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(19/03/2012 10:20:45)
Le piratage des livres numériques se développe à petits pas
De 3 000 à 4 000 livres, en plus de 8 000 à 10 000 bandes dessinées, sont aujourd'hui disponibles illégalement, selon l'étude EbookZ du Motif, l'observatoire du livre et l'écrit de la Région Ile-de-France, rendue publique à l'occasion du Salon du livre. Les auteurs Agatha Christie et Charlaine Harris sont celles ayant le plus de titres piratés actuellement disponibles en ligne.
Les auteurs principalement concernés sont Agatha Christie et Charlaine Harris, avec douze titres recensés sur des plateformes de téléchargement illégal. Frédéric Lenormand, le premier auteur français, complète le podium (9 titres). Suivent Bernard Werber et Laurell K. Hamilton (7). Dans le Top 20 figurent également Frédéric Beigbeder, Jean‐Christophe Grangé, Paulo Coelho, Ken Follett ou encore Gilles Deleuze. Au total, le Motif a identifié 500 auteurs piratés. Plus étonnant, au chapitre des titres les plus piratés, Le Petit Larousse des conserves et salaisons devance Le Courage d'éduquer de Lee Lozowick.
Cette étude a été menée sur les principaux circuits de diffusion de contenus piratés (en P2P, Torrent, téléchargement direct, newsgroup, etc.). L'observatoire précise que d'une façon générale, à l'exception de quelques best‐sellers très diffusés, il est assez fastidieux de trouver sur Internet la version pirate d'un livre.
Selon le Motif, les 10 à 20 principaux sites de téléchargement direct (direct download ou DDL) proposent chacun jusqu'à 2 000 titres d'e-books différents, majoritairement disponibles au format Pdf (dans 75,7% des cas). Mais sur ces sites de partage, ce sont surtout les journaux qui sont proposés.
(...)(15/03/2012 11:15:39)Ubuntu 12.04, une édition mûre pour les serveurs
Canonical a déjà fait beaucoup pour promouvoir la future version d'Ubuntu Linux 12.04 LTS, et Mark Shuttleworth lui-même, le fondateur de la société, s'est impliqué dans l'opération, affirmant que pour la première fois, le système d'exploitation Ubuntu devançait les plates-formes Mac et Windows en terme d'innovation. Ce qui sans doute étonne le plus dans cette version, également connu sous le nom de code « Precise Pangolin », et désormais disponible en version bêta, c'est son interface Head-Up Display (HUD) annoncée depuis longtemps, qui vise à terme la disparition des menus. Mais, le buzz récent autour d'Ubuntu ne s'est pas limité à HUD, ni aux versions desktop Unity et à d'autres améliorations grand public comme Ubuntu TV, ou encore à Ubuntu pour Android. En effet, « la distribution Linux fait aussi son chemin dans le monde des serveurs, » comme l'a déclaré Mark Shuttleworth.
Des essais à grande échelle automatiques
En fait, comme l'a écrit le fondateur de Canonical sur un blog, « Ubuntu 12.04 LTS marque à la fois l'avènement d'une version d'Ubuntu pour les datacenters, mais aussi, c'est la première version LTS à offrir une interface conçue pour couvrir tous les besoins informatiques personnels ». « À la base de cette maturation, une focalisation accrue sur la qualité, » a encore écrit Mark Shuttleworth. « Ubuntu 12.04 permet désormais les tests automatisés à grande échelle, elle intègre des processus de téléchargement améliorés, bénéficie de solutions plus rapides pour répondre aux problèmes qui se posent inévitablement dans le cycle de développement, compte une base d'utilisateurs et de contributeurs plus importante pour travailler à la version de développement, et profite de meilleurs accords avec les fournisseurs qui pré-installent Ubuntu , » a t-il expliqué. « En outre, ce qui stimule aussi l'installation d'Ubuntu sur les serveurs, c'est que OpenStack a calé les sorties de son logiciel Cloud Essex (http://wiki.openstack.org/EssexReleaseSchedule) avec le calendrier de sortie d'Ubuntu, » a ajouté Mark Shuttleworth.
N°3 sur les serveurs Web
Bien sûr, ce n'est pas surprenant de voir un chef d'entreprise vanter la qualité de ses produits. Mais, des statistiques récentes provenant de W3Techs confirment cet intérêt pour installer Ubuntu sur les serveurs Web. « L'année dernière, la distribution de Canonical est passé devant Red Hat Enterprise Linux pour les services web publics, » fait remarquer le fondateur de Canonical (voir graphique). Et aujourd'hui, Ubuntu arrive en troisième position parmi les sites qui utilisent Linux pour les serveurs web, c'est à dire que 18,4% des sites utilisent Linux, selon W3Techs. Debian est en tête avec 30 %, et CentOS est n°2 avec 28,9 %. Et, en quatrième position, Red Hat avec 12,2%. Enfin, Fedora occupe la cinquième place avec 5%.
(...)(15/03/2012 10:35:49)Le moteur russe Yandex se renforce en Europe
Le moteur de recherche russe Yandex annonce l'ouverture d'un bureau de ventes à Lucerne, en Suisse. Il doit permettre à la société de travailler plus efficacement avec la clientèle publicitaire européenne, explique Yandex dans un communiqué.
«Les ventes internationales ont augmenté rapidement ces dernières années, explique Alexei Tretiakov, Chief Commercial Officer de Yandex. Nous ouvrons notre bureau de Lucerne pour développer une relation plus proche avec les agences de publicité et nos clients européens. Nous comptons aussi intensifier nos activités de marketing en Europe pour attirer de nouveaux clients. Nous estimons que l'ouverture de ce bureau va accélérer nos ventes en Europe.»
Yandex opère de nombreux sites et services en ligne en Russie, en Ukraine, au Belarus, au Kazakhstan et en Turquie. Son moteur de recherche est leader en Russie avec une part de marché de 60%. La société propose divers outils aux annonceurs pour gérer leurs campagnes.
Le bureau lucernois est la seconde filiale de Yandex en Suisse, qui emploie plusieurs ingénieurs dans son centre de développement à Zurich.
Mozilla a commencé le développement de Firefox pour Windows 8
Selon un ingénieur de Mozilla, le développement d'une version tactile de Firefox pour Windows 8 a bel et bien commencé. Celui-ci a également révélé quelques détails intéressants au sujet de la navigation web sous Windows 8. Une version POC (Proof of Concept) de Firefox pour Windows 8 devrait être opérationnelle avant l'été, la version bêta étant prévue pour la seconde moitié de l'année 2012, selon la feuille de route établie par Mozilla pour Firefox.
Autrement dit, l'éditeur n'est pas encore prêt à proposer une version test aux utilisateurs. « À l'heure actuelle, la version Firefox pour Windows 8 est très basique. On peut juste lancer l'application, mais celle-ci n'a pas de capacités réelles de navigation », écrit Brian Bondy, ingénieur pour la plate-forme Firefox, dans un billet de blog.
Les navigateurs desktop avec des fonctionnalités Metro
Quand il sera fin prêt, Firefox pour Windows 8 pourra rejoindre les applications d'un nouveau genre : celui des navigateurs desktop compatibles Metro. Fondamentalement, cela signifie qu'il suffira d'installer Firefox une seule fois pour qu'il fonctionne comme une application classique sur un ordinateur de bureau ou avec des capacités tactiles dans l'interface Metro. Brian Bondy pense que Mozilla va offrir une version Metro puissante de Firefox, au moins « équivalente à la version de bureau classique ».
Cependant, il faudra s'habituer un peu à la prise en main pour utiliser les navigateurs Metro sous Windows 8. En effet, selon un document publié par Microsoft, il sera nécessaire de désigner l'application comme navigateur par défaut dans les préférences Système pour profiter de l'interface Metro. Plus explicitement, si Internet Explorer 10 (IE 10) est défini comme navigateur par défaut dans Windows 8, il sera toujours possible de lancer n'importe quel navigateur dans l'interface de bureau classique de Windows. De même, il sera tout à fait possible de faire tourner simulténement IE10 et Firefox en version desktop sous Windows 8.
Par contre, sous l'interface Metro, seul le navigateur par défaut - ici IE10 - pourra être ouvert pour se connecter à Internet, sauf à modifier ce choix dans les préférences Système et en désignant Firefox comme navigateur par défaut dans le Panneau de configuration. Il sera aussi possible d'effectuer ce changement lors de l'installation de Firefox. Mais, a contrario, IE10 deviendra inaccessible pour une navigation dans l'interface Metro. Ce mode de fonctionnement pourrait évoluer d'ici la disponibilité de Windows 8, mais dans l'état actuel, un seul navigateur désigné par défaut peut tourner dans l'interface Metro. Evidemment, cela n'a pas vraiment d'importance pour l'instant, puisque IE10 est le seul navigateur à pouvoir tourner sous Metro dans la preview grand public de Windows 8.
Firefox sur Windows Store ?
On ne sait pas très bien si Firefox pour Windows 8 sera proposé dans la boutique en ligne de Windows où Microsoft vend les applications Metro, mais selon Brian Bondy il sera toujours possible de télécharger Firefox pour Windows 8 depuis le site Web de Mozilla. On ne sait pas non plus si Firefox pour Metro supportera des plugins comme Flash notamment. En réponse à une question d'utilisateur posée sur le blog, l'ingénieur de Mozilla a déclaré qu'il n'était pas sûr que Firefox supporte le plugin d'Adobe. Au mois de septembre, Microsoft a annoncé que la version IE 10 pour Metro serait autant que possible « sans plug-in » et compatible HTML5. Cela ne permet pas de savoir si la décision de Microsoft aura une incidence sur la manière dont fonctionne le navigateur concurrent dans l'interface Metro de Windows 8. Brian Bondy n'a pas pu dire non plus si Firefox pour Windows 8 pourrait tourner sur des tablettes à base de processeur ARM.
La version Firefox pour Windows 8 est encore trop jeune pour répondre à toutes ces questions, mais les réponses devraient venir dans les prochains mois, notamment dès que Mozilla pourra livrer une version test publique de son navigateur. Seule certitude pour les fans de Firefox qui envisagent de passer à Windows 8 : ils pourront faire tourner leur navigateur favori dans la prochaine version de l'OS de Microsoft.
Yahoo poursuit Facebook pour violation de brevets
Yahoo reproche à Facebook d'avoir copié un ensemble de technologies qu'il a inventées et lui intente un procès en l'accusant d'enfreindre dix brevets. « Le modèle de réseau social de Facebook, qui permet aux utilisateurs de créer des profils pour, entre autres choses, se connecter à d'autres personnes ou entreprises, est basé sur une technologie de réseau social brevetée par Yahoo », a écrit le spécialiste de la recherche en ligne, dans un document adressé hier à un tribunal californien.
Les brevets en question concernent des technologies portant sur la personnalisation de site, la publicité, la confidentialité, le réseau social et les communications intégrées au sein d'un réseau social. Le dossier déposé par Yahoo au tribunal décrit plusieurs fonctionnalités qui, affirme-t-il, exploite ces technologies. Le fil d'actualité de Facebook, qui représente la principale façon de suivre ses amis, enfreint les brevets de personnalisation de Yahoo, selon ce dernier. De même, la façon dont Facebook gère la confidentialité enfreint un brevet de Yahoo portant dans ce domaine.
Facebook se dit surpris et déçu
Le groupe dirigé par Scott Thompson ne précise pas s'il a proposé à Facebook de licencier ces technologies, mais on se souvient qu'il avait, le mois dernier, menacé d'intenter une action contre la société de Mark Zuckerberg si un accord n'était pas trouvé.
Hier, Facebook s'est déclaré surpris par la démarche et déçu qu'un partenaire commercial de longue date comme Yahoo, qui a substantiellement bénéficié de leur association, ait décidé de recourir aux tribunaux. « Nous avons appris la décision de Yahoo par les médias », affirme Facebook en ajoutant qu'il se défendrait avec énergie contre ces actions jugées « déroutantes ».
Ce n'est sans doute pas une coïncidence que Yahoo attaque maintenant, au moment où Facebook se prépare à entrer en bourse. « Je pense qu'ils vont essayer d'utiliser l'introduction en bourse comme moyen de pression pour trouver un accord plutôt qu'aller au procès », estime Greg Sterling, analyste chez Sterling Market Intelligence. La stratégie fait écho à la décision de Yahoo d'attaquer Google juste avant que le groupe de Larry Page ait déposé son dossier d'introduction en bourse. Il l'avait accusé de violer des brevets contrôlés par sa filiale Overture. On avait alors estimé que Google avait réglé le différend pour ne pas être engagé dans une action en justice au moment de son entrée en bourse.
Un simple paiement de royalties ne suffira pas
Dans le cas de Facebook, Yahoo avance qu'un simple paiement de royalties ne suffira pas. Il estime que le préjudice subi ne peut pas être uniquement compensé de cette façon, ont indiqué ses avocats. « L'utilisation des technologies brevetées de Yahoo ont augmenté les revenus de Facebook et ses parts de marché parce qu'il n'a pas eu à récupérer le temps et les coûts engagés dans leur développement ».
Même si ce procès peut ressembler à un changement de stratégie de la part de Yahoo, ce n'est sans doute pas le cas, considère l'analyste Greg Sterling. « On aurait tendance à penser que Yahoo se résigne à ne plus pouvoir rivaliser avec les autres et qu'il essaie de récupérer de l'argent à travers des procès en violation de brevets parce qu'il ne peut pas générer de revenus avec la publicité ». Mais l'analyste pense que Yahoo essaie seulement de profiter de la prochaine entrée en bourse de Facebook pour récupérer un peu d'argent.
Gestion unifiée des appels téléphoniques entrants au Crédit Agricole
Le projet Nice (Nouvelle informatique convergente évolutive) du Crédit Agricole a des implications en dehors des applicatifs ou de l'architecture back-office. Ainsi, à l'occasion de la fusion de tous les GIE informatiques du groupe bancaire en une paire MOA/MOE, avec unifications technologiques, une solution développée par le GIE Synergie pour ses 8 caisses régionales affiliées a été généralisée aux 39 caisses régionales. En l'occurrence, il s'agit d'une gestion unifiée des appels téléphoniques entrants, la BlueBox, développée spécifiquement par la société de conseil Almavia. Le projet représente un investissement de 15 millions d'euros en tout et est en cours de déploiement sur 80 000 postes en ToIP.
Améliorer la qualité du service rendu aux clients
A l'origine du projet, en 2006, il y avait une mauvaise gestion des 10 millions d'appels téléphoniques entrants par an. Près de la moitié de ces appels pouvait être perdue. Il s'agissait donc de mieux gérer les appels entrants en les répartissant de manière efficace entre les conseillers, avec un reporting pour faire face aux dérives gênantes.
Face aux coûts exorbitants en licences des solutions du marché qui, de plus, n'étaient pas très bien adaptées aux besoins, le Crédit Agricole a fait développer une solution spécifique venant s'insérer entre la ToIP Cisco et le poste de travail des conseillers. Cette solution est interfacée en de nombreux points avec le système d'information pour, par exemple, bénéficier de l'identification unique des agents ou la liste de leurs compétences. En l'occurrence, il s'agit de la solution BlueBox développée par Almavia.
La BlueBox, déployée entre 2007 et 2008, assure l'accueil interactif, l'aiguillage (ou le ré-aiguillage) des appels des clients vers les bons agents en fonction de leurs compétences et de leur disponibilité (renseignée par chaque agent à partir de son poste de travail), le couplage avec le système d'information pour faciliter l'accès à la fiche client par le conseiller prenant l'appel, de notifier aux conseillers les messages vocaux en attente de traitement... Côté administration du système, le paramétrage, notamment des routages d'appels, se fait par des non-informaticiens. Les directeurs d'agence peuvent, de plus, suivre en temps réel le trafic des appels entrants et être alertés des anomalies (dérives sur la non-prise d'appels, croissance du nombre de messages non-traités...). Le taux d'appel perdus est passé au fil du déploiement à moins de 15% tout en facilitant le travail des conseillers.
Nice va étendre les fonctionnalités de la BlueBox
A l'occasion de la généralisation de la BlueBox aux 8000 agences et 80 000 postes dans el cadre du programme Nice, plusieurs fonctionnalités ont été ajoutées. Ainsi, les appels entrants et sortants des centres d'appels sont désormais gérés dans la même solution en lien avec l'outil métier Genesys. De plus, l'interrogation vocale en langage naturel a été ajoutée mais est traitée par des opérateurs tiers interfacés avec l'outil.
La BlueBox est une application Java/MySQL répartie aujourd'hui sur 200 machines virtuelles modulaires : il suffit d'augmenter le nombre de machines virtuelles pour accroître les capacités du système. Supervision et administration sont réalisées via des interfaces en PHP. A terme, l'intégration des smartphones et, d'une manière générale, de la téléphonie mobile est prévue ainsi que celle des outils collaboratifs pour faciliter la prise de rendez-vous dans un agenda. (...)
Facebook Messenger arrive pour Windows
Facebook a mis en ligne son logiciel de messagerie Facebook Messenger. Cette application, déjà disponible sur mobile, permet de discuter en direct avec ses amis, de leur envoyer des messages directement sur Facebook, d'être averti de leurs dernières mises à jour ou encore de recevoir des notifications sur leurs activités. Jusqu'à présent, l'application n'était disponible sous Windows qu'en phase de test. Une version pour Mac OS est en préparation.
Télécharger Facebook Messenger : www.facebook.com/about/messenger
L'application Facebook Messenger est également disponible sur l'App Store et l'Android Market.
(...)(28/02/2012 17:30:42)Les internautes ne passeraient que 3 minutes sur Google+
Les internautes passent en moyenne 6 h 45 à utiliser chaque mois Facebook, contre seulement trois minutes pour Google+, selon une étude de comScore reprise par le Wall Street Journal, mardi 28 février. Dans le classement des réseaux sociaux les plus chronophages, Facebook (405 minutes par mois) devance Tumblr et Pinterest (89 min chacun), Twitter (21 min, soit moins d'une minute par jour), LinkedIn (17 min), MySpace (8 min) et donc Google+ (3 min).
Google+ revendique actuellement plus de 90 millions de membres, contre plus de 800 millions pour Facebook. Cet étude a été menée par comScore, entre septembre 2011 et janvier 2012.
L'achat de services sur Internet gagne des adeptes
Les achats de services sur Internet continuent à progresser. Selon la nouvelle édition du baromètre Direct Assurance par l'Ifop, publié ce mardi 28 février, 74% des consommateurs réservent leur billets de train sur internet, tandis que 63% réservent leurs billets d'avion sur la toile. Dans le même ordre d'esprit, l'achat de places de cinéma gagne six points, pour représenter 42% d'acheteurs.
Les achats de services sur internet ne sont plus des exceptions. Les Français réservent désormais leurs billets de train (74%), leurs billets d'avion (63%), leur voiture en location (43%) et leurs places de cinéma (42%) directement en ligne. Les produits dominent encore les achats des Français, avec 78% de plébiscites pour les livres et 75% pour les vêtements.
Le prix reste la première motivation
Autre nouveauté, les consommateurs sont 25% à choisir le Net pour souscrire à des produits d'assurance. Ce type d'achat pourrait concerner à l'avenir jusqu'à 29% de consommateurs, qui se disent intéressés par les assurances santé et mutuelles en ligne. Cette proportion passe à 31% pour l'automobile et à 32% pour l'habitation.
Le prix motive toujours en premier lieu l'utilisation d'Internet pour acheter des services ou des produits : 61% des sondés cherchent à trouver le prix le plus bas, tandis que 45% espèrent bénéficier du meilleur rapport qualité/prix.
Cette étude Ifop a été menée du 17 au 22 novembre 2011, auprès d'un échantillon national de 1.021 Français, âgés de 15 ans et plus.
30,3 millions de vidéonautes français en décembre, selon Médiamétrie
En décembre 2011, 30,3 millions de "vidéonautes" ont été recensés par Médiamétrie, selon son étude publiée le 27 février. Cela représente environ 75% des internautes français. Chacun de ces internautes a regardé en moyenne 74 vidéos, soit l'équivalent de 3h19 sur le mois étudié.
Le site YouTube demeure en tête des plateformes vidéo les plus visitées, avec 21,8 millions de visiteurs uniques et plus de 1,2 milliard de vidéos vues en décembre.
Sur cette période, YouTube devance Facebook (9,7 millions de VU/120 millions de vidéos) et Dailymotion (8,5 millions de VU/117 millions de vidéos).
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