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(18/06/2007 16:53:37)
Sondage flash : la VOD doit revoir ses prix
Le secteur florissant de la vidéo à la demande doit faire des efforts sur les prix. C'est en tous cas ce que pensent un peu plus de 50% des 431 lecteurs qui ont répondu à notre sondage (soit 218 personnes). Il faut dire qu'avec des films à près de 5 € la nouveauté, la VOD est encore loin de l'attractivité de nos bons vieux vidéoclubs. Les fournisseurs de contenus en semblent d'ailleurs bien conscients puisque quelques initiatives de services gratuits, financés par la publicité, ont démarré il y a peu. Pour 28,3% (122 personnes) des sondés, la VOD doit également être plus souple d'utilisation. Si sur les box ADSL, le fonctionnement est assez simple, c'est une autre paire de manches sur un micro : lecteur à jour, gestion des DRM, visionnage limité dans le temps et interopérabilité pas toujours garantie, les griefs peuvent être nombreux sur ce point. Enfin, la qualité de l'image et du son sur les plateformes de VOD n'est pas assez bonne selon 21,1% d'entre vous (91 personnes). Outre la rareté des références HD, on peut en effet reprocher à la vidéo à la demande de ne pas se rapprocher de la qualité d'un DVD particulièrement en ce qui concerne l'audio : le 5.1 n'existe pas, les différentes versions audio (VO/VF) ne sont pas généralisées et le contenu, souvent proposée en un seul format, peut subir les saccades inhérentes à la bande passante. (...)
(15/06/2007 15:50:13)29% des réseaux WiFi parisiens ne sont pas sûrs, alarme RSA
En matière de sécurisation des réseaux WiFi, « la France est à la traîne », dénonce Bernard Montel, directeur technique pour la France et Israël de RSA, la division sécurité d'EMC. Selon la dernière étude sur la sécurité des réseaux sans fil des grandes villes réalisée par RSA, le nombre de réseaux WiFi détectés à Paris a en effet augmenté de 44% entre 2006 et 2007. RSA recense ainsi 566 points d'accès sécurisés, 93 hotspots et 145 points d'accès non sécurisés. Globalement, le nombre de réseau non sécurisés augmente de 35% par rapport à 2006. Toutefois, alors qu'ils représentaient 31% des réseaux en 2006, ce taux tombe à 29% cette année. Selon RSA, les hotspots publics sont également vulnérables. « Les collaborateurs nomades s'appuient sur des hospots fournis par des opérateurs ou établissements offrant un accès à Internet. Ces réseaux peuvent être sources de menaces importantes », assure Bernard Montel. RSA indique dans son rapport que, souvent, ces hotspots n'utilisent aucun système de sécurité. Aucune technologie ne serait aujourd'hui capable de garantir l'identité du fournisseur du point d'accès. Certains hotspots frauduleux sont tagués avec des noms de fournisseurs connus et de confiance. Pourtant, ils sont contrôlés par des pirates qui s'en servent pour soutirer des informations personnelles (numéros de cartes de crédit, login, mot de passe, etc.) aux utilisateurs connectés. Ce procédé est connu sous le nom de 'man in the middle'. Pour s'assurer de la sécurité d'un réseau WiFi, RSA recommande de mettre en place un VPN SSL ou IPSec, des processus d'authentification par mots de passe et certificats « et surtout d'adopter des règles de bon usage », énumère Bernard Montel. A Paris, même si le taux de réseaux sûrs atteint 71%, « il reste encore beaucoup d'entreprises pour lesquelles il y a beaucoup à faire ». Entre 20 et 25% des réseaux WiFi d'entreprise sont sans protection, à Paris comme à New York et Londres. La capitale française est cependant légèrement en retard en matière d'adoption de systèmes évolués de cryptage. Seuls 41% des réseaux sécurisés utilisent les normes 802.11i ou WPA. (...)
(15/06/2007 12:48:27)L'ENST Bretagne ouvre son campus virtuel sur Second Life
D'ici à 2011, 80% des internautes et les entreprises les plus importantes auront une seconde vie virtuelle, prévoient certains analystes. Déjà, Second Life, en tant qu'agence de recrutement, intéresse les entreprises du secteur, comme Accenture, Capgemini et Unilog (groupe Logica CMG), et les cabinets spécialisés tels Expectra. Désormais, c'est au tour des établissements de l'enseignement supérieur de leur emboîter le pas. Après l'Insead et l'institut Ingémédia de l'université de Toulon, l'École nationale supérieure des télécommunications de Bretagne (ENST Bretagne), à la fois grande école et centre de recherche, ouvre son premier campus virtuel sur Second Life. L'île Telecom Bretagne, qui sera inauguré le 25 juin prochain, s'est fixée pour ambition de devenir un véritable lieu d'échanges virtuel pour les futurs candidats, les étudiants, les enseignants-chercheurs et les entreprises. Dans un premier temps, les lauréats du concours d'entrée pourront visiter le campus, s'entretenir avec professeurs et étudiants, et ainsi obtenir tous les éléments d'information nécessaires avant d'effectuer leur inscription. L'accès en 3D à des bâtiments dédiés à la recherche permettra également aux visiteurs de consulter les travaux des chercheurs et des thésards de l'école, de télécharger des documents, ou de diffuser des vidéos. Par la suite, les élèves seront amenés à développer des activités propres sur le campus Second Life : organisation de soirées, rencontres sportives. Ils développeront eux-mêmes les modules informatiques nécessaires à leurs activités. À terme, l'établissement développera des dispositifs de formations initiales et continues sur le principe de l'univers virtuel. Il faudra se connecter pour obtenir un suivi et un retour d'expérience. (...)
(14/06/2007 18:11:28)Baromètre Xiti des moteurs de recherche : Google si loin devant
Toujours plus fort, Google s'arroge, sans surprise la première position du baromètre français des moteurs de recherche, réalisé mensuellement par Xiti. L'étude s'attache à mesurer la part de visites de chaque moteur sur un panel de 91 241 sites Web. Selon Xiti, 89,33% des visites effectuées sur les sites analysés avaient pour origine Google au mois de mai 2007, contre 89% un mois auparavant. Logiquement, les 14 autres moteurs examinés se partagent un faible reliquat : Yahoo et MSN complètent le podium avec respectivement 3,21% et 2,22% de parts de visites. Non seulement ces taux font pâle figure au regard des chiffres relatifs à Google, mais ils sont en recul sur un mois (-7,1% pour Yahoo, -5,6% pour MSN). De la 4e à la 8e place arrivent la cohorte des FAI - également dotés de fonctions de recherche - qui, d'Orange à Alice, enregistrent entre 1,85% et 0,44% de parts de visites. Notons enfin la belle progression réalisée par le moteur de recherche français Exalead - Xiti parle d'envolée - qui bondit de 16,1% sur un mois. L'engouement mérite cependant d'être tempéré : Exalead n'est à l'origine que de 0,07% des visites réalisées sur les sites examinés. (...)
(14/06/2007 14:52:45)Nortel aide IBM à faire converger VoIP et données sur System i
Avec l'aide de Nortel, IBM met ses System i (ex-AS/400, ex-iSeries) à la gestion de la VoIP (voix sur IP) et à la convergence des communications voix-données. A compter de l'automne prochain, il sera possible d'intégrer aux System i un autocommutateur logiciel IP et des équipements Nortel. IBM et Nortel ont baptisé le fruit de leur partenariat "Nortel-IBM System i Unified Communications". Ils promettent que la simplicité de leur offre conjointe sera inversement proportionnelle à celle de son nom... Jusque-là, 3Com était seul présent sur ce marché de la convergence voix/données sur System i. Sans grand succès constatent les analystes. Il y a quelques jours, toujours dans le domaine des communications unifiées, Nortel présentait cette fois les premiers résultats de son alliance avec Microsoft. (...)
(13/06/2007 10:52:28)Google ramène la durée de conservation des données utilisateurs à 18 mois
Google réagit aux nombreuses critiques qui lui ont été adressées au cours des derniers mois et qui stigmatisaient le traitement réservé par le gargantuesque moteur de recherche aux données de connexion de ses utilisateurs. Les logs seront désormais rendus anonymes après 18 mois de présence sur les serveurs californiens. C'est dans une lettre adressée au « groupe de l'article 29 », composé des représentants de la Cnil et de ses homologues issus des Etats membres de l'Union européenne, que Google a fait part de son intention de ramener le délai de conservation des données de connexion à dix-mois mois, contre 24 mois maximum jusqu'alors. Le moteur s'engage également à repenser la conception de ses cookies afin de réduire la durée pendant laquelle ils scrutent les agissements des utilisateurs. La lettre, signée par Peter Fleischer, responsable des questions relatives à la vie privée chez Google, répond à celle adressée fin mai par le « groupe de l'article 29 ». Ses auteurs y exprimaient leurs inquiétudes face aux pratiques du groupe de Mountain View - notamment en ce qui concerne la durée de la conservation des données personnelles -, des méthodes qui leur semblaient ne pas répondre aux exigences européennes en la matière. La missive expliquait ainsi que les données de connexion rassemblaient des éléments - dont l'historique des recherches effectuées - qui constituaient, de fait, des données personnelles permettant de constituer les profils des internautes. Dans sa réponse, Peter Fleischer justifie néanmoins la période pendant laquelle les données sont conservées. Selon le juriste, l'amélioration de l'algorithme de recherche au profit des utilisateurs, la lutte contre la fraude au clic et le spam constituent les principales raisons pour lesquelles Google se doit de stocker les données de connexion. Et Peter Fleischer d'expliquer qu'il convient de trouver un équilibre entre des notions contradictoires : « alors des périodes de conservation courtes profitent aux utilisateurs, des durées plus longues sont nécessaires pour la sécurité et l'innovation. » Cette nécessité pourrait servir d'argument à Google pour refuser toute nouvelle réduction de la durée de conservation des données. Le moteur peut, de plus, avancer qu'il n'est pas avare d'efforts pour contenter l'Europe. La réduction de la période de rétention annoncée ce 12 juin, succède en effet à une démarche similaire effectuée en mars. Google avait alors ramené la période de stockage des données relatives à ses utilisateurs dans une fourchette de 18 à 24 mois, alors qu'aucune limite n'existait auparavant. Reste qu'en dépit de ces efforts, Google ne s'affranchira certainement pas de toutes les critiques qui lui sont adressées sur des sujets qui dépassent la seule durée de conservation. La semaine dernière, l'ONG Privacy International attribuait un bonnet d'âne au moteur de recherche en lui décernant la plus mauvaise note parmi une liste de 23 acteurs majeurs du Web. L'organisation jugeait Google « hostile à la vie privée » en raison de « la surveillance totale des utilisateurs » . (...)
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