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(03/02/2012 16:18:38)
Suivre l'évolution des épidémies sur les réseaux sociaux
L'instantanéité des réseaux sociaux comme Facebook et Twitter pourrait être utilisée pour détecter les apparitions de maladies d'origine alimentaire au moment où celles-ci surviennent, suggère une enquête récemment publiée aux Etats-Unis. L'idée ne manquera pas de soulever bien des difficultés et des restrictions, notamment en ce qui concerne les questions de protection de la vie privée, reconnaît l'auteur de l'enquête, intitulée "The Potential Capability of Social Media as a Component of Food Safety and Food Terrorism Surveillance Systems" ("La potentialité des réseaux sociaux comme éléments de systèmes de veille de la sécurité alimentaire et du terrorisme alimentaire").
Mais les riches bases de données que sont Facebook et Twitter offrent également des avantages indéniables, comme l'immédiateté, la représentativité et l'auto-identification qu'elles garantissent, a souligné FoodNavigator.com cette semaine.
Traquer certaines occurences
Des algorithmes de détection pourraient par exemple être conçus pour chercher des symptômes spécifiques au sein du flux d'informations que les gens y publient, explique l'étude. De fortes occurrences de mots tels que diarrhée, vomissement et fièvre pourraient fournir les premiers indices du déclenchement de maladies d'origine alimentaire, et des termes comme "paupières lourdes" ou "paralysie" -- des symptômes du botulisme, par exemple -- pourraient alerter eux aussi sur l'apparition de maladies.
En d'autres termes, si les réseaux sociaux ne sauraient remplacer les systèmes de veille sanitaire, ils pourraient donc servir à améliorer les outils de détection des apparitions de maladies, relève l'étude.
En attendant, le Centers for Disease Control and Prevention a également commencé à s'intéresser aux possibilités des réseaux sociaux en lançant en 2010 son programme CDC Vital Signs, qui aborde chaque mois un nouveau sujet de santé publique et utilise les réseaux sociaux pour diffuser ses informations. L'an dernier, Vital Signs a parlé des maladies d'origine alimentaire comme la salmonellose dans sa newsletter mensuelle.
Facebook victime d'une brève panne après sa demande d'IPO
Ralentissement, site inaccessible... Facebook a montré quelques signes de faiblesse, hier, pendant environ 15 minutes. Les réactions sur Twitter ont été immédiates sur le ton de la plaisanterie, « Ceci n'est pas un exercice, Facebook est tombé, je répète ceci n'est pas un exercice », « J'allais souhaiter un joyeux anniversaire, mais Facebook m'en a empêché » ou encore « Je suis inquiet, je ne sais pas si quelqu'un a eu un bébé, a bien mangé, ou si le bébé a bien mangé ».
D'autres messages suggéraient une attaque des Anonymous, ces derniers avaient démenti la semaine dernière une rumeur laissant entendre que le groupe de pirates attaquerait le site de réseau social. Facebook a indiqué que quelques utilisateurs avaient eu des problèmes de chargement des pages, mais cela a été résolu et le site fonctionne à 100%. Cette faiblesse intervient un jour après le dépôt de dossier auprès de la SEC pour son introduction en bourse. (...)
Facebook décortiqué avant son entrée en bourse
Annoncée en début de semaine, Facebook a finalement déposé hier son dossier auprès de la SEC (régulateur américain des marchés financiers) pour s'introduire en bourse. La société s'attend à lever entre 5 et 10 milliards de dollars, ce qui valorise Facebook entre 80 et 100 milliards de dollars. Morgan Stanley, JP Morgan, Goldman Sachs et trois autres sociétés financières ont été retenus pour réaliser les souscriptions. Les documents rendus publics ne donnent pas de date pour cette IPO, ni le prix d'introduction de l'action Facebook.
Par contre, les documents donnent quelques indications financières sur l'entreprise. Facebook a réalisé un chiffre d'affaires de 3,7 milliards de dollars en 2011, comparativement à 2 milliards de dollars en 2010. 85% de ces revenus sont issus de la publicité. Le bénéfice net était de 1 milliard de dollars en 2011, comparativement à 606 millions de dollars en 2010. La société réalisait 777 millions de dollars de revenus en 2009, avec un bénéfice net de 229 millions de dollars. Sur le plan des utilisateurs, le cap des 100 millions a été dépassé en 2008 et comprend à la fin 2011, 845 millions de membres. Le site de réseau social précise que 483 millions d'abonnés étaient actifs quotidiennement en décembre dernier et 425 millions consultent leur compte depuis un mobile.
Zuckerberg garde la main et enrichit les autres
D'autres personnes vont voir leur fortune personnelle augmenter, comme le directeur financier, David Ebersman qui détient 2 millions d'actions. Un des co-fondateurs Dustin Moskowitz devrait voir sa fortune s'enrichir de près de 7,5 milliards de dollars. Enfin, les investisseurs de la première heure - Marc Andressen, fondateur de Netscape et Peter Thiel, co-fondateur de Paypal par exemple - verront leur investissement initial se valoriser considérabelment.
(...)(02/02/2012 16:15:58)
La France compte 5,2 millions de comptes Twitter
Avec 5,2 millions de comptes Twitter, la France se classe en seizième position des pays dans le monde. Les Etats-Unis dominent largement le classement avec 107,7 millions d'abonnés au site de micro-blogging, suivis du Brésil (33,3) et du Japon (28,5), précise une étude Semiocast.
Placés juste derrière la France au classement général, les Pays-Bas ont en revanche les twitternautes les plus actifs, sur la période du 1er septembre au 30 novembre 2011. 33% des Hollandais ont publié au moins un tweet durant ces trois mois.
Au 1er janvier 2012, le nombre total de profils Twitter atteint les 383 millions, ajoute Semiocast.
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Regain de méfiance sur les paiements électroniques en France
Aujourd'hui, alors que le taux de possession des moyens de paiement classiques par les Français reste stable - 95% ont un chéquier, 67% une carte de crédit à débit immédiat, l'utilisation des moyens de paiement dématérialisés perd la confiance des consommateurs.
Ainsi, le nombre de Français utilisant la carte bancaire à débit différé baisse de cinq points (41%), le nombre de possesseurs d'un compte de transfert de fonds comme PayPal recule de six points (36%), d'utilisateurs de cartes d'organismes de crédit baisse de six points (27%, et enfin le nombre de possesseurs de porte-monnaie électronique tel que Moneo est en repli de trois points (12%).
Comparés à l'argent liquide, les moyens de paiement électronique disposent de plusieurs avantages : la rapidité (63%) et la simplicité (62%). Ceux-ci n'offrent la sécurité que pour 42% de répondants. Face à la problématique de sécurisation des moyens de paiement, 66% se disent intéressés par la carte bancaire à usage unique et 45% par la carte prépayée à recharger.
A l'inverse, 64% avouent ne pas faire confiance à la technologie sans contact, qui permet pour certains paiements par carte de crédit de ne pas saisir son code secret. Enfin, seuls 28% des Français se disent prêts à changer leur téléphone portable pour opter pour un nouveau qui leur permet de régler leurs achats.
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Que sait Google sur vous ?
A l'heure où Google unifie ses règles de confidentialité et annonce la combinaison des données des différents services pour mieux cibler l'internaute, un lien sur le gestionnaire des préférences des annonces vous montrera que l'éditeur connaît déjà des choses sur vous. Ne cherchez pas cette page sur le dashboard de votre compte Google, elle est distincte du tableau de bord classique.
Ce gestionnaire utilise le cookie de Google Adwords pour tracer les visites de l'internaute. Sur cette base, il arrive à déterminer les centres d'intérêt, mais aussi à proposer des « données démographiques déduites » sur l'âge et le sexe de la personne. Le cookie est valable sur un ordinateur, ce qui veut dire qu'en fonction de l'utilisation, des recherches, les données déterminées par Google peuvent changer. Les résultats sont parfois erronés notamment sur le sexe des internautes et leur âge. Pour ceux que cela effraie, il est possible de désactiver le cookie directement sur la page.
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Firefox 10 disponible en téléchargement
La fondation Mozilla respecte son calendrier en proposant toutes les six semaines une version améliorée de Firefox. L'édition 10 de Firefox est disponible aujourd'hui. Cette version comprendra les premiers éléments de mises à jour silencieuses. Ainsi, le navigateur pourra désactiver automatiquement les extensions incompatibles et considérer tous les autres comme compatibles. Mozilla précise que les add-on des versions 4 et supérieures seront marqués comme compatibles. Beaucoup de personnes se plaignaient de l'incompatibilité des add-on, car les développeurs n'arrivaient pas à suivre le calendrier des mises à jour du navigateur. Mozilla avait réfléchi sur ce sujet depuis mars 2011 en commençant par les modules complémentaires disponibles sur son site (ils représentent 75% des add-on). Dans la stratégie de Mozilla, la généralisation de « silent update » arrivera avec Firefox 13, prévue pour le 5 juin prochain.
Firefox 10 sera aussi la première édition qui comprendra le programme Extended Support Release (ESR) pour les entreprises qui ne souhaitent ou ne peuvent pas mettre à jours le navigateur toutes les 6 semaines. L'actualisation ne se fera plus que toutes les 42 semaines.
Enfin, Mozilla en profitera pour publier une mise à jour de sécurité pour la version 3.6.26 de Firefox. L'éditeur a indiqué que 2 autres mises à jour sont à prévoir sur cette version avant l'arrêt du support en avril prochain.
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Pour lancer sa 208, Peugeot a misé sur les médias sociaux
Au printemps 2012, Peugeot lancera son nouveau modèle compact (segment B) : la 208. Ce véhicule est très important pour la marque puisqu'il vient remplacer une série de modèles à gros succès (205, 206, 207...) dans un marché très tendu. A cette occasion, Peugeot a donc tenté de pré-lancer le modèle via les médias sociaux, ce qui est une première pour cette marque.
La stratégie de Peugeot vis-à-vis des médias sociaux repose sur quatre piliers comme l'a expliqué Quentin de Boissieu, Community Manager de Peugeot lors d'une conférence dusalon E-Marketing. Il s'agit en effet de surveiller la e-réputation, de faire grandir la communauté des fans, de développer des engagements forts auprès des clients et prospects et enfin d'user d'influence pour promouvoir l'image et la notoriété de la marque.
Une opération de lancement spécial réseaux sociaux
Pour lancer la 208, l'idée a été de mettre en contact les « fans » du modèle avec les experts ayant participé à sa conception durant deux périodes de quelques jours (en tout une quinzaine de jours) liées à des présentations officielles du modèle. Le lancement de l'opération s'est fait sans plan média complémentaire au travers du forum permanent de la marque sur lequel a été ouvert le mini-site communautaire dédié à la 208, de la page Facebook de la marque (44% des visiteurs ud mini-site faisaient partie des 1,5 millions de fans)...
Les objectifs étaient multiples. Tout d'abord, il s'agissait d'identifier les mots clés utilisés par de vrais consommateurs afin de les choisir pour le référencement payant sur Google. De la même façon, les interventions des consommateurs ont permis d'identifier les questions vraiment importantes pour les consommateurs. 314 questions ont ainsi été posées et fait l'objet de 637 commentaires ainsi que de votes par les 97 000 visiteurs uniques du mini-site. Les tarifs étaient évoqués assez intensément, ainsi que les différents modèles (CC, GTI...) mais la question prioritaire a concerné la possible configuration et commande en ligne du véhicule.
Des informations pour orienter le développement des modèles
Les questions posées et les échanges induits avec les experts de l'entreprise ont permis d'orienter les développements des nouveaux modèles et des services associés. Ces échanges ont permis de constituer une FAQ. Enfin, la crédibilité de la marque est ressortie renforcée. Les experts ont aussi apprécié cet échange inédit avec les consommateurs finaux et se sont mobilisés pour répondre aux questions en quelques heures, sans modération a priori.
La démarche très novatrice pour Peugeot n'était pas liée à des opérations marketing ou commerciale. Mais il est envisagé, une fois prochaine, d'associer des demandes d'essais ou de documentation. (...)
Cisco veut uniformiser ses outils de collaboration
Le projet est appelé en interne Futurama et repose sur le phénomène de la consumérisation de l'IT au sein de l'entreprise. Ainsi, Cisco veut répliquer l'expérience utilisateur des réseaux sociaux sur ses solutions de collaboration WebEx, Quad, Jabber IM, Tandberg et Social Miner. De plus, le constructeur souhaite une plus grande intégration entre ses différents produits, pour obtenir une expérience unifiée explique Raj Gossain, vice-président des produits de collaboration de Cisco Software Group et d'ajouter « cela passe par la mise en cohérence des différentes solutions avec une identité commune, des contrôles similaires, une expérience utilisateur unique ».
Un pré-aperçu dans la dernière version de WebEx
Après une année de travail, les résultats du projet Futurama commence à apparaître dans certaines mises à jour, mais le dirigeant indique que des avancées majeures sont attendues dans le courant de l'année. Ces changement seront visibles sur l'interface utilisateur, mais aussi dans la conception du matériel comme la solution de vidéoconférence de Tandberg, les téléphones IP et la tablette Cius. Un exemple de Futurama peut être vu sur la version beta de WebEx, qui a été lancée en novembre 2011. Le réseau social d'entreprise, Quad, devrait comporter les mêmes améliorations, souligne Raj Gossain. Cisco est surtout connu pour ses équipements réseaux, mais comprend une activité de solution de collaboration en plein développement. Réseaux sociaux d'entreprise, visio-conférence, web conferencing, ToIP, le groupe construit sa brique collaborative pour concurrencer Microsoft, IBM ou Google.
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Google Earth 6.2 affine ses images
La version 6.2 de Google Earth, le logiciel qui permet de survoler le monde entier dans ses moindres détails à l'aide d'images satellites, propose des vues d'ensemble plus léchées, et intègre le partage d'information via le réseau social Google+. Le survol de certaines zones sera plus agréable à l'oeil, les développeurs de Google ayant réussi à retirer l'effet patchwork des photos satellites qui se chevauchent pour créer un ensemble plus harmonieux.
Cette version 6.2 de Google Earth inclut différents types d'itinéraires, pour piétons, à vélo ou en transports en commun. De son côté, la recherche a été améliorée et dispose désormais du complément automatique (à l'image de ce qui existe déjà pour Google Maps) afin de trouver rapidement le lieu recherché en tapant seulement les premières lettres.
Quant à l'intégration de Google+, elle permet de partager avec ses cercles d'amis des captures d'écrans des vues affichées sur Google Earth. Ces nouveautés sont valables sur toutes les déclinaisons de Google Earth (ordinateur et applications mobiles).
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