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(28/05/2009 16:14:30)

L'étude Médiamétrie démontre la généralisation de l'usage d'Internet en France

En 10 ans, Internet est devenu incontournable pour les Français. Ce constat, dressé par l'Observatoire des Usages Internet (O.U.I.) de Médiamétrie, explique simplement la place occupée par ce média dans la vie quotidienne des Français. En France, entre 1999 et 2009, le nombre d'internautes (personnes de 18 ans et plus) connectés sur un mois est ainsi passé de 3 à 29 millions. Ce développement a touché toutes les couches de la population, à commencer par les seniors. La part des internautes chez les plus de 50 ans a grimpé, en dix ans, de 16,5% à 29%. Quant aux femmes, qui ne représentaient que 39,2% des internautes en 1999, elles sont aujourd'hui 48,3%. Cette banalisation du Web se constate sur tous les indicateurs suivis par Médiamétrie. En 1999, les catégories socio-professionnelles les plus modestes ne représentaient que 13% des internautes. Elles représentent 34,1% en 2009. La région parisienne, qui captait à l'origine 35,1% des internautes, est retombée à 20,7%, un recul qui démontre la conquête réalisée par le nouveau média au plan national. La généralisation des accès Internet par câble et ADSL a également entrainé de profondes modifications dans les comportements des consommateurs avec l'explosion du commerce électronique dans le secteur des voyages et de la distribution. Et même l'actuelle crise économique ne ralentit pas le développement des cybermarchands qui devraient connaître une croissance à deux chiffres jusqu'en 2014. (...)

(28/05/2009 15:49:14)

Conférence Google I/O : un outil de script pour personnnaliser Google Docs

Google va ajouter des fonctions de scripting à ses applications Google Docs. Les entreprises utilisant ces logiciels bureautiques en ligne pourront bientôt les personnaliser et automatiser certaines tâches avec Google Apps Script. C'est l'une des annonces faites sur Google I/O, la conférence annuelle de développeurs -3 000 d'entre eux y sont attendus- qui se tient en ce moment à San Francisco (27-28 mai). Sur cette deuxième édition de la manifestation, Eric Schmidt, PDG de l'éditeur californien, est venu prôner les modèles de développement sur le Web qui, selon lui, viennent succéder aux modèles sur mainframe et PC. Google a prévu de donner 4 000 téléphones sous Android aux participants de sa conférence afin de doper le développement sur cette plateforme mobile. L'équipe dirigeante a par ailleurs présenté HTML 5 comme l'une des technologies ouvrant l'éventail des capacités de visualisation sur l'interface Web. Egalement évoquées, la prochaine version du Web Toolkit, 2.0, qui intègrera des fonctions de 'debugging' s'appuyant sur le navigateur, et l'extension pour les développeurs Java de l'accès à la plateforme de cloud, Google App Engine. « Nous avons maintenant les réseaux, les entreprises, les développeurs et les outils pour construire le genre de plateforme que nous voulions mettre en avant », a commenté Eric Schmidt. Google Apps Script, d'abord testé avec Google Spreadsheets Dans les prochaines semaines, l'éditeur californien prévoit de proposer à un millier de clients de prendre en main son outil de scripting sur leurs logiciels Google Docs. En revanche, la date de disponibilité générale de Google Apps Script n'est pas encore connue. Basé sur JavaScript, l'outil comporte des extensions objets ajoutées par Google pour faciliter son apprentissage. Google Apps Script sera d'abord testé dans le tableur, Google Spreadsheets. Il servira par exemple à automatiser des conversions (de pouces en mm) ou des traductions linguistiques, ou bien à relier des applications entre elles (envoi d'e-mail avec feuille de calcul, ou accès à un calendrier depuis une liste d'adresses). Pour l'instant, il n'est pas possible d'importer des macros Excel, mais Google étudie la question. Ces outils de script seront par la suite progressivement ajoutés aux autres applications de la suite bureautique en ligne, a indiqué Jonathan Rochelle, responsable produit des Google Docs, lors d'un point presse sur la conférence Google I/O. Un outil demandé par les intégrateurs Si Google Apps Script vient utilement compléter les logiciels en ligne de Google, il peut aussi, potentiellement, poser certains problèmes de sécurité en ouvrant de nouvelles portes pour certaines attaques. Google entend donc pousser les tests pour ne prendre aucun risque. Cela dit, l'outil devrait surtout plaire aux intégrateurs qui l'ont effectivement réclamé. Sur la conférence Google I/O, plusieurs partenaires présentaient d'ailleurs des outils complémentaires pour les Google Docs. La société LTech, par exemple, qui a déjà migré des centaines de milliers d'utilisateurs de solutions bureautiques sur site vers les Google Apps, propose un outil pour sauvegarder les documents sur un disque local. Oracle aussi est présent sur la manifestation. Il s'apprête à livrer en version bêta un logiciel qui permettra aux utilisateurs de Siebel, son application de CRM (gestion de la relation client), d'importer et d'exporter des données depuis et vers les Google Docs. (...)

(27/05/2009 15:41:17)

L'appel à projets numériques du plan de relance est ouvert

La secrétaire d'Etat à la Prospective et au Développement de l'économie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet, a lancé officiellement ce matin l'appel à projets de R&D du volet numérique du plan de relance du gouvernement. Cet appel concerne les deux sujets que NKM souhaite voir se développer grâce à cette mesure : les serious games et le web 2.0. "Les fonds seront débloqués en 2009" Pour commencer, dès aujourd'hui et jusqu'au 6 juillet, les structures candidates peuvent déposer un dossier de réponse à l'appel d'offre dont tous les détails se trouvent sur telecom.gouv. Dans un second temps, à l'automne, des commandes publiques viendront compléter le dispositif. « Les dossiers d'appel d'offre seront dépouillés entre le 7 juillet et le 30 août et les conventions de financement signées dans la foulée, insiste la ministre. Quoiqu'il en soit, les fonds seront débloqués en 2009. » Les initiatives de 'serious games' se voient allouer un total de 30 M€ dont 20M€ par appel d'offre et 10M€ par le biais de commandes publiques, alors que 20 M€ reviennent au web 2.0, répartis à parts égales entre les deux dispositifs. Selon NKM, les subventions d'un projet devraient être comprises entre 100 k€ et 1 M€. Une PME engagée dans un projet avec d'autres acteurs pourra se voir attribuer un montant représentant jusqu'à 45% de son investissement (30% pour une entreprise plus importante dans le même cas). Pour les candidats qui postulent seuls, les aides atteindront 45% de l'investissement pour un effectif inférieur à 50 personnes, 35% jusqu'à 250 personnes, et 25% au delà. Les demandes doivent concerner le développement d'un service innovant du web et les projets ne pas avoir démarré avant la demande d'aide. Capitaliser sur des compétences technologiques qui ignorent leur potentiel économique [[page]]« Par cet appel à projets, nous cherchons aussi à capitaliser sur des compétences technologiques qui ne sont pas forcément formalisées, ajoute Nathalie Kosciusko-Morizet. Les acteurs eux mêmes ne sont pas conscients de la valeur économique de leur projet. » Pour la ministre, le web 2.0 est sans doute celle des deux thématiques identifiées qui est la plus porteuse d'avenir car elle ne concerne pas des produits finis, fermés, mais au contraire des innovations évolutives. « J'attends de cette démarche que l'on capitalise sur les acteurs du web, mais aussi un électrochoc pour l'administration. » NKM aimerait entre autres voir émerger des interfaces d'accès aux nombreuses données disponibles dans les services publics comme l'empreinte carbone de certains produits ou des comparatifs de prix. A cet égard, les projets proposés à l'appel d'offre pourront tout aussi bien concerner des applications que des interfaces d'accès vers ses données pour développer des applications. A la recherche d'innovations d'usage autant que d'innovations technologiques La démarche vise les « éditeurs de logiciels et de jeux vidéos, les entreprises productrices et agrégatrices de contenus en ligne, les centres de recherche, établissements publics à caractère industriel et commercial, les entreprises du secteur de la formation et enfin, les associations. » Quant aux publics ciblés par les projets proposés, il s'agit des « entreprises désireuses de moderniser leurs outils de formation interne et leurs systèmes d'information internes, voire leurs interfaces clients; les administrations pour les mêmes raisons de formation et pour la modernisation des services rendus aux administrés par l'utilisation de plateformes collaboratives, et enfin le grand public en tant qu'utilisateur de certaines applications de 'serious gaming' et en tant qu'internautes. » Les projets seront jugés en particulier pour leur caractère innovant puisque le financement est destiné aux dépenses de R&D. Fidèle aux convictions qu'elle affiche depuis son arrivée au ministère, NKM a cependant rappelé que cette innovation pourra aussi bien provenir de l'usage que de la technologie. Certains types de projets seront privilégiés comme ceux engageant une collaboration entre plusieurs parties prenantes, ceux portés par les PME, ceux comportant en leur sein de futurs utilisateurs, etc. La labellisation par un pôle de compétitivité sera aussi un atout. En attendant "une deuxième étape en plus forte rupture" Par leur nature même, les aides ne peuvent néanmoins revenir qu'à des structures déjà existantes. On pourrait le regretter dans la mesure où, dans le monde bouillonnant du web 2.0, les idées innovantes naissent la plupart du temps dans les esprits de leurs inventeurs avant même que ceux-ci aient songé à créer une entreprise. Etant donné le délai de quelques semaines pour le dépôt de dossiers, difficile pour eux de même imaginer utiliser le statut d'auto-entrepreneur. Pour postuler, reste à ces porteurs de projets à aller chercher l'appui d'une entreprise existante, d'une association ou encore d'une collectivité locale. Il semble que les adeptes du web 2.0 puisse néanmoins compter sur la ministre du numérique. « Cet appel d'offre, ce n'est pas la fin de l'histoire, affirme-t-elle ainsi. Au contraire, ce n'est que le début. Je veux ensuite une deuxième étape en plus forte rupture. » (...)

(26/05/2009 18:06:27)

Les contenus de Wikipedia passent sous licence Creative Commons

Les contenus qui alimentent l'encyclopédie collaborative Wikipedia, jusqu'à présent publiés sous licence GNU FDL, passeront à partir du 15 juin prochain sous licence Creative Commons Attribution/Share-Alike License (CC-BY-SA). Cette décision, qui répond à une volonté de faciliter la réutilisation de ces contributions, notamment celles à caractère éducatif, vient d'être approuvée par le conseil de surveillance de Wikimedia, l'association qui chapeaute Wikipedia. Auparavant, la proposition avait recueillie les suffrages positifs de 75,8% des quelque 17 500 membres de Wikimedia (13,7% sans opinion et 10,5% contre), avec notamment une participation importante des représentants français, anglais, allemands, russes, espagnols, polonais, italiens et chinois. L'actuelle licence (GNU Free Documentation License) continuera à être supportée dans certains cas, mais sur tous les sites gérés par Wikimedia, c'est bien la licence CC-BY-SA qui prévaudra. L'association autorise la réutilisation des contenus de ses sites sous condition que la source en soit créditée. Lorsque Wikipedia a été créé, en 2001, la licence Creative Commons n'existait pas encore. Son adoption permettra notamment d'abandonner l'obligation de joindre le texte de la licence à chaque copie, Wikimedia jugeant que cela compliquait le processus de réutilisation et d'agrégation des contenus de ses sites. (...)

(26/05/2009 17:03:56)

Microsoft investirait 100 M$ en publicité pour son moteur de recherche Bing (ex Kumo)

Finalement le nouveau moteur de recherche de Microsoft s'appellerait Bing, et non Kumo comme il était jusqu'ici connu. C'est du moins ce que croit savoir le magazine professionnel américain, Advertising Age, à destination des publicitaires. Selon lui, Microsoft s'apprêterait à lancer à l'occasion de sa sortie l'une des plus importantes campagnes publicitaires pour un produit grand public, avec un budget estimé entre 80 et 100 millions de dollars (pour le seul territoire américain) et des déclinaisons papier, TV, radio et Web. Ici, le grand méchant de ces publicités comparatives sera Google, même s'il n'est pas officiellement nommé. À titre de comparaison, Google, leader sur ce secteur, a dépensé 25 millions de dollars au total (dont 11,6 millions pour recruter des employés) en publicité l'an dernier. (...)

(26/05/2009 14:15:40)

Microsoft et Studyrama ouvrent un espace de travail virtuel pour étudiants

Microsoft et le portail Studyrama, spécialisé dans l'orientation et la vie étudiante, lancent ce mardi 26 mai un service permettant de disposer d'un espace de travail virtuel, accessible gratuitement depuis n'importe quel PC connecté à Internet. Baptisée "VocatisLive", cette application est destinée aux lycéens, étudiants et jeunes diplômés. Disponible depuis le site Studyrama.com, VocatisLive permet à un étudiant d'accéder à ses fichiers et de les modifier comme s'il travaillait sur son ordinateur personnel. L'application permet également d'utiliser des outils collaboratifs pour favoriser le travail en équipe, comme le partage de documents et la préparation de présentation à distance. Au lancement, VocatisLive offrira une messagerie électronique de type Hotmail (25 Go de stockage) avec un anti-virus, un anti-spam, et un outil qui récupère et coordonne toutes les autres boîtes mails de l'utilisateur, un agenda à partager avec ses collègues ou ses professeurs, un espace de messagerie instantanée (à partir de septembre 2009) pour discuter en direct avec les organismes de formation, les écoles ou les universités, ainsi qu'une plateforme de gestion de projet. L'accès aux messages est également disponible depuis un téléphone mobile. Les deux partenaires précisent que le service "évoluera constamment afin d'offrir les applications les plus performantes et novatrices du marché". Disponible dans un premier temps sur Studyrama.com, VocatisLive sera par la suite décliné sur l'ensemble des sites du groupe Vocatis : JeuneDip.com, MaPiaule.com, EspaceGrandesEcoles.com, FormaGuide.com, etc. (...)

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