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(31/08/2011 15:51:56)
Facebook a versé 40 000 dollars de primes aux chasseurs de bugs
Trois semaines après avoir lancé Security Bug Bounty, programme qui récompense des hackers ayant trouvé des failles sur son site, Facebook a indiqué qu'il avait déjà versé plus de 40 000 dollars de primes aux chasseurs de bugs. Lundi dernier, le réseau social a déclaré que cette opération était une réussite, car elle avait réussi à mobiliser des experts de la sécurité du monde entier. « Nous avons pu nouer des relations avec un beaucoup d'experts en sécurité, dont le nombre ne cesse de croître, et entamé le dialogue avec des personnes de plus de 16 pays, dont la Turquie à la Pologne, passionnés par la sécurité sur Internet, » s'est réjoui Facebook dans un billet de blog consacré à ce programme.
Ces dernières années, les entreprises technologiques ont commencé à payer des hackers pour les encourager à rapporter tranquillement des bugs. Google et Mozilla, par exemple, fonctionnent avec des programmes similaires de primes sur la découverte de failles.
Des primes pouvant atteindre les 7 000 dollars
Facebook a indiqué qu'il payait 500 dollars par bug mais que la prime pouvait être plus importante en cas de problèmes exceptionnels. Le site a, par exemple, décidé d'accorder 5 000 dollars de primes à un pirate en raison de son « très bon rapport ». et également versé 7 000 dollars à un hacker qui avait fait remonter six problèmes de nature différente.
« A l'opposé, nous avons eu à traiter des rapports de bugs émanant de personnes qui étaient juste à la recherche de publicité, » a déclaré Facebook. Bien que la firme ait parlé de son programme de primes aux bugs en termes élogieux, Security Bug Bounty ne couvrira pas les centaines de milliers d'applications écrites par des tiers car, pour Facebook, « ce n'est tout simplement pas pratique ».
(...)
Recap été 2011 (juillet) : Google+ entre en scène, Pas de crises pour les entreprises IT, Florilèges sécuritaires
Le mois de juillet 2011 loin d'être climatiquement le plus chaud, aura été très actif sur le plan de l'IT. Rachat, résultats financiers, sécurité, réseaux sociaux, mobilité, plusieurs acteurs ont animé ce début d'été.
Naissance et succès de Google+
En jouant la modestie, Google a présenté au début de l'été son réseau social, baptisé Google+. Ce dernier se démarque entre autre de Facebook en catégorisant les personnes qui vous suivent dans des cercles et en refusant les pseudonymes. L'inscription se fait par invitation. A peine lancé, ce service a connu un fort succès au point que même les entreprises ont souhaité s'y inscrire. Paul Allen, co-fondateur de Microsoft avait prévu que la barre des 20 millions d'abonnés serait atteinte si Google ouvrait les inscriptions. Ce dernier garde néanmoins cette politique et travaille sur l'amélioration du service et sur la mise en place d'un service pour les entreprises, le marketing et même pour les jeunes.
Rachats et résultats financiers records
Sur le plan des acquisitions, la plus marquante a été celle de Pillar Data par Oracle. Le dernier spécialiste du stockage virtualisé tombe dans l'escarcelle de la firme de Larry Ellison, principal actionnaire de Pillar. On notera également le rachat de Force10 Networks, spécialiste du réseau par Dell. Beaucoup d'analystes penchaient plutôt sur un rachat avec Brocade.
Côté finance, les entreprises IT ne connaissent pas la crise en affichant des résultats trimestriels ou annuels record. Apple avait ouvert le bal en flirtant avec la 1ère place mondiale en termes de capitalisation boursière. Les ventes d'iPad et d'iPhone ont été un succès au point que la firme de Cupertino détrône Nokia sur le marché des smartphones. Par ailleurs, la sortie de Mac OS X Lion affichait un million de téléchargements dès le premier jour de commercialisation. Google, EMC, Microsoft ont déjoué les pronostics des analystes en publiant des résultats supérieurs aux prévisions. Même Intel échappe à l'érosion du marché des PC.
Botnet, Barack Obama, Jailbreak iPad 2
La sécurité ne prend pas de vacances et le web a vu l'arrivée d'un botnet coriace sous le nom de TDL-4. Il a réussi à infecter près de 5 millions de machines. Il combine réseau public de P2P et chiffrement propriétaire pour ses communications entre les ordinateurs infectés et les serveurs d'instruction. Autre fait, un compte twitter d'une chaîne de télévision américain a été piratée et a annoncé la mort de Barack Obama. Elle s'est excusée, mais des interrogations sont apparues sur la sécurité du site de micro-blogging. Le cloud a été aussi au coeur d'une polémique quand Microsoft a indiqué qu'il pourrait sur demande transférer des données de clients européens vers des sites soumis aux autorités américaines, en vertu du Patriot Act.
Enfin pour terminer, un hacker du nom de Comex a annoncé le déverrouillage des versions 4.3. d'iOS et donc de l'iPad 2 (en version 4.3.3 seulement) et propose après jailbreak un patch (disponible sur Cydia) pour corriger la faille dont il s'est servi pour craquer la tablette. Et que croyez-vous qu'il arriva, et bien Comex a annoncé récemment qu'il effectuait un stage chez ...Apple.
Les enfants français friands de produits IT
Au cours des douze derniers mois, les parents français ont dépensé 195€ en produits électroniques pour leurs enfants (de 80€ en moyenne pour les 6-7 ans à 354€ pour les 10-11). Au palmarès des produits plébiscités, la console de jeux arrive en tête (55% des 6-13 ans en ont une), devant le lecteur MP3 (51%) et l'appareil photo numérique (30%).
En ce qui concerne Internet, seuls 19% des parents utilisent un logiciel de contrôle parental, alors que 95% des enfants de 6 ans et plus utilisent un ordinateur (en moyenne 57 minutes par jour). Pire encore, 16% laissent leurs enfants surfer sur le web sans surveillance. De fait, 1% des parents interrogés avouent avoir surpris leurs enfants en train de surfer sur des sites pour adultes.
Réseaux sociaux et aide scolaire
Les jeunes sont de plus en plus connectés et profitent de tous les outils mis à leur disposition. Ainsi 34% des 6-13 ans possèdent un compte e-mail, 32% utilisent une messagerie instantanée et 18% ont un profil Facebook (dont 11% des 6-9 ans, alors que le réseau est théoriquement interdit aux moins de treize ans).
Dernier chiffre étonnant : 100% des 10-13 ans utilisent un ordinateur à des fins scolaires, qu'il s'agisse de faire des recherches, de rédiger ou d'obtenir du soutien en ligne.
Ce sondage en ligne a été réalisé entre le 8 et le 13 juillet 2011 par l'institut LH2 pour Kelkoo, auprès d'un échantillon de 402 personnes, représentatif des parents ayant des enfants âgés de 6 à 13 ans et constitué selon la méthode de quotas.
Le social CRM en plein essor selon Gartner
En amont de son événement « Portals, Content & Collaboration Summit » qui a lieu à Londres les 21 et 22 septembre 2011, le cabinet Gartner vient de publier une étude sur le marché du « socialCRM », c'est à dire les outils sociaux de relations clients. Selon cette étude, le marché de ces outils a été, en 2010, de 625 millions de dollars au niveau mondial. En 2011, il devrait atteindre les 820 millions de dollars et dépasser le milliard en 2012.
Les dépenses en « socialCRM » représentent malgré tout moins de 5% du marché de la gestion de la relation client, même si sa croissance annuelle est de l'ordre de 40%. On est donc loin de l'Eldorado. De plus, à l'heure actuelle, le « socialCRM » est orienté presque exclusivement vers les consommateurs alors que, à terme, les ventes aux professionnels devraient représenter un tiers de ses usages.
Un marché disparate
Le cabinet Gartner dénonce un éclatement du marché qui rend la plupart des acteurs trop petits pour être profitables. Ces acteurs sont, de plus, pas toujours capables de mettre en avant les avantages à recourir à leurs solutions pour générer des bénéfices concrets. L'intégration à la GRC classique est, de plus encore assez délicate. Côté entreprises utilisatrices, l'heure est aux expérimentations.
Service client : Internet privilégié par rapport au téléphone
Selon un récent rapport de Forrester Technographics, qui a étudié les interactions de plus de 3 400 clients avec les services clientèle de différentes entreprises, Internet est désormais la première source d'information à laquelle accèdent les clients, suivie du téléphone.
En effet, dans 58% des cas, les utilisateurs ont indiqué avoir tenté de trouver une réponse à leur question sur le web, dans 61% des cas avoir contacté le service clientèle par email, dans 66% des cas avoir cherché une réponse sur la page FAQ de l'entreprise, et seulement dans 50% des cas avoir utilisé le service téléphonique de l'entreprise. Concernant les réseaux sociaux, seules 6% des personnes interrogées ont indiqué s'être rendues sur un forum, et seules 1% sur Twitter.
Services instantanés et interactifs plébiscités
Même s'ils recourent de plus en plus au web, les clients se montrent de manière générale nettement plus satisfaits des services offrant une interaction directe et instantanée (téléphone 74%, chat 69%) que des services asynchrones (email 54%, recherches web 47%).
Cette étude démontre que les clients utilisent de plus en plus différentes sources afin de trouver une réponse à leur question, et qu'ils accordent une grande importance à la pertinence et à la rapidité de la réponse offerte par l'entreprise.
Pour les entreprises, cette étude souligne l'importance d'une présence cohérente sur différents canaux afin de répondre au mieux aux attentes de leurs clients.
La Corée du Sud championne du haut débit Internet
Avec une vitesse moyenne de 14,4 mégabits par seconde, la Corée du Sud demeure le pays disposant de la connexion la plus rapide au monde, loin devant Hong Kong et le Japon, selon le dernier rapport trimestriel (janvier-mars 2011) sur l'état de l'Internet d'Akamai. La France ne pointe qu'au 35e rang mondial, avec un score de 3,6 Mbt/s. Dans le monde, les internautes disposent en moyenne d'une connexion à 2,1 Mb/s.
En Europe, ce sont les Pays-Bas (7,5 Mb/s), suivis de la Roumanie (6,6 Mb/s) et de la République Tchèque (6,5 Mbt/s) qui proposent les meilleures connexions. Quant aux Etats-Unis, ils n'apparaissent qu'en 14e position, avec une moyenne de 5,3 Mbt/s.
Une Asie dominante
La domination de l'Asie est encore plus impressionnante si l'on consulte le classement des 100 villes disposant des connexions les plus rapides au monde : y sont citées 61 villes japonaises (dont 18 dans le Top 20), cinq villes de Corée du Sud et bien sûr Hong Kong. Lyse, en Norvège, est la première ville européenne classée (33e) tandis que les Etats-Unis n'apparaissent, avec Riverside, qu'en 39e position. Aucune ville française n'y figure...
A l'autre bout de l'échelle, Akamai note que le bas débit (moins de 256 Kbt/s) recule, mais qu'il concerne toujours 3,3% des échanges de données. La France ne compterait quant à elle que 0,3% de connexions bas débit, selon ces statistiques.
Ce rapport s'appuie sur les données recueillies par la plateforme Internet d'Akamai, qui revendique quotidiennement jusqu'à 30% du trafic Web planétaire.
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