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(17/02/2005 18:40:29)

In-Stat juge incertain le succès de WiMax

Selon In-Stat, le succès commercial de WiMax est loin d'être assuré. Keith Nissen, analyste du cabinet interrogé par « Telecom Paper », juge ainsi que « le marché grand public du haut débit ne peut pas supporter un nombre illimité de services d'accès large bande. » Néanmoins, le cabinet estime que WiMax a la capacité de concurrencer l'ADSL et le câble : la technologie permet des débits atteignant 2 Mbps pour une couverture de plusieurs kilomètres, avec des coûts d'infrastructure limités sur des bandes de fréquences ouvertes autant que soumises à licence.
Selon In-Stat, WiMax devrait séduire 3 % des utilisateurs de services haut débit d'ici 2009, soit 8,5 millions d'utilisateurs. La téléphonie pourrait être un élément déterminant : le cabinet estime qu'environ 4,5 millions d'utilisateurs de WiMax devraient y souscrire. Enfin, In-Stat prévoit une part de marché maximale de 15 % pour WiMax dans les zones urbaines. (...)

(18/02/2005 18:56:51)

Dégroupage : France Télécom maintient son recours devant le Conseil d'Etat

Une audience publique doit avoir lieu ce vendredi devant le Conseil d'Etat au sujet de la requête de France Télécom en annulation de la décision de l'ART fixant en 2002 les tarifs du dégroupage. Le Conseil d'Etat devrait rendre ses conclusions d'ici deux semaines.
France Télécom conteste depuis plusieurs années le mode de calcul retenu à l'époque par l'ART. La surprise vient surtout du fait que France Télécom ait maintenu sa requête après s'être engagé fin janvier dernier à baisser ses tarifs de dégroupage, auprès du ministre de l'Industrie Patrick Devedjian et de l'ART.
Selon Richard Lalande, président de l'Association Française des Opérateurs de Réseaux et Services de Télécommunications, interrogé par « Le Figaro », « tout cela est totalement ridicule ».
Si France Télécom obtient gain de cause, le tarif mensuel pour le dégroupage total d'une ligne pourrait être ramené à près de 14 ¤ à partir du 1er janvier 2004. L'opérateur historique s'est engagé récemment à le baisser à 9,5 ¤ mais pourrait demander à être remboursé par ses concurrents du manque à gagner enregistré depuis que l'ART lui a imposé ses tarifs. (...)

(16/02/2005 18:06:50)

3GSM World Congress : le retour des années folles

Le 3GSM World Congress qui se tient depuis lundi au palais des festivals de Cannes marque le retour à l'exubérance de l'industrie du mobile. 35 000 congressistes (un record), 6 Halls d'exposition, des stands tous plus fous les uns que les autres, le 3GSM prouve, si cela était nécessaire que l'industrie du mobile a retrouvé le sourire. Le contraste avec le dernier Télécom Genève, traditionnel haut lieu de l'industrie des télécoms est d'ailleurs saisissant.

Comme chaque année, l'industrie met en avant ses dernières innovations au premier rang desquelles la téléphonie de 3e génération. Les premiers réseaux à peine opérationnels (Orange n'a après tout en France que 30 000 clients), les équipementiers se préparent déjà à tourner la page et poussent au déploiement de HSDPA, une évolution de la 3G qui permettra de doper le débit par l'utilisation d'une station de base à 16 Mbit/s contre 2 Mbit/s aujourd'hui. Pour l'utilisateur, l'arrivée d'HSDPA devrait se traduire par des débits maximums en réception de l'ordre de 2 Mbit/s contre 384 Kbit/s aujourd'hui. HSDPA incarne donc le nouveau haut débit mobile.

Dans la pratique, les déploiements de la technique devraient être assez simples. Tous les équipementiers insistent sur le fait que la mise en ½uvre d'HSDPA dans les réseaux d'opérateurs ne nécessitera qu'une mise à jour logicielle. Du côté des terminaux, les choses seront en revanche plus complexes. Vers la fin 2005, la commercialisation des premières cartes 3G HSDPA devrait débuter, notamment à destination des utilisateurs professionnels. La technologie ne devrait toutefois être accessible au grand public qu'à compter du second semestre 2006, avec l'arrivée des premiers terminaux compatibles. C'est l'époque à laquelle Bouygues devrait entamer la commercialisation de ses offres 3G grand public.

Le 3GSM est aussi marqué cette année par de multiples avancées en terme de convergence. Les services audio et vidéo sont parmi les applications les plus montrées au salon et des avancées notables sont présentées au Salon. Motorola par exemple annonce le lancement au 4e trimestre du Rckr (Rocker) un téléphone mobile capable de s'interfacer au services iTunes d'Apple. Nokia de son côté à choisi de faire taire ses différences avec l'ex grand satan, Microsoft, et intégrera la technologie Windows Media dans ses terminaux. Dans la pratique, les deux sociétés vont développer un pont entre le système de DRM propriétaire de Microsoft et le standard OMA DRM poussé par les fabricants de terminaux et les opérateurs. Nokia explique que l'alliance permettra de lever les barrières à l'échange de médias entre périphériques, oubliant au passage de façon pratique que ce sont les constructeurs comme lui-même, Apple ou Microsoft qui ont créé les barrières en premier lieu. Reste désormais à savoir si les clients accepteront leur mise sous tutelle par les systèmes de gestion de droit numérique ou si le bon sens l'emportera pour une distribution plus ouverte des médias.

Pour les entreprises l'une des bonnes nouvelles du salon est la multiplication des solutions de push de messageries sécurisées. Nokia par exemple va intégrer la technologie de synchronisation d'e-mail de Microsoft à ses terminaux, tandis qu'Ericsson montre son nouveau client Blackberry pour son téléphone/PDA d'entreprise Symbian P910. (...)

(15/02/2005 18:38:04)

Nouvelle étape de la concentration des télécoms aux US : Verizon rachète MCI pour 6,7 Md$

Après le rachat de AT&T par SBC, c'est au tour de Verizon d'annoncer le rachat de MCI. La facture totale s'élèvera à 6,7 Md$, à raison de 4,8 Md$ en actions, 488 M$ en cash et 1,5 Md$ de dividendes exceptionnels. L'opération a été acceptée par les deux conseils d'administration, mais doit encore être validée par les actionnaires et les autorités de régulation. Verizon emporte le marché sur Qwest Communications International qui cherchait à racheter MCI pour 7,3 Md$. MCI à choisit le premier opérateur télécoms américain en le jugeant plus fiable et moins endetté. Cette acquisition devrait permettre à Verizon de se positionner rapidement auprès des grandes entreprises et des multinationales. Malgré des investissements indispensables pour moderniser les réseaux de MCI, Verizon estime que cette acquisition aura un effet neutre sur son résultat dès la troisième année. (...)

(14/02/2005 17:31:50)

Les régulateurs européens veulent aider la téléphonie sur IP à décoller

En réunion vendredi dernier à Bruxelles, le groupe des régulateurs européens s'est accordé à mettre en place un cadre de régulation permettant l'essor de la téléphonie sur IP dans l'Union. Les régulateurs ont ainsi défini la manière dont ils prévoient de s'assurer que la législation actuelle est appliquée de manière cohérente à travers les 25 pays de l'Union afin que les opérateurs de téléphonie sur IP ne rencontrent pas d'obstacle inutile pour concurrencer les opérateurs fixes et mobiles traditionnels. Notamment, les régulateurs souhaitent que les plans de numérotation deviennent indépendants des technologies utilisées et que les mêmes plages de numéros soient disponibles à la fois pour la téléphonie commutée et la téléphonie sur IP. En outre, les régulateurs se sont engagés à traiter la question de la gratuité des appels d'urgence et de l'identification de l'appelant. Certains opérateurs de téléphonie sur IP justifient de difficultés à répondre à ses obligations en invoquant le fait qu'ils n'opèrent pas depuis un point fixe et peuvent rencontrer des difficultés à router les communications sur le réseau le plus proche ou à fournir les informations sur l'appelant.
Un porte-parole de Commission Européenne, interrogé par nos confrères d'IDG News Service, a souligné le retard de l'Union par rapport à d'autres régions du monde en matière de téléphonie sur IP. Selon lui, on compte ainsi 4,9 millions d'utilisateurs de téléphonie sur IP au Japon contre 10 000 en Allemagne.
Et d'expliquer que le décollage de cette technologie est intimement lié à celui des accès à Internet à haut débit. Selon ce porte-parole, 6,5 % des résidents l'Union disposent d'une connexion de ce type, un chiffre qui devrait atteindre 50 % en 2010, à condition que l'Union parvienne à offrir une gamme de services associés attractifs.
Selon la Commissaire Européenne aux technologies de l'information, Vivian Reding, la Commission favorise une « approche ouverte, favorable à la concurrence, vis-à-vis de la voix sur IP, dans tous les états membres, » y voyant une technologie susceptible de « changer radicalement » la structure du marché des télécommunications existante. Un avis que de nombreux opérateurs ne doivent pas forcément accueillir favorablement. (...)

(10/02/2005 18:47:47)

Siemens veut fusionner ses services informatiques avec Fujitsu-Siemens

Selon l'hebdomadaire allemand « WirtschaftsWoche », Siemens envisage de fusionner sa filiale SBS spécialisée dans les services informatiques avec Fujitsu-Siemens. Selon le journal, Siemens entendrait ainsi donner aux activités logicielles et d'externalisation de SBS les moyens de se renforcer. Un tel rapprochement n'aurait en tout cas rien de dépaysant pour l'actuel patron de SBS Adrian Hammerstein qui assura par le passé la direction de Fujitsu-Siemens.
Au cours du dernier trimestre 2004, SBS a sombré dans le rouge avec une perte de près de 25 M¤. Heinrich von Pierer évoquait un « besoin de transformation » pour la filiale, fin janvier, lors de la nomination de son successeur à la tête de Siemens, Klaus Kleinfled. (...)

(10/02/2005 18:49:31)

Nortel et RIM collaborent au développement de la voix sur WLAN

Nortel et RIM viennent de s'associer pour favoriser le développement des communications sécurisées sur IP sur les réseaux locaux sans fil, à partir du protocole SIP. Dans un premier temps, les deux partenaires prévoient de se concentrer sur l'interopérabilité et l'intégration de la plate-forme d'entreprise RIM BlackBerry et le serveur de communications multimédia MCS 5100 de Nortel. Cela fait, les utilisateurs du BlackBerry 7270 pourraient accéder à la téléphonie sur IP via le réseau sans fil de leur entreprise équipée du MCS 5100.
Dans l'immédiat, impossible d'en savoir sur les intentions à plus long terme des deux partenaires : leur rapprochement est le fait d'un mémorandum d'accord. Nortel et RIM prévoient de le remplacer par un accord plus détaillé dans un proche avenir. (...)

(10/02/2005 18:22:32)

France Télécom a confirmé son redressement en 2004

Plus ça change, plus c'est pareil. Comme au cours des trois dernières années, ce sont les activités mobiles et Internet qui ont tiré la croissance de France Télécom en 2004, tandis que les activités entreprises (Equant) et fixes subissaient de plein fouet l'irruption des technologies IP et les effets de la concurrence accrue.
A périmètre constant le CA de l'opérateur a progressé de 4,1 % au cours de l'année passée pour s'établir à 47,2 Md¤. Le résultat net, de son côté, atteint 2,8 Md¤, soit un petit peu moins qu'en 2003, où l'opérateur avait bénéficié d'un produit d'impôt de 2,6 Md¤. Côté bonne nouvelle, le désendettement du groupe s'est poursuivi à un rythme soutenu. La dette de France Télécom est pour la première fois depuis longtemps repassé sous la barre du chiffre d'affaires annuel, à 43,9 Md¤ contre 72,2 Md¤ en 2002

Les mobiles et Internet tire la croissance du CA
Les activités mobiles sont toujours le fer de lance de la croissance du groupe. Orange a ainsi vu son CA progresser de 10,4 % à périmètre constant pour atteindre 19,66 Md¤, dont 8,6 pour la France, et 6,1 pour la filiale anglaise. Orange affiche un impressionnant résultat d'exploitation de 4,77 Md¤ et s'affirme un peu plus comme la vache à lait du groupe
Wanadoo fait tout juste moins bien avec une croissance de 9,9 % du CA à 2,8 Md¤. Le résultat d'exploitation, à 257 M¤ est toutefois en recul du fait de la forte pression sur les prix et des investissements consentis à l'international.
France Télécom recule sur le fixe, mais accroît ses bénéfices
Le chiffre d'affaires des activités Fixe, Distribution, Réseaux, Grands Comptes et Opérateurs enregistre de son côté un léger recul de 0,3 % à périmètre constant et s'établit à 21,68 Md¤. L'érosion observée les années précédentes semble avoir été endiguée, du fait notamment du succès des offres ADSL et des services de dégroupage.
Le chiffre d'affaires de la téléphonie grand public, en recul de 3,7 %, subit le double effet de la pression sur les prix et de la substitution progressive de certains appels fixes par des appels mobiles (le trafic voix est en recul de 8,8 %). Les services aux entreprises reculent de leur côté de 4,7 %, eux aussi du fait de la baisse du trafic voix.
Pour autant, il n'y a pas matière à verser une larme pour l'opérateur. Les mesures drastiques de réduction des dépenses opérationnelles et d'investissements ont largement compensé le recul du CA. Le résultat d'exploitation de la branche progresse ainsi de 16,1 % pour atteindre 5 Md¤. De quoi inquiéter les concurrents, qui depuis plusieurs mois soulignent que France Télécom utilise son quasi-monopole sur la boucle locale pour doper ses profits à leur détriment.
Equant reste le mouton noir du groupe

Avec un CA en recul de 1,2 % à périmètre constant et un résultat négatif de 274 M¤, Equant reste le mouton noir du groupe. L'opérateur international d'entreprises a vu ses ventes de services réseaux chuter de 6,5 % du fait de la baisse des prix, mais aussi de la migration des réseaux des clients vers les technologies IP, plus économiques. Cette diminution est compensée par la croissance de 24,6 % des services d'intégration (480 M¤) et par la progression de 19,4 % des autres services (216 M¤).

L'opérateur intégré doit faire ses preuves

Au-delà des résultats, l'année 2004 aura été marquée par l'ambition de Thierry Breton de constituer un "opérateur intégré" en réinternalisant Orange, Wanadoo et Equant (voir encadré). Les cyniques remarqueront que France Télécom a toujours été un opérateur intégré (jusqu'à ses folies boursières des années 90) et que cette stratégie n'a rien de bien innovant, sinon un certain retour au bon sens.
Mais pour France Télécom, cette stratégie est la clé des innovations récentes comme le lancement d'offres "structurantes et novatrices" telles que Business Everywhere, MaLigne TV, MaLigne visio, Livebox. Peu importe que certaines de ces offres ne soient pas toujours compatibles entre elles (un comble pour un opérateur intégré), où qu'elles ne soient disponibles que sur une partie du territoire. Peu importe aussi que certaines aient rencontré des problèmes techniques massifs, comme l'offre voix sur IP avec LiveBox, ou que certains services évidents comme une messagerie unifiée fixe/mobile/Internet ne soient toujours pas disponibles. Peu importe enfin que les services techniques de Wanadoo et de FT se renvoient encore la balle en cas de panne. L'opérateur intégré a encore du chemin à faire pour faire ses preuves. (...)

(09/02/2005 19:30:45)

Avec eMobility, les acteurs européens de la mobilité entendent préserver leur avance

« Renforcer l'avance européenne en matière de communications et de services sans fil pour maîtriser les développements futurs de ces technologies. » Voici sans ambages la volonté affirmée des membres de l'association eMobility. Et d'expliquer, dans un document de présentation, que « l'industrie européenne a établi un leadership industriel et technologique globale dans le domaine des communications sans fil, au cours de la décennie passée. [...] Le potentiel de croissance et de revitalisation économiques des communications mobiles et sans fil est loin d'être épuisé. » Le texte pointe notamment du doigt « les pays asiatiques [qui] font des efforts substantiels pour rattraper l'Europe dans ce domaine stratégique crucial. »
Alcatel, Ericsson, Lucent, Nokia, Motorola, Philips, Siemens, STMicroelectronics, Deutsche Telekom, France Télécom, H3G, Telefonics, TIM et Vodafone sont membres du conseil d'orientation de l'association. Parmi les membres du groupe d'experts d'eMobility, on compte notamment Laurent Herault du CEA et Djamal Zeghlache de l'INT. Le montant des investissements prévus par l'association n'a pas été communiqué. (...)

(09/02/2005 19:27:38)

BEA prépare une suite middleware pour les opérateurs télécoms

BEA Systems vient de lancer une version de son serveur d'applications spécialement conçue pour les opérateurs télécoms. Le nouveau logiciel, baptisé WebLogic SIP Server, fournit l'ensemble des briques logicielles pour le support de SIP (session initiation protocol), le protocole montant pour les communications IP. S'appuyant sur la spécification SIP Servlets, définie par le JCP, WebLogic SIP Server a pour objectif de simplifier le déploiement de services de voix sur IP par les opérateurs.

WebLogic SIP Server est la première composante de la gamme WebLogic Communications Platform destinée aux opérateurs et que BEA a présenté en fin d'année 2004 sous le nom de code Projet Da Vinci. Un second logiciel, baptisé WebLogic Network Gatekeeper, est attendu pour le mois de juin. Son objectif est d'aider les opérateurs à traiter des problèmes de qualité de service et de facturation. Il fournit aussi une plate-forme d'intégration de services avec des fournisseurs tiers.

BEA a misé une partie de son avenir son initiative Télécom. Son succès est donc essentiel alors que BEA perd du terrain face à ses concurrents IBM et Oracle et que plusieurs de ses dirigeants de premier plan ont quitté la société, comme le CTO Scott Dietzen ou l'architecte en chef Adam Bosworth. (...)

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