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(05/05/2009 12:37:37)

'Facebook', requête la plus tapée par les Français sur les moteurs de recherche

Avec 38,3 millions de requêtes dans les moteurs de recherche, 'Facebook' est le mot-clé le plus tapé par les internautes français en mars 2009 selon l'institut de mesure d'audience Médiamétrie. Facebook devance largement 'eBay' (13,8 millions de requêtes), 'Orange' (11,5), 'YouTube'(10,2) et 'Pages Jaunes' (10). Twitter pourrait être la prochaine surprise du classement : si le site de micro-blogging n'apparaît pas encore dans le top 30, il enregistre une belle croissance (158%), avec 65 000 requêtes en un mois. Facebook est par ailleurs le neuvième site le plus consulté en France, avec près de 13,7 visiteurs uniques en mars. Comme les mois précédents, l'indétrônable Google arrive en tête des sites les plus fréquentés, avec 29,36 millions visiteurs uniques, loin devant Windows Live/MSN (21 millions), Orange (19,4 millions), Free (16,7 millions) et Yahoo (15,4 millions). Skyrock, longtemps chouchouté par les Français pour ses Skyblogs, arrive seulement en 24e position. En mars 2009, l'Hexagone comptait plus de 33,9 millions internautes (âgés de plus de 11 ans), soit 63,5% de la population française. A lui seul, Facebook dénombre 13,7 millions de membres sur le territoire, soit un internaute français sur trois, contre 2,2 millions un an plus tôt (+518%) et à peine 106 000 en avril 2007. Dans le monde, le site créé en 2004 par Mark Zuckerberg totalise depuis peu 200 millions de membres. Seul hic au tableau, Facebook n'apparaît pas dans le top 50 des sites qui proposent de la publicité et des services. Preuve que si le réseau social a rencontré son public, il est toujours à la recherche d'un modèle économique qui tienne la route. (...)

(05/05/2009 12:07:32)

Antitrust : Bruxelles auditionnera Microsoft début juin

La Commission européenne entendra les arguments de Microsoft début juin. C'est en effet entre le 3 et le 5 que l'éditeur se présentera devant l'exécutif européen pour avancer ses éléments de défense dans le cadre de la procédure censée faire la lumière sur l'éventuel abus de position dominante tirée de l'inclusion d'Internet Explorer dans Windows. Cette audition ne constitue pas une étape obligée de l'enquête ouverte par Bruxelles mais Microsoft a tenu, lorsqu'il a transmis fin avril par écrit ses premières réponses aux accusations formulées par le régulateur européen de la concurrence, à les étayer oralement. Initiée par une plainte du Norvégien Opera Software, l'affaire vise à corriger l'atteinte à la concurrence et à l'innovation causée par la livraison systématique du navigateur Internet de Microsoft avec ses systèmes d'exploitation. Dans le sillage d'Opera, d'autres grands acteurs de l'IT sont venus se greffer au dossier, dont Google, Mozilla, la Free Software Foundation et le Comité européen pour les systèmes interopérables. De son côté, Microsoft a enregistré le soutien de l'Association for competitive technology, qui fédère, aux côtés d'Oracle et de Verisign, plusieurs PME du secteur technologique. L'ensemble de ces acteurs aura accès à la réponse adressée par Microsoft, à la fin du mois dernier, à Bruxelles ainsi qu'à l'audition programmée début juin. Microsoft joue gros dans cette affaire, la Commission disposant d'un vaste arsenal répressif incluant l'amende (on se souvient par exemple des 899 M€ réclamés en février 2008 par Bruxelles), l'injonction de fournir Windows avec plusieurs navigateurs ou de désactiver Internet Explorer dans l'OS. Cette dernière voie semble recueillir les faveurs de l'éditeur, qui inaugure dans Seven une fonction permettant de supprimer complètement son navigateur. Paradoxalement, dans le même temps, Microsoft a accompagné le lancement d'Internet Explorer 8 d'une mise à jour critique pour Windows - via Windows Update - faisant automatiquement du nouveau produit le navigateur par défaut du poste de travail. (...)

(04/05/2009 17:34:14)

Google ne serait pas le père de la marque Android

Mais qui est le père d'Android ? Peut-être pas Google. C'est en tout cas ce qu'affirme Eric Specht, un entrepreneur de l'Illinois qui a décidé d'attaquer le géant de Mountain View ainsi que l'Open handset alliance (OHA). Cet organisme fédère près d'une cinquantaine de grosses pointures du secteur IT qui soutiennent l'OS de Google (Samsung, Vodafone, Sony Ericsson, Asus, Samasung, LG...). Fondateur d'Android Data (éditeur de solutions de sécurité pour les sites Web), Eric Specht a obtenu des autorités américaines le droit de se servir de la marque en 2002. Il réclame 94 M$ de dommages et intérêts pour contrefaçon ainsi que l'interdiction pour Google de continuer à exploiter ce nom. Selon Eric Specht, la ressemblance des marques pourrait créer une confusion chez les consommateurs. D'ailleurs lui-même affirme avoir cru jusqu'à présent que l'Android de Google était matériel, et non pas logiciel. D'où, probablement, la lenteur de sa réaction. De son côté, Google a lancé son système d'exploitation pour mobile en octobre 2007. Il l'a baptisé Android suite au rachat très discret en juillet 2005d'une start-up éponyme, spécialisée dans le développement de logiciels pour mobiles. Andy Rubin, directeur de la plateforme mobile de Google, était d'ailleurs le PDG de la start-up. En toute logique, Google a voulu déposer ce nom auprès de l'USPTO (US Patent and trademark office) parallèlement à la commercialisation de sa plateforme. Cinq mois plus tard, le bureau des brevets américain a rejeté sa, Android étant déjà attribué. Selon le magazine Forbes, Google n'a toutefois pas l'intention de se laisser faire. Android Data a en effet mis la clé sous la porte en mai 2004, avant d'être recréé quelques mois plus tard. Selon Google, Eric Specht aurait ainsi perdu la paternité de la marque. (...)

(04/05/2009 14:38:44)

Le FDI prépare sa métamorphose en Conseil national du numérique

D'ici à l'été prochain, le FDI devrait fusionner avec d'autres organismes (comme le Conseil stratégique aux technologies de l'information ou encore le Conseil de la télématique) au sein d'une entité commune, baptisée le Conseil national du numérique (CNN) - comme le prévoyait le plan France Numérique 2012. Isabelle Falque-Pierrotin, présidente du FDI, en a obtenu la confirmation auprès de Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat au développement de l'économie numérique, au cours d'un entretien le 28 avril. Le lendemain, c'est donc son septième et dernier rapport d'activité qu'a présenté le FDI. Si 2008 a été une « année du numérique » selon la présidente du FDI, l'année 2009 ne sera sans doute moins favorable, sans que cela soit en lien avec la crise économique. A peine constitué, le CNN devra s'attaquer à huit gros chantiers, dont cinq ont déjà été amorcés en 2008 et trois autres sont en cours de rédaction : en juin, le FDI devrait publier une recommandation sur la création de procédures collectives pour l'e-commerce, suivie d'une autre sur le ciblage publicitaire et la gestion des données personnelles. Attendue pour septembre, la troisième préconisation aura pour thème le bon usage des langues sur les sites Internet, notamment le français. Les cinq autres recommandations concernent le filtrage préventif de contenu à caractère pédopornographique (« Les enfants du Net III »), le commerce en ligne des produits de santé, la réactualisation de la loi Evin relative à la publicité sur l'alcool, les machines à voter pour lesquelles le FDI a réclamé des garanties supplémentaires de transparence, d'efficacité et de sécurité suite aux nombreuses anomalies relevées par une étude universitaire. La dernière préconisation du FDI, « Internet et développement durable », s'attarde essentiellement sur l'accessibilité des personnes handicapées au Web, un domaine où la France accuse un certain retard. Jusqu'à présent, le FDI exerçait uniquement un rôle de médiation (entre consommateurs et e-commerçants ou FAI), d'information et de réflexion entre acteurs du monde numérique. Le CNN devrait avoir davantage de poids auprès du gouvernement. Il développera en effet une activité de conseil stratégique et deviendra un organisme de gestion d'accords et de labels. Le FDI-CNN obtiendrait pour cela un statut de délégataire d'exercice d'une mission de service public. L'April a accueilli la constitution du CNN avec un communiqué rappelant les bonnes règles de gouvernance. Selon elle, « l'existence d'une structure de co-régulation est plus que jamais nécessaire » à condition toutefois que son statut reste associatif et permette d'accueillir toute organisation qui souhaiterait participer à une concertation ouverte et multi-acteurs. (...)

(04/05/2009 11:33:56)

Google embauche 200 chèvres en intérim

Google a décidé de laisser les tondeuses à gazon à la remise pour se débarrasser des mauvaises herbes qui entourent son siège social de Mountain View, et qui représentent un risque d'incendie. A la place de machines bruyantes et polluantes, le groupe a décidé de faire appel à la gourmandise de deux cents chèvres qu'il a louées pour une semaine. « Nous ne plaisantons pas » tient à préciser Dan Hoffman, directeur immobilier de Google. Epinglé par Gartner et le WWF comme étant l'un des plus gros consommateurs d'énergie dans le secteur IT, Google a décidé de se racheter une conduite et de s'investir dans les énergies renouvelables. Apparemment tous les moyens sont bons pour en parler, même les chèvres. L'histoire ne dit pas si les saisonniers ongulés de Google verront leur contrat renouvelé l'an prochain. (...)

(30/04/2009 16:32:04)

Yahoo rencontre les développeurs en France

Pour la troisième année consécutive, Yahoo a rencontré hier soir une soixantaine de développeurs français. Les dernières évolutions de la plateforme YDN (Yahoo Developper Network) leur ont été présentées par Christian Heilmann, « évangéliste » sur les questions de développement, et Sophie Major, responsable du réseau international de développement. Cette plateforme a été en partie réalisée grâce à leur contribution. YDN existe en effet depuis la première et timide ouverture de l'API de Yahoo aux développeurs, en mars 2005. Depuis, Yahoo a pris de l'assurance et s'est engouffré dans cette brèche, conscient que les idées des développeurs ne pouvaient qu'être profitables aux utilisateurs et au portail. En juillet dernier, Yahoo a fait un pas de plus en lançant Boss (Build your own search service) qui permet aux développeurs d'utiliser les algorithmes du moteur de recherche de Yahoo pour créer leur propre moteur et le personnaliser avant de l'intégrer à un site ou un blog. Ce service est gratuit tant que le nombre de requêtes ne dépasse pas les 10 000 par jour. Au-delà, Yahoo touche un dividende dont le montant n'est pas communiqué. FlickR, deuxième API la plus utilisée au monde Lors de son discours, Christian Heilmann s'est attardé sur les API les plus populaires (parmi les 35 qui ont été créées), comme FlickR, deuxième API la plus utilisée au monde, selon Yahoo (la Maison Blanche a d'ailleurs ouvert hier son compte FlickR), mais aussi Yahoo User Interface (une librairie de recensement des API du développeur), Pipes (service d'agrégation de flux, un peu comme Netvibes mais plus complexe car destiné aux développeurs) et YQL (un langage développé par Yahoo). A propos de l'arrivée de Carol Bartz à la tête de Yahoo, Christian Heilmann et Sophie Major ont salué sa politique d'ouverture vers les autres sites. « Carol veut permettre à nos utilisateurs d'intégrer nos API sur leurs sites préférés ou leurs blogs, ou d'en importer d'autres sur Yahoo ». Mais dès qu'il s'agit de parler d'un éventuel partenariat avec Microsoft autour de la recherche en ligne, le mutisme est de rigueur. « Toutes ces discussions se déroulent au niveau de la direction. S'il se passe quelque chose, nous le saurons en même temps que vous ! », a plaisanté commenté Sophie Major. (...)

(30/04/2009 12:39:19)

Hadopi : reprise des débats dans une ambiance électrique à l'Assemblée nationale

Les débats ont repris, à l'Assemblée nationale, sur le projet de loi Création et Internet après la gifle du 9 avril et le rejet surprise du compromis élaboré par la commission mixte paritaire. Si les députés ont dû attendre 1 heure du matin, cette nuit, pour voir la séance enfin levée, ils n'auront cependant guère avancé sur le fond du dossier, englués dans d'interminables batailles procédurales et autres rappels au règlement. Les travaux ont néanmoins permis de confirmer, comme l'avaient déjà indiqué les amendements adoptés en début de semaine par la commission des lois, que la majorité présidentielle n'entend faire preuve d'aucun assouplissement du texte et suivra une ligne dure jusqu'au vote final. Pour s'assurer que cette volonté sera suivie de faits, les députés de la majorité ont répondu massivement à l'appel lancé par leur président de groupe, Jean-François Copé : c'était donc un hémicycle bien garni qui débattait hier, jusque tard dans la nuit. Climat électrique, des députés de la majorité muselés Les députés de l'opposition étaient également fortement mobilisés pour combattre le projet de loi, et ont copieusement hué et invectivé la ministre de la Culture, Christine Albanel quand elle a souligné l'impérieuse nécessité d'adopter son texte afin de répondre à « la gravité de la situation pour nos industries culturelles, pour nos créateurs, pour des centaines de milliers de salariés et pour les entreprises du secteur culturel ». La ministre a également répété que le texte débattu est « moderne » et que l'accès à Internet ne constitue pas un droit fondamental. Certains élus de la majorité auraient pu porter une voix différente car tous ne suivent pas comme un seul homme la ligne officielle. Mais il semble que les caciques de l'UMP n'aient pas souhaité que des sons de cloches trop dissonants se fassent entendre. Lionel Tardy explique ainsi sur son blog que sa demande d'intervention, déposée la semaine dernière auprès du groupe UMP, n'a pas été retenue. « Je me suis donc fait suspendre, sans avertissement... ma connexion au micro de la tribune de l'Assemblée. Un avant goût de la loi Hadopi ? » (...)

(30/04/2009 12:35:37)

Google veut lutter contre la grippe mexicaine

Google veut être partout, sur tous les fronts, et ne rechignerait pas à sauver l'humanité. Le géant du Web entend ainsi prendre part à la lutte contre la grippe mexicaine en tentant de pister la progression du virus. Pour cela, il se base sur son outil Flu Trends, inauguré en novembre 2008, qui évalue la propagation de la grippe saisonnière à partir des recherches d'informations sur la maladie effectuées par les internautes dans le moteur de recherche. Ce dispositif devrait « détecter les foyers de grippe plus tôt que tout autre système car il estime l'activité grippale presque en temps réel », explique Jeremy Ginsberg, l'un des développeurs du projet Google Flu Trends. Appliqué à la grippe mexicaine, l'outil pourrait, selon ses concepteurs, proposer des statistiques qui font encore défaut en raison du manque d'informations distillées par le Mexique. Baptisé Experimental Flu Trends for Mexico, le dispositif est, comme son nom l'indique, encore en phase de test. « Nous aurions préféré valider nos données et améliorer la précision de l'outil, indique Jeremy Ginsberg, mais nous avons décidé d'en mettre en ligne une première version pour aider les services de santé et les personnes concernées à avoir une représentation mise à jour de la progression de la maladie ». (...)

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