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(23/12/2008 15:36:48)
Bruxelles relance Europeana avec prudence
Après un lancement raté fin novembre, le site de la bibliothèque numérique Europeana reprend du service. La fiabilité du projet demeure un sujet d'inquiétude pour ses initiateurs. Le logo du site est ainsi agrémenté d'une mention « bêta » clairement visible. Mais surtout, le visiteur est accueilli par l'avertissement suivant, dénué de toute ambiguïté : « Le nouveau système informatique d'Europeana est actuellement en phase de test. Le site est accessible à la consultation. Toutefois, l'utilisation peut ne pas être optimale durant cette période (par exemple: le nombre d'utilisateurs restera limité en période de pointe). » Deux précautions valent mieux qu'une... Selon Martin Selmayr, porte-parole de la Commission européenne, cité par l'AFP, « Europeana fonctionne à nouveau, et la capacité des serveurs du site a été quadruplée. » Il a par ailleurs reconnu que « le système informatique était toujours en phase de test afin de permettre d'ajouter de la capacité en cas d'afflux soudain de demandes. » Toujours selon le porte-parole cité dans la dépêche, la Commission espère que la phase de test sera terminée en février, ce qui permettrait « d'ajouter du contenu culturel à Europeana pour la rendre encore plus intéressante ». (...)
(23/12/2008 11:30:10)Bilan 2008 : Hadopi, une loi au service de l'industrie culturelle
La loi Création et Internet sera fondée sur des principes préventifs. C'est le message qu'a martelé tout au long de l'année la ministre de la Culture, Christine Albanel, à l'origine du projet législatif visant à endiguer le téléchargement illégal et à combattre le « pillage grandissant des oeuvres sur les réseaux numériques ».
De fait, si le texte ne prévoit pas de sanction pécuniaire contre les internautes s'adonnant au téléchargement d'oeuvres soumises au droit d'auteur, il met néanmoins en place un mécanisme répressif : la riposte graduée. Celle-ci consiste à punir les téléchargeurs en résiliant leur abonnement à Internet après qu'ils auront reçu plusieurs avertissements. Les sanctions et admonestations seront prononcées par la Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet, créée pour l'occasion.
L'Europe adopte un amendement qui étrille le projet français
Rapidement, internautes, classe politique et FAI montent au créneau pour dénoncer un projet de loi liberticide, techniquement irréaliste, et rédigé uniquement pour satisfaire l'industrie culturelle. Avant même que les députés français ne commencent à examiner la loi, les eurodéputés adoptent à une très large majorité un amendement qui étrille indirectement le projet français. Les édiles de Strasbourg dénoncent notamment le recours à une autorité administrative - l'Hadopi - pour priver d'une liberté les internautes condamnés. Nicolas Sarkozy, président de l'Union européenne en exercice, parviendra cependant à faire rejeter cet amendement par le Conseil de l'UE.
Entre temps, les sénateurs français ont procédé à l'examen du texte. Les opposants à ce dernier espéraient que plusieurs amendements déposés par des élus soient adoptés et contribuent, par exemple, à remplacer la suspension de l'abonnement par une limitation du débit, ou à rendre les recours contre les décisions de l'Hadopi suspensifs. Peine perdue, les locataires du Palais du Luxembourg ont suivi la ligne du ministère de la Culture en rendant une copie calquée sur le projet de loi initial.
Les députés examineront la loi Création et Internet au début de l'année 2009. Le texte, pour lequel la procédure d'urgence a été déclarée, ne bénéficiera que d'une seule lecture par chacune des deux chambres. En cas de désaccord, un commission mixte paritaire sera chargée d'élaborer un compromis.
A lire sur ce sujet :
- Le 22 décembre : Sondage flash : les sanctions contre le téléchargement illégal n'ont pas la cote
- Le 28 novembre : Riposte graduée : Paris obtient le retrait de l'amendement 138
- Le 31 octobre : Hadopi : le Sénat conserve le principe de la suspension de l'abonnement à Internet
- Le 29 octobre : Hadopi : Nouvelle salve du Sénat contre la riposte graduée
- Le 27 octobre : Hadopi : le gouvernement décrète l'urgence
- Le 24 octobre : Hadopi : Les sénateurs pour un rééquilibrage du projet de loi
- Le 6 octobre : Riposte graduée : Sarkozy en appelle, en vain, à José Manuel Barroso
- Le 29 septembre : L'Hadopi compte sur les finances publiques... et les FAI
- Le 24 septembre : Les eurodéputés étrillent à nouveau la riposte graduée
- Le 1er juillet : Les fournisseurs d'accès dénoncent prosaïquement la loi Hadopi
- Le 19 juin : L'UFC-Que Choisir étrille la loi Hadopi
- Le 18 juin : La loi Hadopi adoubée par le conseil des ministres
(...)
La rupture de câbles sous-marins plonge le Web moyen-oriental dans le noir
Les liaisons Internet et téléphoniques entre l'Europe et la région Asie / Moyen Orient sont chaotiques depuis la rupture, vendredi 19 décembre, de trois câbles sous-marins, explique France Télécom. Les lignes ont été rompues au petit matin entre la Sicile et la Tunisie, « sur des segments reliant la Sicile et l'Egypte », précise l'opérateur historique. France Télécom, qui ignore encore l'origine de cette rupture, évoque deux hypothèses : un tremblement de terre qui se serait déclenché à grande profondeur, ou l'ancre d'un bateau qui aurait accroché les câbles. Sur les trois câbles sectionnés, deux - Sea Me We 3 et Sea Me We 4 - relient les pays situés entre la France et Singapour. Le troisième - Flag - relie le Royaume-Uni au Japon. Tous se trouvent à une profondeur de 200 à 400 mètres. Un navire-câblier, le Raymond Croze, a rapidement été envoyé sur les lieux de l'incident, chargé de 20 kilomètres de câbles de rechange. Si les liaisons transitant par Sea Me We 4 sont censées être totalement rétablies au soir du 25 décembre, il faudra attendre le 31 décembre pour que l'ensemble des communications soient à nouveau opérationnelles. Un délestage par les Etats-Unis D'ici là, de nombreux pays restent affectés par ces ruptures. Ainsi, 82% du trafic voix entre l'Inde et l'Europe étaient hors service vendredi, un taux ramené depuis à 60%. L'Arabie Saoudite, l'Egypte, la Malaisie et la Réunion sont également touchées. En attendant la réparation des câbles endommagés, France Télécom explique que « le trafic 'Business to business' entre l'Europe et l'Asie est rerouté pour l'essentiel via les Etats-Unis. » En janvier 2008, les câbles Sea Me We 4 et Flag avaient déjà été sectionnés, par la faute d'un navire ancré au large d'Alexandrie. L'ensemble du Moyen-Orient avait alors souffert d'une perte de connexion au Web, l'Egypte étant le pays le plus affecté par les dysfonctionnements. (...)
(22/12/2008 13:00:58)Pierre Chappaz, fondateur de Kelkoo, lève le pied sur le Web
Le PDG du portail d'information Wikio, Pierre Chappaz, vient d'annoncer sur son blog qu'il allait mettre un terme (provisoire ?) à ses activités Internet, y compris peut-être sur son blog. Le co-créateur en 1999 du site Kelkoo, spécialisé dans la comparaison de prix sur le Web et revendu à Yahoo en 2004, se dit « écoeuré de l'ambiance qui règne sur le Net français ». Il se dit lassé d'être la cible d'attaques, souvent personnelles, en tant que patron de Wikio, ancien dirigeant de Kelkoo et acteur très visible du Web. Yahoo, qui avait acheté Kelkoo pour 475 M€ en 2004, l'a revendu en novembre dernier à un fond d'investissement pour moins de 100 M€. Pierre Chappaz a également investi dès 2005 dans le portail agrégateur de flux RSS Netvibes. Il a co-dirigé l'entreprise avant de quitter l'aventure en juillet 2007 à la suite d'un désaccord avec le fondateur du site, Tariq Krim, sur la stratégie de distribution et de monétisation de la société. Il était néanmoins resté actionnaire de Netvibes, désormais dirigée par Freddy Mini. En janvier 2008, Pierre Chappaz avait par ailleurs pris la direction d'ebuzzing.com, plateforme de mise en relation entre annonceurs et créateurs de contenus en ligne. (...)
(22/12/2008 12:55:21)Bilan 2008 : l'administration Obama adepte des TIC et du green IT
Difficile de ne pas qualifier l'élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis d'événement de l'année 2008. Y compris dans le monde des TIC. Son Blackberry toujours en main, le futur président américain est aussi un adepte du Web 2.0. Son équipe a, certes, mené une campagne classique, avec appels téléphoniques et porte-à-porte, mais elle a aussi exploité tous les recoins des blogs et des réseaux sociaux. Au cours de cette campagne, Barack Obama a également pris conseil auprès des patrons des nouveaux grands de l'IT, qu'il s'agisse de Google ou de Facebook. Parmi ceux qui auront la charge des nouvelles technologies, il a même déjà désigné Sonal Shah, une ancienne responsable de Google.org. En effet, depuis l'élection du 4 novembre, la nouvelle administration prend forme et confirme cet intérêt du futur président pour les TIC. Selon Barack Obama, ces dernières sont même une des clés de la relance économique et il les place au coeur de son « new deal » destiné à sortir les Etats-Unis de la crise. Mais ce n'est pas tout. Pour le futur président, les TIC représentent aussi un des meilleurs moyens de résoudre la question du réchauffement climatique. Pour preuve, la toute récente nomination de Steven Chu, prix Nobel de physique et adepte d'une informatique plus respectueuse de la Planète, pour s'occuper de l'énergie et de l'environnement. A lire sur ce sujet : - le 17 décembre : Un adepte du green IT en charge de l'énergie et de l'environnement pour Obama - Le 8 décembre : Barack Obama compte aussi sur les TIC pour relancer l'emploi aux Etats-Unis - Le 19 novembre : Le patron de Google encourage Barack Obama à miser sur les technologies - Le 17 novembre : Les prémices de la politique Obama 2.0 - Le 6 novembre : Barack Obama choisit ses responsables high-tech - Le 6 novembre : Barack Obama élu président des Etats-Unis - Le 5 novembre : Elections américaines : l'utilisateur de Blackberry le plus célèbre du monde l'emporte (...)
(22/12/2008 12:52:45)Bilan 2008 : la percée du Web 2.0 en entreprise
Comment concilier les nouveaux usages du Web (que l'on nomme abusivement Web 2.0) et les pratiques de l'entreprise ? Le succès des blogs et des réseaux sociaux a mis en évidence l'émergence d'une nouvelle génération, familière des outils, mais pas forcément technique dans l'âme, les « digital natives ». Qu'elles le veuillent ou non, les entreprises doivent prendre en compte ce phénomène. D'une part, parce que quelles que soient les mesures de sécurité mises en place, ses collaborateurs font fi des frontières érigées entre les outils personnels et les outils professionnels, et exigent de ces derniers la même fluidité, la même simplicité. Plutôt que de subir ces nouveaux usages, il vaut donc mieux les encadrer. D'autre part, les entreprises ont tout intérêt à savoir utiliser ces nouveaux outils et ces nouveaux usages à leur propre profit. Le Web 2.0 est en effet un espace où s'instaure un dialogue inédit entre les représentants d'une entreprise et ses clients ou ses partenaires, et où les « digital natives » peuvent au mieux exprimer leur talent. Pourquoi ne pas en tirer parti ? A lire, à regarder et à écouter sur ce sujet : - Le réseau social Viadeo ouvre un espace entreprise pour les PME - Le Cebit invente l'expression « webciety » pour société et Web 2.0 - Tribune libre : les 'digital natives' en coaches technos des managers - Lancement en France de Worketer.com, un réseau social destiné aux informaticiens - Débat vidéo : l'entreprise 2.0, mythe ou réalité - En 2013, selon Forrester Research, le marché des outils du Web 2.0 en entreprise devrait peser 1,8 milliard de dollars - Réseaux sociaux et CV vidéo pertinents ou pas pour se faire recruter ? - Les réseaux sociaux, source d'information pour les entreprises - Google, Microsoft, Facebook et MySpace au Web 2.0 Summit : Microsoft a-t-il perdu la bataille du Web ? - Dossier : comment tirer parti des atouts des 'Digital natives' en entreprise - Les seniors bel et bien compatibles avec le Web 2.0 - Entreprise et Web 2.0 : le nouveau pouvoir des conversations - Etude Jemm Research : quels outils pour le Web 2.0 en entreprise - Etude IBM : comment adapter l'entreprise aux consommateurs 2.0 - Les mashups d'entreprise vedettes de la Web 2.0 Expo - Les entreprises encore très réticentes face au Web 2.0, d'après MessageLabs - Le réseau social, nouveau canal de recherche d'emploi - Micropole-Univers s'intéresse au dialogue social via le Web 2.0 - La conférence Demo montre un Web 2.0 plus professionnel - Les outils du Web 2.0 utilisés par un cinquième des entreprises, selon Changewave (...)
(22/12/2008 12:22:26)Sondage flash : les sanctions contre le téléchargement illégal n'ont pas la cote
Nos lecteurs et le ministère de la Culture n'ont guère de vision commune sur les mesures à mettre en oeuvre pour endiguer le téléchargement illicite. La rue de Valois a passé une partie de l'année 2008 à tenter de convaincre du bienfondé de son projet de loi Création et Internet (dit Hadopi) - qui vise à punir les internautes indélicats en résiliant leur abonnement à Internet. Des efforts qui n'auront pas suffi à persuader nos lecteurs que cette voie est la bonne : seule une minorité d'entre vous estime qu'il faut en passer par des sanctions pour mettre fin au téléchargement illégal. Sur les 1813 suffrages exprimés, 5,4% jugent ainsi favorablement les desseins de Christine Albanel et considèrent qu'il convient de suspendre l'accès à Internet des téléchargeurs compulsifs. De même, vous n'êtes que 5,6% à croire à qu'une amende serait susceptible d'inciter les internautes à respecter le droit d'auteur sur le Web. A l'inverse, vous croyez largement au principe de la licence globale, évoqué lors des discussions sur la loi Dadvsi (Droits d'auteur et droits voisins dans la société de l'information) mais rejeté à l'issu du vote final, en 2006. Ce mécanisme, plébiscité par 46% des lecteurs du MondeInformatique.fr, consiste à autoriser les internautes à télécharger toutes les oeuvres qu'ils désirent moyennant un abonnement forfaitaire qui s'ajouterait, par exemple, à la somme versée mensuellement à leur FAI, et serait ensuite versé aux ayants droit. Enfin, vous êtes 43% à estimer que le téléchargement illégal est une dérive à laquelle nulle mesure ne saurait mettre fin. 780 d'entre vous considèrent ainsi ce phénomène comme une dérive inhérente au Web, à laquelle les mesures préventives, pas davantage que les sanctions répressives, pourraient apporter une réponse efficace. (...)
(19/12/2008 15:24:15)Sun conduit le projet Aegis pour l'accessibilité des handicapés aux contenus numériques
Sun vient d'annoncer être officiellement à la tête du consortium Aegis, un projet soutenu par l'Union européenne destiné à améliorer l'accessibilité des personnes handicapées aux contenus numériques. Sun - et plus exactement Peter Korn, « accessibility architect » chez Sun et directeur technique du projet Aegis - se retrouve ainsi diriger un effort auquel contribuent une vingtaine d'entreprises en Europe et au Canada. En fait, Peter Korn avait déjà annoncé la chose il y a deux mois sur son blog. Et notamment le fait que sur les 12,6 M€ du projet, l'Union européenne fournissait 8,2 M€. Aegis - pour open Accessibility Everywhere : Groundwork, Infrastructure, Standards - vise à développer un standard pour que les ordinateurs, les appareils mobiles sous Java et les « applications Internet riches » (RIA) soient accessibles facilement aux personnes handicapées. Ce standard, baptisé Open Accessibility Framework (OAF), sera basé dans la mesure du possible sur des technologies Open Source, a expliqué Sun. Il existe déjà plusieurs initiatives allant dans ce sens pour divers logiciels, dans la communauté Gnome, dans la communauté OpenOffice, et bien sûr chez Microsoft. Sun précise d'ailleurs à ce propos qu'il ne cherche pas à les concurrencer, mais à fournir un standard sur lequel chacun pourra s'appuyer. (...)
(19/12/2008 12:54:54)Orange menacé de perdre l'exclusivité de ses contenus audiovisuels
Le mercredi 17 décembre restera pour Orange une journée noire. Les députés, dans le cadre de l'examen du projet de loi sur le nouveau service public de la télévision, ont en effet adopté un amendement qui remet en cause la stratégie de l'opérateur historique en matière de fourniture de contenus. Déposé par des parlementaires UMP, l'amendement dispose que « la commercialisation d'une offre de services de communication audiovisuelle par voie électronique éditée par un opérateur de communications électroniques ne peut être réservée aux seuls abonnés aux offres d'accès à Internet de ce même opérateur. » En clair : il ne devrait pas être obligatoire de souscrire un abonnement auprès du FAI Orange pour recevoir les chaînes foot et cinéma du diffuseur Orange. « Les consommateurs doivent avoir la liberté de choix de leur prestataire sur chaque type de services », expliquent les édiles qui proscrivent l'enfermement du consommateur « dans une relation exclusive avec un prestataire unique pour des services de nature différente. » Même si l'amendement ne cite pas explicitement Orange, la référence à cet acteur semble évidente dans la mesure où il est le seul à conditionner l'accès à des contenus exclusifs à ses abonnés à Internet. La rue de Valois opposée à l'amendement Si le texte venait à être adopté dans les mêmes termes par les Sénateurs, qui en feront lecture en janvier, les chaînes cinéma et foot - cette dernière coûtant 203 M€ par an à l'opérateur historique - devront être accessibles depuis les bouquets proposés par tous les FAI. Cette éventualité semble néanmoins improbable : la ministre de la Culture paraît décidée à tout faire pour convaincre les locataires du Palais du Luxembourg de confirmer le vote des députés. Christine Albanel estime en effet que l'amendement induit une diminution de la concurrence entre des acteurs qui « ne pourraient plus se démarquer aux yeux du consommateur. » Si ce 17 décembre était à marquer d'une pierre noire en ce qui concerne le FAI Orange, l'opérateur mobile éponyme a également vécu une journée délicate. Le Conseil de la concurrence a en effet suspendu l'accord d'exclusivité liant Orange et Apple pour la commercialisation de l'iPhone en France. Résultat de cette décision : Bouygues et SFR vont pouvoir distribuer à leur tour le smartphone à la pomme. (...)
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