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(17/05/2011 11:50:09)
Défiant Google, Microsoft tire mieux parti de Facebook dans Bing
En intégrant davantage de données Facebook dans les résultats de son moteur de recherche Bing, Microsoft accentue sa concurrence avec Google dans la recherche sociale. Jusqu'ici le niveau d'accès aux données de Facebook n'était pas aussi profond. Tirant parti de son partenariat de plusieurs années avec Facebook tant publicitaire que technologique, Microsoft a annoncé ce lundi le déploiement d'un plus large éventail de correspondances entre les requêtes sociales de son moteur de recherche Bing et le contenu web que les utilisateurs de Facebook « aiment » (matérialisé par le bouton « Like »). Ces capacités s'appuient sur l'utilisation que Bing fait déjà des données de Facebook depuis la fin de l'année dernière et complètent les résultats habituels de recherche avec des liens que les amis des utilisateurs ont taggués avec le bouton Like.
« Les recherches dynamiques continuent d'évoluer, notamment à cause des médias sociaux », a déclaré Lisa Gurry, l'une des responsables de Bing, dans une interview à nos confrères d'IDG News Service. Comme précédemment, les utilisateurs Bing doivent être connectés à leur compte Facebook pour profiter de l'intégration du moteur de recherche avec le réseau social.
« amis de confiance » et « intelligence collective »
Les nouvelles capacités se répartissent en trois grandes catégories que Microsoft a baptisées « amis de confiance », « intelligence collective » et « recherche de conversation ». Alors que Bing informe actuellement les utilisateurs sur les résultats de la recherche que leurs amis ont « aimés », Microsoft augmente désormais le poids attribué à ces derniers en classant les résultats de recherche et en développant également la variété des contenus qu'ils couvrent.
Pour « Intelligence collectiv e», Bing prendra en considération l'ensemble des sites et des liens « aimés » et ne se limitera plus au cercle d'amis d'un utilisateur. L'idée est de faire en sorte que Facebook « aime » des données utiles dans les cas où les propres amis d'un utilisateur ne proposeraient pas de signal assez fort pour affiner les résultats de requête. « Il y a le pouvoir du nombre, et la voix pour également un grand nombre, si vos amis ne sont pas des experts sur un sujet particulier », a précisé Lisa Gurry.
Bing affiche également des messages récents publiés sur les pages Facebook que les entreprises utilisent pour commercialiser leurs produits, tels que des promotions spéciales et des offres. De même, Bing enverra, sur les murs des utilisateurs Facebook, des notifications portant sur des offres de voyage en se basant sur les villes et sur d'autres informations pertinentes que les internautes ont « aimées ».
Microsoft, plus proche de Facebook que Google
Dans la catégorie « Recherche de conversation », Bing introduit des fonctions pour permettre aux utilisateurs de partager des résultats avec leurs amis Facebook et demander leur contribution. Par exemple, lorsque les internautes utilisent le moteur de recherche Bing Shopping, ils obtiendront des conseils sur ce qu'il faut acheter. Si les internautes utilisent le moteur de recherche Bing Voyage, ils seront également en mesure de partager une liste de souhaits sur leur voyage et de voir quels amis vivent dans les destinations désirées.
Alors que Google reste le moteur de recherche dominant, il reconnaît que la recherche sociale a gagné en importance en renforçant ses capacités dans ce domaine. Toutefois, Google et Facebook entretiennent des relations tendues, et Microsoft a pour l'instant accès aux données de Facebook d'une manière et avec une profondeur dont Google ne dispose pas. Même si le site créé par Marc Zuckerberg n'est pas le seul média social, il est devenu le plus grand réseau social au niveau mondial. Pour les opérateurs de moteurs de recherche, il est donc crucial d'accéder aussi loin et précisément que possible à ses données.
Bing Social Search n'est pas encore disponible pour la France. (...)
Déjà 10 000 utilisateurs pour le DMP
L'objectif du DMP est de centraliser certaines informations sur chaque patient le souhaitant afin de les partager entre tous les professionnels de santé. Il s'agit notamment de faire un lien efficace entre les médecins dits « de ville » et l'hôpital mais aussi d'assurer une bonne disponibilité des informations les plus importantes en cas d'urgence.
Un accès direct à son dossier médical
Le site officiel du DMP permet à chaque patient en possédant un de le consulter, ce depuis le 21 avril 2011. « Cette étape concrétise le droit des patients à accéder directement à leurs données de santé » se réjouit l'ASIP-Santé dans un communiqué. Par contre, il n'est pas encore possible d'initier un dossier en ligne.
La prochaine étape sera sans doute la plus cruciale. Il s'agit en effet de permettre l'interopérabilité entre d'une part les SI hospitalier et les logiciels des médecins de ville avec, d'autre part, le DMP. L'ASIP-Santé indique travailler avec les éditeurs sur le sujet. Le succès du projet implique en effet que la part de travail administratif des médecins ne s'accroisse pas.
Le déploiement sera progressif sur l'ensemble du territoire d'ici la fin de l'année. Enfin, en 2012, une campagne de communication menée par l'ASIP-Santé sensibilisera l'ensemble de la population.
USI 2011 : Benjamin Chaminade souligne l'impact de la génération Y dans les entreprises
Le consultant en RH Benjamin Chaminade, également entrepreneur et auteur, a choisi d'aborder le thème de la génération Y et ses impacts sur les pratiques de recrutement, de management et d'organisation dans les entreprises. Pour lui, les digital natives seront plus responsables et davantage autonomes. Face à ces mutations générationnelles, les notions d'autorité et de hiérarchie devront être revues, au même titre que les modes d'organisation et de management.
Lire la suite de l'interview (...)
Les USA et l'UE exigent une meilleure gouvernance Internet
Jeudi dernier, Neelie Kroes, Commissaire européen en charge des agendas numériques et Larry Strickling, secrétaire adjoint du Département américain du Commerce, ont déclaré qu'ils continueraient à soutenir l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers) pour attribuer les domaines de premier niveau. Ces nouvelles interviennent suite à la décision controversée de l'Icann d'approuver le suffixe. xxx pour les sites web à contenus pour adultes, décision qui est intervenue au cours du mois dernier après plusieurs années de délibérations. Ce virage a suscité des mouvements d'opposition à l'intérieur et à l'extérieur de l'industrie pornographique. Des anti-pornographes ont estimé que cette décision légitimerait la pornographie et les adultes concernés ont pensé qu'il serait plus facile de bloquer leurs sites en masse.
Des réformes pour renforcer la responsabilité de l'Icann
L'Icann devrait également approuver un grand nombre d'autres domaines de premier niveau durant la prochaine réunion de l'organisme qui se tiendra à Singapour à la fin du mois de juin. Néanmoins, Neelie Kroes et Larry Strickling ont tout deux indiqué que des réformes étaient nécessaires pour renforcer la transparence et la responsabilité de l'Icann en matière de gouvernance interne.
Ils ont insisté sur la nécessité, pour le conseil d'administration de l'Icann, de répondre à l'avis du Conseil consultatif gouvernemental ( Governmental Advisory Council) concernant l'expansion des noms de domaines génériques de premier niveau, de façon à ce que les recommandations soit implémentées le plus rapidement possible. Neelie Kroes souhaite que l'Icann réponde mieux aux gouvernements sur des préoccupations de politique publique. Elle veut davantage de transparence sur la façon dont sont attribués les noms de domaines par région géographique.
Le contrat « Internet Assigned Numbers Authority » passé entre l'Icann et le gouvernement américain arrive à échéance en septembre prochain et ajoutera donc en urgence ces appels à la réforme.
Illustration : Neelie Kroes, Commissaire européen en charge des agendas numérique. Crédit photo : D.R
(...)
Facebook ajoute une étape pour s'authentifier
Facebook a décidé de réagir après avoir laissé filé les informations privées de ses membres. Pour aider ses quelque 600 millions d'utilisateurs à éviter l'accès non autorisé à leurs comptes, le réseau social a ajouté une étape optionnelle de vérification du processus de connexion. Baptisée Login Approvals (ou autorisation de connexion) cette fonction de sécurité à deux niveaux ajoute une étape en matière d'authentification en vérifiant le nom de base de l'utilisateur et le mot de passe. Avec Login Aprovals, les utilisateurs de Facebook peuvent maintenant choisir que la société demande qu'un code numérique, utilisable une seule fois, soit entré en même temps que le nom d'utilisateur et le mot de passe, lorsqu'une tentative de connexion est faite depuis des terminaux que les membres n'ont pas indiqué dans la liste de ceux qu'ils autorisaient.
Un code numérique transmis par SMS
Le code numérique est envoyé sous la forme d'un message SMS sur le numéro du mobile qui relie les utilisateurs à leur compte, a indiqué Facebook, hier, dans un billet de blog. La société indique que, de cette manière, les comptes sont protégés contre tout accès non autorisé par une personne qui aurait usurpé le nom de l'utilisateur et son mot de passe. Au cas où l'usurpateur tenterait de se connecter une nouvelle fois, l'utilisateur légitime sera averti que quelqu'un a tenté d'accéder à son compte et il lui sera alors demandé de changer son mot de passe. Si quelqu'un active la fonction Login Approvals, et tente d'accéder au compte d'un périphérique non reconnu, sans téléphone autorisé à portée de main, l'accès restera verrouillé jusqu'à ce qu'il se connecte à partir d'un terminal autorisé.
Un bémol toutefois : cette procédure requiert des membres qu'ils transmettent leur numéro de téléphone mobile personnel, ce qui constitue une information confidentielle de plus pour Facebook.
Une fonction alliant sécurité et simplicité d'utilisation
Facebook pourrait envisager d'intégrer des technologies autres que de simples SMS à Login Approvals. Mais le célèbre réseau social préfère s'en tenir là jusqu'à ce que sa fonction d'authentification à deux niveaux devienne plus simple.
« Nous souhaitions que cette autorisation de connexion soit construite selon un modèle alliant la sécurité et la convivialité », a tenu à souligner Andrew Song, ingénieur chez Facebook, dans un billet de blog « Sur d'autres sites, des fonctionnalités similaires exigent que l'utilisateur télécharge des applications d'authentification ou achète des « tokens » qui agissent en tant que seconds éléments », a-t- il ajouté. « Ce sont de bonnes approches, et nous envisageons de les intégrer à l'avenir, mais elles exigent beaucoup de l'utilisateur avant qu'il puisse activer cette fonctionnalité.»
Le technicien a également déclaré que les gens volaient des noms d'utilisateurs et leurs mots de passe dans différentes manières, en recourant au phishing, en interceptant des communications WiFi non sécurisées ou en utilisant des malwares. Pour activer la fonction Login Approvals, il suffit d'aller dans la section Account Security qui figure dans la page des paramètres des comptes.
(...)
Recap IT : EMC et Google tiennent sommet, Microsoft s'empare de Skype, Facebook vulnérable
L'actualité de cette deuxième semaine du mois de mai s'est concentrée aux Etats-Unis où étaient organisés deux évènements majeurs. En premier lieu, EMC World a réuni plus de 6000 personnes à Las Vegas pour faire un état de l'art en matière de stockage. EMC a insisté sur le traitement des Big Data et sur l'accélération vers le cloud computing. L'autre évènement de la semaine est le Google I/O qui a eu lieu à San Franscisco, rendez-vous des développeurs. Beaucoup d'annonces ont été faites Android 2.4, sur l'intégration de la technologie NFC, sur la présentation des Chromebooks, sur les applications qui tirent parties du cloud, sur le lancement de son service de musique en ligne.
Sur le plan économique, la palme revient sans conteste à Microsoft qui a annoncé le rachat de Skype pour 8,5 milliards de dollars. Pour rappel, Skype avait dans l'idée de s'introduire prochainement en bourse, mais la société était courtisée à la fois par Google, Facebook et Cisco. Steve Ballmer a indiqué que Skype serait intégré dans Xbox et Kinect, les Windows Phone et un large panel d'appareils Windows.
Enfin, terminons par la sécurité, après les épisodes malheureux de Sony, c'est au tour de Facebook d'être victime d'une faille. Quelques 100 000 applications tierces ont été affectées par des tokens renvoyés dans une url aux annonceurs. Symantec ayant découvert la vulnérabilité a demandé aux utilisateurs du site de réseau social de changer leur mot de passe. Facebook a annoncé de son côté la mise en place d'une nouvelle procédure d'authentification.
(...)(13/05/2011 15:58:30)Flash Player 10.3 comble une faille critique et permet le contrôle des cookies
Avec la version 10.3 de Flash Player livrée hier, jeudi 12 mai, les utilisateurs vont pouvoir gérer le système de cookies spécifique à Flash en se servant de leurs paramétrages personnels ou bien à travers un nouveau panneau de contrôle. Les cookies Flash, également appelés « Local Stored Objects » (objet local partagé, LSO) constituent depuis 2009 un sujet délicat pour les utilisateurs du plug-in multimedia. Les experts en sécurité avaient alors montré que ces LSO étaient largement utilisés pour suivre à la trace les internautes sur le web. Le problème, c'est que les cookies Flash sont connus pour être difficiles à supprimer, au contraire des cookies traditionnels. Or quelques sites s'en servent pour pister les utilisateurs qui ont par ailleurs choisi de bloquer les cookies de façon générale.
Les cookies sont de petits bouts de texte, stockés sur l'ordinateur, dont les sites web se servent pour identifier leurs visiteurs réguliers. « Les utilisateurs pouvaient déjà gérer leurs cookies Flash, mais ce n'était pas très facile à faire », a reconnu Wiebke Lips, porte-parole d'Adobe en réponse à un e-mail de nos confrères d'IDG News Service.
La nouvelle option de gestion des cookies Flash fonctionnera avec les navigateurs Firefox, de Mozilla, et Internet Explorer, de Microsoft. Ils seront ultérieurement proposés aux utilisateurs de Chrome et Safari, indique Adobe.
Avec la version 10.3 de Flash Player, les utilisateurs d'Internet Explorer (ci-dessus) pourront détruire les cookies Flash depuis leur navigateur (cliquer ici pour agrandir l'image)
Un panneau de contrôle natif
Même s'il reste encore de nombreuses atteintes à la vie privée sur le web, la mise à jour d'Adobe est une bonne nouvelle, estime Seth Schoen, ingénieur senior chez Electronic Frontier Foundation qui s'est penché sur le problème posé par ces LSO. « Je suis satisfait qu'Adobe y réponde de façon complète », a-t-il indiqué dans un e-mail à IDG News Service, en jugeant néanmoins regrettable que cela ait pris autant de temps.
Les internautes peuvent aussi gérer ces cookies à travers un panneau de contrôle, conçu pour leur fournir un seul et unique emplacement d'où ils pourront s'assurer que le lecteur Flash se comporte comme il le doit. « Avec Flash Player 10.3, nous avons créé un outil de contrôle natif pour les postes sous Windows, MacOS et Linux, afin que les utilisateurs gèrent tous les paramétrages du Flash Player, y compris celui des caméras, microphones et Local Shared Objects », explique dans un billet de blog Peleus Uhley, porte-parole d'Adobe.
Une faille critique comblée : CVE-2011-0627
Le plug-in Flash Player 10.3 présente aussi diverses améliorations fonctionnelles et corrige quelques failles critiques de sécurité. Autre nouveauté : les utilisateurs de Mac OS recevront désormais des alertes automatiques lors des mises à jour du logiciel, comme sous Windows. « Auparavant, ils avaient quelquefois du mal à se mettre à niveau dans la mesure où les agendas de mises à jour de Mac OS et de Flash Player ne se font pas en même temps », rappelle Peleus Uhley dans son billet. « Avec cette fonction, Flash Player vérifiera automatiquement chaque semaine si des updates sont disponibles et avertira l'utilisateur dans la foulée ».
Les correctifs de sécurité, qui affectent toutes les plateformes Flash, sont importants. Le lecteur multimédia a été utilisé dans de nombreuses attaques en ligne ces dernières années. Avec ce lot de patches, Adobe indique qu'il corrige une faille jusque-là inconnue et exploitée dans des attaques en ligne. « Il a été signalé certaines tentatives d'exploitation par des malwares de l'une de ses vulnérabilités, CVE-2011-0627, au moyen d'un fichier Flash (.swf) encapsulé dans un fichier Microsoft Word (.doc) ou Excel (.xls) distribué sous la forme d'un fichier attaché à un e-mail et prenant pour cible la plateforme Windows », relate Adobe dans une note publiée sur son site web. « Néanmoins, à ce jour, Adobe n'a pas récupéré d'exemple prouvant que ces attaques ont réussi ». (...)
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