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(27/06/2008 11:09:49)

La déclaration de revenu par Internet stagne à 21% des foyers fiscaux

La date limite pour les déclarations de revenus sur Internet était le 24 juin pour les contribuables domiciliés en France. Le ministre du Budget, des comptes publics et de la Fonction publique Eric Woerth a fait les comptes : « Le nombre de déclarations collectées est à ce jour de 7 349 543, soit un chiffre sensiblement égal à celui réalisé en 2007 à même date. Il va encore progresser dans les jours qui viennent avec les dernières déclarations en provenance de l'étranger, pour se stabiliser autour de 7,4 millions de déclarations comme l'an passé. » Le nombre de foyers fiscaux étant d'environ 35 millions, cela signifie que 21% d'entre eux ont opté pour la télédéclaration. Un chiffre à comparer au taux de connexion des foyers français en haut débit : d'après l'Arcep, « le taux d'équipement en haut débit des personnes de plus de 18 ans » est de 49%. Eric Woerth est néanmoins très satisfait de ce chiffre, et ce d'autant plus que cette année, la réduction d'impôt de 20€ était réservée aux seuls nouveaux télédéclarants. Le communiqué précise : « Le ministre constate que la télédéclaration a désormais fidélisé ses usagers, qui l'utilisent même sans bénéficier d'une réduction d'impôt. » Eric Woerth se félicite par ailleurs du système informatique mis en place : « Le ministre souligne que durant toute la campagne de souscription, la procédure technique est restée parfaitement disponible et les ralentissements de quelques minutes du service en raison de l'affluence sur certaines périodes sont restés très ponctuels. » On notera cependant que le recours obligatoire à une machine virtuelle Java - pas forcément préinstallée sur les machines - et d'éventuelles incompatibilités avec le navigateur Web constituent encore une barrière pour une partie du grand public. (...)

(26/06/2008 14:17:42)

Yahoo justifie le partenariat avec Google auprès de ses actionnaires

Jerry Yang et Roy Bostock, respectivement PDG et président de Yahoo, ont adressé hier, mercredi 25 juin, une longue missive aux actionnaires de la société afin de leur démontrer le bien-fondé du partenariat signé le 12 juin dernier avec Google. Cet accord, qui prévoit l'affichage de publicités Google sur les pages de résultats de Yahoo, devrait générer un revenu compris entre 250 et 450 M$ dès la première année, affirment les deux dirigeants. Selon eux, ce rapprochement sera beaucoup plus rentable pour le portail qu'un rachat par Microsoft. Yang et Bostock profitent également de ce courrier pour dénoncer les agissements de Microsoft, auquel ils attribuent l'entière responsabilité de l'échec des négociations. Ils rappellent que Microsoft lui-même a retiré le 3 mai son offre initiale de 44,6 Md$, pour ne s'intéresser qu'aux activités de recherche de Yahoo. L'éditeur a proposé un milliard de dollars pour mettre la main sur la technologie de Yahoo Search, ainsi que 8 Md$ supplémentaires pour son développement. Une offre apparemment alléchante... [[page]] mais en réalité empoisonnée, dénoncent les dirigeants de Yahoo. Elle aurait non seulement dépouillé Yahoo de son outil de recherche, mais aurait également lié le portail de manière exclusive à Microsoft pour une durée de 10 ans, en octroyant à ce dernier un droit de véto. A contrario, l'accord noué avec Google laisse Yahoo libre de revendre tout ou une partie de ses activités à un autre acquéreur - Microsoft y compris. Dans leur lettre, Jerry Yang et Roy Bostock n'épargnent pas non plus Carl Icahn, le milliardaire américain qui avait envoyé une série de lettres incendiaires à la direction de Yahoo, les accusant d'avoir saboté une offre en or au profit de leurs intérêts personnels. Yang et Bostock répliquent : « M. Icahn n'avait pas connaissance des efforts soutenus déployés par l'actuel conseil d'administration et de gestion pour déterminer si l'offre de Microsoft serait génératrice de valeur pour Yahoo. » En d'autres termes, le milliardaire n'avait pas toutes les cartes en main pour se lancer dans une telle fronde contre la direction de Yahoo, et ses dirigeants invitent par conséquent les actionnaires à ignorer les propos de Carl Icahn. (...)

(26/06/2008 12:31:08)

Le gouvernement incite les micro-entrepreneurs à se déclarer sur eBay

Ce matin, Eric Besson, secrétaire d'Etat à l'économie numérique, a annoncé avec Hervé Novelli, secrétaire d'Etat chargé du commerce, de l'artisanat et des PME, la signature d'un partenariat entre l'APCE (Agence pour la création d'entreprise) et la plateforme d'achat et de vente entre particuliers eBay. Par cette convention, ce dernier s'engage à communiquer sur son site, dans l'espace Pro, des informations fournies par l'APCE à destination des créateurs d'entreprise. L'objectif est d'accompagner les initiatives individuelles et de susciter l'éclosion de micro-vendeurs déclarant officiellement leur activité. Eric Besson a précisé qu'un deuxième accord était en préparation avec le site PriceMinister. « La convention signée avec eBay est une tête de série, a-t-il ajouté. L'objectif étant d'arriver progressivement à des accords similaires avec tous les acteurs de la vente en ligne ». Avec en toile de fond la préparation d'un statut pour le micro-entrepreneur, également appelé « auto-entrepreneur », l'Etat cherche ainsi à légaliser et, plus encore, à promouvoir activement les activités de vente sur Internet. Elles ont justement explosé ces dernières années sur des plateformes comme celles du Français PriceMinister ou de l'Américain eBay. Demander aux professionnels de se signaler comme tels L'annonce d'aujourd'hui 25 juin, confirme une direction prise depuis un certain temps déjà, notamment par Renaud Dutreil, précédent secrétaire d'Etat aux PME. Il avait en effet engagé des actions avec la FEVAD (Fédération du e-commerce et de la vente à distance) et la plateforme PriceMinister en juin 2006. « Nous nous étions engagés, par le biais de campagnes d'information sur notre site, à inciter les vendeurs ayant un comportement analogue à celui d'un professionnel à se déclarer comme tel », confirme Benoît Tabaka, directeur juridique de PriceMinister. Dans le secteur des produits informatiques, le responsable constate que neuf vendeurs contactés sur dix font la démarche et adressent par la suite un extrait de KBis à PriceMinister. Le taux de conversion est pour l'instant moins important sur les produits culturels. L'arrivée d'un véritable statut du micro-entrepreneur, réduisant sensiblement les contraintes, devrait largement favoriser les vocations. (...)

(26/06/2008 09:49:00)

L'Ordi 2.0 du gouvernement lutte contre la fracture numérique

La situation actuelle est pour le moins paradoxale : d'une part, une grande proportion de la population n'est pas encore équipée en informatique; de l'autre, des ordinateurs encore en état de marche partent en décharge. L'initiative Ordi 2.0, présentée par le secrétaire d'Etat Eric Besson, vise à résoudre le premier problème en exploitant le second. Elle repose sur trois piliers. Une charte pour le don d'ordinateurs aux salariés Depuis la dernière loi de finance, les entreprises sont autorisées à donner leurs vieux ordinateurs à leurs salariés en franchise fiscale et sociale. Le premier pilier d'Ordi 2.0 encourage, valorise et encadre cette pratique par une charte. Celle-ci privilégie le don en priorité aux publics les plus nécessiteux avec un examen systématique du parc informatique amorti. Par ailleurs, elle sécurise le don juridiquement en remettant « au salarié un équipement libre de droits en ce qui concerne les logiciels d'exploitation et nettoyé de l'ensemble des données et/ou fichiers lui appartenant précédemment ». Ordi 2.0 prévoit aussi la possibilité d'envoyer les machines dans des pays du tiers monde, par exemple, sans pour autant se servir de ces territoires comme dépotoir pour déchets électroniques. La charte labellise donc une filière nationale de reconditionnement, de redistribution et de retraitement des ordinateurs avec des objectifs de développement durable. Les publics qui recevront ces machines (foyers modestes, pays du Tiers Monde, structures sociales) bénéficieront d'ordinateurs gratuits ou à bas coût mais en parfait état de marche, sans données résiduelles et respectant la réglementation en matière de propriété intellectuelle. Ordi 2.0 sera étendu à l'Europe [[page]] Présidence française oblige, l'initiative Ordi 2.0 sera étendue à l'Europe. Eric Besson a indiqué : « Nous allons profiter de la présidence française de l'Union Européenne pour réfléchir avec l'ensemble de nos partenaires européens à des mesures qui permettront un plus large équipement, et surtout un usage plus important des technologies de l'Internet par les foyers défavorisés et les populations fragilisées (personnes âgées, handicapées ou sans emploi). Nous organiserons conjointement avec nos partenaires autrichiens la conférence de Vienne sur la e-inclusion, qui se tiendra du 30 novembre au 2 décembre prochain. Mes homologues en charge de la société de l'information seront également présents. » (...)

(25/06/2008 17:39:56)

La commission Copé confirme son intention de taxer les FAI

Jean-François Copé, à la tête de la commission chargée de plancher sur l'avenir de la télévision publique, a remis aujourd'hui les conclusions de ses travaux à Nicolas Sarkozy. Le principal dossier concerne les moyens à déployer pour compenser la suppression de la publicité sur France Télévisions. La commission Copé suggère trois pistes, qui peuvent se cumuler : l'augmentation de la redevance, en la calquant sur l'inflation ; la taxation des rentrées publicitaires des chaînes privées ; le prélèvement d'une partie du chiffre d'affaires des FAI et des opérateurs télécoms. Cette dernière mesure, qui devrait s'élever à 0,5% du CA selon les préconisations de la commission, est celle qui soulève le plus de contestations. Pourtant, explique Jean-François Copé, cette taxe est juste dans la mesure où les opérateurs et les FAI tendent à devenir des diffuseurs d'images. « ...Un obstacle à la libre circulation des capitaux » Parmi les opposants à cette mesure, outre les FAI et les opérateurs mobiles, la très libérale Viviane Reding, Commissaire européenne à la Société de l'information, est en première ligne. Elle rappelait ainsi en début de semaine, par la voix de son porte-parole, son manque d'enthousiasme pour ce nouvel impôt, rappelant que « des impôts additionnels, c'est quelque chose qui en général est considéré comme un obstacle à la libre circulation des capitaux ». Cette réserve de Bruxelles n'émeut cependant pas Paris : d'un côté, Jean-François Copé rappelle que l'aval de l'Europe n'est pas nécessaire pour la mise en place des mesures qu'il préconise ; de l'autre, Nicolas Sarkozy envisagerait d'aller encore plus loin que les suggestions faites par le député de la majorité. Selon la Tribune, le Président de la République souhaiterait que les FAI et les opérateurs mobiles soient taxés jusqu'à 0,9% de leur chiffre d'affaires. (...)

(25/06/2008 17:02:21)

Allié à Google, Salesforce.com affirme disposer d'une plateforme en ligne complète

L'éditeur Salesforce.com, le champion de la gestion de la relation client (CRM en anglais) en ligne, intègre toutes les applications hébergées de Google à sa plateforme Force.com qui accueille 800 applications développées par 460 partenaires. L'ajout de Google Data API au métalangage APX permet à ces partenaires, via AppExchange, d'intégrer à leurs propres développements la bureautique partagée de Google (traitement de texte, tableur), Gmail, Google Talk et l'application calendrier. Cette annonce fait suite à celle d'avril, lorsque Salesforce.com avait intégré la bureautique en ligne de Google à sa propre application de CRM. Salesforce.com donne comme exemple de l'intérêt de Google Data API le cas de l'éditeur de PGI Coda. Ce dernier a fait la démonstration d'une récupération automatique de données contenues dans le tableur Google par Coda2go, sa solution financière en ligne. Les données du tableur viennent s'insérer dans le module de paiement de Coda. Quatre cumulo-nimbus dans le 'cloud computing' Cette annonce traduit l'inflexion de la stratégie de Salesforce.com qui étend son activité de logiciel en ligne à celle de plateforme en ligne. Un élargissement du spectre que le PDG de Salesforce.com qualifie de Web 3.0. Marc Benioff identifie quatre cumulo-nimbus dans le 'cloud computing' du Web 3.0. Outre sa société et Google, il cite Amazon, avec son Amazon Elastic Compute Cloud (EC2) et son Simple Storage Service (S3), ainsi que Facebook. Parmi eux, Salesforce.com est le seul à se focaliser sur les entreprises et leurs applications. Ces quatre 'pure players' ne sont pas assis entre deux chaises contrairement à IBM, Microsoft, Oracle, HP/EDS, Sun et d'autres comme EMC. Ceux-là, à entendre Marc Benioff, restent viscéralement liés à l'architecture client-serveur et ne s'intéressent aux logiciels en ligne que par opportunisme. A l'assaut d'IBM Lotus Notes [[page]]Salesforce.com poursuit sa progression en promettant des outils de migration pour s'attaquer aux 140 millions d'utilisateurs qui utilisent encore IBM Notes. Contrairement à l'alternative proposée par le couple Microsoft/Exchange, le projet de Force.com permettrait de conserver les applicatifs développés sous Notes. Il reste que le premier défi des champions du "en ligne" comme SalesForce.com, Google et Amazon est de convaincre les futurs clients. Au-delà de la crainte de la nouveauté, il faut les rassurer sur la sécurisation et la garantie d'accès à leurs données, leur faire envisager de quitter des applicatifs dont on connaît déjà les défauts, et, enfin et surtout, les amener à envisager de s'en remettre pieds et poings liés à un fournisseur vital pour la survie de l'entreprise tout entière. Une architecture d'avenir malgré les risques qu'elle présente L'arrêt, en avril, de la messagerie Gmail pendant 30 minutes, ou les quelques interruptions de services dont a déjà pâti l'application Salesforce sont la preuve concrète que le pire cauchemar d'un DSI peut devenir une réalité. Google, malgré ses efforts techniques...[[page]] et l'annonce de plus de 200 grandes sociétés en phase d'évaluation, ne parvient toujours pas à engranger des clients. Toutefois, CapGemini, partenaire de Google pour séduire les grands comptes, se dit sur le point d'annoncer une signature. Et Salesforce.com ne peut pas titiller le milliard de dollars de chiffre d'affaires sans plus de 43 000 clients satisfaits. Les points forts du "en ligne" indiquent bien qu'il s'agit d'une architecture d'avenir. La mutualisation des ressources d'immenses datacenters est la seule issue pour supporter des montées en puissance rapides quasi-instantanées. Elles préfigurent un accès aux ressources informatiques comme on reçoit l'électricité aujourd'hui. La métaphore s'étend au point crucial du coût. Forrester Research estime ainsi que le prix de revient de 400 $ d'un serveur opérationnel en entreprise tombe à 70 $- 150 $ en optant pour l'EC2 d'Amazon. L'économie saute d'autant plus aux yeux que les fournisseurs en ligne facturent leurs services à l'usage effectif et non sur un abonnement mensuel. (...)

(25/06/2008 11:15:17)

Microsoft drague de nouveau Yahoo

Le feuilleton Yahoo-Microsoft a des airs d'histoire sans fin : la saga paraît devoir rebondir à chaque fois qu'on s'apprête à y apposer un point final. Ainsi, alors que l'accord publicitaire passé entre le portail et Google devait constituer l'épilogue des relations tumultueuses entre Yahoo et l'éditeur de Redmond, le blog TechCrunch indique que les deux acteurs auraient repris des négociations. A nouveau, comme aux plus belles heures de cet interminable dossier, il est question d'une acquisition. Mais l'offre formulée par Microsoft serait inférieure à 33 $ par action, soit moins que les précédentes propositions adressées à Yahoo. Ce dernier avaient déclaré à plusieurs reprises que 37 $ par titre constituait un minimum. Microsoft et Yahoo n'ont pas souhaité apporter de commentaire à cette information. En attendant le prochain rebondissement, le cours de l'action du portail a profité de la rumeur pour gagner environ 3%. (...)

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