Flux RSS
Internet
5069 documents trouvés, affichage des résultats 361 à 370.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(23/09/2011 09:58:14)
OVH lance un forfait Internet sans TV mais avec VoIP
L'offre no!TV d'OVH propose un forfait ADSL incluant les appels vers les téléphones fixes et mobiles en France, ainsi que les communications avec les fixes de 40 pays. A défaut de box avec fonctions vidéo, OVH fournit un modem-routeur WiFi. Comme son nom l'indique, cette offre ne comprend pas la télévision. A peine plus cher que le forfait social réclamé par le gouvernement (et proposé par Orange aux bénéficiaires du RSA début 2012), il est plus complet puisqu'il comprend les communications vers les mobiles.
Parallèlement, OVH commercialise une offre no!Box, un simple accès internet à jusqu'à 28Mbps, pour 20 € par mois. OVH propose également un forfait Double, orienté geeks comme entrepreneurs, qui propose un accès internet, deux lignes téléphoniques, un espace de stockage en ligne de 100 Go et deux comptes de messagerie Microsoft Exchange, le tout pour 30 €. Enfin, une offre Pro inclut un accès internet, trois lignes téléphoniques, un espace de stockage en ligne de 500 Go et cinq comptes de messagerie Microsoft Exchange, le tout pour 46,64€.
Tous les abonnements d'OVH requièrent douze mois d'engagement, mais ne comportent aucuns frais d'ouverture ni de fermeture.
Découvrir les offres OVH : http://www.ovh.fr/
(...)(23/09/2011 09:52:13)Un wiki dédié à la défense de la langue française
Ce wiki permet d'associer les internautes aux experts chargés de proposer chaque année des termes répondant à des besoins d'expression très spécifiques. L'idée est de pouvoir franciser la plupart des mots étrangers utilisés quotidiennement dans des domaines spécialisés, tels que l'audiovisuel ou les nouvelles technologies, et pour ce faire, de recueillir les propositions du plus grand nombre.
Une fois inscrits sur le wikiLF, les internautes sont invités à proposer des termes nouveaux et à donner leur avis ou émettre des suggestions sur les termes examinés par les experts des commissions de terminologie.
Se connecter au wikiLF : http://www.wikilf.culture.fr
(...)(22/09/2011 17:38:13)Open World Forum : Le logiciel libre et Internet dans l'arène politique
« Le logiciel libre a contribué de façon décisive à la révolution numérique, par sa gratuité, sa qualité et le potentiel économique et industriel considérable qu'il représente », a déclaré ce matin le ministre chargé de l'Industrie, de l'Energie et de l'Economie Numérique, en ouverture de l'Open World Forum. La quatrième édition de l'événement consacré au monde de l'Open Source se tient à Paris jusqu'au samedi 24 septembre, à l'Eurosite Georges V. Au passage, Eric Besson a cité en exemple la large utilisation du navigateur web Firefox, la diffusion de l'OS mobile Android basé sur Linux ou, encore, le lecteur VLC, né du projet d'élèves ingénieurs de l'Ecole Centrale de Paris, « l'une des meilleures applications au monde pour diffuser des contenus multimédias ». Pour autant, le ministre juge utile d'insister sur la complémentarité entre logiciels libres et propriétaires, les uns obligeant les autres à s'améliorer constamment.
« Le logiciel libre facilite le transfert de technologie et la mise en oeuvre de standards ouverts et se diffuse de manière croissante. Le gouvernement l'a également identifié comme un axe stratégique », a-t-il rappelé en évoquant plusieurs projets dans lesquels l'Etat français investit, dans les domaines de la télévision interactive, de la portabilité entre plateformes de cloud, des logiciels embarqués et sur la mise à disposition prévue des données publiques via le portail Data.gouv.fr.
Investir sans demi-mesures
Profitant de la présence d'Eric Besson, c'est une véritable charge contre l'action des pouvoirs publics vis-à-vis du numérique qu'a lancé à sa suite Jean-Louis Missika, adjoint au maire de Paris, chargé de l'innovation, de la recherche et des universités. « 25% de la croissance européenne est liée au numérique et c'est encore plus vrai pour la région parisienne. Dans une période de crise aigüe, les investissements doivent se faire sans demi-mesures. On ne peut pas prétendre à un développement d'avenir et supprimer les aides fiscales qui aident les PME, ce que la loi de finances 2011 a mis à mal », a-t-il lancé. Il considère que l'on ne peut pas mettre en place un plan sur plusieurs années et changer les règles du jeu à mi-parcours. « On ne peut pas encourager ce secteur et le traiter comme la poule aux oeufs d'or », a-t-il poursuivi en énumérant les taxes qui ont frappé l'industrie du numérique au rythme d'une nouvelle tous les ans depuis 2007. « Il faut un meilleur accès aux marchés publics pour les PME, ce que nous essayons de faire dans une certaine mesure à Paris. » Pour lui, la France ne fait pas assez pour soutenir l'Open Source. « L'administration devrait avoir obligation pour communiquer de n'utiliser que des standards ouverts ». Jean-Louis Missika a aussi vigoureusement défendu la neutralité d'Internet. « Un Internet non neutre, cela a déjà été testé à grande échelle en France avec le Minitel, on a vu les limites du modèle. Hiérarchiser les conditions d'accès à Internet, c'est remettre en cause la neutralité. L'idée de revenir sur la neutralité n'est pas envisageable. » Il fustige un éventuel système de péage.
Assurer les emplois de demain
Très loquace, l'adjoint au maire de Paris a aussi pointé qu'on ne peut pas souligner le rôle bénéfique d'Internet comme appui au Printemps arabe et voter en France des lois qui portent atteinte aux libertés fondamentales comme peut le faire la Loppsi 2.
« Enfin, sur bien des sujets, la gouvernance est efficace quand elle se place au plus près des territoires », a ensuite abordé Jean-Louis Missika. Prêchant dès lors pour sa paroisse, il a rappelé les actions de la Ville de Paris. Le programme Emergence(s), par exemple, qui accorde des bourses de financement à de jeunes chercheurs pour des projets innovants, le soutien apporté aux pôles de compétitivité locaux et aux nombreux incubateurs, parfois adossé à des organismes de recherche, ainsi que l'association avec Oseo pour soutenir des entreprises en phase d'amorçage. Enfin, sur l'Open Data et la diffusion des données publiques, ce n'est, pour Paris, « pas un projet mais une réalité », selon lui. En conclusion, il a reconnu que certains des sentiers à emprunter étaient complexes, « mais c'est à ce prix que nous assurerons les emplois de demain et la vitalité de la Ville de Paris ». Une intervention largement applaudie par le public de l'Open World Forum, gagné plus particulièrement à certains de ses arguments.
Un peu plus tard dans la matinée, Nigel Shadbolt, membre du conseil de transparence du secteur public britannique, investi dans l'aventure Open Data Outre-Manche, est venu expliquer quels enseignements le gouvernement du Royaume-Uni avait tiré de son projet de mise à disposition des données publiques (data.gov.uk).
Illustration : Eric Besson, ministre chargé de l'Economie Numérique (à gauche) ; Jean-Louis Missika, adjoint au Maire de Paris, chargé de l'innovation, (à droite). Crédit : M.G.
Les sénateurs américains accusent Google de favoriser ses services
« Les résultats de recherche de Google semblent favoriser l'affichage de réponses commerciales et autres services, et les services proposés par Google ont l'air d'apparaître toujours en tête des résultats de recherche organiques, » a déclaré le sénateur républicain de l'Utah, Mike Lee. Pour preuve, ce dernier a montré un tableau dans lequel on peut voir que les annonces commerciales de Google s'affichent toujours dans les trois premiers résultats, alors que le classement d'autres sites est variable dans la grille des résultats. « Il semble que Google a « prémâché » ses résultats, » a estimé le sénateur.
Le président exécutif de Google a nié les affirmations du sénateur et celles des autres membres du sous-comité. « Je peux vous assurer que nous n'avons rien préparé à l'avance », a-t-il déclaré. « Google cherche avant tout à offrir les meilleurs résultats possibles, et non à orienter le choix vers ses services, » a-t-il affirmé. « Il semble que le tableau du sénateur Lee cherche à comparer la recherche de produits avec celle de comparateurs de prix, » a déclaré Eric Schmidt. « Je n'ai pas connaissance de méthodes inappropriées, de favoritisme quelconque ou de résultats biaisés dont le but serait de mettre en avant les produits de Google, » a-t-il ajouté.
Quel impact pour les petites entreprises
Mais cette réponse n'a pas satisfait le sénateur démocrate du Minnesota, Al Franken. Selon lui, la réponse faite par le PDG de Google au sénateur Lee, disant qu'il n'avait pas connaissance de méthodes biaisées pour la recherche de services commerciaux était «floue». « Si vous n'êtes pas au courant de ces méthodes, alors qui l'est ? » a-t-il demandé. Les réponses d'Eric Schmidt ne semblent pas non plus avoir convaincu Mike Lee. Au contraire, les réponses du PDG exécutif de Google ont renforcé ses « craintes » quant à l'usage d'une méthode de recherche partiale par le moteur de Google.
Interrogé sur le classement fluctuant de certaines petites entreprises dans les résultats de recherche, Eric Schmidt a déclaré aux sénateurs que Google modifiait ses résultats de recherche environ 500 fois par an. « Google offre un bon service pour la « grande majorité » des petites entreprises aux États-Unis, » a-t-il ajouté. «Tous les sites Web ne peuvent pas apparaître en haut du classement, » a t-il ajouté. » « Pour chaque gagnant, il y a un perdant. »
Des partenaires devenus concurrents
« Le business model de recherche de Google semble avoir changé ces dernières années, après une période d'acquisition frénétique destinée à faire entrer l'entreprise sur de nombreux nouveaux marchés, » a déclaré le sénateur démocrate du Wisconsin Herb Kohl, et président du sous-comité. Le sénateur démocrate du Connecticut Richard Blumenthal, a comparé le business model de Google à une entreprise qui possèderait d'abord un champ de courses, et se mettrait ensuite à posséder des chevaux. « Vos chevaux semblent être gagnants », a-t-il déclaré.
[[page]]
Les dirigeants de Yelp, un site qui recueille des avis de consommateurs sur les produits et de Nextag, un comparateur de prix, ont fait savoir aux sénateurs que les pratiques de recherche de Google étaient préjudiciables à leur activité. « Au lieu d'innover, Google a copié d'autres services pour créer son propre site commercial, » a déclaré Jeff Katz, le PDG de Nextag. Environ 65% des résultats de recherche de Nextag viennent via Google, et les changements récents dans la manière dont Google affiche ses résultats de recherche ont eu un effet négatif considérable sur le site de Nextag. « Pendant des années, Google a été un bon partenaire, mais l'entreprise californienne a récemment commencé à favoriser ses propres services sur Yelp, » a déclaré Jeremy Stoppelman, cofondateur et PDG de Yelp. « Ces dernières années, Google s'est surtout employé à devenir un site de destination, pas un moteur de recherche impartial, » a encore déclaré le PDG de Yelp. Ce dernier s'est même demandé si Yelp pourrait réussir aujourd'hui avec les pratiques de Google. A la question de savoir s'il lancerait aujourd'hui un site comme Yelp dans l'environnement actuel, Jeremy Stoppelman a répondu : « Je chercherais autre chose à faire ! »
D'autres moteurs sont utilisables
Pour Susan Creighton, partenaire du cabinet d'avocat Wilson Sonsini Goodrich & Rosati et conseiller antitrust de Google, « les utilisateurs de Google peuvent facilement choisir un autre moteur de recherche ou d'autres services, s'ils ne sont pas satisfaits des résultats finaux. » Par exemple, «Amazon.com offre un énorme service de recherche de produits ou Facebook propose beaucoup de publicité pour des services locaux. » Ajoutant : « C'est gratuit et on peut tester instantanément les résultats de recherche d'un autre moteur », a-t-elle commenté. Mais Susan Creighton, autrefois chargée de faire respecter les lois antitrust à la Federal Trade Commission, a mis en garde les sénateurs sur leur tentation à vouloir dire à Google comment obtenir les résultats de recherche. « L'ingérence du gouvernement pourrait transformer les résultats de recherche de Google en un service public réglementé, » a-t-elle déclaré.
(...)(22/09/2011 12:27:00)Selon ComScore, Twitter reste à la traine de Facebook
L'étude ComScore, baptisée "The Rise of Social Networking in Latin America", a passé à la loupe la croissance de sites comme Facebook et Twitter en Amérique latine, en replaçant ces chiffres dans un contexte mondial. D'après l'étude, 734,2 millions d'internautes se sont rendus sur Facebook en juin 2011, soit une augmentation de 33% par rapport à l'année précédente. Pendant la même période, Twitter a accumulé 144,4 millions de visiteurs uniques, ce qui représente une croissance de 56% par rapport à l'année précédente, pour en faire le deuxième réseau social au monde.
En juin 2011, le service d'e-mails et de messagerie instantanée Windows Live comptait 119,5 millions de visiteurs, ce qui lui a valu une troisième place au classement; le site de mise en relation professionnelle Linkedin est quatrième, avec 84 millions de visiteurs, et le service de microblogs chinois QQ.com est cinquième, avec 74,8 millions de visites.
Globalement, le nombre d'internautes a augmenté de 10% entre juin 2010 et juin 2011, et la fréquentation de réseaux sociaux a bondi de 22%.
Crédit photo : D.R. (...)(22/09/2011 10:02:29)Le marketing peine à suivre la croissance des médias sociaux
En publiant une étude sur le marketing social en Europe, le cabinet Forrester a jeté un beau pavé dans la mare. En effet, si deux tiers des internautes européens ont utilisé les réseaux sociaux en 2010 (proportion toujours en hausse et qui devrait rattraper les 80% américains cette année), les directions marketing sont, elles, nettement plus en retrait.
A ce jour au niveau européen, une moitié seulement prétend être présente sur les réseaux sociaux (en pratique, cela peut se réduire à l'ouverture d'une page sur Facebook), 25% songeant le faire en 2012. Mais cette moitié cache de réelles disparités.
Toujours difficile de mesurer le retour sur investissement
En France, 40% des directions marketing sont ainsi présentes sur les réseaux sociaux et autant déclarent ne pas envisager de les utiliser. Italie, Allemagne et Royaume-Uni les utilisent davantage mais la plus grande progression est attendue chez les Espagnols, aujourd'hui en retrait. Ces chiffres cachent mal un certain malaise. Les budgets sont minuscules voire inconnus (!!!).
Le principal problème est l'incapacité des directions marketing à mesurer un quelconque retour sur investissement. Les problèmes de ressources, financières ou humaines, sont également invoquées. Les questions juridiques ou de sécurité le sont aussi, mais en moindre mesure.
Principaux motifs pour limiter une présence sur les médias sociaux (en anglais) (...)
Un premier bureau français pour le W3C
Le W3C (World Wide Web Consortium) dispose désormais d'un bureau en France, abrité par l'Inria. L'institut renouvelle donc son engagement aux côtés de l'organisme de normalisation dont il a hébergé, dès sa création et pendant plusieurs années, la branche européenne. L'une des activités premières du bureau français consistera à promouvoir la participation des acteurs français de l'industrie et de la
recherche aux activités de standardisation du W3C.
Aider le W3C à atteindre ses objectifs
« Par leur participation active au W3C, les représentants de l'industrie peuvent faire bien mieux que suivre l'évolution rapide du Web, ils peuvent en être les instigateurs », a estimé Bernard Odier, responsable du bureau W3C France, dans un communiqué. De son côté, Jeff Jaffe, PDG du W3C, a déclaré que, grâce à ses relations avec le monde industriel en France et en Europe, l'Inria était en position idéale pour aider le consortium à réaliser ses objectifs.
Les activités de promotion et de recrutement du bureau France, installé à Paris, viendront compléter les activités techniques réalisées par le personnel du W3C installé ailleurs en France (Sophia Antipolis).
Pour marquer ce lancement, le bureau organise une session sur les données ouvertes lors de l'Open World Forum qui se tiendra le 22 septembre à Paris, en collaboration avec Inria et la Mairie de Paris.
Illustration : Bernard Odier, responsable du bureau W3C France. Crédit photo : D.R
(...)
Selon IDC, le marché de l'UCC devrait tripler d'ici 2015
D'après une étude que vient de publier IDC, le marché des solutions de communications unifiées et de collaboration (UCC) en EMEA devrait générer 16,6 Md$ de chiffre d'affaires en 2015. L'an dernier, les revenus du secteur s'étaient établis à 5,7 Md$, ce qui signifie qu'ils devraient croître à un rythme annuel moyen de 23,7% durant les trois ans et demi à venir. La France représenterait le plus important marché pour l'UCC en Europe de l'Ouest, suivie par le Royaume-Uni et l'Allemagne.
Illustration : Microsoft Lync, crédit D.R. (...)| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |