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(06/11/2007 17:03:49)

Nick Van Wyk, la voie du changement pour Red Hat

L'arrivée de Nick Van Wyk au sein de Red Hat, en remplacement de Joanne Rohde, semblait assez anodine. Et pourtant le changement de titre de « vice-président exécutif en charge des opérations globales » à « vice-président senior en charge des opérations globales et de la transformation » pouvait mettre la puce à l'oreille des plus attentifs. Nick Van Wyk a en effet trois ans pour faire passer Red Hat d'une société tirant l'essentiel de ses revenus de sa distribution Linux pour serveurs à une « compagnie vendant des solutions et des services open source. » Et donc ayant plus d'une seule source de profit pour rester compétitive face à des concurrents comme Microsoft, IBM, SAP ou Oracle aux offres plus étoffées. Ce virage a déjà été amorcé lors du rachat de JBoss, et se poursuit dès aujourd'hui avec l'annonce d'un partenariat avec Sun autour de Java Developpement Kit (JDK). Celui-ci sera désormais intégré directement au coeur des prochaines versions de Red Hat Entreprise Linux (RHEL) et de Fedora. Ce qui permettra aux développeurs Red Hat de créer leurs propres versions de l'environnement Java mieux adapté à leur système d'exploitation, et donc faisant tourner plus rapidement les applications Java. Pour l'instant, le JDK sera mis à la disposition de la communauté Fedora, et c'est seulement lorsqu'une version stable sera disponible qu'il intègrera la distribution principale RHEL. Outre ces développements sous Java, les transformations que doit apporter Nick Van Wyk restent pour l'instant mystérieuses. Tout au plus se définit-il comme étant dans une phase d'observation des processus de la compagnie : gestion du personnel, rapport avec les partenaires, gestion des abonnements, support technique. (...)

(06/11/2007 14:49:13)

Google annonce officiellement Android, sa plateforme mobile

Les ambitions de Google dans le domaine de la téléphonie mobile n'étaient plus un secret et les rumeurs allaient bon train depuis un moment déjà. L'annonce d'une plateforme, baptisée Android, n'a donc pas vraiment étonné les acteurs du marché. Plus qu'un simple système d'exploitation, Android, du nom de la start-up rachetée par Google en aout 2005, regroupe des outils de développement et des API (interfaces de programmation). Conçue selon le modèle Open Source, Android invite donc les développeurs à venir enrichir le panel d'applications déjà disponibles pour le système d'exploitation de Google. A ce niveau rien de franchement étonnant : Gmail, YouTube, Google Agenda, Google Docs figureront parmi les premières applications disponibles pour Android. Le spécialiste de la publicité en ligne compte appliquer au monde de la mobilité les recettes qui ont fait son succès sur le Web. En d'autres termes, des publicités devraient être insérées dans les applications pour téléphones portables afin de rentabiliser le modèle économique. Les analystes plutôt sceptiques La confirmation de l'intérêt de Google pour le marché de la mobilité bouleverse bien entendu la donne mais elle laisse aussi les analystes du marché assez sceptiques. Le modèle Open Source, tout d'abord, pose certains problèmes en termes de sécurisation de la plateforme et de la confidentialité des données personnelles. Du côté du modèle économique, il n'est pas du tout certain que les utilisateurs apprécient de se voir imposer des publicités avant de pouvoir téléphoner ou de consulter un mail, surtout avec des abonnements facturés au débit ou à la durée. Enfin, Google marche clairement sur les plates-bandes d'éditeurs installés depuis longtemps sur le marché - Symbian et Palm - et de plus récents tels que Microsoft. Or, comme le rappelle IDC, il ne suffit pas d'avoir des ambitions et des moyens pour réussir sur le marché de la mobilité : Microsoft, dont le système est disponible depuis des années et qui a des accords avec 48 fabricants de téléphones portables et 160 opérateurs dans le monde, n'a vendu que 12 millions de téléphones équipés de ses logiciels cette année, dont seulement 10% sont des Smartphones. Création d'une alliance industrielle Avec le lancement d'Android, Google annonce aussi la création d'Open Handset Alliance, organisation qui regroupe des constructeurs de terminaux, fournisseurs de composants et des opérateurs mobiles, prêts à s'investir dans des téléphones équipés d'Android. De grands opérateurs, tels T-Mobile et Sprint aux Etats-Unis, mais également en Chine, au Japon, en Allemagne, en Italie et en Espagne, ont rejoint cette alliance. Mais est-ce le scepticisme affiché par les analystes qui explique l'absence de grands acteurs du marché tels que les deux plus grands opérateurs de téléphonie mobile aux Etats-Unis, AT&T et Verizon, le fabricant Nokia, ou encore Vodafone et Orange en Europe ? Pour l'heure on n'en sait guère plus sur la position de ces acteurs et il faudra attendre le second semestre 2008 pour voir les premiers téléphones basés sur Android destinés au grand public. (...)

(06/11/2007 13:13:47)

Serena Software relie son intranet à Facebook

Pour renforcer l'esprit communautaire et encourager ses collaborateurs à nouer des contacts, quel que soit l'endroit du globe où ils se trouvent, l'éditeur Serena Software a eu l'idée de relier son intranet au réseau social Facebook. Chaque vendredi, les quelque 800 collaborateurs du groupe, répartis dans 18 pays du monde, bénéficieront d'une heure de connexion aux « Vendredis Facebook ». Ils pourront ainsi et échanger avec l'ensemble de la communauté, collègues, partenaires et clients. Les utilisateurs du réseau pourront également trouver des informations, depuis la liste des jours fériés de l'entreprise, jusqu'aux films préférés de leur président. Avant le lancement des « Vendredis Facebook », plus de 30% des collaborateurs mondiaux de la société étaient inscrits sur le réseau social. (...)

(05/11/2007 17:18:48)

Publicité en ligne : AOL s'offre Quigo pour 300 M$

AOL, qui mue actuellement son modèle économique vers une activité de régie publicitaire, vient de faire l'acquisition de Quigo, une société israélo-américaine spécialisée dans la publicité « contextuelle ». Pour un montant de 300 M$, AOL se dote ainsi d'une nouvelle technologie, baptisée AdSonar (concurrente d'Adsense chez Google), ainsi que de FeedPoint, un moteur de recherche marketing. Ces outils permettent aux annonceurs et aux créateurs de contenu d'intégrer au moteur de recherche leurs publicités de manière ciblée, en fonction des intérêts de l'utilisateur. Ce rachat prouve par ailleurs une fois de plus que la compétition sans merci que se livrent les différents moteurs de recherche passera forcément par la publicité en ligne. Situé à New York et à Tel Aviv, Quigo emploie une centaine de personnes. (...)

(05/11/2007 16:38:44)

L'action Google dépasse les 710 dollars

Depuis mercredi dernier, l'action Google a franchi le cap des 700 dollars (711 dollars en ce lundi 5 novembre). Ce record a été pulvérisé en l'espace de trois semaines à peine, durant lesquelles l'action a grappillé pas moins de 100 dollars, se plaçant ainsi en quatrième position des sociétés les mieux cotées aux Etats-Unis. Une performance d'autant plus remarquable que l'action du célèbre moteur de recherche (créé dans un garage par deux étudiants) ne dépassait pas les 80 dollars lors de son entrée en bourse, en août 2004 ! Le brutal engouement observé ces derniers jours est le résultat d'une succession d'annonces toutes plus alléchantes les unes que les autres. Les premières concernent la création (pour la mi 2008) du Gphone, une plate-forme « mobile » rassemblant toute une panoplie de services destinés aux utilisateurs nomades. Afin de concurrencer Facebook et autres réseaux sociaux, Google a par ailleurs lancé Open Social, son propre réseau communautaire. La capitalisation boursière de la société atteint aujourd'hui les 219 Md$. Google attend pour cette année une hausse de de 45,8% de ses bénéfices et de 58% de son chiffre d'affaires, un revenu essentiellement porté par la publicité (Google détient 32% de ce marché). Pour rappel, Google compte 500 millions d'adeptes réguliers, soit les trois quart des internautes dans le monde, très loin devant son principal rival, Yahoo ! (14% des requêtes seulement). (...)

(05/11/2007 16:13:25)

Un avocat néo-zélandais succède à Vinton Cerf à la tête de l'Icann

Sans surprise, c'est Dengate Thrush, 52 ans, qui succède à Vinton Cerf, 64 ans, à la tête de l'Icann (Internet corporation for assigned names and numbers). Cet avocat de nationalité néo-zélandaise est membre actif de l'Icann depuis 1998. L'autre candidat, le spécialiste italien des télécoms Roberto Gaetano, 57 ans, a été élu vice-Chairman. L'ensemble des spécialistes de l'administration d'Internet considère l'Icann comme la chambre d'enregistrement des décisions du gouvernement américain et non comme un organisme indépendant, soucieux de l'intérêt général au niveau mondial. (...)

(05/11/2007 12:29:57)

La téléphonie sur IP compte pour près d'un tiers des appels sur le fixe

En dépit du succès croissant de la téléphonie mobile, la téléphonie fixe reste un marché en progression. Selon l'Arcep, Autorité de régulation des télécoms, au deuxième trimestre 2007, le nombre d'abonnements au fixe a progressé de 3,9% à 38,9 millions de lignes comparé à l'an passé. Un essor que les opérateurs doivent entièrement à celui des abonnements aux services de téléphonie sur IP sur accès large bande qui comptent désormais 8,7 millions de souscripteurs (+77,5% comparé au deuxième trimestre 2006), soit 22,4% du total des abonnements à la téléphonie fixe en service. Dans le même temps, le nombre d'abonnements téléphoniques sur accès bas débit (ligne analogiques, numériques ou câble) a chuté de 7,3% pour s'établir à 38,9 millions. Résultat, au deuxième trimestre 2007, les communications au départ de services de TOIP représentaient 30,3% du volume total des communications émises depuis des lignes fixes contre 17,1% il y a u an. La hausse est particulièrement sensible sur les appels émis vers l'étranger qui ont progressé de 175% en un an, bien que les communications nationales représentent de loin la plus grosse part des volumes. Selon l'Arcep, la progression de la TOIP est probablement liée au succès rencontré par les offres multiplay (TV, téléphonie, accès Internet..). Ces dernières contribuent également à la progression des connexions Internet haut débit. Elles représentent désormais 83,3% du nombre total des accès à la Toile et 87,6% des revenus liés à la fourniture d'accès au Net qui s'élèvent à 1 MdE au second trimestre (+34,1% en un an). (...)

(02/11/2007 18:28:42)

Le TGI de Paris ne juge pas Wikimedia responsable de ses contenus

Le tribunal de grande instance de Paris a débouté, lundi 29 octobre, trois personnes ayant attaqué la Fondation Wikimedia en raison de la publication sur l'encyclopédie collaborative Wikipedia d'informations portant atteinte à leur vie privée. Selon l'avocat de Wikipedia, Maître Jean-Philippe Hugot, cité par l'AFP, il s'agit d'une « première en France ». Personne auparavant n'avait cherché à engager la responsabilité éditoriale de l'encyclopédie en ligne. Dans son ordonnance de référé, le TGI ne tient pas la Fondation responsable des informations publiées sur Wikipedia, au motif que Wikimedia n'est pas éditeur mais un simple hébergeur de son encylopédie en ligne. Celle-ci est, rappelons-le, enrichie par des collaborations externes et bénévoles. La Fondation n'a donc pas de responsabilité éditoriale à proprement parler. En revanche, en tant qu'hébergeur, Wikimedia est soumise, en France, à la LCEN (loi sur la confiance dans l'économie numérique du 21 juin 2004). Cette dernière stipule que, sur demande par lettre recommandée, un hébergeur doit supprimer de son site un contenu illicite (pédopornographique, raciste ou négationniste) qui lui est signalé. Selon le quotidien Le Monde, le TGI a jugé que la demande que les plaignants avaient adressée à Wikimedia, et qui était restée sans réponse, n'avait pas été « rédigée dans les règles de l'art prévues par la LCEN ». (...)

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