Flux RSS
Internet
5069 documents trouvés, affichage des résultats 1721 à 1730.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(19/01/2010 15:39:31)
Voeux de NKM : l'action publique dispose de 2,5 Mds pour orienter les usages du numérique
Si l'actualité numérique de 2010 sera considérable, pour reprendre les propos de Nathalie Kosciusko-Morizet, les voeux de la Secrétaire d'Etat à la Prospective et au développement de l'Economie numérique, prononcés ce mardi midi à La Conciergerie, n'ont eux pas regorgé d'informations. De fait, le Premier ministre avait monopolisé l'attention la veille avec le lancement d'un plan pour le très haut débit, et le montant du Grand emprunt alloué au numérique était déjà connu depuis mi-décembre. Devant un parterre de politiciens, de journalistes, de blogueurs, de représentants des opérateurs et autres acteurs de l'économie numérique - une sorte de « biodiversité », a plaisanté la ministre, très attachée au développement durable - Nathalie Kosciusko-Morizet a d'abord tenu à rappeler que pour elle, « la technologie n'emporte pas de valeur morale en tant que telle, elle n'a rien de diabolique, rien d'angélique non plus ». Manière d'affirmer que pour sa part elle n'accuse pas Internet de tous les maux, mais qu'elle prend d'abord en compte les usages. On aura donc compris que, au grand dam des opposants à la loi Loppsi et au mouchard qu'il instituerait dans les PC (des mots qui n'ont bien sûr pas été évoqués), ces usages peuvent être criminels... et on imagine mal la secrétaire générale adjointe de l'UMP ne pas soutenir ce type de loi. L'essentiel du discours, par ailleurs relativement court, de Nathalie Kosciusko-Morizet a cependant porté sur la répartition de l'Emprunt national. Remerciant l'écosystème d'avoir appuyé son action en convainquant la commission Rocard-Juppé, elle s'est sincèrement réjouie : « Je ne boude pas mon plaisir, avoir les moyens de ses ambitions, c'est énorme. » Ce sont 4,5 Md€ qui seront en effet alloués au numérique, soit « plus de 15% du Grand emprunt ». Pour la secrétaire d'Etat, ce montant constitue « une reconnaissance en soi de l'importance du numérique ». La répartition de ce montant est également un motif de fierté. NKM, qui s'était plainte d'être chargée de l'Economie numérique alors qu'elle aurait préféré l'appellation Société numérique, y voit « une autre victoire ». « En plus des 2 milliards pour l'infrastructure, il y a 2,5 milliards pour les usages, les pratiques et les contenus dans un fonds pour la société numérique. » C'est, pour elle, « la reconnaissance que l'action publique ne doit pas se limiter aux tuyaux ». Nul doute que les adversaires d'Hadopi et de la Loppsi ne seront pas tout à fait d'accord. Et ils auront du mal à se faire entendre, car depuis que le montant est connu, a indiqué NKM, le secrétariat d'Etat est très courtisé. « On dit que l'argent rend les hommes sexy, il rend aussi les femmes sexy ! » (...)
(19/01/2010 09:50:54)Lotusphere 2010 : IBM promet ses API pour étendre les services de LotusLive
Lotusphere vient de démarrer sa dix-septième édition à Orlando sur la toute fraîche nomination d'un nouveau patron pour la division Lotus Software. En ouverture de la conférence, Bob Picciano, jusqu'alors directeur général de l'entité Lotus, a ainsi passé les rênes à Alistair Rennie, qui était jusque-là vice-président du développement et du support. Lui-même prend la tête des ventes mondiale d'un IBM Software réorganisé en deux divisions : l'une axée sur les solutions, incluant les logiciels Lotus, l'autre gérant les produits middleware. Jusqu'au 21 janvier, près de 7 000 personnes sont attendues à Orlando : partenaires de Lotus et utilisateurs de Notes, QuickR, Sametime et Connections, ou des outils de collaboration en ligne LotusLive annoncés l'an dernier sur Lotusphere 2009. IBM dit aujourd'hui compter 18 millions d'utilisateurs de LotusLive dans une centaine de pays. Parmi les derniers en date, Panasonic a annoncé il y a quelques jours avoir choisi ces outils en ligne pour ses équipes internationales. A terme, quelque 380 000 salariés accéderont de cette façon à leur messagerie, ainsi qu'à des fonctions de web conférence, dialogue en direct, partage de fichiers et gestion de projets. Encore plus satisfaisant pour IBM, en concurrence frontale avec Microsoft sur ces solutions, ce sont en partie des utilisateurs d'Exchange que Panasonic fait ainsi migrer vers la messagerie de LotusLive. Le fabricant de produits électroniques doit aussi mettre en place LotusLive Connections pour constituer un réseau social avec son écosystème et avec ses fournisseurs. LotusLive s'ouvre davantage aux partenaires IBM offre de nouvelles perspectives à ses partenaires tentés par LotusLive. A partir du deuxième semestre 2010, des API seront accessibles à tous pour ajouter des services à ces outils de collaboration en ligne ou les inclure dans un processus métier. Auparavant, il fallait passer par un programme spécial (Lotus Design Partner) pour y accéder. Parmi les prochains services attendus figure une fonction d'appel téléphonique proposée par Skype (annoncée pour le deuxième trimestre). Certains partenaires pourront par ailleurs commercialiser les services de LotusLive en complément de leurs propres offres. [[page]] Pour imaginer le futur de LotusLive, ses utilisateurs sont par ailleurs mis à contribution. A l'instar d'autres éditeurs, comme SAP (avec Business Objects) ou Google, IBM propose de donner son avis sur des technologies en incubation au sein de ses équipes de R&D. Déjà, le LotusLive Labs (où se conjuguent les ressources d'IBM Research et de Lotus) livre quatre versions, qualifiées de « pre-alpha », que les utilisateurs enregistrés peuvent tester. On y trouve Slide Library, qui a déjà été montrée par IBM lors de précédentes conférences. Le logiciel sert à constituer une bibliothèque de 'slides' qui seront utilisées pour créer de nouvelles présentations. Collaborative Recorded Meetings enregistre et retranscrit les conférences pour permettre ensuite les recherches. Avec la technologie Composer, on bâtit des mash-up à partir de services LotusLive. Quant au logiciel Event Maps, il permet de visualiser des plannings de conférences de façon interactive. Au deuxième trimestre, un cinquième logiciel sera livré à l'appréciation : Project Concord proposera d'élaborer et partager en ligne documents, tableaux et présentations. Un accès plus souple à LotusLive Notes Enfin, une prochaine version (multitenant) du client de messagerie Notes sur LotusLive (basé sur Lotus Notes Hosted Messaging) permettra de combiner les déploiements sur site et dans le cloud, en supportant de façon standard la synchronisation entre les annuaires gérés sur site et dans le cloud. Chaque utilisateur pourra choisir entre un client Notes ou un navigateur pour accéder à sa messagerie. Et IBM assouplit les conditions d'accès au service. Le nombre d'utilisateurs minimum pour s'abonner à LotusLive Notes passe ainsi de 1 000 à 25 utilisateurs. Cette offre fournira par ailleurs une capacité standard de 5 Go pour stocker les mails et comportera les fonctions de messagerie instantanée de Sametime. La version bêta sera disponible au deuxième trimestre. (...)
(19/01/2010 09:46:41)Moins de 1% de Français sur Twitter
La France est à la traîne en matière de micro-blogging. Selon une étude publiée par Sysomos, société de conseil spécialisée dans les réseaux sociaux, moins de 1% des utilisateurs de Twitter sont français. La France se classe ainsi à la 13ème place, juste derrière les Philippines, et loin derrière les Etats-Unis. La France est peu représentée sur Twitter, pourtant site à la mode sur Internet et disponible en français depuis l'automne dernier. Sur les 13 millions de comptes analysés entre octobre et décembre 2009, seulement 0,98% sont détenus par des internautes français. Les Etats-Unis sont les mieux représentés sur Twitter, avec 50,88% d'utilisateurs (contre 62,14% en juin 2009). Suivent le Brésil (8,78%), le Royaume-Uni (7,20%), le Canada (4,35%) et l'Allemagne (2,49%). La France arrive treizième du classement, juste derrière les Philippines (1,08%), et devant l'Espagne (0,78%) et Singapour (0,69%). S'ils sont les plus nombreux sur Twitter, les internautes américains sont également les plus actifs sur le site de micro-blogging. En effet, 56,59% des "tweets" publiés sur la période d'étude proviennent des Etats-Unis, contre 8,09% du Royaume-Uni et 6,73% du Brésil. Les utilisateurs français se classent au 14ème rang des contributeurs, avec 0,64% des messages publiés. Cette enquête recense aussi le classement des villes les plus représentées au sein de la communauté Twitter. Londres arrive en tête (2,08%), devant Los Angeles (1,63%), Sao Paulo (1,47%), New York (1,44%) et Chicago (1,20%). Paris ne figure pas dans les quinze premiers rangs. Enfin, New York arrive en tête des villes pour le nombre de "tweets" publiés (2,37%), devant Londres et Los Angeles. Dix villes américaines figurent aux 15 premières places de classement, qui ne comporte pas non plus de ville française. Site à la mode et symbole du Web 2.0, Twitter est un outil de réseau social et de "micro-blogging". Ses utilisateurs ont la possibilité de partager avec leur réseau des informations par le biais de courts messages appelés "tweets", et dont la longueur maximale ne dépasse pas les 140 caractères. Le principal atout de ce service gratuit créé en 2006 aux Etats-Unis est son interface de programmation ouverte et simple d'utilisation. De nombreuses célébrités, comme la chanteuse Mariah Carey ou le cycliste Lance Armstrong, s'en servent pour communiquer régulièrement leur agenda. Site : www.sysomos.com (...)
(18/01/2010 14:15:59)OVH va lancer des offres cloud à 2 euros par mois
Un hébergeur comme OVH ne pouvait rester longtemps à l'écart de la folie du cloud. Fidèle à sa tactique de proposer des offres avec des entrées de gamme à prix plancher, OVH compte facturer 1,99 € HT par mois pour une machine virtuelle (VM), apprend-on à la lecture d'une annonce sur le forum faite par le fondateur de l'hébergeur, Octave Klaba. Avec 1,5 million de noms de domaine gérés, 380 000 clients et 7,6 millions de sites répartis sur 3 datacenters (soit 65 000 machines), OVH estime être le premier hébergeur de France. A ce titre, lit-on dans l'annonce d'Octave Klaba, il maîtrise déjà les technologies du cloud, et tout un chacun peut s'en emparer pour mettre un cloud en place. En revanche, OVH ne le proposait pas en tant que solution packagée. Ce qui apparemment lui demanderait peu d'effort, pour un résultat intéressant en termes de visibilité sur le marché : « Ca ne nous coûte pas cher en temps [de développement] de vous proposer ces offres qui en plus sont à la mode... et au niveau du marketing le mot "Cloud" a une certaine puissance. » Deux types d'offres sont envisagés : des classiques (miniCloud et coreCloud) avec facturation à l'usage pour des VM supportant jusqu'à 48 coeurs, et un mode personnel ('myCloud'), où le client sera maître de son cloud. L'offre de base comporte toutefois quelques spécificités, la tarification étant dégressive dans le temps, mais exponentielle au fur et à mesure des ressources consommées. Octave Klaba explique que le marché visé devrait se situer aux alentours des 2 à 20 euros HT par mois. Des tests privés devraient démarrer sous peu. (...)
(18/01/2010 12:51:37)Des tarifs ADSL plus bas pour les foyers modestes
Comme nous vous l'annoncions en décembre dernier , les ménages français modestes pourraient prochainement profiter d'une réduction sur le prix de leur abonnement ADSL avec téléphonie IP en illimité. Selon le quotidien économique Les Echos, le gouvernement s'apprêterait à créer un "tarif social" pour permettre à tous les ménages d'avoir accès à l'Internet haut débit, et de profiter des appels en illimité proposés sur ce genre d'offres dites triple-play (Internet, TV et téléphonie fixe). L'idée est de proposer aux plus démunis des réductions allant de 5 à 10 euros sur leur facture ADSL. Depuis 1997, les allocataires de minima sociaux et autres catégories (invalides de guerre, handicapés, etc.) bénéficient d'un abonnement de 6,49 euros par mois chez France Télécom, contre 16 euros pour les autres citoyens. Actuellement, l'opérateur historique est le seul à proposer ce type de service. Il est toutefois nécessaire de rappeler que certains opérateurs comme Alice ou Numéricâble propose déjà des forfaits low cost à moins de 20 euros avec Internet, TNT et téléphonie IP. Est-il dès lors vraiment nécessaire de proposer un abonnement subventionné ? Le Premier ministre devrait faire une annonce en ce sens dès aujourd'hui, lors d'un déplacement chez Dassault Systèmes consacré à l'économie numérique et au très haut débit. Ce tarif subventionné, dont le principe est soutenu par l'Autorité de régulation des télécoms (Arcep), serait financé par un fonds de solidarité alimenté par les fournisseurs d'accès à Internet. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |