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(01/03/2011 10:31:48)

Produits numériques : La BSA craint pour les droits des consommateurs

La BSA (Business Software Alliance) monte au créneau à Bruxelles. L'association, qui défend la propriété intellectuelle de ses membres, parmi lesquels Microsoft, SAP, IBM, Dell et HP, estime qu'inclure les services et contenus numériques dans la directive sur les droits des consommateurs (Memo/11/39) pourrait être préjudiciable aux personnes achetant en ligne.

L'objectif de la directive en question, proposée par la Commission européenne, est d'harmonisant la protection du consommateur dans le domaine du commerce électronique. A ce jour, la proposition a essuyé les critiques d'associations de consommateurs au motif qu'elle ne prenait pas suffisamment en compte les droits des acheteurs de produits numériques (musique, vidéos, livres et logiciels). Pour la BSA, la proposition déposée ne constitue tout simplement pas la bonne solution pour assurer cette protection.

Le texte doit être soumis le 24 mars au Parlement

Les acheteurs pourraient devoir se débrouiller seuls si l'échec d'un téléchargement est imputable au FAI (fournisseur de services Internet) et pas au e-commerçant, fait ainsi valoir la BSA. L'association de défense des fournisseurs IT avance aussi que les vendeurs pourraient arrêter de proposer des correctifs et des mises à jour parce qu'ils ne se trouveraient responsables des défauts qu'au moment de l'achat.

Un accord préliminaire avait été trouvé sur la proposition de directive le mois dernier entre la Commission européenne et les Etats membres. Toutefois, le Parlement européen doit approuver le texte avant que celui-ci puisse être appliqué.

DigitalEurope et l'European Digital Media Association ont aussi manifesté leur inquiétude et préparent une lettre conjointe avec la BSA à l'attention des députés européens, afin de leur demander de s'opposer à l'insertion des produits numériques dans la directive proposée. Cette dernière doit être mise au vote au Parlement européen le 24 mars, mais certaines formations politiques envisagent déjà de la rejeter.

(...)

(28/02/2011 17:00:02)

Citrix investit dans un logiciel gérant des services dans le cloud

Citrix Systems vient d'investir dans Primadesk, un éditeur qui développe une application gratuite conçue pour suivre la trace de contenus stockés dans différents services cloud. C'est le premier engagement financier réalisé par Citrix Startup Accelerator, une initiative lancée en décembre dernier avec l'objectif de favoriser l'amorçage de start-up. Le montant de la somme investie n'a pas été communiqué.

Installée à Novato, en Californie, la société Primadesk a été fondée en 2009. La version bêta de son logiciel doit être présentée à l'occasion de la conférence Demo Spring(*) qui offre une vitrine aux innovations logicielles et se tient en ce moment à Palm Desert, sur la côte Ouest des Etats-Unis. L'éditeur explique que son application permet de retrouver, gérer et sauvegarder des services cloud à partir d'une interface centralisée, quel que soit le terminal utilisé.

Application Primadesk
Cliquer ici pour agrandir l'image
Ci-dessus, la sauvegarde des données gérées en ligne peut se faire à différents niveaux (compte, répertoire, album dans le cas de photos...)

Les utilisateurs peuvent par exemple afficher, envoyer, répondre et lancer des recherches à travers différents services de messagerie et sites de réseaux sociaux, à partir d'une seule interface. L'application autorise aussi le déplacement de contenus (documents, e-mails, photos) d'une application ou d'un service vers l'autre. Primadesk donne en exemple la copie de documents entre Google Docs et Dropbox, ou encore le transfert de photos entre Picasa et Facebook.

La version bêta de l'application sera disponible en mars 2011.

(*) organisée par Demo, une filiale du groupe de presse informatique IDG.

Illustration : L'application Primadesk

(...)

(28/02/2011 15:59:55)

Google canalise les utilisateurs vers la bureautique dans le cloud

Avec la volonté d'attirer davantage d'entreprises vers ses logiciels bureautiques en ligne, Google a fait coup sur coup deux annonces la semaine dernière. La première, déjà évoquée, concerne l'ajout du plug-in  « Cloud Connect pour Microsoft Office ». Téléchargeable pour Office 2003, 2007 et 2010 sous Windows, celui-ci permet à des utilisateurs de travailler simultanément sur un même document Word, PowerPoint ou Excel en venant s'insérer comme une barre de menu en haut de l'interface du logiciel. Avant d'être proposé à tous, le plug-in aurait été déjà testé avec des clients des Google Apps. A partir d'une URL commune communiquée aux différents utilisateurs, il apporte des capacités de collaboration simultanée entre utilisateurs des logiciels Office, fournit l'historique des corrections et la synchronisation via le cloud.
Google Cloud Connect
Pour l'instant, le plug-in n'est pas disponible pour la version Macintosh d'Office, celle-ci ne proposant pas d'API ouvertes.

La société de Larry Page et Sergey Brin a par ailleurs lancé Appsperience, un galop d'essai de 90 jours de ses logiciels Google Apps pour les entreprises. Cette offre couvre l'accès à Docs, Sites et Cloud Connect, ainsi que l'assistance d'experts de Google pour améliorer la productivité des utilisateurs en mode collaboratif, sans se préoccuper des versions de documents, des droits d'accès et des pièces jointes. Les entreprises testant les Apps pourront également s'appuyer sur le nouveau tableau de bord qui renseigne sur la façon dont les outils sont utilisés : nombres de documents créés, partagés et modifiés sur différentes périodes (jour, semaine, mois...) par catégories (tableaux, formulaires, présentations...)...

Google Collaboration dashboard
Google Collaboration Dashboard (cliquer ici pour agrandir l'image)

Faciliter la transition du desktop au cloud

« L'attraction vers le cloud s'accélère. L'offre Google Apps pour les entreprises tourne autour des utilisateurs et constitue par nature une plateforme de collaboration », souligne Anil Sabharwal, responsable produit des Google Apps, considérant que, par nature, les produits qui l'exploitent ont un caractère social. Interrogé par nos confrères de CIO Australie, il explique les raisons qui ont conduit Google à proposer Cloud Connect pour Office. Principalement, il s'agit de constituer un pont qui pourrait aider les utilisateurs de logiciels desktops à passer vers les applications disponibles dans le cloud. « Même si cette transformation radicale se produit, elle va prendre du temps, reconnaît Anil Sabharwal. Nous travaillons sur la façon de la faciliter la transition du desktop au cloud. »

De nombreuses entreprises utilisent déjà Sharepoint, de Microsoft, comme un outil de collaboration, mais le responsable des Google Apps estime que nombre d'entre elles doivent évoluer vers la version 2010 de Sharepoint pour profiter de l'essentiel des fonctionnalités. « Il faut réarchitecturer en 64 bits et utiliser Office 2010, ce que l'on ne trouve pas encore dans de nombreuses entreprises. Ce que nous disons à celles qui exploitent toujours [Office 2007] ou 2003, c'est-à-dire 99% de celles avec lesquelles nous parlons, c'est « voici une opportunité d'évoluer vers un environnement plus social, mais nous reconnaissons qu'il s'agit d'un pont ». Et nous voulons procurer aux utilisateurs d'Office, en particulier les utilisateurs avancés, une façon d'entrer graduellement dans la plateforme ».

Appsperience, une offre pas tout à fait gratuite

Google a régulièrement ajouté des fonctionnalités à ses Apps, y compris des outils de traduction et un mode de vérification en deux étapes pour s'y connecter (les utilisateurs téléchargent une application sur leur smartphone qui génère une clé pour apporter un niveau supplémentaire de sécurité).

Bien que l'offre Appsperience soit gratuite, les entreprises doivent tout de même payer une redevance pour l'intégration de la suite par les partenaires de Google. Celles qui ont moins de 500 utilisateurs débourseront 7 000 dollars, au-delà, le coût tourne autour de 15 000 dollars. Les partenaires peuvent adapter le prix au cas par cas en fonction de la complexité du projet et des législations sociales propres à chaque pays.

Illustration : Collaboration Dashboard

(...)

(28/02/2011 14:44:25)

La présence d'Apple progresse sur Internet

Sur un an, la part des Européens allant sur Internet depuis un ordinateur Apple est passée 6,4% à 8,7%. A contrario, les internautes navigant depuis un PC équipé de l'une des plateformes Microsoft sont en baisse mais représente toujours près de 90% des utilisateurs, selon le baromètre AT Internet publié ce lundi 28 février.

Pour la marque à la pomme, la progression la plus nette quant à l'utilisation de l'un de ses produits pour naviguer sur la toile est à mettre au crédit de la plateforme iOS, passant de 1,4% à 2,2% en une année. Cette plateforme est présente dans les iPhone, les iPod Touch et iPad. Fort logiquement, Windows 7 voit son taux progresser largement pour représenter désormais une visite sur quatre. XP reste toutefois la plus utilisée avec 45,7% des visites des internautes européens.

(...)

(28/02/2011 12:00:30)

Qui pour siéger au Conseil National du numérique ?

Les incompréhensions entre les acteurs de l'Internet et les pouvoirs publics étant nombreuses, Eric Besson a proposé la mise sur pied d'un Conseil national du numérique (CNN). C'est Pierre Kosciusko-Morizet, fondateur de PriceMinister, qui a été chargé de rédiger un rapport pour préparer le lancement du CNN.

Ce futur Conseil national du numérique doit permettre aux acteurs du secteur de mieux faire entendre leur voix (en particulier dans la préparation de textes qui règlent leur activité : avant-projets de loi, décret, règlements) et aux pouvoir publics de trouver des interlocuteurs représentatifs d'un secteur plutôt atomisé. C'est un véritable lieu d'échange et d'influence qui se profile.  Tout le monde se souvient des incompréhensions et des heurts nés des lois Loppsi, Hadopi, ou des projets de taxation plus récents.

Le CNN devrait agir en amont pour éviter ces bugs. Pierre Kosciusko-Morizet préconise que ses membres soient élus (lui même ne souhaite pas y siéger) et puissent s'entourer de représentants des consommateurs, des acteurs proches (opérateurs, hébergeurs, e-commerçants etc...) avec un mandat de deux ans, renouvelable une seule fois.

http://www.economie.gouv.fr/services/rap11/110225rapCNN.pdf

(...)

(25/02/2011 16:53:50)

Pierre Kosciusko-Morizet remet son rapport sur le Conseil National du Numérique

Déjà prévu dans le plan France Numérique 2012 et remis au goût du jour par Nicolas Sarkozy, lors d'un déjeuner avec des acteurs influents de l'Internet et des bloggeurs, le Conseil National du Numérique a franchi une autre étape avec la remise d'un rapport sur le sujet par Pierre Kosciusko-Morizet, co-fondateur de Priceminister.com. Ce dernier a transmis ses travaux à Eric Besson, ministre en charge de l'économie numérique. Celui-ci a indiqué que « ce conseil sera consulté sur l'ensemble des projets de textes législatifs et réglementaires et sur l'action des pouvoirs publics dans les domaines de la société de l'information ». Le Conseil aura donc une double fonction, à la fois consultatif comme cité précédemment, mais aussi prospectif en adressant des propositions au Gouvernement sur la politique à mener. Pour le rapporteur, cette instance n'a pas à être un régulateur du numérique. Il doit, avant tout, être un interlocuteur entre les différentes parties.

Des nominations prochaines


Pour Pierre Kosciusko-Morizet, la composition du Conseil doit comprendre des représentants élus. Néanmoins le rapporteur a indiqué s'attendre à « un décret de nomination de ses membres dans les deux ou trois prochaines semaines, courant mars ». Ces derniers doivent être des acteurs provenant de toute la chaîne construisant le numérique. La dimension internationale est aussi importante, tout comme le fait que cette instance doit comprendre des membres du Parlement. Les premiers membres seraient nommés pour un mandat de 2 ans, renouvelable une seule fois. Le secrétariat permanent serait assuré par 3 ou 4 personnes rattachées, financièrement, au budget des services du Premier ministre.

(...)

(25/02/2011 16:08:44)

L'Europe alerte sur les cookies trop intrusifs

L'Agence européenne chargée de la cyber sécurité (Enisa) présente un rapport sur les utilisations abusives de récents cookies Internet capables de dresser le profil et la localisation de l'utilisateur à des fins publicitaires, cela en toute opacité.

L'agence explore plusieurs voies pour prémunir les internautes européens face à une éventuelle intrusion dans leur vie privée. Parmi elles figurent la nécessité d'obtenir le consentement de l'utilisateur ainsi que la possibilité de gérer ces cookies aisément. La limitation ou l'interdiction du stockage de ceux-ci hors du navigateur est prônée comme le besoin de proposer une alternative aux internautes en cas de refus de cookies.

Plusieurs sociétés dont la fondation Mozilla, Google et plus récemment Microsoft travaille sur une technologie Do not Track, une option pour les internautes qui ne souhaitent pas que les sites visités n'utilisent certaines données pour de la publicité comportementale.

L'Enisa recommande une étude approfondie de ce phénomène encore difficilement quantifiable au sein des Etats membres de l'Union européenne d'ici au 25 mai.

(...)

(25/02/2011 14:52:45)

Accueil royal pour Wikipedia au château de Versailles

Benoît Evellin, membre de Wikimédia France (membre de la fondation de l'encyclopédie en ligne Wikipedia), séjournera durant 6 mois au château afin de mettre en oeuvre "des canaux de diffusion des contenus culturels et scientifiques" du domaine de Versailles sur les projets Wikimédia.

Ces contenus seront diffusés sur la Toile en Français, ainsi que dans plusieurs autres langues, et apparaîtront également sur la médiathèque Wikimedia Commons par l'intermédiaire de photographies.

"Wikipédia est une source d'information majeure sur le château de Versailles, diffusée dans le monde entier. Certains conservateurs et scientifiques de l'Etablissement y contribuent déjà de façon spontanée pour enrichir certaines notices. L'objectif de cette invitation à résidence est de nous permettre d'aller plus loin et de poursuivre notre réflexion sur le partage le plus large possible du patrimoine de Versailles", explique Jean-Jacques Aillagon, président de l'Établissement public du château, du musée et du domaine national de Versailles. (...)

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