Flux RSS

Internet

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

5069 documents trouvés, affichage des résultats 2551 à 2560.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(16/12/2008 17:05:46)

Les téléphones portables, premiers terminaux d'accès à Internet en 2020

Les téléphones portables représenteront le principal moyen de connexion à Internet d'ici à 2020, d'après l'Institut Pew Internet & American Life Project. Dans un rapport intitulé « L'avenir d'Internet » (troisième édition), 77% des 578 acteurs interrogés (constructeurs, analystes, opérateurs et membres de l'Icann) estiment en effet que ce sont les terminaux mobiles qui connaîtront le plus grand essor. En 2020, non seulement le portable devrait dominer le marché du Web, mais pour une majorité d'utilisateurs, il devrait même représenter le seul et unique moyen de surfer sur le Web, à des tarifs de plus en plus attrayants. La reconnaissance vocale et les écrans tactiles devraient par ailleurs se généraliser sur ce type d'outils. Pas toujours facile de séparer les navigations professionnelle et personnelle L'étude de Pew Internet révèle également que 55% des personnes interrogées prédisent un bel avenir aux réseaux sociaux. Pour 56% d'entre elles, il sera toutefois difficile de créer une véritable ligne de démarcation entre le temps passé à surfer pour des raisons personnelles et à des fins professionnelles. Certains considèrent ce flou comme un risque de détérioration de la vie familiale. Sur les questions de législation et les problématiques de sécurité, les acteurs interrogés restent pessimistes. Pour 60% d'entre eux, les données personnelles et la propriété intellectuelle ne seront pas mieux protégées qu'aujourd'hui, alors que le volume d'informations qui transitent est en continuelle augmentation. Ils sont également 78% à penser que l'architecture de la Toile telle que nous la connaissons actuellement ne devrait pas subir de grandes modifications. (...)

(16/12/2008 12:29:07)

Réforme de l'audiovisuel : la taxe sur les FAI et les opérateurs mobiles adoptées

L'examen du projet de loi sur le nouveau service public de la télévision avance à petits pas. Ce rythme de sénateur adopté par les députés n'a cependant pas empêché ces derniers d'adopter les articles prévoyant la création d'une taxe sur le chiffre d'affaires des opérateurs télécoms et des fournisseurs d'accès à Internet. Ces deux catégories d'entreprises seront prélevées à hauteur de 0,9% de leurs revenus, comme le prévoyait l'avant projet de loi. Et l'amendement qui proposait d'indexer la hauteur de cette taxe sur le chiffre d'affaires des acteurs considérés - ce qui aurait allégé le prélèvement affectant les plus petits acteurs - n'a pas été retenu. L'auteur de ce dernier amendement, Jean Dionis du Séjour, député Nouveau Centre du Lot-et-Garonne, n'a pas été avare de reproches à l'encontre de Christine Albanel, la ministre de la Culture. Selon lui, l'idée d'imposer les FAI et opérateurs mobiles est proche de l'hérésie : « Vous auriez pu choisir la légitimité, le courage politique, en augmentant la redevance. Vous ne l'avez pas fait. Vous auriez pu faire en sorte qu'il y ait au moins un rapport entre l'objet taxé et l'objet soutenu, en choisissant, par exemple, de taxer les écrans de télévision. Vous ne l'avez pas fait. » D'inévitables conséquences sur les investissements des opérateurs Des récriminations qui conforteront Yves le Mouël, le président de la Fédération française des télécoms, lui aussi courroucé par les dispositions adoptées. Dans un entretien à Reuters, le porte-parole des opérateurs met en garde le législateur en promettant que si le texte venait à être adopté dans les mêmes termes par le Sénat, « il y aurait des conséquences sur les investissements des opérateurs télécoms. » Une menace qui fait écho aux précédentes mises en garde des acteurs taxés sur une inévitable augmentation du montant des abonnements dont s'acquittent les abonnés. Un peu plus tôt, les édiles du Palais Bourbon avaient donné leur feu vert à l'amendement instituant une taxe sur les chaînes de télévision privées. Leurs recettes publicitaires devraient ainsi faire l'objet d'un prélèvement s'étalant entre 1,5% et 3%, « en fonction des évolutions conjoncturelles ». (...)

(16/12/2008 12:09:48)

Google se défend de mettre à mal la neutralité d'Internet

Son le nom de projet OpenEdge, Google négocierait des accès privilégiés pour ses serveurs sur les réseaux des opérateurs américains. C'est du moins ce qu'a affirmé le Wall Street Journal en se fondant sur l'analyse de documents échangés entre Google et des opérateurs réseau. L'un d'entre eux se serait ému du fait qu'un accord de ce type signé avec le fournisseur californien pourrait faire tiquer la FTC (Federal Communications Commission). Google dément et pointe l'intérêt d'économiser de la bande passante Cette information fait peser sur le géant des moteurs de recherche le soupçon d'un contournement du principe de "Net neutrality" qui consiste en un accès équitable pour tous les fournisseurs de contenu. Ce qui serait en totale contradiction avec le discours de Google. Mais ce dernier s'est très rapidement fendu d'un démenti très sec dans lequel il insiste sur la différence entre la mise en cache des informations à proximité de ceux qui en ont besoin et une priorité exclusive des flux sur Internet. La mise en cache en local est le lot quotidien de sociétés comme Akamai, Limelight et du service CloudFront d'Amazon. A la différence près, soulignent les critiques, que, dans le cas de Google, il transfère en exclusivité des données sous son contrôle. Google rétorque en expliquant que la mise en place de ses serveurs-cache permet d'économiser de la bande passante. Par exemple, dès lors qu'il est mis en cache, un flux vidéo populaire n'a pas à être retransféré sur tout le réseau autant de fois qu'il est demandé. Des sommes colossales investies par Google dans ses centres serveurs [[page]] Le procès d'intention qui est fait à Google repose sur un débat très technique. La mise en place de serveurs-cache à des points stratégiques de l'infrastructure d'Internet est le pendant logique de l'effort que le Californien consent dans le déploiement de centres serveurs. La société de Larry Page et Sergey Brin investit des sommes colossales dans son infrastructure serveur. De plus, depuis fin 2005, elle se porte régulièrement acquéreur de "fibre noire" et tisse un réseau privé très performant entre ses datacenters. Des sites sur lesquels Google ne communique aucune information précise. On estime toutefois leur nombre à près d'une quarantaine de par le monde. Chacun contient a minima 150 racks ce qui donne un nombre de serveurs situés entre 200 000 et 250 000. (...)

(15/12/2008 18:30:15)

Dématérialiser 2008 : renforcer la confiance numérique pour gagner en compétitivité

« Le but de la dématérialisation n'est pas de supprimer le papier mais d'améliorer un grand nombre de processus », a souligné Pascal Colin, vice président de la FNTC, fédération nationale des tiers de confiance, à l'occasion du salon Dématérialiser (9-10 décembre, La Défense). Son intervention, en conférence plénière, visait à replacer la dématérialisation dans le Plan numérique 2012 présenté par Eric Besson, secrétaire d'Etat chargé de la prospective, plan où figure notamment le déploiement de la signature et de la carte d'identité électroniques. « La dématérialisation consiste à produire sous forme de fichiers informatisés des documents ayant la même valeur juridique que dans le monde du papier », rappelle Pascal Colin en mentionnant la publication récente, par la FNTC, du guide de la signature électronique. Alors que le nombre de contrats signés de cette façon a longtemps plafonné à 2 000 par mois, on s'apprête à passer le cap des 100 000 contrats pour l'ensemble des clients, donne-t-il en exemple parmi les applications. Dans un autre domaine, une étude réalisée par Markess a récemment montré qu'en 2008, en France, 47% des entreprises privées et des administrations ont choisi de dématérialiser leurs factures. D'une façon générale, Pascal Colin note que l'existence d'un secrétariat d'Etat à l'économie numérique, en lien direct avec le chef du gouvernement, permet aux professionnels de la dématérialisation d'accéder en un seul point à l'ensemble de l'administration. « C'est un réel changement ; auparavant, il fallait rencontrer les différents interlocuteurs. » Il note également la réelle détermination de nombreux intervenants pour faire avancer les choses. « Renforcer la confiance numérique pour gagner en compétitivité est l'un des objectifs d'Eric Besson ». Répondre aux nouvelles contraintes Conséquence ou non de la volonté gouvernementale de renforcer la confiance numérique, l'édition 2008 de Dématérialiser a accueilli 2 000 visiteurs, soit 800 de plus que l'an dernier. « Il s'agit pour la plupart d'entre eux de grands comptes et de représentants de l'administration et des collectivités locales, venus découvrir comment les dernières innovations peuvent répondre à leurs nouvelles contraintes », décrit Alain Laidet, commissaire général du salon, en citant, notamment, la dématérialisation des appels d'offres, les portails de services d'état civil ou la remontée d'informations vers les administrations de tutelle. Parmi les applications qui se développent figurent aussi le vote en ligne. A noter également l'intérêt des visiteurs pour les solutions en Open Source. Du côté des exposants, le salon rassemblait une cinquantaine de spécialistes : fournisseurs de solutions pour dématérialiser les factures (notamment Accelya, b-process, Cegedim, Deskom, Esker, Ivalua, Kofax), les feuilles de paie (par exemple Novapost), les achats publics (Omniklès), les paiements (Athic) ou les courriers (Appic, Docubase, Neolane, Novapost, Open Bee, Pitney Bowes, W4), opérateurs de confiance et autorités de certification (ChamberSign France, CertEurope, Keynectis, réseau Sakarah, Trustmission), acteurs de l'EDI (Prologue), de l'archivage sécurisé (Beemo Technologie, Cryptolog, Locarchives) ou de l'authentification (Atos Worldline, CDC Fast, Dhimyotis). Après les PME, le réseau Sakarah s'ouvre aux collectivités [[page]] Ouverte l'an dernier, la plateforme collaborative du réseau Sakarah, mise en oeuvre par le groupe Imprimerie Nationale pour assurer le partage de données entre entreprises (en particulier les PME) et administrations, se présente « comme un sas entre l'économie privée et l'économie publique », rappelle son directeur Vincent Dreux en se félicitant du succès rencontré depuis le lancement. « L'offre correspond à un besoin et la situation économique actuelle facilite sa pénétration : nous vendons de la confiance et de la réduction de coût ». Le réseau vient d'ouvrir un nouveau chantier de taille, en s'attelant cette fois à collecter les factures des collectivités locales et régionales, que l'Imprimerie nationale envoie sous forme de papier, pour les mettre à disposition des administrations. « 56 000 comptes sont déjà ouverts », indique Vincent Dreux. Dématérialiser l'intérim et les appels d'offres Au nombre des applications présentées sur le salon, signalons, entre autres, la solution de dématérialisation de gestion des ressources humaines dans le domaine de l'interim, présentée par ChamberSign France et OneSys, ou encore le service européen d'archivage de factures électroniques montré par CDC Arkhinéo et b-process avec le témoignage de Gefko. En clôture du salon, les 6e Trophées de l'innovation des tiers de confiance ont distingué trois lauréats. Dans la catégorie Secteur public, c'est la solution de dématérialisation des réponses aux appels d'offres publics d'Omnikles et BBraun qui a été couronnée. Dans la catégorie Secteur privé, le jury a retenu la Chambre nationale des huissiers de justice pour sa plateforme jedepose.com, service de messages électroniques à forte valeur probante. Enfin, une mention spéciale du jury a été décernée à Trustmission pour sa solution intégrée permettant de gérer de façon sécurisée les documents électroniques, du contrat aux avis de recouvrement. (...)

(15/12/2008 12:45:08)

Firefox et Flash en tête des applications classées les moins sûres pour les entreprises par Bit9

Entreprises, redoutez Firefox, Flash Player et VMware. Ces applications arrivent en effet en tête du top 12 des programmes les moins sûrs dans le cadre d'une utilisation professionnelle... d'après un classement établi par Bit9, spécialisé dans la confection de listes blanches d'applications et éditeur de Parity, un programme permettant la détection de code malveillant. Les douze applications recensées par Bit9 ont comme caractéristiques communes qu'elles fonctionnent sur Windows, sont populaires auprès du grand public et présentent au moins une faille critique depuis janvier 2008. Elles sont en outre souvent installées sur les postes de travail des salariés sans que le service informatique en ait connaissance ou puisse surveiller leur mise à jour. Elles constituent par conséquent, selon l'éditeur, les maillons faibles du SI, lequel étant dans l'impossibilité de déployer des correctifs de façon centralisée via les services Systems management server ou Windows Server Update Services de Microsoft, par exemple. Peu importe donc que les éditeurs des applications montrées du doigt par Bit9 mettent régulièrement en ligne des mises à jour pour leurs produits puisque l'installation de ces dernières ne repose que sur les utilisateurs - ce qui induit bien évidemment un biais dans le classement. Le top 12 des applications à redouter selon Bit9 1 - Mozilla Firefox 2 - Adobe Flash et Acrobat 3 - EMC VMware Player, Workstation et autres produits 4 - Sun Java Runtime Environment 5 - Apple QuickTime, Safari et iTunes 6 - Symantec Norton 7 - Trend Micro OfficeScan 8 - Citrix DNE, Access Gateway et Presentation Server 9 - Aurigma Image Uploader, Lycos FileUploader 10 - Skype 11 - Yahoo Assistant 12 - Microsoft Windows Live Messenger (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >