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(21/04/2009 12:39:27)
Antitrust : Microsoft enregistre un ralliement face aux accusations de Bruxelles
Au tour de Microsoft d'enregistrer un renfort. Dans le cadre de la procédure antitrust ouverte par la Commission européenne pour un éventuel abus de position dominante née de l'inclusion d'Internet Explorer dans Windows, Microsoft voyait se multiplier le nombre des éditeurs souhaitant épauler Bruxelles. Après Opera, auteur de la plainte initiale, Mozilla, Google, la Free Software Foundation et, plus récemment, le Comité européen pour les systèmes interopérables (Ecis) ont ainsi pris l'initiative de se ranger derrière l'exécutif européen contre Redmond. Mais avec le ralliement de l'Association for competitive technology (ACT), Microsoft est moins isolé face aux accusations d'abus de position dominante qui planent sur lui. L'ACT regroupe plusieurs PME du secteur technologique, aux côtés desquelles figurent également quelques grands noms comme Oracle ou Verisign. L'association compte parmi les fidèles soutiens de Microsoft : elle s'était déjà engagée en faveur de l'éditeur lors du précédent procès intenté par Bruxelles, qui avait abouti à la condamnation du géant de Redmond en 2004. Pour l'anecdote, notons qu'Oracle est à la fois membre de l'ACT et de l'Ecis, deux organisations défendant des positions diamétralement opposées dans le dossier en cours. ACT, le meilleur avocat de Microsoft « Il y a quelque chose de surréaliste dans le fondement même de cette affaire », exprime l'ACT dans un communiqué, arguant de ce qu'Internet Explorer « n'est même plus le navigateur numéro un en Europe ». Le groupement appuie cet argument sur une étude réalisée par StatCounter, selon laquelle Firefox 3 serait légèrement plus utilisé que IE7 par les internautes du vieux Continent. Cependant, ACT n'a fait qu'une lecture partielle des analyses de StatCounter : les chiffres montrent en réalité que l'ensemble des versions d'IE totalise une part de marché de 10 points supérieure à celle de Firefox 2 et 3 réunis. Et quand bien même ce ne serait pas le cas, l'argument employé par l'ACT n'en resterait pas moins fallacieux aux yeux de Bruxelles : « La part de marché d'IE importe peu, corrige une source proche de la Commission européenne. Ce qui compte, c'est qu'IE soit mis en selle en étant couplé à Windows, car cela en fait le navigateur par défaut de 90% des PC. » ACT, qui endosse dans cette affaire les atours de l'avocat de Microsoft, s'emporte également contre les sanctions évoquées, notamment la livraison de Windows sans IE. Ce remède contribuerait, selon le défenseur de l'accusé, à « nuire aux développeurs qui travaillent sur la plateforme Microsoft. Le code sur lequel repose IE inclut des fonctions dont de nombreux développeurs tirent parti à travers diverses API. Si ce code est enlevé, ces développeurs seraient contraints de réécrire et tester à nouveau leurs applications. » Microsoft a jusqu'au 28 avril pour communiquer ses réponses aux accusations formulées contre lui par la Commission européenne. (...)
(20/04/2009 16:50:36)La télédéclaration de l'impôt sur le revenu simplifiée à l'extrême
Cette année, la déclaration en ligne de l'impôt sur le revenu se simplifie à l'extrême. L'administration fiscale présente deux améliorations en ce sens. Elle propose d'abord une procédure rapide ("en 3 clics") pour les contribuables qui se contentent de valider les éléments déjà portés à sa connaissance. Cette annonce, qui concernerait 31 millions de foyers, est le corollaire de l'intégration dans les déclarations préremplies des revenus de capitaux mobiliers. L'autre changement, c'est la possibilité de déclarer ses revenus sans avoir l'obligation d'utiliser un certificat électronique. Bercy assure que la sécurisation au moyen de trois identifiants apporte toutes les garanties. Toutefois, il est toujours possible de procéder à sa déclaration en la sécurisant avec son certificat, lequel est toujours requis pour pouvoir consulter son compte fiscal en ligne. Le ministère espère que ces procédures d'identification allégées vont inciter d'autres foyers à adopter la télédéclaration. Pour celle des revenus 2007, le nombre de télédéclarants avait frôlé les 7,4 millions, soit 21% des contribuables concernés. Une proportion quasi identique à l'année précédente après une hausse de 30% par rapport à 2006. En novembre dernier, le ministère du Budget a reconnu que le coût du projet Copernic (automatisation des recettes, dont fait partie la télédéclaration pour l'impôt sur le revenu) était passé de 900 M€ à 1,8 Md€. (...)
(17/04/2009 17:15:59)Trimestriels Google : léger recul par rapport à fin 2008
En dépit d'un environnement économique toujours aussi morose, Google a publié pour son premier trimestre fiscal des résultats plutôt satisfaisants. Le chiffre d'affaires atteint les 5,2 Md$, en hausse de 6% par rapport à la même période en 2008. C'est toutefois moins bien que les 5,70 Md$ de chiffre d'affaires réalisés au trimestre précédent (-3%). Une première chez Google, grand abonné d'une augmentation des revenus trimestre après trimestre. Cette anicroche sur la courbe de croissance de Google n'a pas fait sourciller Eric Schmidt, son PDG, qui s'est déclaré « satisfait de ces résultats. » La popularité de Google n'est absolument pas remise en cause, le moteur de recherche continue à écraser toute concurrence sur son passage. Selon ComScore, Google remporte près de 64% des parts de marché de la recherche en ligne, loin devant Yahoo (20,5%) et Microsoft (8,3%). Les sites de Google sont également les plus consultés, toutes catégories confondues. Ce léger repli peut s'expliquer par le comportement des internautes, autrement dit des acheteurs potentiels. « Ils utilisent toujours autant Google mais ils passent moins facilement à l'acte d'achat », explique Eric Schmidt. Le taux de conversion des publicités en ventes concrètes étant en baisse, les annonceurs ont tendance à réduire leur budget de marketing afin de rééquilibrer leur ROI. Google tente d'ailleurs de multiplier ses sources de revenus. Il a par exemple récemment lancé sur YouTube un outil de publicité comportementale avant d'insérer des liens commerciaux directement sous les vidéos qui y sont diffusées. [[page]] Eric Schmidt a profité de l'annonce des résultats pour faire l'éloge de Twitter , qui a récemment fait l'objet de rumeurs d'un possible rachat par Google, des rumeurs rapidement démenties par ses fondateurs. « Twitter prouve que l'innovation est bel est bien vivante dans la Silicon Valley, a déclaré Eric Schmidt. La question est de savoir comment faire de l'argent [avec cet outil]. » Aussi bienveillant que lors de son intervention lors de la réunion de l'Association américaine des journaux à qui il a prodigué ses conseils avisés, Eric Schmidt n'a pas manqué de proposer à Twitter (et aux autres start-up ) de « les aider à rentabiliser leurs services par le biais de la publicité. » Google a également annoncé quelques remaniements au sein de son organisation. Omid Kordestani quitte son poste de directeur des ventes pour celui de conseiller. Il est remplacé par Nikesh Arora qui s'occupait jusqu'à présent des activités internationales du groupe. (...)
(16/04/2009 16:00:30)Antitrust : Oracle, IBM et Sun aux côtés de Bruxelles contre Microsoft
La Commission européenne compte un nouvel allié - de poids - dans la procédure qu'elle a ouverte à l'encontre de Microsoft. L'éditeur est mis en cause pour la position dominante dont il profiterait grâce à l'inclusion d'Internet Explorer dans Windows. Bruxelles, qui n'en est encore qu'au stade de l'enquête, vient d'accueillir à ses côté l'Ecis, le Comité européen pour les systèmes interopérables, qui compte parmi ses membres des grands noms de l'IT comme Oracle, Sun et IBM. Le groupement a suivi la voie tracée par Mozilla, Google et la Free Software Foundation qui, il y a quelques semaines, ont souhaité se mettre au service de l'exécutif européen afin d'apporter leur expertise dans l'examen du dossier monté contre Microsoft. Qu'il s'agisse de l'Ecis, de Mozilla, de Google ou de la FSF, aucun ne prendra néanmoins place sur le banc des demandeurs, ce privilège revenant à Opera. C'est l'éditeur norvégien du navigateur éponyme qui est en effet à l'origine de l'affaire, après la plainte qu'il a déposée contre Microsoft en 2007. Les autres éditeurs ralliés ultérieurement n'interviennent qu'en tant que tierces parties. Par ailleurs, l'éditeur mis en cause indique avoir obtenu un délai supplémentaire pour répondre aux accusations portées à son encontre. Alors que la Commission européenne avait fixé la date limite au 21 avril, Redmond pourra peaufiner sa missive jusqu'au 28.
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eBay achète son concurrent sud-coréen Gmarket pour 1,2 Md$
L'Américain eBay, leader mondial des enchères en ligne, met sur la table 1,2 Md$ pour prendre le contrôle de Gmarket, son équivalent sud-coréen. Ce dernier est le numéro un des plateformes de vente en ligne en Corée du Sud, pays qui représente le sixième marché mondial pour le commerce électronique. Parmi ses concurrents locaux figure Internet Auction Company (IAC), filiale locale d'eBay. En 2008, Gmarket a réalisé un chiffre d'affaires de 220,8 M$, tiré de 3,2 Md$ de transactions entre ses utilisateurs. Le fournisseur d'accès Internet local Interpark et son PDG Ki Hyung Lee ont annoncé qu'ils allaient céder leur 34% de participation dans Gmarket. Yahoo va aussi souscrire à l'OPA et apporter à eBay les 10% du capital de Gmarket qu'il détient. eBay est donc assuré d'obtenir au moins 67% du capital de la société qu'il convoite. eBay revendique plus de 86 millions d'utilisateurs dans le monde qui ont réalisé pour 60 Md$ de transactions sur ses sites. Cette somme a généré un chiffre d'affaires de 5,6 Md$. Hier, l'Américain annonçait son désengagement partiel de Skype, opérateur VOIP acheté 2,6 Md$ en 2005, en prévoyant de l'introduire en bourse. La société vient aussi de vendre le moteur de recommandation StumbleUpon, acheté 75 M$ en 2007. (...)
(16/04/2009 12:42:46)Hadopi : le réexamen de la loi débutera le 29 avril
Pour son deuxième examen par les députés, le projet de loi Création et Internet ne passera finalement pas avant la proposition de loi portant sur la prévention de l'inceste. Réunie hier, la Conférence des présidents de groupe et de commission a adopté l'ordre du jour modifié de la chambre basse : la loi dite Hadopi sera discutée le 29 avril, et non la veille comme l'avait suggéré Jean-François Copé, le patron du groupe UMP à l'Assemblée. Cette deuxième lecture, qui échoit aux parlementaires après le rejet inattendu du texte élaboré par la Commission mixte paritaire, a toutes les chances de compter de nombreux députés présents dans l'hémicycle. Elle débutera en effet un mercredi, juste après la séance télévisée de questions au gouvernement, un événement hebdomadaire synonyme d'assiduité. Elle se poursuivra le 4 mai et, si les débats durent, le lendemain. Le président de l'Assemblée, Bernard Accoyer, aurait souhaité reprogrammer l'examen du projet de loi de plusieurs semaines pour entourer le texte d'un temps de réflexion supplémentaire. Un voeu partagé par plusieurs députés de l'opposition, mais pas par les ténors de la majorité. Jean-François Copé aurait ainsi porté la parole de l'Elysée lors de la Conférence des présidents pour que la loi soit reprogrammée au plus tôt. N'en déplaise au président de l'Assemblée qui a mis en garde contre trop de précipitation, « jamais très bonne sur le plan politique et sur la qualité du travail ». (...)
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