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(02/07/2009 16:32:22)

Vendu pour 7,8 M$,The Pirate Bay fait amende honorable, au grand dam des internautes

« Oui, c'est vrai. The Pirate Bay devrait être racheté par Global gaming factory X », ont confirmé hier les fondateurs du site d'échange de fichiers Torrent sur leur blog. The Pirate Bay passe dans le giron d'une entreprise suédoise spécialisée dans les jeux sur Internet pour un montant de 7,8 M$. « Beaucoup de gens sont inquiets. Nous ne le sommes pas, et vous ne devriez pas l'être non plus », se sont ensuite empressés d'ajouter les propriétaires du site de téléchargement. « Sur Internet, beaucoup de choses meurent si elles n'évoluent pas, nous ne voulons pas que cela se produise [mais] nous ne pouvons pas financer la croissance du site », peut-on encore lire sur le blog. Les dirigeants de The Pirate Bay estiment avoir confié les commandes du navire « aux bonnes personnes, ayant les capacités d'exploiter le site ». Ils précisent qu'une partie des bénéfices de la vente seront reversés à des associations de défense de la liberté d'expression. Des centaines de réponses n'ont pas tardé à affluer. Les utilisateurs de TBP ont manifesté leur désaccord et leur inquiétude quant à la pérennité et au futur positionnement du site. Sous la contrainte, le site a mis à la disposition des mécontents un outil de désinscription. Global gaming factory X souhaite trouver des moyens pour payer les détenteurs de droits d'auteur et les fournisseurs du contenu téléchargé via The Pirate Bay. En cinq années d'existence, The Pirate Bay est parvenu à attirer de nombreux visiteurs, se propulsant ainsi dans la catégorie des 100 sites les plus consultés dans le monde. Après un procès qui a débouché sur la condamnation des quatre fondateurs pour piratage (3,9 M$ de dommages et intérêts), le site est à la recherche d'un modèle économique qui soit à la fois rentable et légal. Un défi que ses fondateurs ne sont pas parvenus à atteindre. (...)

(30/06/2009 16:49:45)

Hadopi : le Conseil d'Etat torpille le nouveau projet de loi

Le gouvernement n'a, semble-t-il, tiré aucune leçon du camouflet imposé par le Conseil constitutionnel à la loi Hadopi. Alors que celle-ci avait été jugée anticonstitutionnelle dans plusieurs de ses dispositions, le pouvoir exécutif s'est attelé dans l'urgence à la rédaction d'un nouveau texte. Le but : prévoir une sanction à l'encontre des internautes s'adonnant au téléchargement illicite tout en restant dans les limites de la Constitution. Ce dessein semble néanmoins n'être qu'un voeu pieux, tant le nouveau projet de loi accumule les atteintes à la Loi fondamentale. Selon nos confrères de la Tribune, le rapport du Conseil d'Etat sur le texte en gestation est accablant. Le Juge suprême aurait ainsi averti la Chancellerie, désormais chargée du projet, de plusieurs irrégularités dont le risque d'atteinte à la séparation des pouvoirs, à la proportionnalité des peines et à la présomption d'innocence. Le quotidien économique précise cependant, qu'en dépit de ces inconstitutionnalités, le gouvernement a décidé de poursuivre son projet et de présenter le texte au Sénat le 8 juillet. Il devrait ensuite être examiné par l'Assemblée nationale vers le 20 juillet. Nul doute que ces lectures seront suivies par une saisine du Conseil constitutionnel qui pourrait être, à nouveau, meurtrière. Soulignons, enfin, qu'Olivier Henrard, l'un des rédacteurs du premier projet de loi et jusqu'alors conseiller juridique de Christine Albanel, n'a pas fait les frais de l'échec d'Hadopi première version. Loin de quitter le ministère de la Culture, il vient d'être nommé directeur adjoint du cabinet du nouveau locataire des lieux, Frédéric Mitterrand. (...)

(29/06/2009 17:26:48)

Facebook critique les performances des nouvelles puces Intel et AMD

« Où sont les gains de performances promis ? » Telle est en substance la question que pose Jonathan Heiliger, vice-président en charge des opérations techniques chez Facebook. S'exprimant publiquement jeudi dernier lors de la conférence Structure de San Francisco organisée par GigaOm Network, il a pris à partie Intel et AMD en les accusant d'avoir survendu les capacités de leurs derniers processeurs pour serveurs : « Ce qui nous a le plus surpris, ce sont les gains de performances des nouvelles architectures des puces qui sont inférieures à ceux attendus. Nous ne voyons pas avec nos applications les progrès dont Intel et AMD se vantent dans la presse, affirme-t-il. Et, en ce moment même, nous cherchons à comprendre pourquoi. » Mais les fondeurs ne sont pas les seuls à subir les foudres de Jonathan Heiliger. Il s'adresse aussi aux constructeurs de serveurs qu'il accuse de ne pas vendre de produits adaptés aux besoins spécifiques de sociétés comme la sienne ou Amazon. « Nous avons des applications plutôt homogènes, qui nécessitent des serveurs bon marché avec une très bonne efficacité énergétique, explique-t-il. Et cela ne doit pas se traduire que par une nouvelle alimentation, mais c'est tout le système qui est concerné, jusqu'au processeur. » Si ce coup de gueule se justifie, certaines voix s'élèvent déjà pour défendre Intel et AMD, en conseillant à Facebook de revoir le code de ses applications qui s'appuient principalement sur PHP et MySQL, et donc ne pouvant profiter pleinement des systèmes multicoeurs et multithreadés les plus récents. (...)

(26/06/2009 17:01:37)

La mort de Michael Jackson submerge Internet

En marge de l'émoi suscité par son annonce, le décès de Michael Jackson a également eu des répercussions sur certains sites. La nuit dernière, le trafic Internet a massivement augmenté sur Google, Twitter ou encore le site de la BBC, allant jusqu'à les paralyser temporairement. La Press Association (agence de presse nationale en Grande-Bretagne et en Irlande) rapporte que les requêtes « Michael Jackson » ont proliféré sur Google dès l'annonce de son hospitalisation d'urgence. A tel point que pendant une trentaine de minutes les serveurs du site de recherche en ligne ont automatiquement considéré qu'ils étaient victimes d'une attaque magistralement orchestrée et ont redirigé le flux vers d'autres pages. Le site de la BBC a, quant à lui, observé une augmentation de son audience de 48% vers 4 heures du matin et sur Wikipedia le profil du chanteur a été modifié plus d'une centaine de fois. Du jamais vu. Quant à Twitter, les messages de fans ou, au contraire, de détracteurs du chanteur, n'ont jamais autant fleuri sur le site de micro-blogging depuis l'élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis. Ethan Zuckerman, membre du Berkman Center for Internet and Society d'Harvard, note que 15% des messages de son Twitter parlent de Michael Jackson. Un taux trois fois plus important que ceux enregistrés par la grippe porcine ou les événements en Iran. Depuis ce matin, la moitié des thèmes abordés parlent du roi de la Pop. Twitter a également profité des défaillances d'autres sites comme AOL, indisponible pendant quarante minutes. Quelque 4000 internautes se sont rués en même temps sur Twitter pour vérifier si Michael Jackson avait bien tiré sa révérence. (...)

(26/06/2009 13:52:14)

Microsoft et Publicis s'associent dans la publicité en ligne

Microsoft et Publicis ont signé hier un partenariat pour créer des outils numériques destinés au marketing et à la publicité. Cet accord porte sur trois axes : produire du contenu, développer des moyens technologiques pour mesurer les performances des campagnes de publicité et cibler au mieux les audiences. Le but est de suivre le comportement de l'internaute avec précision, afin de déterminer si les publicités sont judicieusement choisies et si elles se concluent par un acte d'achat. Les détails financiers de cet accord entre Microsoft et la société française de communication et de conseil en achats média n'ont pas été communiqués. Les deux groupes travailleront ensemble à travers Vivak (l'entité numérique de Pubicis) et utiliseront Admira, une solution conçue par Microsoft Advertising. Un premier projet, baptisé « The Pool », sera testé cet été sur des contenus vidéo de format court. Selon Forrester, le recours au format vidéo dans la publicité en ligne devrait quadrupler d'ici à 2013, pour atteindre un chiffre d'affaires de 986 M€ par an. Ce modèle est en effet censé retenir plus longtemps et plus efficacement l'attention des internautes, d'où son succès auprès des annonceurs. Les nouvelles maquettes publicitaires seront ensuite déclinées sur d'autres médias, comme les téléphones portables, la télévision et le marketing social (sur les réseaux communautaires). Sur le secteur très disputé du marché de la publicité en ligne, Publicis est également partenaire de Google . Les deux groupes coopèrent depuis plus de deux ans au sein d'une entité commune comptant une centaine de collaborateurs. (...)

(26/06/2009 12:57:14)

Le nouveau patron de l'Icann est américain

L'Icann a un nouveau président et il est Américain. L'Internet Corporation for Assigned Names and Numbers, qui tient sa réunion publique trimestrielle cette semaine à Sydney, vient ainsi de voter en faveur de l'accession de Rod Becktrom au poste de CEO. Il remplace l'Australien Paul Twomey, qui occupait cette fonction depuis 2003 et qui était le premier patron de l'organisme chargé de réguler Internet à ne pas être ressortissant américain. Ceux qui espéraient que la mainmise des Etats-Unis sur l'Icann s'allège avec l'accession d'un nouveau CEO risquent donc d'en être pour leurs frais. A commencer par l'Union européenne qui, en mai, réclamait, par la voix de Viviane Reding, une évolution du contrôle unilatéral exercé par l'Administration américaine sur l'organisme de régulation. La Commissaire européenne à la société de l'information invoquait la nécessité, à l'approche de l'expiration du contrat liant l'Icann et le gouvernement américain (ce contrat prendra fin le 30 septembre), de privatiser l'institution et d'en confier la gouvernance à des représentants de plusieurs pays. Ancien directeur du Centre national de la cybersécurité rattaché au Department of homeland security, Rod Becktrom n'est officiellement pas nommé à la tête de l'Icann en raison de sa nationalité, mais seulement parce qu'il était le meilleur candidat. Il possède « l'expérience personnelle et technique dont a besoin l'Icann », souligne le régulateur, et est adoubé par le père d'Internet, Vinton Cerf, et le patron de Google, Eric Schmidt. Son premier chantier - d'envergure - consistera à mener à bien l'extension des noms de domaine génériques, prévue pour l'an prochain. (...)

(25/06/2009 13:32:23)

Les entreprises ne surveillent pas assez leur réputation sur les réseaux sociaux

Deloitte encourage les entreprises à tenir compte des risques engendrés par la fréquentation des réseaux sociaux par leurs salariés. 74% des 2000 personnes interrogées par le cabinet d'études estiment en effet qu'il est facile de nuire à la réputation d'une marque via des sites comme Facebook, Twitter ou YouTube, et ce même de manière non intentionnelle. 37% d'entre elles ne tiennent pourtant pas compte de l'impact que leurs commentaires, photos et autres vidéos postés sur ces sites peuvent avoir sur leurs collègues, leurs patrons ou leurs clients. Du côté des dirigeants, 58% ont conscience des risques mais, dans les faits, seuls 15% ont mis en place des solutions pour y remédier, notamment en termes de communication et de prévention. Ce qui ne signifie pas pour autant que les comportements changent. La moitié des salariés interrogés n'a nullement l'intention de modifier sa manière d'utiliser les sites communautaires, et ce quelles que soient les préconisations de l'entreprise. 24% d'entre eux ignorent si leur employeur a mis sur pied une politique à ce sujet, et seuls 15% déclarent l'approuver. Dirigeants et salariés sont également divisés sur les avantages que la fréquentation des réseaux sociaux peut apporter à l'équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle. 56% des dirigeants estiment qu'ils améliorent la balance entre les deux, contre 31% chez les employés. En termes de taux de fréquentations, 44% des personnes interrogées ne se connectent jamais à des réseaux sociaux, 10% une fois par semaine et 45% plusieurs fois. Elles sont peu nombreuses à le faire depuis le lieu de travail (21%) et affirment le faire essentiellement pour des raisons professionnelles. 29% des salariés interrogés avouent que le contexte économique les pousse à être plus prudents dans leurs messages sur les réseaux sociaux. 7% confient avec eu connaissance de licenciements faisant suite à un comportement sur Internet jugé « inadapté » par l'employeur. (...)

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