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(21/12/2007 15:47:26)

Xentral, confirmé propriétaire de la marque pagesjaunes.com

Nouvelle étape dans l'un des plus longs procès autour d'un nom de domaine. Après 10 ans de procédure, le Tribunal de première instance de la Communauté européenne a confirmé, le 13 décembre, que le nom de domaine pagesjaunes.com appartient bien à la société Xentral. La société Pages Jaunes SA, qui édite pagesjaunes.fr, renonce définitivement à revendiquer un droit de propriété sur le nom de domaine pagesjaunes.com, précise un communiqué. Les deux entités sont par ailleurs renvoyées devant la justice française, notamment en ce qui concerne la portée des droits antérieurs de la société Xentral. Pour rappel, en 2000 France Télécom, alors titulaire de plusieurs marques Pages Jaunes en France déposées en 1977, s'engage dans une procédure auprès de l'OMPI pour se voir restituer le nom de domaine pagesjeunes.com, alors enregistré en 1996 par la société américaine Prodis, qui édite notamment les Yellow pages. Démarre alors un bras de fer historique autour d'un des noms de domaine les plus utilisés et surtout dont les termes sont désormais entrés dans la mémoire collective pour qualifier la notion d'annuaire professionnel. C'est un point qui pousse alors l'Annuaire universel, qui exploite pagesjaunes.com depuis 2007, à déposer une plainte devant la Commission européenne. (...)

(20/12/2007 17:42:12)

Rapprochement Google/DoubleClick : les US approuvent, l'Europe enquête encore

La Federal Trade Commission américaine (FTC) a tranché : elle n'empêchera pas Google de racheter DoubleClick (une société spécialisée dans la régie de la publicité en ligne). Après huit mois d'enquête, la commission a en effet estimé que cette opération ne portait pas préjudice à la concurrence. Ce rachat, dont le montant s'élève à 3,1 Md$, avait déjà été approuvé par les services de la concurrence australiens et brésiliens. Les autorités européennes se sont montrées beaucoup plus réservées de leur côté. Bruxelles a en effet estimé que cette fusion « pourrait donner lieu à des pratiques restrictives et anticoncurrentielles vis-à-vis des acteurs présents sur le marché, et de ce fait, porter préjudice aux consommateurs ». La Commission européenne a donc lancé une étude approfondie, et communiquera son avis définitif le 2 avril prochain. Eric Schmidt, PDG de Google, s'est déclaré satisfait du soutien de la FTC, tout en ajoutant « nous espérons que la Commission européenne aboutira à la même conclusion, mais nous sommes confiants ». (...)

(20/12/2007 16:01:12)

Les adolescents de plus en plus créateurs de contenu Internet

En 2007, 64% des adolescents américains sont créateurs de contenu sur le Web, d'après une étude publiée par l'institut Pew Internet, contre 57% en 2004. Cette étude, menée auprès de jeunes âgés de 12 à 17 ans, révèle par ailleurs de grandes disparités entre les filles et les garçons. Les filles privilégient les blogs (35% contre 20% pour les garçons), où elles s'épanchent sur leur vie privée, leurs sentiments... un peu comme dans un journal intime partagé. Elles sont aussi plus nombreuses à publier des photos (54% contre 40%), alors que les garçons préfèrent la vidéo (19% contre 10% chez les filles). L'enquête a également constaté que les jeunes ne se contentaient pas de produire du contenu, mais espéraient que la publication de photos, de commentaires ou de vidéos leur permettrait d'entrer en contact avec d'autres personnes, et de communiquer via Internet. 89% d'entre eux se félicitent d'ailleurs de recevoir des commentaires sur les contenus qu'ils mettent en ligne. L'enquête a également identifié une catégorie d'adolescents qu'elle qualifie de « super communicants » (28 %, en majorité des filles). Il s'agit de jeunes qui utilisent toute une panoplie d'outils pour communiquer avec leur famille ou leurs amis : portable, sms, mail, inscription à un réseau social. Elément plus inquiétant relevé par l'étude, 47 % des adolescents publient des données personnelles sur des sites publics, donc accessibles à tout le monde. Suite à une étude, l'ICO (Information Commissioner's Office, une autorité indépendante britannique équivalente de la Cnil en France) a récemment créé un site Internet pour aider la jeunesse à comprendre ses droits, mais surtout à mieux se protéger contre les dangers du Web. D'après l'ICO, « les millions de jeunes ont rarement conscience que les informations qu'ils diffusent pourraient un jour leur porter préjudice, notamment lors de la recherche d'un emploi ou d'une école ». (...)

(19/12/2007 09:13:32)

Les acteurs de la VoIP s'emportent contre le projet européen de régulation des télécoms

Le projet de la Commission européenne de revisiter la régulation des télécoms sur le Vieux continent irrite les acteurs de la VoIP. Au-delà du projet de créer un régulateur européen ou de pouvoir démanteler les opérateurs historiques, c'est l'obligation qui pourrait être faite aux services de téléphonie sur le Web de garantir un accès au 112, le numéro d'urgence commun à l'ensemble de l'UE, qui fait l'objet de leurs récriminations. Microsoft, Google, Skype, Intel, Rebtel, et iBasis viennent ainsi de d'associer au sein de la VON (Voice over the Net) Coalition Europe pour mieux faire entendre leur message. Selon eux, l'obligation de garantir l'usage du 112 est prématurée si elle concerne tous les fournisseurs de services de VoIP, léserait à la fois les industriels et les consommateurs en « nuisant aux innovations importantes pour les personnes handicapées, freinant la concurrence, et limitant l'accès à des solutions de communications innovantes où il n'y a pas lieu de mettre en place le 112 ». De fait, explique, l'association, la VoIP n'est pas appelée à remplacer les services de téléphonie traditionnelle installés dans les domiciles et les entreprises. « Si l'on soumet automatiquement cette nouvelle technologie aux règles classiques de régulation, les utilisateurs particuliers et professionnels pourraient passer à côté des services, de l'offre, des prix et des fonctionnalités » qu'elle permet. (...)

(18/12/2007 11:49:09)

Amazon lance la bêta de sa base de données SimpleDB

Amazon confirme son arrivée dans le domaine des services applicatifs. Après son offre de stockage S3 et son Web Service de calcul EC2, le géant de la vente en ligne se lance dans la base de données. Si Amazon n'entend pas concurrencer les leaders du marché tels qu'Oracle, IBM ou Microsoft, il n'en prévoit pas moins d'offrir une alternative à tous les utilisateurs du Web qui ont besoin d'espace pour stocker et traiter des informations structurées dans une base de données relationnelle. Baptisée SimpleDB, cette base, encore en version bêta, offrira des services limités en termes d'espace de stockage et de traitements. Elle s'adresse en priorité aux développeurs qui ont besoin d'aller au delà du simple stockage de fichiers. Avec SimpleDB, ils pourront effectuer des recherches et des requêtes sur leurs informations sans perdre de temps en gestion et administration d'une base de données relationnelle. Calquée sur les offres précédentes, SimpleDB est commercialisé à la durée et à la volumétrie : 1,50 dollar par Go et par mois, une somme à laquelle il faudra ajouter 14 cents par heure de traitement machine (pour l'exécution des requêtes) et entre 10 à 18 cents par Go transféré. Comme pour son service de stockage en ligne, pourtant localisé en Europe depuis peu après pression des développeurs qui ne voulaient pas que leurs données soient transférées sur des serveurs américains, Amazon n'a pas établi de tarif en euros. Quoique ciblée et limitée en fonctions, SimpleDB s'inscrit en complément des offres déjà existantes chez Amazon et elle est surtout la preuve d'une réelle ambition du géant de la vente ligne sur le marché des environnements hébergés. (...)

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