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(13/05/2008 15:42:23)

Larousse lance une encyclopédie contributive sur Internet

A la manière de Wikipédia, la maison d'édition française Larousse a choisi de s'engouffrer dans la brèche du mode participatif. L'éditeur vient en effet d'annoncer le lancement d'une encyclopédie contributive sur Internet. Celle-ci juxtapose, en consultation gratuite sur le site www.larousse.fr, le contenu de son dictionnaire (150 000 articles et 10 000 images) et des contributions d'internautes. Un espace personnel permet à chaque participant de se présenter, d'être informé sur les nouvelles publications de ses thèmes favoris, de retrouver l'ensemble de ses contributions et d'être alerté dès qu'un commentaire est posté sur l'un de ses articles ou l'une de ses photos. Des articles signés par leurs auteurs Mais contrairement au concurrent Wikipédia, les contributeurs devront être identifiés pour pouvoir mettre leur contenu en ligne et eux seuls auront le droit de le modifier. Pas question d'aller mettre son grain de sel sur un article d'internaute déjà publié. « Nous avons placé le respect et la valorisation du droit d'auteur au centre de notre concept, commente Isabelle Jeuge-Maynart, PDG de Larousse. Les auteurs peuvent signer leurs articles et personne ne peut les modifier à part eux. Cela devrait rassurer bon nombre d'experts qui, aujourd'hui, sont parfois réticents à publier leurs contenus sur Internet. » Larousse compte également sur de nouvelles fonctionnalités, prévues dans les prochains mois, pour enrichir la consultation de son encyclopédie et les échanges entre les contributeurs : au menu, des outils collaboratifs (gestion de groupe, modifications et corrections sous contrôle d'un auteur référent), une recherche thématique (par article, médias, chronologie) et la création de dossiers personnels. Optant pour un modèle plus traditionnel, la maison Robert réfléchit pour sa part à la mise en ligne, en accès payant, de son dictionnaire de langue française d'ici la fin de l'année. (...)

(13/05/2008 13:13:00)

Google propose des fonctions de réseau social pour les sites Internet

« Google Friend Connect revient à donner aux webmestres un peu de « réseau social » à saupoudrer sur leur site», explique David Glazer, directeur ingénierie de Google. Selon lui, ce nouveau service, encore au stade de l'ébauche standardise, à l'instar d'Open ID ou des APIs ouverts de Facebook, le développement de réseaux sociaux. Les webmestres peuvent ainsi copier et coller dans leurs pages des morceaux de code pour faire apparaître des gadgets destinés à leurs visiteurs, développés par Google ou des développeurs extérieurs. Parmi les premiers gadgets proposés, on trouve l'authentification directe à l'aider de son compte Google, Yahoo ou Open ID, la possibilité de rejoindre un réseau social (Facebook, hi5, Plaxo, Google Talk, orkut, etc) à partir du site, la possibilité de voir les autres visiteurs suivant leur affiliation, ou de se faire de nouveaux amis à travers le site. Le tout, en respectant parfaitement la vie privée des visiteurs, bien entendu ! Un moyen de générer un trafic plus important et mieux qualifié Pour les webmestres, l'intérêt est de générer plus de trafics vers leurs sites et d'obtenir qui plus est, un trafic plus qualifié. Pour son éditeur, après OpenSocial, Google Friend Connect est une nouvelle tentative d'abattre les frontières entre les différents réseaux sociaux, et devenir ainsi une sorte d'"aggrégateur d'amis", discret mais indispensable. Google Friend Connect est officiellement destiné aux webmestres. (...)

(09/05/2008 18:28:04)

Une voiture Google parcourt Paris afin de cartographier la ville

Le service Street View de Google nécessite qu'un véhicule se déplace dans les rues des villes afin de disposer d'images vues du sol. L'information provient du site zorgloob.com, spécialisé dans les informations sur Google et qui publie une photo de la voiture en question. Il s'agit d'un modèle Opel, doté d'un impressionnant appareillage de prise de vues sur son toit. Un discret logo Google apparaît sur la portière du véhicule. D'autres villes européennes sont cartographiées de façon similaire. Par le plus grand des hasards Par un hasard des plus étonnants, un véhicule de Google est passé vers treize heures par Puteaux, juste en face des bureaux de notre publication, LeMondeInformatique.fr. Ce véhicule ne possède pas de logo Google sur ses portières, c'est son chauffeur - très pressé alors qu'il était en train de retirer la housse de protection de l'appareillage de prise de vues - qui nous a confirmé travailler pour Google. Un de nos journalistes, Peter Sayer, a eu tout juste le temps de prendre les photos de la voiture afin d'illustrer cet article. Le droit à l'image en France Les prises de vue destinées au service Street View viennent compléter les images par satellite offertes par le service Google Maps. Si ce service va ramener énormément de données à Google, la société risque aussi de récolter quelques poursuites vu le contexte particulier des lois sur le droit à l'image en France, et selon la manière dont les images seront exploitées.[[page]]Vu le beau temps qui règne sur Paris, les terrasses des cafés risquent d'être pleines de monde et elles vont être captées par les appareils photo de Google. Or, vu les règles sur le droit à l'image en France, il est interdit de publier ces photos sans l'accord des intéressés. Les photos incriminées retirées Jusqu'alors, Google attend afin de ne lancer le service en Europe que lorsqu'il a pu s'assurer de respecter les législations locales, a assuré un porte parole officiel du groupe à l'agence de presse IDG News Service. Aux Etats Unis, le service Street View a déjà entraîné quelques poursuites judiciaires depuis son lancement en Mai 2007. La réponse de Google a été de retirer les images incriminées. (...)

(09/05/2008 17:14:26)

La Cour de cassation juge que Alapage n'enfreint pas la loi Lang

Assurer la livraison gratuite d'ouvrages commandés sur Internet n'enfreint pas la loi Lang de 1981. C'est ce que vient d'établir un arrêt du 06 mai 2008 de la chambre commerciale de la Cour de cassation dans le cadre d'un contentieux opposant le site de vente en ligne Alapage et le syndicat de la librairie française (SLF). La loi Lang , établie il y quelque vingt ans, bien avant avant l'apparition de la librairie en ligne Amazon et le développement du commerce électronique, visait à protéger les libraires face à la grande distribution. Elle impose notamment aux revendeurs de commercialiser les livres dans une fourchette comprise entre 95% et 100% du prix de vente fixé par l'éditeur. En s'appuyant sur cette loi, le syndicat de la librairie française pointait du doigt les frais de port gratuits proposés sur le site Alapage, en invoquant plus précisément l'article 6 qui n'autorise les ventes à prime que sous certaines conditions. Dans un premier temps, la Cour d'appel de Paris a jugé que l'annonce de la livraison gratuite du livre constituait une incitation à l'achat, ce qui pouvait correspondre à la définition d'une prime. La Cour de cassation estime en revanche qu'il ne s'agit pas d'une prime mais de la prise en charge, par le vendeur, d'un coût lié à son obligation de délivrer son produit, selon le communiqué diffusé par Alapage. (...)

(07/05/2008 15:47:34)

Bill Gates : Microsoft a déjà oublié Yahoo

Après le retrait de l'offre de rachat de Yahoo par Microsoft samedi 3 mai, c'est au tour de Bill Gates de s'exprimer. Le co-fondateur de l'éditeur de logiciels a déclaré aujourd'hui, lors d'une conférence à Tokyo, que désormais Microsoft « se concentre sur sa stratégie d'indépendance ». Tout en déplorant avoir « fait beaucoup d'efforts pour parler à Yahoo », sans succès. En d'autres termes, aucune offre de rachat ne sera formulée dans les semaines qui viennent, et la porte entre ouverte hier par Jerry Yang, sous la pression des actionnaires, risque bien de se refermer définitivement. L'échec de cette OPA est également une claque infligée à Microsoft, qui cherchait, à travers cette opération, à accélérer son positionnement sur le marché de la recherche et de la publicité en ligne, dominé par l'intouchable mastodonte Google. Pas question cependant pour Bill Gates de faire profil bas. Il s'est employé à mettre en avant la suprématie de Microsoft dans le secteur des logiciels : « un nombre croissant d'appareils tournent grâce à nos outils », a-t-il déclaré. (...)

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