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(25/06/2009 11:51:51)

Google lance un site pour accélérer le Web

Google s'est donné un nouvel objectif : accélérer la navigation sur le Web pour la rendre aussi rapide que « tourner les pages d'un magazine ». Pour cela, la société vient de lancer un site à destination des développeurs. Outre une vidéo d'introduction, la page Web leur fournira des conseils et des outils pour améliorer la performance de leur site, ainsi qu'un espace de discussion et d'échange. Au-delà du Web traditionnel accessible par les ordinateurs (netbooks compris), Google veut aussi doper le Web mobile, accessible par les baladeurs ou les smartphones (notamment avec le système d'exploitation Android). Reste que pour réellement augmenter les performances du Web, Google devra faire plus que mettre en ligne un simple site. Le géant du Web devra notamment fédérer développeurs, fournisseurs d'accès à Internet et éditeurs de navigateurs pour pousser à l'adoption des standards les plus récents comme TCP/IP ou HTML (notamment HTML 5). (...)

(24/06/2009 15:38:44)

Hadopi : la suspension de l'abonnement à Internet fait son retour

Un nouveau texte portant sur les sanctions en cas de téléchargement illégal sur Internet a été présenté mercredi 24 juin en Conseil des ministres. Logiquement, le projet de loi a été remanié pour permettre à la justice de sanctionner les fautifs, alors que le texte initial accordait ce rôle à une haute autorité administrative (Hadopi). Ce point avait été censuré par le Conseil constitutionnel, le 10 juin dernier. "Prenant acte de la décision du Conseil constitutionnel (...), le projet de loi présenté le 24 juin en Conseil des ministres simplifie le dispositif judiciaire de lutte contre le téléchargement illégal. Il autorise la Haute autorité pour la diffusion et la protection des oeuvres à constater les infractions et permet à la justice de recourir à des procédures simplifiées pour prononcer des sanctions", indique le communiqué du conseil. En cas de téléchargement illégal d'oeuvres protégées, la suspension de l'abonnement à Internet pourra donc être décidée par un tribunal correctionnel. Quant à l'Hadopi, son rôle sera de constater les infractions à la protection des oeuvres sur Internet, et à émettre des avertissements. Le nouveau texte sera examiné à partir du 20 juillet prochain, pendant la session extraordinaire du Parlement. (...)

(24/06/2009 13:19:47)

MySpace supprime 300 postes et ferme quatre bureaux

MySpace va supprimer 300 postes en dehors des Etats Unis, soit les deux tiers de ses effectifs, alors que le site communautaire parlait de 30% il y a quelques jours à peine. La société a également annoncé qu'elle allait fermer quatre bureaux, sans toutefois préciser lesquels. La France pourrait être concernée (avec l'Argentine, le Brésil, le Canada, l'Espagne, l'Inde, l'Italie, le Mexique, la Russie et la Suède - le Japon et la Chine ne sont pas menacés). MySpace souhaite concentrer ses activités au sein de trois bureaux, à Londres, Berlin et Sydney. « Nos effectifs ont trop gonflé et ont entravé notre fonctionnement, a commenté Owen Van Natta, PDG du groupe depuis deux mois. Nous voulons nous recentrer sur l'innovation, nos utilisateurs et nos produits. » Filiale du groupe américain News Corp (depuis 2005) détenue par le milliardaire Rupert Murdoch, MySpace a longtemps été le réseau social plébiscité par les internautes américains. Avec 200 millions de membres Facebook l'a dépassé en termes de popularité, aux Etats-Unis comme dans le monde. Ces sites éprouvent toujours beaucoup de difficultés à bâtir un modèle économique solide et à monétiser leur audience. (...)

(24/06/2009 10:56:22)

France Télécom formalise le télétravail

France Télécom et les organisations syndicales du groupe (CFDT, CFE-CGC, CFTC et FO) ont signé hier un accord sur le télétravail. Ce dernier repose sur trois principes : le volontariat, la possibilité de retourner à une position classique dans des délais raisonnables et le maintien du lien social (par la formation ou par une présence dans les locaux de l'entreprise deux jours par semaine). De son côté, le salarié demandeur doit être autonome et exercer une activité quantifiable et contrôlable à tout moment. En France, le groupe compte près d'un millier de télétravailleurs (à domicile ou dans un bureau au sein de l'entreprise, mais autre que le lieu habituel), soit moins de 1% de ses effectifs. A travers cet accord, il souhaite encadrer un mode de fonctionnement qui existe donc déjà, mais aussi se donner davantage de moyens techniques pour permettre aux salariés d'effectuer tout ou partie de leur travail à distance. Le groupe leur fournira un bouquet de technologies à cet effet (xDSL, Business Everywhere, Internet Everywhere , la 3G, le WiFi...). Au début du mois de juin, les députés français ont adopté une proposition de loi visant à consacrer l'entrée du télétravail dans le Code du travail. L'Hexagone est en retard à ce sujet. Seuls 7% des salariés bénéficient d'un tel type d'aménagement des conditions de travail, contre 13% dans l'ensemble de l'Union européenne. (...)

(23/06/2009 15:56:55)

Le Nouveau Centre rédige sa Déclaration des droits fondamentaux numériques

Le Nouveau Centre, en partenariat avec la Fondation pour l'innovation politique, vient de dévoiler sa Déclaration des droits fondamentaux numériques. Composée de dix articles précédés d'un préambule, elle se veut calquée sur les grandes déclarations des droits, comme celles de 1789 ou de 1948. Cette initiative répond au constat que « les TIC constituent les leviers d'une profonde mutation du monde et redessinent les rapports au politique, aux autres et à soi-même », explique Dominique Reynié, le directeur général de la Fondation. Dans cette perspective, un groupe de travail a été constitué, qui rassemble des universitaires, juristes et autres spécialistes de l'IT, pour que l'avènement des TIC en général, et d'Internet en particulier, s'accompagne de plusieurs garanties pour les citoyens-utilisateurs. « On peut établir une corrélation avec le marché, indique Hervé Morin, le président du Nouveau Centre. Une pensée unique se base sur la certitude que pour générer de la croissance, il faut un maximum de dérégulation. Sur Internet, on a parfois l'impression que cette même pensée unique est une règle de base. Nous pensons au contraire que pour que la liberté puisse s'épanouir, il faut la concilier avec les libertés fondamentales de la République. » Les huit articles de la Déclaration visent donc à introduire une dose de régulation dans l'univers numérique, pour penser le bien public de l'Internet et montrer aux jeunes générations « qui sont nées dans le chaudron numérique et qui voient dans Internet une sorte d'opérateur de confiance, de grand ami, comme l'explique le professeur en sciences de l'information Jacques Perriault, qu'il peut aussi y avoir des règles du jeu ». Les internautes invités à débattre du texte Le premier article donne le ton en disposant que « toute personne a le droit d'accéder et d'utiliser librement le réseau Internet, neutre et ouvert, sous réserve de ne pas porter atteinte à l'ordre public et aux droits d'autrui ». Il s'agit, selon Hervé Morin, de garantir un droit d'accès à un service public numérique universel en s'opposant à toute forme de filtrage. On relèvera néanmoins, et comme l'a fait Jeremy Zimmermann, le fondateur de la Quadrature du Net, que la Déclaration ne proclame pas une supériorité de la liberté d'expression (via Internet) sur le droit d'auteur. C'est pourtant ce qu'a fait récemment le Conseil constitutionnel en censurant partiellement la loi Création et Internet. Cette réflexion sur l'universalité du droit d'accès au Web, ainsi que celles relatives aux autres dispositions de la Déclaration (sur le respect de la vie privée numérique, de la dignité, du droit à l'oubli ou de l'anonymat), pourront être exprimées en ligne. Les internautes ont en effet la possibilité de commenter ou de proposer leurs modifications aux huit articles du texte sur droits-numériques.org. Une version anglophone du site sera mise en ligne dans les jours qui arrivent, pour élargir le débat au plus grand nombre. L'idée des initiateurs du projet est d'imaginer une régulation du Web qui dépasse les expressions juridiques nationales, jugées insuffisantes. « Il faut que la communauté des internautes s'en empare pour que ça devienne au moins un enjeu européen. Si l'Europe s'en saisit, on peut imagine que ça dépasse ce cadre pour intéresser toute la planète », conclut Hervé Morin. (...)

(23/06/2009 08:07:09)

Dassault Systèmes investit 3 millions d'euros dans Bluekiwi

BlueKiwi Software, éditeur d'une plateforme de réseaux sociaux d'entreprise, réalise une levée de fonds de 4,7 millions d'euros. Sofinnova Partners, investisseur de la première heure dans la startup avec 5,3 millions de dollars à sa création il y a 3 ans, continue de faire confiance à Bluekiwi, cette fois-ci à hauteur de 1,7 millions d'euros. Par ailleurs, le numéro un français du logiciel, Dassault Systèmes, participe pour 3 millions d'euros dans cette levée de fonds. Carlos Diaz et Christophe Routhieau, les deux fondateurs de la jeune pousse, demeurent majoritaires. Les liens entre Bluekiwi et Dassault Systèmes ne sont pas nouveaux. L'éditeur de PLM (Product lifecycle management) a en effet été le premier client de la startup. Dès 2006, avant même la disponibilité de l'offre de réseau social de cette dernière, le directeur général des ventes de Dassault Systèmes, Arnaud Poujardieu, avait décidé d'adopter le concept pour ses équipes. En octobre 2008, il a finalement rejoint Bluekiwi en tant que DG... En plus de sa participation au capital de la jeune pousse, Dassault Systèmes signe aussi un partenariat technologique et commercial avec celle-ci. Comme précisé par le géant du logiciel français, Bluekiwi « bénéficiera de la technologie de Dassault Systèmes et de sa présence à l'international. » (...)

(23/06/2009 08:07:32)

L'administration publique ouvre un portail personnalisable

Après le portail du Sénat fin mai et celui du gouvernement au début du mois de juin, c'est au tour des services administratifs en ligne de s'offrir un relooking. Jeudi dernier, Eric Woerth, ministre du Budget, des Comptes et de la Fonction publique, et la direction générale de la modernisation de l'Etat ont officiellement lancé Mon.service-public.fr, un portail pour effectuer ses démarches administratives. Déclinaison personnalisable du site général « service-public.fr », cette page permet à l'internaute de s'authentifier une fois pour toute (avec un identifiant et un mot de passe qu'il aura choisis) et de naviguer d'une administration à l'autre (pôle emploi, retraite, allocations familiales, sécurité sociale, logement, justice...). Il doit remplir une série de champs concernant ses informations personnelles (état civil, adresse...). Chaque catégorie se divise en trois parties : services en ligne, actualités et guide des droits et démarches. L'accès aux télé-services de l'Administration via ce portail reste toutefois facultatif. Du côté des administrations, l'adhésion des autorités partenaires au télé-service est tributaire de l'envoi préalable d'une « déclaration de conformité à un acte réglementaire » à la CNIL. Le site comporte également un espace confidentiel de 20 Mo où les usagers peuvent stocker des pièces justificatives ou des documents reçus de la part des services en ligne dans le cadre de démarches administratives. Avec l'onglet « ma communauté », cet espace personnel prend des allures de réseau social : il est possible d'inviter des amis ou des membres de sa famille dans ses contacts et de leur transférer des documents en un clic. Pour sécuriser l'environnement, les données sont chiffrées et les accès ainsi que les transmissions d'informations sont traçables car sauvegardés dans un historique. L'usager reste libre de rectifier ou de supprimer ses données. Elles sont automatiquement conservées pendant une durée de 36 mois. Au-delà de ce délai et après deux mails d'avertissement, le compte est supprimé et les informations sont détruites. (...)

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