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(02/06/2009 17:14:07)
Antitrust : Bruxelles pourrait imposer la présence de plusieurs navigateurs dans Windows
Firefox dans Windows dès l'installation du système d'exploitation : si, aujourd'hui, cette idée semble farfelue, elle pourrait devenir réalité dans quelques mois. La Commission européenne, qui étudie les remèdes à apporter à l'abus de position dominante dont profiterait Internet Explorer de son inclusion dans Windows, s'orienterait vers une solution risquant de déplaire fortement à l'éditeur de Redmond, rapportent nos confrères du Wall Street Journal. Plutôt que d'imposer à Microsoft de livrer Windows sans aucun navigateur Internet, comme cela a été évoqué pendant l'enquête ouverte à la suite d'une plainte déposée par Opera, l'exécutif européen aurait choisi de contraindre l'éditeur de permettre aux utilisateurs d'opter pour le browser qu'ils préfèrent. Le WSJ décrit ainsi un écran d'accueil que trouveront les consommateurs lors de la première utilisation de leur OS, à travers lequel ils pourront cocher le ou les navigateurs qu'ils souhaitent installer et définir celui qu'ils désirent utiliser par défaut. Cette solution, si elle est retenue, ne surprendra pas Microsoft. L'éditeur l'avait en effet évoquée en janvier dernier, dans un document qu'il avait remis à la SEC, le gendarme des bourses américaines. En optant pour ce remède à la position anticoncurrentielle d'IE, Bruxelles adresse également un signe aux éditeurs de navigateurs tiers : ces derniers ont multiplié les initiatives pour qu'une telle solution soit retenue, plutôt que la simple suppression d'IE de Windows. Si l'information du WSJ était avérée, elle entraînerait néanmoins son lot de mécontentements. Outre Microsoft, forcément chagrin de voir des produits concurrents s'immiscer dans Windows, les constructeurs de PC pourraient eux aussi pâtir de cette décision. C'est ce que clame CompTIA (Computing technology industry association), un groupement de plusieurs fabricants allié à Microsoft dans ce dossier. Selon l'association, l'obligation de proposer plusieurs navigateurs aux utilisateurs pourrait aboutir à un cauchemar pour les OEM, et plus particulièrement pour les plus petits d'entre eux qui n'ont pas forcément les ressources nécessaires pour mettre en place un tel mécanisme. CompTIA déplore également que la décision de l'UE prive les constructeurs du choix des logiciels installés sur leurs PC et les oblige à livrer des configurations équipées de centaines de programmes imposés. Et le groupement d'endosser sans scrupule la robe d'avocat de Microsoft en réclamant de la Commission européenne qu'elle abandonne les pistes évoquées par le WSJ et qu'elle reprenne son enquête en tenant compte de l'impact de ses décisions sur les OEM. (...)
(02/06/2009 15:27:43)Google veut se lancer dans l'édition de livres électronique à la fin de l'année
Amazon pourrait bientôt avoir un rival de poids dans le domaine des livres électroniques : Google. Le géant du Web, qui depuis de nombreuses années numérise des ouvrages tombés dans le domaine public, vient d'annoncer son intention d'éditer de nouveaux auteurs sous cette forme d'ici à la fin de l'année. Les livres édités par Google ne seraient pas liés à un support (comme le Kindle d'Amazon), mais lisibles à partir de n'importe quel appareil capable de se connecter à Internet, comme l'iPhone d'Apple, un PC ou l'eReader de Sony avec lequel Google a déjà noué un partenariat. Pour l'instant, les contours de « l'écosystème numérique » que Google veut créer autour du livre restent encore flous : combien coûtera un ouvrage, sera-t-il téléchargeable ou seulement consultable via une interface Web avec authentification, un même livre pourra-t-il être lu en même temps sur plusieurs plateformes ? Une seule chose est sûre : les éditeurs qui accepteraient la proposition de Google doivent lui fournir une version numérisée du livre que Google - et dans un deuxième temps ses partenaires, comme les sites utilisant Google Preview - se chargera de vendre aux internautes. Outre qu'il va falloir convaincre les internautes de passer aux livres électroniques, cette nouvelle décision de Google pourrait lui valoir les foudres de l'Union européenne. En effet, celle-ci s'inquiète déjà du système actuel Book Search, à travers lequel Google numérise d'abord les livres avant de demander la permission aux éventuels ayant-droits de les mettre en ligne. La délégation allemande à la Commission européenne y voit une violation du droit de la propriété intellectuelle européen. Elle précise également que cette numérisation a priori pourrait être considérée comme une pratique anticoncurrentielle, nuisant aux autres acteurs du Web, dont l'initiative Europeana de la Commission. Voir Google s'attaquer encore davantage au domaine de l'édition électronique pourrait donner plus de poids à ces inquiétudes. (...)
(29/05/2009 18:36:06)Futur en Seine passe Paris en numérique pendant toute une semaine
Urbadeus, Le Cube (Issy-les-Moulineaux) Spécialement conçu à l'occasion de la première de "Futur en Seine", Urbadeus entraînera les visiteurs dans une exploration du territoire d'Issy-les-Moulineaux axée sur les thèmes de l'urbanisme et du partage. Muni de leur téléphone mobile, les participants seront invités à enregistrer un parcours numérique via des photos, vidéos et autres sons, capturés au fil de leur cheminement. Toutes ces données seront alors intégrées en temps réel sur une maquette 3D de la ville qui sera diffusée sur écran géant au Cube. Une soirée "Rencontre" sera organisée pour l'occasion, mardi 2 juin. Parcours en accès libre du 30 mai au 6 juin. La Montre verte Futur en Seine n'a pas non plus oublié le green IT et les capacités des TIC à équiper la ville pour la rendre durable. Un des exemples phare est la montre verte dont l'objectif est d'équiper tout un chacun avec des capteurs pour multiplier les mesures environnementales (Paris ne compte par exemple qu'une dizaine de capteurs pour sa qualité de l'air !). Cette montre écolo est équipée d'un capteur pour l'ozone et d'un autre pour le bruit, d'une puce GPS et d'une puce Bluetooth. Elle embarque aussi une application java développée par SFR, pour visualiser les niveaux de bruit et d'ozone mesurés qu'elle transmet à intervalles réguliers via le téléphone mobile de son heureux propriétaire à la plateforme Citypulse. Pour Futur en Seine, des collégiens et lycéens de Montreuil, des chercheurs de la Cité des sciences et les visiteurs de la wikiplaza (place de la Bastille) pourront tester quelques prototypes. Les données qu'ils auront récoltées donneront naissance à des cartographies consultables en ligne sur le site LaMontreVerte.org. Imaginé dans le cadre du programme Villes 2.0 de la Fing (Fédération Internet nouvelle génération), la « montre verte » est l'un des 16 prototypes lauréats de l'appel à projet du pôle de compétitivité parisien Cap Digital et financé par la Région Île-de-France. Télescope de réalité augmentée, Arc de triomphe Planté sur les hauteurs de l'Arc de triomphe, le "Télescope de réalité augmentée" permettra à tous d'observer la capitale parisienne sous un nouveau jour. Le dispositif traîte en temps réel les images capturées via une caméra afin d'apporter différents niveaux de lecture et d'interprétation du paysage. Ainsi, tout objet observé sera immédiatement enrichi d'éléments graphiques et textuels. Les visiteurs seront donc invités à découvrir les monuments et rues de Paris dans leurs moindres détails avec des commentaires tels que la date de construction, le nom de l'architecte, la hauteur, ...). Avec le "Télescope de réalité augmentée", il permettra également de se déplacer dans le temps pour découvrir les éléments disparus d'un paysage ou les projets de construction futurs. Paris en 3D, Le pavillon de l'Arsenal Après le lancement officiel de son service "Vue du Ciel" sur la Toile début mai, PagesJaunes présentera ses dernières innovations en matière de modélisation 3D en compagnie du groupe Archivideos. Les deux sociétés dévoileront au grand public trois de leurs dernières créations au Pavillon de l'Arsenal, les 30 et 31 mai. Les visiteurs seront notamment invités (re)découvrir Paris en 3D au travers d'un grand écran tactile, un film HD en relief ou encore une borne interactive. Robot Touriste, La Cité des Sciences et de l'Industrie A l'occasion de la première édition de "Futur en Seine", le Groupe Gostai invitera tous les technophiles et autres curieux du monde entier à prendre les commandes d'un robot touriste afin de se livrer à une visite virtuelle de la Cité des Sciences et de l'Industrie de la Villette. Les internautes pourront ainsi diriger en temps réel ce robot mobile par le biais d'une interface Web. Tout au long de la visite, des informations additionnelles sur les éléments de l'environnement agrémenteront cette visite à distance. Transports Amoureux, Ligne 3 du Tramway Last but not least, entre le 27 mai et le 7 juin, la technologie prouvera qu'elle peut rimer avec amour et poésie. Chaque voyageur muni d'un iPhone et de l'application "Transports Amoureux" sera invité à contribuer gratuitement à la création d'un cadavre exquis virtuel en lisant et en déposant des messages tout au long de son parcours sur la ligne de tramway T3 reliant le pont du Garigliano à la porte d'Ivry. Déclarations d'amour, joutes de slam, énigmes, poèmes ... Chacun sera libre de créer et de participer à son propre fil. Seule et unique contrainte, les SMS envoyés ne pourront être consultés que sur leur lieu d'émission. Tous les messages seront rassemblés en vue de générer une oeuvre visuelle et sonore diffusée en temps réel sur des écrans situés sur le trajet, à la Cité des Sciences et de l'Industrie ainsi qu'au Musée du CNAM. Une présentation de l'application aura lieu le samedi 6 juin à 16h30 à la Cité des Science (...)
(29/05/2009 18:17:45)Microsoft fait les présentations officielles de Bing
Comme prévu, Microsoft a profité de la manifestation californienne All Things D pour montrer son nouveau moteur de recherche, avec un tout nouveau nom et des fonctions étendues, avant de le rendre disponible dès le 3 juin. C'est Steve Balmer en personne, le CEO de l'éditeur, qui a mené la première démonstration du remplaçant de Live Search. Après s'être appelé un temps Kumo, celui-ci porte le doux nom de Bing. Bien évidemment, Microsoft appuie sur les différences entre Bing et Google, le grand maître du jeu lorsque l'on parle de recherche sur le Web. Les algorithmes de Bing rangent ainsi les résultats de recherche en fonction de leur pertinence pour les internautes. Il exploite la technologie de recherche sémantique de l'entreprise Powerset qu'il a achetée en juillet 2008. Le moteur de Microsoft classe par ailleurs dynamiquement les résultats de recherche dans des catégories comme 'Web', 'cartes' ou 'images', dans une barre déroulante sur la gauche de l'écran. Pour résumer, Stefan Weitz, directeur de Live Search pour Microsoft, préfère parler de Bing comme d'un "moteur de décision" qui aidera l'internaute à explorer, chercher, et trouver ce qu'il souhaite. « Certaines de ces fonctions, prises une par une, donnent de meilleurs résultats que chez Google, constate Greg Sterling, analyste pour Sterling Market Intelligence, mais le changement n'est pas suffisamment drastique pour pousser les internautes à migrer massivement. C'est un premier pas important, ou une nouvelle salve, si l'on veut, pour Microsoft, mais cela ne va pas changer le marché tel qu'il existe aujourd'hui. Microsoft ne considère pas Bing comme une fin, mais comme un début." Si Bing ne fait pas courir un très grand risque à Google, il pourrait bien mettre en difficulté les moteurs d'AOL, Ask.com ou même Yahoo. Pour Allen Weiner, analyste du Gartner, Bing ne représente en effet pas une révolution dans la recherche sur le Web. Pour l'analyste, « Bing est surtout un moyen pour Microsoft de rattraper ses concurrents. » Mais le moteur semble avoir un nouvel atout de taille. Et c'est son nom. A l'occasion de la conférence, Steve Ballmer, le CEO de Microsoft a expliqué le choix de Bing. Un nom court, qui fonctionne pour un public assez large et n'a aucune connotation négative. Allen Weiner approuve. Pour lui, avec Bing, Microsoft tient enfin une marque, contrairement aux précédents MSN ou Live Search. « Bing peut faire l'objet de marketing, il se prononce facilement », il est identifiable... mais pas trop lié à la marque Microsoft non plus. « Ils bâtissent leur propre niche, comme avec la Xbox." Reste qu'à l'heure de cette annonce loin d'être majeure, Google a de son côté secoué le Web avec sa Wave, présentée lors de sa conférence développeurs, I/O, qui se tenait au même moment à San Francisco. "Google continue de rappeler qu'il dépense des sommes d'argent imposantes et beaucoup de temps pour imposer au monde le futur du moteur de recherche, continue Greg Sterling. En aucun cas, il ne laisse son imagination reposer !" (...)
(29/05/2009 17:05:57)Google veut faire collaborer les gens dans une «wave»
Après deux ans de travail, Google a dévoilé Wave, un ambitieux programme de collaboration en ligne empruntant à ses divers outils (courriel, messagerie instantanée, gestion de photos, partage de documents...). Lars Rasmussen, co-fondateur du projet, l'a présenté lors de la conférence I/O de Google, en expliquant que le plus gros challenge serait de faire comprendre l'intérêt de Wave aux utilisateurs. C'est pourquoi, dit-il, Google a choisi d'informer en premier lieu les développeurs, et de discuter avec eux, plusieurs mois avant de donner un accès au public. Du côté professionnel, Google Wave empiète évidemment sur les plates-bandes de Microsoft, Lotus (IBM), Adobe et consorts, en proposant des services similaires par le biais d'un navigateur. Lars Rasmussen explique son invention sur le blog de Google : « Une vague est à parts égales un document et une conversation, où les gens peuvent communiquer et travailler ensemble sur des textes à la mise en page riche, des photos, des vidéos, des cartes, et plus encore. Voilà comment cela fonctionne : dans Google Wave, vous créez une vague et y ajoutez des gens. Chacun peut éditer du texte, des photos, des gadgets, ou encore des flux de données d'autres sources du Web. Ils peuvent insérer une réponse ou éditer la vague directement. C'est de l'édition de texte simultanée : vous pouvez voir sur votre écran ce que tapent vos collaborateurs dans votre vague quasiment instantanément. Ce qui signifie que Google Wave est aussi bien calibré pour les messages rapides que pour le contenu persistant ; il s'agit aussi bien de collaboration que de communication. Vous pouvez aussi rembobiner la vague et voir comment elle a évolué. » Un mode de communication plus innovant que Gmail Ken Dulaney, analyste de Gartner qui a assisté à Google I/O, se dit très impressionné par le projet : « C'est l'un des meilleurs concepts que j'ai vus ces cinq dernières années. » Il s'attend à ce que les utilisateurs de Gmail, le service de courriel en ligne gratuit de Google, migrent vers ce nouveau service, dans la mesure où il s'agit pour lui d'une évolution significative de la façon dont on peut communiquer sur Internet. De fait, Lars Rasmussen cherche à abolir les habitudes de mimétisme qui ont été prises jusque-là (en remplaçant le courrier par le courriel, le téléphone par la messagerie instantanée avec ajout éventuel de l'audio et de la vidéo), en faveur d'un mode de communication entièrement neuf, sans aucune racine dans le monde réel. Néanmoins, il lui faudra parvenir à améliorer sensiblement la façon dont les applications Google gèrent aujourd'hui la collaboration en temps réel. Sur Google Docs, c'est une catastrophe. Pour l'aspect graphique, Google Wave s'appuie sur HTML 5 et sur son outil d'applications Internet riches (RIA), GWT (Google Web Toolkit), qui permet de développer en Java des services avec des interfaces Ajax. Un des objectifs est en effet de simplifier le développement de solutions capables de s'intégrer dans Wave, et la population de développeurs Java est ainsi directement concernée. En outre, le code source de Wave sera publié en Open Source. (...)
(29/05/2009 14:25:18)France Televisions teste Roland-Garros en HD sur le Web avec Silverlight
C'est un coup dur pour la productivité des travailleurs-internautes, mais aussi une grande première mondiale : France Televisions profite de Roland-Garros pour tester gratuitement la diffusion en HD (720p) et en direct des matches du tournoi sur le Web. Le télédiffuseur s'est associé à Inlet Technologies, Level 3 Communications et Microsoft pour produire une offre originale à plusieurs titres ; en effet, malgré sa grande taille, l'image reste fluide quel que soit le débit de l'internaute, et ce dernier a la possibilité de jouer avec le flux comme avec un magnétoscope numérique (pause, retour de 8 secondes en arrière pour revoir une action, retour à n'importe quel moment de la diffusion grâce à une échelle de temps, retour au direct...), et cela sans aucune interruption de l'image, car il n'y a pas de mise en mémoire tampon (buffering). Le 'smooth streaming' fait varier la qualité du flux en temps réel en fonction du débit Techniquement, les images capturées par France Televisions en HD 1080i sont encodées par une batterie d'appareils Inlet Spinnaker, qui produit des flux de plusieurs qualités jusqu'au HD 720p (25 images par seconde, pour une résolution d'image de 1280x720 pixels en progressif). Les flux sont ensuite mis à disposition du serveur Web Microsoft IIS 7, qui les diffuse grâce au CDN (Content distribution network, réseau de distribution de contenu) de Level3. Silverlight détecte qu'il y a plusieurs flux disponibles, et change celui qu'il diffuse selon la bande passante disponible (technique de Smooth streaming). Pour recevoir l'émission, il suffit donc d'installer le plug-in Silverlight de Microsoft sur son poste, et de se connecter sur l'un des sites de France Televisions - de bonne heure, car l'accès au service est limité. Si la qualité est moindre que de la TNT HD sur son poste de télévision (on peut s'apercevoir qu'il manque quelques images), le résultat est impressionnant de fluidité, et à mille lieues au-dessus de ce qu'offrait la chaîne sur ses sites Web à l'occasion des Jeux olympiques de Pékin. D'après France Televisions, qui indique tout de même qu'il s'agit d'une bêta, son service fonctionne dès aujourd'hui sur tous les systèmes, Linux y compris. (...)
(28/05/2009 17:07:27)La nouvelle patronne de Yahoo accepterait une offre de Microsoft, mais seulement à un prix élevé
A l'occasion de la conférence All Things D qui se tient en Californie cette semaine, Carol Bartz, CEO de Yahoo a déclaré qu'elle regarderait avec intérêt une nouvelle offre de Microsoft sur son entreprise. Citée à cette occasion dans le Wall Street Journal, elle précise néanmoins que « si d'importantes sommes d'argent et les bonnes technologies entrent en ligne de compte, nous conclurons un deal, c'est certain. C'est aussi simple que cela. » Elle a aussi confirmé qu'elle continuait de parler « un peu » avec Microsoft d'un achat concernant uniquement son moteur de recherche. Une option plus plausible que le rachat complet de Yahoo qui, là encore, exigerait une somme d'argent importante et un arrangement juste autour du partage des données récoltées par le moteur. « Dans tout cela, il y a deux parties prenantes, a précisé Carol Bartz. L'une a l'argent, l'autre détient les données. » Microsoft avait fait une première offre de 45 Md$ à Yahoo, à 31$ l'action, en février 2008 avant de monter jusqu'à 33$. Mais Jerry Yang, alors PDG du moteur de recherche, avait finalement refusé toutes les avances du géant de Redmond. Ce qui allait finalement lui coûter son poste. Aujourd'hui, l'action Yahoo plafonne péniblement à 15$. Depuis ces tractations avortées, les deux firmes ont tenté tant bien que mal de rester dans le sillage de Google, leader incontesté de la publicité dans les moteurs de recherche. A l'occasion du remplacement de Jerry Yang par Carol Bartz début 2009, nombre d'observateurs avaient estimé que l'ancienne patronne d'Autodesk n'aurait jamais pris les rênes de Yahoo simplement pour procéder à une vente à Microsoft. En revanche, Yahoo pourrait procéder de son côté à des acquisitions. « Nous sommes très intéressés par les réseaux sociaux et la vidéo, a ainsi précisé la CEO. « Ce n'est que le début. Tout le secteur de la vidéo est vraiment passionnant, avec des ventes publicitaires qui seront multipliées par quatre d'ici 2011. » (...)
(28/05/2009 17:06:59)La FNTC publie un guide du vote électronique
La Fédération nationale des tiers de confiance (FNTC) vient de compléter sa collection de guide sur les procédures de dématérialisation d'un fascicule consacré au vote électronique. Celui-ci traite principalement des votes privés à caractère social ou institutionnel, tels que les élections des représentants du personnel au sein d'une entreprise, celles des représentants d'une association ou d'un syndicat, ou encore l'élection d'un conseil de surveillance, par exemple. Sur une trentaine de pages, le guide explique les avantages de la formule (réduction des délais et des coûts, augmentation de la participation...), les étapes de sa mise en oeuvre et ses exigences (déclaration auprès de la CNIL, notamment). Il se clôt sur une liste des textes juridiques de référence et un glossaire. Ce « guide du vote électronique » peut être téléchargé sur le site de la FNTC. Cette dernière diffuse également une version papier sur les salons auxquels elle participe. La fédération nationale des tiers de confiance a également mis à jour son « vade-mecum juridique de la dématérialisation des documents » pour prendre en compte les récentes évolutions. Parmi celles-ci figurent en particulier l'externalisation du marché des collectivités locales ouverte par la loi du 15 juillet 2008, et la dématérialisation du bulletin de paie. Les quarante pages du guide se répartissent entre les applications de la sphère privée (contrats, factures et billetterie électroniques, archivage des e-mails...) et celles de la sphère publique (téléprocédures, marchés publics, archivage électronique, carte nationale d'identité). Ce document est lui aussi téléchargeable. Les trois autres guides édités par la FNTC portent sur la signature électronique (publié en septembre 2008), la dématérialisation des marchés publics (décembre 2006) et l'horodatage (octobre 2004). (...)
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