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(25/06/2008 10:54:54)

Nokia renforce sa stratégie de contenu sur mobile en rachetant Plazes

Nokia absorbe Plazes, une start-up allemande qui a créé un réseau social qui s'appuie sur la géolocalisation. Située à Berlin, la société de 13 personnes propose aux utilisateurs de définir leur position sur une carte, d'y ajouter commentaires et photos, et d'entrer en contact avec d'autres, présents au même endroit. L'outil peut servir de GPS, en indiquant par exemple la position de bornes WiFi, de restaurants, de gares... La start-up a récemment développé son application pour l'iPhone et a déjà levé 3,7 M€ en deux tours de table. Le GPS embarqué, fer de lance de Nokia Le finlandais complète ainsi une offre de localisation et de partage de contenu sur portables mises en place par rachats successifs depuis deux ans. Ainsi, en 2006, avait-il déjà mis la main sur Gate 5, un éditeur allemand de solutions de navigation, pour un montant de 250 M$. En juillet 2007, il rachetait Twango, pour l'hébergement de photos, de vidéos et de fichiers audio, pour 100 M$. Les deux sociétés ont rapidement lancé Mosh (contraction de « mobile » et « sharing »), un site de partage de contenus sur mobiles. En octobre 2007 enfin, Nokia n'avait pas hésité à débourser 5,7 Md€ pour Navteq, un éditeur spécialisé dans la cartographie numérique. Le groupe avait alors créé Nokia Maps 2.0, une équipe dédiée au développement d'API de géolocalisation. Le rachat de Plazes par Nokia devrait être finalisé avant la fin du troisième trimestre. Le montant de la transaction n'a pas été communiqué. (...)

(24/06/2008 16:12:17)

Deux start-up auvergnates fusionnent au sein de LaFermeDigitale

Pas de spectre de bulle Web 2.0 pour les deux entreprises régionales Brioude Internet Référencement et Periscope Creations, qui fêtent leurs dix ans d'existence en fusionnant. La nouvelle entité, baptisée « LaFermeDigitale », compte pour le moment 90 salariés. Brioude Internet Référencement, basée en Haute Loire, emploie 54 personnes réparties sur huit sites. Comme son nom l'indique, la start-up est spécialisée dans le conseil en référencement. Periscope Creations, localisée à Clermont-Ferrand, dans le Puy de Dôme, est une agence Web qui propose des prestations Internet comme le développement de sites (Welcome in Auvergne ou encore le site de promotion du Développement durable de la Banque Populaire) et la création de jeux en ligne (Le Jeu du rugby par exemple). Les activités des deux start-up sont donc complémentaires. LaFermeDigitale devrait recruter une centaine de nouveaux collaborateurs au courant des trois années à venir, et compte sur une croissance de l'ordre de 30 à 40% par an, pour un chiffre d'affaires de plus de 10 M€ en 2009. (...)

(24/06/2008 15:51:03)

Chatel et Besson veulent dresser le bilan de la LCEN

Trois ans après l'adoption de la loi pour la confiance dans l'économie numérique (LCEN), Luc Chatel et Eric Besson, respectivement secrétaires d'Etat à la Consommation et à l'Economie numérique, veulent en établir un bilan et lister ses perspectives d'évolution. Le tout dans le cadre des Assises du numérique. Il y a deux mois, les députés Jean Dionis du Séjour et Corinne Erhel présentaient un rapport poursuivant le même but. De fait, le constat sur lequel reposent les réflexions des édiles et des membres du gouvernement est le même : Internet a largement évolué depuis la création de la LCEN, notamment en raison de l'irruption du Web 2.0. Ce changement du paysage numérique a entraîné une modification des rapports économiques et juridiques entre les différents acteurs. Jean Dionis du Séjour estime ainsi que les statuts d'hébergeur et d'éditeur ne peuvent plus se contenter d'être vus à la seule lumière de la LCEN et doivent être redéfinis. Des Dailymotion et autres Youtube ne peuvent par exemple plus se réfugier derrière leur rôle d'hébergeur pour être exonérés de toute responsabilité quant au contenu publié sur leur plateforme. Mais, là où les députés réclament que le législateur se remette au travail et accouche d'une LCEN 2, les secrétaires d'Etat se font moins revendicatifs. Leur action vise en effet uniquement à « recueillir les perceptions de tous les acteurs afin d'éclairer les pouvoirs publics sur les acquis de la loi et tracer les perspectives d'éventuelles évolutions ». « Il faut plus d'audace et de courage de la part du gouvernement », rétorque Jean Dionis. Le parlementaire regrette que les acteurs de l'économie numérique - résolument opposés à toute modification législative potentiellement attentatoire à leur prospérité - se satisfassent de l'instabilité juridique ambiante et fassent pression sur Eric Besson. Ce même Eric Besson qui, à l'issue de sa visite des locaux de Dailymotion, assurait ses hôtes qu'il ne serait pas « le ministre de la castration d'Internet », rappelant ainsi son opposition à une nouvelle législation. (...)

(24/06/2008 14:27:59)

Microsoft, Google, Oracle, Novell et PayPal aspirent à une identité commune sur le Web

Une fois n'est pas coutume, Microsoft, Google, Oracle, Novell et PayPal (filiale d'eBay) s'associent au sein de l'Information Card Foundation (ICF). Il s'agit de la énième tentative pour standardiser une identité numérique reconnaissable par tous les sites qui veulent l'accepter. Cette initiative se différencie des précédentes sur deux points. Tout d'abord, elle englobe des adversaires d'hier même si on note l'absence d'IBM et de Sun, pourtant très actifs sur le sujet. Ensuite, elle ne vise pas tant le volet technologique que l'interopérabilité des différentes approches. Une interopérabilité qui serait symbolisée par un logo. Les buts affichés par ICF relèvent donc plus de la promotion et de la fédération que de la standardisation technique. Toutefois, ICF pêche toujours par son approche "propriétaire". Ainsi, l'initiative Open ID, une gestion des identités Open Source et transparente, n'apparaît pas dans les premières informations diffusées par ICF. En attendant que des milliers de sites fassent leur choix, les utilisateurs auront toujours à gérer leur portefeuille de mots de passe. Au moins, ils ne risquent pas de voir leur identité passer sous le contrôle d'opérateurs privés... (...)

(23/06/2008 18:22:07)

L'Icann et le monde Internet planchent sur la diversification des noms de domaine

Eric Besson se déplace sur tous les fronts du numérique, «Assises» du même nom et fonction obligent. Ce matin, le secrétaire d'Etat à l'Economie numérique a donc pris la parole en ouverture de la réunion publique (la 32e) que l'Icann, régulateur technique d'Internet, tient à Paris jusqu'à jeudi prochain, au Méridien Montparnasse. Pendant près d'une semaine, quelque « 1 500 personnes venues du monde entier -opérateurs, bureaux d'enregistrement, membres de la société civile, etc. qui font le marché des noms de domaine- vont débattre d'enjeux qui, s'ils ne sont pas forcément nouveaux, constituent des dossiers sur lesquels il faut avancer », rappelle Loïc Damilaville, adjoint au directeur général de l'Afnic, association française pour le nommage Internet. De la migration vers IPv6 aux noms de domaines basés sur les noms de ville Ce matin, Eric Besson a ainsi évoqué la migration entre IPv4 et IPv6, l'évolution vers les noms de domaine en caractères non latins, ou encore, la diversification des noms de domaine génériques avec la création, par exemple, d'extensions basées sur des noms de ville (le dossier .Berlin, notamment, avance bien). Enfin, il sera également question de la transition institutionnelle que devra effectuer l'Icann lorsque s'achèvera, en septembre 2009, l'actuel Joint Project Agreement qui lie l'organisme de régulation au département du commerce américain ; une tutelle, rappelons-le, vivement critiquée par la communauté internationale. Une succession d'ateliers (workshops) va donc s'ouvrir à la confrontation d'idées. Une synthèse de ces débats sera présentée au conseil de l'Icann qui doit se réunir jeudi prochain. Une libération des extensions sujette à discussion [[page]]Mais, déjà, les couloirs de la réunion parisienne bruissent de discussions autour de la libération des extensions de noms de domaine, dévoilée notamment par le président de l'Icann, Paul Twoney, à nos confrères des Echos. Cette démarche « permettrait à toute entité, de déposer un dossier pour proposer une extension de type géographique ou thématique comme .sport », explique Sam Syamak Bavafa, gérant du fournisseur d'identité Internet Domaine.fr.(*) Une question qui, même si elle ne figure pas spécifiquement au programme d'un atelier, sera très certainement abordée, confirme Loïc Damilaville. « C'est une direction que l'Icann veut prendre dans les prochaines années, mais cela ne me paraît pas réaliste pour l'instant », estime le représentant de l'Afnic qui rappelle que des documents de travail ont déjà été publiés sur le site de l'Icann. « C'est un processus qui risque d'être relativement long, poursuit-il. Il demande des compétences techniques et une assise financière importantes. Dans cinq ans peut-être ». Une option qu'il juge pourtant « riche d'opportunités » malgré les risques qu'elle comporte. « Cela permettra de diversifier la communication sur Internet, mais il ne faut pas que ce processus d'extension apporte plus de confusion que de sens. » Au chapitre des craintes figure par exemple la protection des noms de marques. « Plus il y a d'extensions, plus le cybersquatting risque de se propager ». « Mais il ne peut pas y avoir de libération sans régulation » [[page]]Pour faire face à ces risques, il s'agira donc de verrouiller les procédures de vérification faites sur les propositions d'extensions. « Il ne peut pas y avoir de libération sans régulation », reconnaît de son côté Sam Syamak Bavafa, de Domaine.fr, plutôt favorable à cette démarche. « Cela permettra de mieux identifier la catégorie à laquelle appartient le nom de domaine. Toutefois, module-t-il, il faudra que les propositions d'extension soient justifiées par un réel besoin. » Evoquant les procédures de contrôle, il rappelle que l'Icann a commandé le développement d'un logiciel qui doit permettre de vérifier de façon avancée qu'une nouvelle extension proposée ne vas pas à l'encontre d'une marque, ne constitue pas une insulte ou un doublon par rapport à quelque chose qui existe déjà. « Ce qui va primer sur toute nouvelle extension, c'est sa légitimité », conclut-il. L'hébergeur français et bureau d'enregistrement OVH suit de près ce dossier. « Nous allons certainement déposer une demande pour proposer l'extension .ovh qui serait gratuite », explique Octave Klaba, directeur général. « Cela permettrait à chaque client d'avoir un nom de domaine gratuit avec lequel il pourra développer ses propres services, l'email, le web, la radio, etc. ». (*) En partenariat avec l'Icann, le site Domaine.info, également géré par Sam Syamak Bavafa, diffusera un résumé vidéo des ateliers qui se déroulent actuellement à Paris dans le cadre de cette 32e réunion publique (accessible aussi sur le site de l'Icann). (...)

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