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(11/04/2011 10:34:55)

21 millions d'abonnés à Facebook en France

Au classement européen des accrocs à Facebook, les Français se placent derrière l'Angleterre qui totalise près de 29 millions d'internautes connectés au réseau social. Avec 21 millions d'utilisateurs, la France se place devant l'Italie (18,4 millions), l'Allemagne (16,2 millions), l'Espagne (12,9 millions) ou la Suède dont 4,1 millions d'habitants se rendent régulièrement sur le site.

Au niveau mondial, la France arrive en huitième place largement devancé par les Etats-Unis. Plus de 152 millions d'Américains, soit plus de la moitié de la population, sont sur Facebook. Les Indonésiens parviennent en deuxième place avec 35 millions d'utilisateurs, devant les Britanniques. Suivent dans le classement la Turquie (26,4 millions), les Philippines, les Mexique et l'Inde qui comptent chacun 22 millions d'adeptes.

Les Indonésiens se hissent au premier rang des utilisateurs de Facebook les plus jeunes de la planète avec une moyenne d'âge de 23 ans. Les Canadiens sont à l'inverse les plus âgés avec une moyenne de 32 ans. En France, les accrocs du réseau social ont en moyenne 29 ans, contre 30 ans aux Etats-Unis ou 31 en Angleterre.

L'étude d'iCrossing a été réalisée à partir des données Facebook de mars dernier

(...)

(08/04/2011 09:35:36)

Iliad rajoute les appels fixes vers l'Algérie au forfait Freebox

Iliad, la maison-mère de Free, a annoncé, jeudi 7 avril, l'introduction des appels vers les postes fixes en Algérie dans le forfait Freebox. Seuls les abonnés Freebox v6 et ceux en zones non dégroupées pourront profiter de cette nouvelle destination gratuitement. Néanmoins, les autres utilisateurs Freebox peuvent s'abonner à cette option, disponible à 2,99 euros par mois.

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(07/04/2011 09:40:42)

5 ans et 3,4 millions de noms de domaine pour le .eu

Le nombre de noms de domaine en .eu atteint 3,4 millions cinq ans après son lancement le 7 avril 2006, annonce l'association européenne d'enregistrement de ceux-ci, l'Eurid, mercredi 6 avril. En cinq ans, le nombre de sites terminés par .eu a doublé pour atteindre le neuvième rang du classement mondial de noms de domaine.

 

(...)

(07/04/2011 10:39:50)

Truffle 100 France 2011 : les éditeurs de logiciels redressent la barre

Pour sa septième édition, le Truffle 100 des éditeurs français de logiciels repart enfin à la hausse de façon significative, après s'être vu ravir depuis 2006 quelques-unes de ses plus belles réussites (Business Objects, GL Trade, Ilog, Viveo). En 2010, ce Top 100 a enregistré une progression de 17,5% du chiffre d'affaires lié à l'édition de logiciels, à 4,7 milliards d'euros (contre 4 Md€ un an plus tôt). Le chiffre d'affaires total du Truffle 100 atteint 6,6 milliards, soit 10% de plus qu'en 2009.

« C'est une année de post-crise, on repasse enfin au-dessus de 2006 qui avait été jusqu'à présent la meilleure année [4,2 Md€] », commente Bernard-Louis Roques, directeur général et co-fondateur de Truffle Capital, en soulignant néanmoins que c'est normal pour cette industrie en croissance. Le bénéfice de ces sociétés reprend lui aussi des couleurs, en valeurs absolue et relative. Le résultat net du Top 100 s'est élevé à 543 M€ en 2010 contre 254 M€ en 2009. Et il a représenté en moyenne 6,6% du chiffre d'affaires du Truffle 100 contre 4,3% l'an dernier. « Mais, on ne retrouve pas le niveau des années 2004 à 2007, fait remarquer Bernard-Louis Roques. On en est encore loin, il n'y a pas lieu de crier victoire. » En 2007, le résultat net représentait en moyenne 11,4% du CA total.

Les éditeurs modèrent leurs dépenses R&D

Le secteur continue de créer des emplois qualifiés : un millier de plus sur ses activités de R&D en 2010, portant ses effectifs à 11 460 personnes sur ces fonctions. Au total, le Truffle 100 employait 57 490 personnes l'an dernier, soit presque 3 560 de plus qu'en 2009. « Toutefois, ce n'est pas massif compte tenu de la croissance, note Bernard-Louis Roques. Les éditeurs de logiciels ont été une industrie résiliente en période de crise. Mais, ils sont maintenant soucieux de ne pas accélérer les investissements en R&D ». Ces dépenses n'ont augmenté que de 1%. Le co-fondateur de la société de capital risque Truffle Capital fait remarquer que ces éditeurs ne se sentent pas vraiment soutenus par les hommes politiques.

Le Small Business Act (SBA) « à la française » appelé de leurs voeux depuis des années n'a toujours pas avancé [cela permettrait de réserver une partie des appels d'offres aux PME]. « Sur ce sujet, un Framework a été fait au niveau européen, mais c'est une coquille vide ». Il y a eu des débats sur le CIR (crédit impôt recherche) début 2010, puis à la fin de l'année, la réforme du statut de la JEI est venue pénaliser ces jeunes entreprises innovantes, ce qui ne favorisera pas les dépenses R&D. « Les éditeurs ne se sont pas sentis véritablement aidés. L'absence de débat sur un SBA qui existe depuis 1953 aux Etats-Unis, le fait que l'on parle d'un plan de relance mais que l'essentiel du grand emprunt ne soit pas facilement accessible aux PME... C'est hallucinant, alors qu'année après année, ils créent des emplois. »

Une industrie centralisée en Ile-de-France


Autre caractéristique de ce Truffle 100 français : 63 éditeurs se trouvent en Ile-de-France contre 59 en 2009. Derrière, la région Rhône-Alpes se maintient, mais avec 12 éditeurs seulement, dont le numéro 4, Cegid.

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Une industrie centralisée en Ile-de-France


Les éditeurs qui entrent en bout de classement sont franciliens, pointe Bernard-Louis Roques en rappelant par ailleurs que les petits éditeurs croissent plus vite que les gros. « Si notion de cluster il y a, elle tend à démontrer que le cluster français est viable au niveau international ». Pourtant, Londres a dépassé l'Ile-de-France dans cette course. Les gros éditeurs croissent faiblement alors que d'autres en Europe sont beaucoup plus agressifs. « Au niveau européen, il y a en Allemagne un software cluster, le seul à être reconnu comme tel, ayant vocation à aider l'industrie locale du software », souligne Bernard-Louis Roques. « Il est soutenu par des fonds publics et privés : 80 millions d'euros de financement public auxquels s'ajoutent des financements privés avec des initiatives venant de SAP et de Software AG. Dans la région de Londres, il y a également les initiatives annoncées, en particulier la création d'une Silicon Valley. En France, il y a les pôles de compétitivité. Chacun veut avoir son pôle, mais seule l'Ile-de-France peut se battre au niveau international. »

Rachat par des Américains : accalmie temporaire


Cette année, la consolidation s'est stabilisée dans le haut du classement. Les rachats d'éditeurs français par des groupes étrangers ont été moins importants. Au total, le poids des rachats a pesé 45 M€ contre 55 M€ en 2009 et 371 M€ en 2008. Le numéro 19 du classement, EmailVision, a tout de même été racheté par le fonds américain Fransisco Partners. Mais Exalead, en revanche, a rejoint le Français Dassault Systèmes, ce qui a consolidé le Truffle 100. Il y a eu par ailleurs onze acquisitions. « Cette année d'accalmie, c'est très positif pour les éditeurs mais ce n'est pas une tendance, considère Bernard-Louis Roques. Cela peut reprendre car les éditeurs américains sont riches, ils ont beaucoup de cash. »

La part du progiciel métier reste prépondérante dans ce Top 100, mais les solutions technologiques prennent plus de place. « Le SaaS est encore embryonnaire en France, estime le co-fondateur de Truffle Capital qui voit en revanche, « en tant que venture capitalist, un « deal flow » [flux de dossiers présentés aux investisseurs] absolument phénoménal sur le mobile. Toutes les sociétés qui sont sous le radar évoluent dans la mobilité, les médias sociaux et sont des pure players SaaS. Il y a toute une vague qui progresse. Nous constatons une très forte différence entre cette année et l'an dernier, un nombre de projets beaucoup plus importants », confirme-t-il. (...)

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