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(21/09/2007 13:38:43)

Réseaux sociaux : les Français préfèrent Skyblog

Le cabinet ComScore, spécialisé dans les mesures d'audience Internet, vient de publier sa dernière étude concernant les réseaux communautaires en France. Sans véritable surprise, c'est Skyblog qui rafle encore la mise, avec plus de neuf millions de visiteurs uniques au courant du mois de juillet (sur 13,2 millions, pour la totalité des connexions). La raison de cet engouement ? Apparemment la langue. Delphine Gatignol, directrice de développement chez ComScore, souligne en effet que « les sites de réseaux sociaux sont fondés sur leur capacité à permettre aux utilisateurs de communiquer rapidement entre eux. La prédominance de Skyblog en France démontre que la langue est un facteur principal dans leur choix ». Loin derrière Skyblog, on retrouve MySpace (2,2 millions de connectés), Adoo.com (1,3 million), NetLog.com (827 000), Hi5 (754 000), Lexode (675 000) et Dada.net (495 000). Les célèbres Facebook, MSN Group et autres Videao sont quant à eux à la traîne. Si Facebook remporte un franc succès en Grande-Bretagne (7,6 millions de visiteurs, pour la même période), le site, référence des campus universitaires américains, peine nettement à se faire une place en France, avec à peine 300 000 connexions mensuelles. (...)

(19/09/2007 21:46:58)

PGI "à la demande" : SAP A1S s'appelle SAP Business ByDesign

L'offre de gestion « à la demande » de SAP s'appellera donc SAP Business ByDesign. Cette mystérieuse offre hébergée pour PME, qui a déjà fait couler beaucoup d'encre, était jusque-là connue sous le nom de code A1S. L'éditeur allemand, numéro un mondial des progiciels de gestion intégrés (PGI), vient tout juste de la présenter à l'occasion d'une conférence très attendue, qui a débuté à New-York à 11 heures (17 heures, heure de Paris). Cette présentation a été retransmise en direct sur le Web afin que tout un chacun puisse simultanément découvrir le produit qui, selon les propres mots de Léo Apotheker, PDG délégué de l'éditeur, ouvre « une nouvelle ère pour SAP ». Un produit sur lequel la société a commencé à travailler il y a quatre ans, de l'aveu même d'Henning Kagermann, son PDG. Des services Web pour façonner l'application à sa mesure Avec cette offre de gestion intégrée, très novatrice pour le fournisseur et assortie d'un modèle économique totalement différent du sien jusqu'à présent, SAP prétend hardiment changer la donne dans sa propre industrie. Basée sur la plateforme d'infrastructure Netweaver, SAP Business ByDesign repose sur une architecture orientée services (SOA), ce qui va permettre au client de façonner une application à sa mesure qu'il pourra ensuite enrichir au gré de ses besoins. Des services Web externes, comme Google Maps (présenté lors de l'annonce), pourront également être appelés. La PME pourra juger de l'adéquation entre son activité et les processus métiers de l'offre en testant celle-ci en ligne, avec ses propres données, avant de l'acheter. Linux, MaxDB, virtualisation et « megatenancy » SAP Business ByDesign s'insère entre les deux offres PME déjà disponibles de l'éditeur (All-in-one et Business One). Elle propose, en ligne, une solution couvrant tous les processus de gestion y compris la relation client. L'offre se veut simple à utiliser car elle vise des entreprises de 100 à 500 personnes qui ne sont pas forcément férues d'informatique. Pas de cannibalisation, donc, des deux produits PME déjà lancés, assure Léo Apotheker. Le coût d'accès à l'application, dont la disponibilité générale est véritablement prévue pour 2008, est fixée à 149 dollars (environ 133 euros) par utilisateur et par mois, avec un minimum de vingt-cinq utilisateurs. Accessoirement, mais c'est transparent pour l'entreprise cliente, Business ByDesign fonctionne sous Linux avec la base de données maison, MaxDB. L'application est pour l'instant hébergée par SAP (à terme, des partenaires hébergeurs sont prévus). L'éditeur fait appel aux technologies de virtualisation de serveurs (en l'occurrence celle de VMware) et exploite une architecture « megatenancy » (différant du multitenancy) qui permet de mettre à jour séparément les applications de chaque client. Une démarche indispensable puisque chaque PME aura personnalisé ses processus. Vingt clients en test, une disponibilité réelle en 2008 Vingt clients utilisent déjà SAP Business ByDesign : dix en Allemagne et dix aux Etats-Unis. Quatre d'entre eux sont venus soutenir SAP sur sa scène new-yorkaise. Vingt autres clients s'apprêtent à passer en exploitation, en France, en Angleterre et en Chine. Et plusieurs dizaines d'autres entreprises y songent. Il s'agit toutefois de clients sélectionnés car SAP souhaite prolonger encore sa phase de test pour bien rôder son modèle avant l'ouverture du produit à tous. « L'offre prendra sa vraie vitesse à partir du 2ème semestre 2008 », confirme Walter Lenarduzzi, responsable de la division PME de SAP France. La France, un marché significatif pour SAP Les PME hexagonales les plus curieuses n'auront toutefois qu'un mois à attendre pour découvrir le produit dans sa version française puisque celle-ci sera disponible le 15 octobre prochain. La France constitue donc pour SAP un marché cible significatif pour déployer SAP Business ByDesign. Un marché sur lequel, en outre, un produit comme SAP Business One a apparemment plus de mal à se répandre que dans d'autres pays (l'Inde notamment), en partie à cause d'une concurrence locale forte sur les PGI pour PME. D'ici fin 2008, la filiale hexagonale espère qu'elle devra à SAP Business ByDesign 15 à 20 % de son chiffre d'affaires PME (qui devrait représenter alors la moitié des ventes françaises globales). Entre temps, SAP France se sera employé à constituer un réseau de partenaires en puisant parmi ceux qu'il compte déjà et en recrutant aussi de nouveaux profils, cette fois plus axés sur la vente que sur l'intégration, avec une offre de service se bornant à accompagner le client dans sa conduite du changement et la migration de ses données. A ces distributeurs s'ajouteront d'autres types de partenaires, fournisseurs d'infrastructure et de services Web. (...)

(19/09/2007 16:41:39)

Facebook encourage financièrement ses potentiels développeurs

Entre 25 000 et 250 000 $, c'est la somme que s'apprête à verser le spécialiste des réseaux sociaux Facebook à tout particulier ou société capable de créer de nouvelles applications intéressantes pour la société. « Nous espérons pousser un plus grand nombre de gens à devenir entrepreneurs, et mettre en place un véritable business à travers notre plateforme Facebook », précise le communiqué de presse. Principal concurrent de MySpace, Facebook (créé en 2004 par l'anglais Mark Zuckenberg) espère recruter à travers cette opération (dont le montant s'élève à 10 M$) davantage de membres et d'actionnaires. Facebook, nouvelle coqueluche des réseaux sociaux, réunit des communautés d'intérêts notamment par la création de groupes. (...)

(18/09/2007 17:16:58)

Le New York Times en ligne redevient gratuit

Le célèbre quotidien new-yorkais a annoncé hier (lundi 17 septembre) qu'il abandonnait le « TimesSelect Web », mis en place en 2005. Ce service payant, dont la mort officielle est programmée demain, était facturé près de huit dollars par semaine auprès de ses abonnés (227 000 inscrits). A travers cette décision, le Times reconnaît que faire payer la consultation du site Internet ne rapporte « pas autant d'argent que de le rendre gratuit », et espère « davantage de revenus en provenance de la publicité ». Selon Reuters, ce retournement de situation ne devrait pas engendrer de suppressions d'emplois. (...)

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