Les préposés au SAV avaient du mal à qualifier les incidents et proposer un diagnostic. « Le client riche a simplifié le travail du service informatique en rendant l'arbre de diagnostics configurable par les utilisateurs métier, a expliqué le DSI, Franck Lohez. Aujourd'hui, 500 questions sont paramétrées. » Surtout, cela évolue chaque semaine, les utilisateurs affinant eux-mêmes l'application. Le succès a été rapidement au rendez-vous, puisque « le retour sur investissement a été atteint en deux mois et demi ». Les applications paraissent plus fluides alors que seules leurs interfaces changent Au-delà de Flash, on aura pu retenir de cette journée deux faits marquants. D'abord, les RIA, de par leur attrait, leur ergonomie, leur convivialité, font paraître les applications plus fluides, plus rapides, quand bien même la logique applicative ou le processus sont restés inchangés : « Les utilisateurs disent que les processus de gestion sont plus fluides, alors qu'on a juste changé l'interface ! » témoignait par exemple Ludovic Charre, responsable socles à la Maaf. Pire, chez Canal Plus, pour l'application Web de recommandation des programmes, on a constaté que « les effets de transition ralentissent un peu l'application, mais paradoxalement les utilisateurs trouvent ça plus fluide ». Ensuite, les méthodes agiles sont les meilleures alliées des développements d'interfaces riches. Prototypage rapide, projet itératif, parmi les grandes entreprises et leurs prestataires venus témoigner, tout le monde ou presque a insisté sur cette alliance RIA/méthodes agiles, jugée parfaitement naturelle. Comme l'a confié Ludovic Charre, « les maquettes permettent d'alimenter la discussion ». Les possibilités graphiques des RIA permettent d'envisager sereinement plusieurs présentations pour les mêmes données : « c'est un grand avantage pour nous par rapport aux besoins des gens du marketing ». Chez France Telecom, c'est la volonté de faire travailler ensemble les équipes métier et informatique qui a conduit « à innover dans la conduite de projet », et à choisir les méthodes agiles, avec des itérations de 4 à 6 semaines. Même constat pour Dict.fr, pour qui le développement itératif a permis de renforcer l'interactivité avec la MOA dans la phase de conception des IHM. (...)

(14/01/2010 11:47:33)

Des pubs virtuelles ciblées dans Google Street View

Les internautes surfant sur Street View pourraient bientôt y trouver des publicités plus actuelles que celles présentes actuellement. Un nouveau brevet a en effet été déposé par Google pour changer l'affichage des enseignes et panneaux publicitaires photographiés lors du développement de ce service de visualisation par images panoramiques. Cette technique ouvrirait la voie à la monétisation de nouveaux espaces virtuels pour les annonceurs. Le brevet, déposé en 2008 et octroyé à Google le 7 janvier, porte sur la technologie utilisée pour cartographier et identifier "une zone d'intérêt dans les vues géographiques, comportant au moins une portion de zone sur des propriétés réelles". Il permettrait également de "modifier l'apparence des zones d'intérêt, de recueillir les données en rapport avec une vue géographique, de mettre-à-jour la [zone concernée] au sein de la vue géographique en fonction des données recueillies". Pour les internautes, cela signifie que les affichages publicitaires obsolètes qui apparaissent sur les photos de Google Street View pourraient, dans le futur, être remplacés par des annonces publicitaires virtuelles. Celles-ci pourraient inclure des annonces visant des "cibles réceptives" et pourraient prendre la forme d'images publicitaires figées, de films publicitaires, ou de messages audio. Le propriétaire d'un cinéma pourrait par exemple réactualiser les affiches des films visibles sur Street View par des films programmés actuellement. Pour l'heure, Google n'a encore rien annoncé de concret quant à la commercialisation des affichages publicitaires sur Street View. La demande complète du brevet de Google est disponible sur le site du bureau américain des brevets. (...)

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