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(18/12/2008 17:48:08)
Tribune libre : en finir avec la messagerie
Qu'il s'agisse de spam ou de courriels légitimes, tout le monde croule sous sa messagerie. Dans une tribune libre publiée dans notre Blog Experts, Frédéric Soussin suggère une idée pour communiquer plus efficacement avec les "micro-communautés" avec lesquelles on veut garder le contact. (...)
(18/12/2008 14:52:18)Le responsable de Live Search de Microsoft fait ses valises
Brad Goldberg, responsable des activités de recherche en ligne de Microsoft, quitte son poste. Sur son blog, il précise qu'il rejoint la société de capital-risque Peak6. Ce départ intervient quelques jours après l'annonce de la nomination de Qi Lu en tant que directeur de la division Services en ligne de Microsoft. Qi Lu était auparavant vice-président chargé des technologies de recherche et de publicité en ligne chez Yahoo. Brad Goldberg est à l'origine de l'initiative Search Cashback de Microsoft, un système qui permet d'attribuer des promotions aux internautes qui auraient trouvé et acheté un produit via Live Search. Microsoft n'est pas parvenu à trouver un accord avec Yahoo pour tenter de contrer l'hégémonique Google sur le marché de la recherche en ligne (65 % des parts de marché pour Google, contre 9% à peine pour le géant de Redmond). En attendant une alliance qui pourrait finalement aboutir, selon les propos de Steve Ballmer, Microsoft ne lâche pas le morceau pour redynamiser un pôle qui lui apporte peu de revenus et n'hésite pas à débaucher chez Yahoo, qui détient 20% des parts de marché. Avant Qi Lu, c'est en effet Sean Sutcher, vice-président des technologies de recherche de Yahoo depuis 2003, qui est passé chez Microsoft. (...)
(18/12/2008 12:17:44)Yahoo réduit à trois mois la conservation des données relatives aux utilisateurs de son moteur
Les uns après les autres, les moteurs de recherche réduisent la durée pendant laquelle ils conservent les données de connexions des utilisateurs de leurs services. Hier, Yahoo a ainsi indiqué qu'il rendrait anonyme ces logs après trois mois de présence sur ses serveurs. Une démarche qui pourrait inciter Google et Microsoft à raccourcir une nouvelle fois la durée de rétention de ces informations. Yahoo conservait jusqu'alors les données de connexions des utilisateurs de ses outils de recherche pendant 13 mois. En passant à 90 jours, il devient le moteur le plus respectueux de la vie privée de ses utilisateurs. Google ne rend ces données anonymes qu'après un délai de neuf mois, une durée qui atteignait deux ans en 2007. De son côté, Microsoft procède à l'effacement des informations personnelles après 18 mois, mais a indiqué récemment qu'il était prêt à réduire ce délai à six mois si ses concurrents faisaient de même. Tout ce que l'Europe compte comme défenseurs de la vie privée rappelle régulièrement que les données de connexion posent des problèmes de confidentialité en permettant aux moteurs de recherche d'identifier leurs utilisateurs - ou, à tout le moins, de dresser un profil détaillé - à partir de leurs requêtes. Les moteurs, quant à eux, plaident la bonne foi et expliquent que ces logs leurs sont indispensables pour analyser l'usage que font les internautes de leur technologie et, in fine, pour améliorer la pertinence des recherches en ligne. Ces préoccupations n'émeuvent pas les Cnil européennes. Celles-ci, réunies dans le groupe de travail de l'Article 29, « ne [voient] pas de raison d'étendre le délai de conservation au-delà de six mois », précisaient-elles en avril. Leur recommandation semble donc porter ses fruits et être considérée comme une exigence par les intéressés, qui savent que la Commission européenne surveille ce dossier de près. Et pourrait sévir en cas de mauvaise volonté manifeste. (...)
(17/12/2008 16:28:50)Viadeo ouvre un espace entreprise pour les PME
Viadeo, site français de mise en relation entre professionnels, vient d'ouvrir un espace dédié aux PME. Elles disposent ainsi d'une page personnalisable - une sorte de mini-blog dans le site - où elles peuvent décrire leur profil (adresse, métier, équipe dirigeante, forum...). « Jusqu'à présent, nous aidions nos membres à recruter le bon profil ou à trouver un emploi, explique Vanessa Raguin, ingénieur d'affaires chez Viadeo. Aujourd'hui nous allons plus loin dans notre offre de services. Nous leur proposons d'accroître leur visibilité sur notre site, non seulement vis-à-vis de potentiels futurs collaborateurs, mais également de fournisseurs, de partenaires financiers ou encore de clients. » Le nouveau service de Viadeo se décline sous forme de packs, comportant chacun un accès à l'Espace entreprise et un abonnement Premium pendant douze mois. Le premier pack (2000 € pour un an, avec une offre promotionnelle de 1490 € pour tout abonnement souscrit avant la fin de l'année) propose également l'envoi de messages ciblés à 1000 contacts sélectionnés par le moteur de recherche de Viadeo. Pour la deuxième offre (3000 € l'année et une promotion de 1890 € avant le 31 décembre) le nombre de contacts ciblés passe à 2000 et l'entreprise dispose - au choix - d'une place dans la rubrique « Ils recrutent » pendant 15 jours ou d'une annonce de recrutement accompagnée de 100 mails de push. Pour le moment ce service n'est disponible que pour les PME de province. En fonction de l'intérêt qu'il suscitera, Viadeo pourrait l'étendre dans les mois qui viennent à l'Ile-de-France. Le site compte actuellement cinq millions de membres, dont deux millions en France. Son principal concurrent est LinkedIn, qui vient d'ouvrir sa version française. (...)
(17/12/2008 14:47:58)Le côté sombre d'Amazon révélé par une journaliste infiltrée
Les salariés d'Amazon resteront certainement dubitatifs en lisant les vers de Victor Hugo. Le poète, évoquant « le vrai travail, sain, fécond, généreux, qui fait le peuple libre et qui rend l'homme heureux », était à mille lieues de décrire les conditions dans lesquelles triment les manutentionnaires britanniques du géant de l'e-commerce, à en croire un article paru dimanche dans la presse britannique. Après avoir passé sept jours en tant qu'intérimaire dans l'entrepôt d'Amazon situé à Bedfordshire, une journaliste du Sunday Times livre ainsi un tableau édifiant des conditions de travail imposées aux employés du VPCiste. Composée en grande partie de travailleurs étrangers, la main d'oeuvre est soumise à un rythme effréné. Sept jours de travail par semaine Après cinq jours de travail en semaine, les employés doivent encore effectuer 10,5 heures de travail le week end. Au final, les salariés doivent donc être sur site les sept jours de la semaine. Et chaque journée de labeur n'est ponctuée que de deux pauses de 15 et 20 minutes. La journaliste infiltrée rapporte même que l'autorisation du supérieur hiérarchique est nécessaire pour pouvoir se rendre aux toilettes. L'encadrement ne manque en outre pas de rappeler aux salariés que des caméras les surveillent constamment. De plus, les manutentionnaires sont priés de parler anglais entre eux. L'assiduité chez Amazon n'est évidemment pas optionnelle. Chaque employé dispose d'une sorte de permis à points, crédité de six unités. La moindre journée d'absence, même justifiée par un certificat médical, engendre la perte d'un point. Les retards se traduisent également par un malus. Et quand le total de points devient nul, le salarié est remercié. Parallèlement, Amazon tâche de motiver sa main d'oeuvre par un système de primes sur objectif. Il s'agit d'atteindre des niveaux de productivité décidés par l'encadrement - emballer un certain nombre de colis en un temps donné, par exemple - pour toucher un bonus de 39 €. Selon la journaliste, les objectifs sont purement inatteignables. Elle rapporte ainsi que, sur les 25 manutentionnaires évalués au cours d'une journée, un seul était parvenu à remplir son objectif. Malheureusement pour lui, la prime promise n'est accordée que si l'ensemble des membres d'une équipe remplissent leurs objectifs. Des heures supplémentaires obligatoires Pour gagner plus que les 6,3 £ par heure (environ 7 €) dont les gratifie Amazon pour un travail diurne, les salariés peuvent compter sur les heures supplémentaires. Ici, explique la journaliste du Sunday Times, ces heures en plus ne sont pas facultatives : tous doivent se plier aux besoins de l'entreprise et les chefs d'équipe sont intransigeants, à l'image de celui qui ne « veut pas entendre d'excuse » de la part d'employés placés dans l'incapacité de travailler plus que les huit heures contractuelles. Interrogée par le journal britannique, la direction d'Amazon Europe tâche d'estomper la noirceur de ce tableau à charge. Elle explique que les conditions de travail éprouvantes n'ont pour autre but que de garantir la satisfaction de tous les clients. Elle dément par ailleurs que les primes d'objectif ne soient qu'exceptionnellement accordées : selon les hautes sphères d'Amazon, 85% des objectifs fixés sont atteints et donnent ainsi lieu au versement d'un bonus. En ce qui concerne les courtes pauses, leur durée aurait été raccourcie en collaboration avec les représentants du personnel pour diminuer de 30 minutes le temps de présence total des salariés au cours de la journée. Enfin, la majorité des intérimaires seraient volontaires pour un poste de permanent. C'est le signe, aux yeux de la direction, que les conditions de travail ne sont pas si terribles... (...)
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