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(28/03/2011 14:34:15)
Un des pionniers de l'Internet, Paul Baran, s'est éteint
L'ingénieur américain Paul Baran, co-créateur d'Arpanet, ancêtre d'Internet, s'est éteint samedi 26 mars à l'âge de 84 ans des suites d'un cancer des poumons, rapporte lundi 28 mars le quotidien le New York Times.
Dans les années 1960, Paul Baran avait contribué à poser les bases d'un réseau de communication éclaté, à même de maintenir les communications en cas de conflit avec le Bloc de l'Est. Arpanet est finalement né en 1969 sous l'impulsion du gouvernement américain avant d'être remplacer par Internet.
(...)(28/03/2011 11:35:34)La télévision de rattrapage bien adoptée par les internautes
La télévision de rattrapage n'en finit pas d'attirer les téléspectateurs français, aidée par une offre qui s'enrichit de mois en mois. En décembre 2010, le CNC recensait 17 000 vidéos disponibles sur les huit plates-formes étudiées, Arte VoD, Canalplay, Club Vidéo, France Télévisions, Orange, TF1 Vision, Universciné et Virgin Méga. Sur les 17 000 vidéos, la moitié est occupée par les journaux télévisions, 42,4% par des émissions de flux et 7,5% par des émissions de stock (films, fiction, documentaire et animation).
Au cours du premier semestre de 2010, on comptait 5 561 films disponibles en Catch-up TV, soit presque trois fois plus par rapport à 2007. Le cinéma français se taille une belle part avec 2 330 oeuvres, devant les longs métrages américains qui représentent un tiers de l'offre. Plus de 200 films récents, sortis moins d'un an auparavant au cinéma, étaient disponibles, soit une progression de 85%.
Les oeuvres françaises dominent également l'offre des séries et représentent 45,6% des vidéos fiction par mois, devant les Etats-Unis (36,7%). (...)
Les sites de voyages en ligne appréciés par les internautes français
Les Internautes sont satisfaits des sites de voyages. Ils ont ainsi attribué un score de satisfaction de 5,3/10 pour huit sites représentant ce secteur, dont Nouvelles Frontières, Go Voyages, Last Minute ou encore Marmara. En termes de satisfaction, le site de Marmara a réussi à sortir son épingle du jeu avec une note globale de 6,2/10. Il arrive juste devant la plateforme de Last Minute pour laquelle la note n'a pas été communiquée.
S'ils semblent satisfaits des sites e-commerce de tourisme sur les destinations lointaines, les internautes ne sont pourtant pas parvenus à réaliser l'ensemble des tâches demandées pour l'enquête. Ainsi, seuls 48% des participants ont réussi à mener à bien les six tâches demandées, à savoir la recherche d'un voyage en Afrique du nord avec un budget défini, la recherche d'une croisière de luxe pour une lune de miel avec trois escales, ou encore la recherche d'informations concernant les modalités du séjour.
Quelques faiblesses
Une fois encore, Marmara et Last Minute sortent du lot avec plus d'un internaute sur deux (55%) qui ont su réaliser les tâches demandées. Parmi les points faibles observés par les internautes pour l'ensemble des sites étudiés, il faut noter le manque de plaisir éprouvé à naviguer sur la plateforme (4,9/10) ainsi que l'absence de flexibilité des sites pour trouver de l'information (3,3/10). La quantité de séjours proposée pour une même destination (7/10) et la clarté du calendrier des disponibilités des séjours (6,9/10) apparaissent, quant à eux, comme les points forts de ces huit sites e-commerce de tourisme.
Cette enquête a été réalisée par l'Observatoire e-Performance Yuseo sur les destinations lointaines, entre le 7 et le 14 février derniers, auprès d'un panel de 1.200 internautes. Ces derniers ont été mis en situation sur huit sites e-commerce de voyages, à savoir Nouvelles Frontières, Thomas Cook, Go Voyages, Last Minute, Promovacances, Marmara, Fram et Opodo.
Microsoft rachète 666 624 adresses IPv4 pour 7,5 millions de dollars
La semaine dernière, Nortel a déposé une demande auprès de la Cour des faillites du district du Delaware pour obtenir l'accord de la vente de 666 624 adresses. Si la transaction est approuvée, Microsoft prendrait le contrôle des adresses IPv4, actuellement détenue par Nortel, pour environ 11,25 dollars pièce. Environ 470 000 des adresses seront disponibles pour une utilisation immédiate par Microsoft, tandis que les autres seront fournies à la société à la fin de la procédure de faillite, selon des documents judiciaires déposés dans le cadre de la vente proposée.
Cette opération intervient quelques semaines après que l'Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN) ait annoncé qu'elle avait transmis ses dernier blocs d'adresses IPv4, et que celles détenues par les registries régionaux seront bientôt épuisées. Certains ont émis l'hypothèse que le marché noir pour les adresses IPv4 commence à se développer, car plusieurs entreprises sont confrontées aux coûts et aux risques liés à une migration vers le protocole IPv6. L'ICANN et les registrars régionaux ont souligné que l'attribution des adresses IPv4 iront à des entités qui démontrent un besoin urgent. L'American Registry for Internet Numbers (ARIN) a mis en place de nouvelles règles qui permettent aux entreprises de prévoir leurs besoins d'adresses sur trois mois au lieu d'un an.
Quelques polémiques
Les plans de Microsoft pour l'achat en bloc de l'ensemble des adresses IPV4 de Nortel d'adresse a suscité un débat parmi les membres de la North American Network Operators Group ( NANOG). Quelques messages sur la liste de diffusion du groupe ont émis l'hypothèse que Microsoft a acheté ces adresses en vue de les revendre à une date ultérieure. « Ils pouvaient en obtenir gratuitement auprès de l'ARIN s'ils avaient rempli le document d'utilisation immédiate » peut-on lire sur une note. Une autre s'interroge « peut-être qu'ils n'ont pas fait une demande immédiate et stockent simplement ces adresses pour une utilisation ultérieure ? Ou peut-être qu'ils espèrent réaliser un bénéfice en les vendant ensuite à quelqu'un d'autre ». D'autres plus directs souhaitent que les adresses mises en vente soient remise dans le pot commun auprès du registrar. Dans un post sur NANOG, John Curran, le PDG de l'ARIN, semblait indiquer que l'organisation serait prête à aller au tribunal pour expliquer la politique d'allocation des adresses IPv4.
Nortel a déposé le bilan en Janvier 2009. Depuis, l'entreprise a vendu ses actifs pour recueillir des fonds et rembourser les créanciers. Selon des documents judiciaires, Nortel avait tenté de vendre les adresses IP fin 2010. La juridiction a reconnu la valeur de l'adresse IPv4 quand il a noté que le caractère de raréfaction de cette ressource offre une « occasion de valoriser commercialement ces adresses, car les chances diminueront quand les adresses IPv6 seront plus largement adoptées. »
Une somme surévaluée ?
Nortel a reçu des demandes de 80 acheteurs potentiels et signé des accords de non-divulgation avec 14 d'entre eux dans le cadre de ses efforts préliminaires pour trouver un acheteur approprié. La société a reçu les offres finales de quatre acheteurs en janvier dernier et l'offre Microsoft a été acceptée en mars car elle représentait l'offre optimale selon la Cour.
Incite domaine, un blog qui couvre l'espace des noms de domaine, a noté que les 11,25 $ par adresse que Microsoft a accepté de payer étaient surévalués . «Souvenez-vous, il n'y a pas de propriété intellectuelle ou d'audience associées à ces adresses - elles sont tout simplement des numéros d'acheminement », rappelle Kevin Murphy, rédacteur du blog. Sur la base de ce prix, la valeur totale de l'espace d'adressage IPv4 est de plus de 48 milliards de dollars, conclut-il.
Le Parlement européen renforce la protection des e-acheteurs
Modifiant légèrement le projet de loi proposé par la Commission européenne, les députés ont néanmoins annoncé qu'ils finaliseraient leur position à une date ultérieure afin « de parvenir à un accord avec les Etats membres ».Via cette série d'amendements, les élus européen souhaitent avant tout renforcer les droits des consommateurs, notamment en matière d'information, de livraison, de rétractation ou encore de frais de renvoi.
Le Parlement souhaite que les vendeurs informent clairement les acheteurs du prix total des biens et services, avec notamment les coûts « cachés » et frais additionnels. En outre, il sera demandé aux commerçants de fournir « tout bien ou service » aux acheteurs dans les 30 jours suivant la commande à distance. Passé ce délai, les consommateurs pourront annuler leur achat.
Les nouvelles règles adoptées par les députés prévoient également une période de 14 jours de rétractation pour les ventes à distance. Les commerçants devront en outre s'acquitter des frais de renvoi si le prix du bien est supérieur à 40 euros.
Free condamné pour des clauses illicites
Les abonnés de Free vont certainement voir dans quelques temps de nouvelles conditions générales de vente apparaître. La raison, une décision du tribunal de Grande Instance de Paris qui vient de décider que certaines clauses étaient illégales. Saisi par UFC-Que Choisir, la juridiction a répondu sur plusieurs demandes de l'association. Ainsi « les frais d'activation différés », les fameux 96 euros (moins 3 euros par mois d'ancienneté) constituent bien de frais de résiliation. Or, pour l'association cette révision ouvre le droit à contester les facturations déjà opérées ou celles à venir pour les personnes qui résilieraient sur le fondement de la hausse de TVA.
Autre point d'achoppement, les frais perçus pour paiement par chéque ou par carte bancaire, les magistrats ont indiqué qu'aucun opérateur ne peut imposer à ses abonnés d'opter pour le prélèvement automatique, ni d'appliquer des frais sur les autres modes de paiements.
Des clauses et comportements déjà modifiées
Le tribunal s'est aussi prononcé sur des clauses que Free a déjà modifiée. Ainsi, l'opérateur proposait d'office aux nouveaux clients une option baptisée Services Plus (comprenant un antivirus, une aide à l'installation, une assurance et un accès privilégié à la hotline) et facturée 9,99 euros. Le pré-cochage de cette option a été enlevé, mais le tribunal a demandé à Free de préciser que le délai d'engagement de cette option est de 12 mois.
Sur le plan marketing, certaines formulations marketing de l'opérateur ont été retirées avant le jugement. Ainsi, les publicités indiquant « Il a Free, il a tout compris » ne sont plus diffusées. Idem pour le slogan « découvrez les 20 exclusivités de l'offre Free » qui a disparu du site de Free. Enfin, la mention « Bénéficiez des tarifs attractifs vers les autres destinations et mobiles » a été remplacée par « Téléphonez en illimité vers les fixes de 103 destinations ».
Les modifications demandées par le tribunal doivent être réalisées dans les 15 jours sous astreinte de 2000 euros par jour de retard. Free a la possibilité de faire appel de ce jugement.
Succès de téléchargement pour Firefox 4
A peine 24 heures après sa mise en ligne, la version du moteur de recherches Firefox de la Fondation Mozilla a dépassé les 5,3 millions de téléchargements. Après 12 versions bêta et une édition RC livrée le 10 mars dernier, la dernière mise à jour de Firefox semble déjà rencontrer un vif succès.
Firefox 4 arbore un nouveau look, de nouvelles fonctionnalités et est annoncé six fois plus rapide que son prédécesseur, la version 3.6. Il peut être téléchargé pour Windows, Mac OS X et Linux. Une version portable pour Android et Maemo devrait venir prochainement.
La disponibilité de la version définitive de Firefox 4 intervient à la suite du lancement de Chrome 10 de Google et d'Internet Explorer 9, sorti le 14 mars dernier par Microsoft.
RT# Twitter fête ses 5 ans et ça se sait
L'histoire est connue, Jack Dorsey, Biz Stone et Evan Williams ont créé en mars 2006, Twitter. Les gazouillis de l'oiseau bleu fêtent donc leurs 5 années d'existence et ont séduit 200 millions de personnes dans le monde. En quelques temps, le site de microblogging est passé de rang de phénomène pour geek à un média à part entière et surtout en temps réel. Du retour de Lance Amstrong sur le Tour de France aux révoltes du monde arabe en passant par la mort de Michael Jackson, Twitter s'est fait une place à part dans le monde de la diffusion d'informations.
Un business model en devenir
Valorisé à 7,7 milliards de dollars pour un chiffre d'affaires estimé à 45 millions de dollars en 2010, Twitter aiguise les appétits de certains acteurs de l'Internet comme Google et Facebook. Pour l'instant, le site ne souhaite ni se vendre, ni entrer en bourse. Après les années d'élaboration technique et de développement du site, les fondateurs ont transmis les rennes à Dick Costolo, ancien d'Accenture pour dynamiser commercialement Twitter. Intégration de la publicité, partenariat avec d'autres sites, développement d'outils tiers, les sujets ne manquent pas pour le nouveau PDG. Dans un entretien à l'AFP, Biz Stone explique « les cinq dernières années étaient juste pour commencer à se stabiliser » et d'ajouter « maintenant nous sommes sur le point d'aller à la grande école ».
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