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(09/02/2012 16:31:30)
Le top 15 des sites de streaming vidéo en France
En tête des plateformes vidéo les plus populaires, le groupe Google/YouTube cumule 24,6 millions de visiteurs uniques, pour plus de 1,3 milliards de vidéos vues en un mois. En ce qui concerne le nombre de séquences visionnées, YouTube devance Dailymotion (181,8 millions) et Megavideo, du groupe Megaupload, fermé le 19 janvier par le FBI en même temps que les autres sites hébergeant des contenus illégaux. Avec ses 97,7 millions de vidéos visionnées, il faisait mieux que TF1/WAT (68,4 millions), le groupe Canal+ ( 45,7 millions) ou M6 (19,5 millions).
Les internautes français ont consacré en moyenne 3 heures et 26 minutes à regarder ces vidéos en ligne au mois de novembre dernier. Chez les 15-24 ans, cette statistique passe à 5 h 20. Le Panel France de Mediametrie/NetRatings s'appuie sur un échantillon de 25 000 individus, représentatif de la population des internautes âgés de deux ans et plus, résidant en France et disposant d'un accès internet à domicile ou sur leur lieu de travail.
(...)(08/02/2012 16:59:54)Facebook promet d'effacer définitivement les photos supprimées
Sur Facebook, certaines photos, supprimées il y a 3 ans, restent toujours accessibles aujourd'hui, a révélé une enquête réalisée par Ars Technica. Le site a en effet constaté que quelques-unes des photos supprimées par les membres du réseau social étaient toujours stockées sur les serveurs de la plateforme. Facebook a répondu à Ars Technica que comme ses anciens systèmes ne supprimaient pas toujours les contenus dans un délai raisonnable, ce n'est qu'en les déplaçant vers des systèmes plus récents qu'ils seront retirés des serveurs dans les 45 jours après la demande de l'utilisateur.
« Nous avons travaillé dur pour migrer le stockage des photos sur des systèmes récents qui garantissent que les clichés seront entièrement supprimés dans les 45 jours suivant la demande d'effacement », a assuré Frédéric Wolens , porte-parole de Facebook a Ars Technica « Ce processus est presque achevé et il n'y a qu'un très faible pourcentage de photos d'utilisateurs sur l'ancien système qui attendent la migration. », a-t-il ajouté. « Nous nous attendons à ce processus soit achevé d'ici quatre semaines à deux mois. Nous nous assurerons de désactiver les anciens clichés », précise-t-il.
Le papier du site Ars Technica a donné du grain à moudre à un étudiant autrichien, Max Schrems, qui a créé une association, europe v facebook. Elle est à l'origine d'un audit de la part de la CNIL irlandaise sur les pratiques du site de réseau social en matière de confidentialité. Facebook a rencontré les membres de l'association et s'est engagé dans l'effacement total des données de l'utilisateur. Une façon d'anticiper le droit à l'oubli numérique prévu dans le projet de directive européenne sur la protection des données.
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Google Chrome approche les 20% de parts de marché
Google Chrome cumule 18,2% des visites de sites web en moyenne en Europe au mois de décembre 2011, tandis que Safari passe pour la première fois la barre symbolique des 10%, selon les données publiées le mardi 7 février par AT Internet. En France aussi, Google Chrome renforce sa troisième place, derrière Internet Explorer et Firefox, avec 19,7% de parts de marché (+8,2pts en un an). Au mois de décembre 2011, Internet Explorer a encore drainé 40,9% (-8,3pts) du total des visites sondées, devant Firefox (26,9%, -2,9pts) et Chrome. Suivent Safari (10,8%, +3,1pts) et Opera (2,3%, -0,1pt).
La hiérarchie est la même en France, avec des chiffres qui diffèrent peu de la moyenne européenne : Internet Explorer (38,7%) demeure en tête, devant Firefox (28,9%), Chrome (19,7%), Safari (11%) et Opera (0,6%).
Etude réalisée du 1er au 31 décembre 2011 sur la répartition moyenne, par navigateurs, des visites enregistrées pour un périmètre de 14.455 sites web, sur 23 pays européens.
(...)(08/02/2012 09:16:36)Les réseaux sociaux d'entreprises face aux défis de l'intégration
Selon l'étude publiée le 31 janvier dernier par le cabinet français spécialiste du domaine, Lecko, anciennement Useo, le marché national des solutions de services logiciels (SaaS) de RSE (Réseaux Sociaux d'Entreprise) a franchi en 2011 la barre des 9 millions d'euros, soit un bond de 60% par rapport à l'année précédente. « Le marché hexagonal n'a rien de comparable en volume avec le marché américain, mais ses caractéristiques sont assez proches », analyse Arnaud Rayrolle, PDG de Lecko. Outre-Atlantique, les estimations pour ce marché vont d'un peu moins d'un milliard de dollars dès l'année prochaine pour le cabinet Gartner, à près de 6 milliards de dollars en 2016 selon Forrester.
Et ce sont les grandes entreprises qui mènent la danse. « L'enjeu principal de l'adoption en entreprise de ces technologies issues de l'internet grand public, c'est de développer l'intelligence collective en facilitant les échanges directs entre les collaborateurs, sans intermédiaire », poursuit Arnaud Rayrolle. Et de citer l'exemple du groupe Atos Origin, auquel son PDG, l'ancien ministre Thierry Breton, a fixé il y a quelques mois l'objectif d'éradiquer l'email comme moyen d'échange d'informations à l'intérieur de l'entreprise, afin de réduire les coûts de stockage et le temps perdu à consulter la messagerie. En 2011, l'un des principaux acteurs français du marché RSE, Bluekiwi, explique avoir enregistré dix fois plus d'appels d'offres de grands comptes que l'année précédente.
Les RSE pour suivre le rythme d'évolution des savoirs
Le déclencheur est cependant moins à chercher dans ces motifs économiques que dans l'évolution profonde qu'a connue l'économie du savoir en quelques années. « Les réseaux sociaux grands publics ont fait la démonstration que tout type de contenu numérique peut devenir un objet social réutilisable. Et c'est précisément ce qui intéresse les entreprises pour capturer en temps réel l'intelligence collective en réunissant plus rapidement les bonnes personnes au bon moment autour des bons contenus », analyse Antoine Perdaens, PDG de Knowledge Plaza, autre fournisseur français de RSE.
Cette attente des entreprises n'est pas nouvelle. Elle a commencé avec les Wiki et les forums il y a plus d'une dizaine d'années et s'est poursuivie avec les intranets collaboratifs. Les plateformes de messagerie d'entreprise, et notamment Lotus Notes, se sont également inscrites très tôt dans cette logique. Mais la plupart de ces outils avaient un point commun : la capture de l'information ou des échanges se soldait par une charge de travail supplémentaire pour les collaborateurs de l'entreprise. « Ce qui a changé au fil des années, c'est la vitesse à laquelle évoluent l'état de l'art et la réglementation. Cela concerne toutes les industries, et cela exige d'autres moyens », enchérit Arnaud Rayrolle.
Une multitude d'offres spécifiques
D'une certaine façon, tous les chemins empruntés jusqu'ici pour mieux collaborer ont mené aux réseaux sociaux d'entreprise, tels qu'ils se dessinent aujourd'hui. Mais pour les entreprises, la difficulté vient précisément de cette multitude de chemins et d'offres. La sélection d'offres étudiées par Lecko pour cette étude 2012 ne recense pas moins de 29 solutions, contre deux en 2006. « Chacune de ces offres à sa raison d'être et répond à une attente spécifique des entreprises », confirme Arnaud Rayrolle.
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A côté de fournisseurs qui se définissent plutôt comme généralistes (BlueKiwi), d'autres se veulent plus proches des processus métiers (Jamespot), tandis que d'autres encore revendiquent leurs compétences d'origine dans le domaine de la gestion documentaire (Knowledge Plaza) ou de la création de blogs (Blogspirit).
Une problématique d'urbanisation
Cette diversité des offres fut jusqu'ici un avantage pour les entreprises, ou plus exactement pour les groupes d'utilisateurs ou de projets qui ont pu ainsi expérimenter de nouvelles façons de collaborer indépendamment de la DSI. « Le mode SaaS (software as a service) permet justement cela », explique Alain Garnier, PDG de Jamespot, l'un des « pur player » français les plus prometteurs selon Lecko, et spécialiste des RSE liés à un projet métier. Du point de vue de l'entreprise dans son ensemble, cette profusion virale de solutions RSE « départementales » finit cependant par faire réapparaître un problème aussi vieux que l'évolution technologique des entreprises, celui de l'urbanisation.
Ce serait même, à en croire les plus gros acteurs, la demande principale des grandes entreprises aujourd'hui. « Chez Renault, illustre Jean-Luc Valente, PDG de BlueKiwi, il y avait à l'origine trois solutions de RSE, l'une à l'initiative de la DSI, une autre liée à une plateforme métier, et une troisième choisie dans le cadre d'un projet ». D'où une contradiction : les expérimentations de RSE au sein de l'entreprise ont conduit à multiplier les solutions et à reproduire l'organisation en silos, alors que c'est précisément ce mode d'organisation qu'il s'agit de remettre en cause.
L'interopérabilité, un enjeu majeur
A cela s'ajoute la diversification des modes d'accès aux réseaux sociaux d'entreprise. « La mobilité est une question centrale pour l'évolution des offres. Il s'agit de permettre aux utilisateurs de participer à l'échange où qu'ils se trouvent, au moment et avec l'outil qui leur convient le mieux », poursuit Arnaud Rayrolle. Cette perspective des usages mobiles, également héritée du mode de consommation des réseaux sociaux grand public, est donc un argument de plus en faveur de l'interopérabilité des solutions. On imagine mal un utilisateur affilié à quatre ou cinq réseaux sociaux d'entreprise différents jongler avec autant d'applications sur sa tablette ou son téléphone mobile. Dans ce domaine, les éditeurs grands ou petits sont tous logés à la même enseigne. « L'interopérabilité des solutions n'est pas encore au rendez-vous, regrette Arnaud Rayrolle. Selon lui, cette question sera l'enjeu principal pour les acteurs de ce marché en 2012 ».
Réserver votre siège d'avion par Facebook ou LinkedIn
Dès la réservation du vol, le passager est en mesure d'accéder aux profils des autres voyageurs volontaires. Lui-même peut accepter de partager son profil enregistré dans un réseau social, dans le but de trouver un voisin d'itinérance ayant les mêmes affinités. L'outil aide ainsi les voyageurs à faire connaissance avant le trajet, ou permet de retrouver une connaissance empruntant le même vol.
L'offre n'est pour l'heure disponible que pour les réservations avec un seul passager, et uniquement sur les vols entre Amsterdam et New York, San Francisco et Sao Paulo au Brésil. Le service « Meet & Seat » peut être utilisé au maximum 90 jours avant le départ et au minimum 48 heures.
Ce service est accessible sur le site de KLM, dans la rubrique « gérer ma réservation ».
(...)(07/02/2012 09:56:08)La fermeture de Megaupload profite à la télévision de rattrapage et la VOD
L'offre de rattrapage des chaînes M6 et W9 connaît ces derniers temps une hausse de son trafic. Celui de la chaîne TNT a par exemple été multiplié par quatre depuis la disparition de Megaupload, indique le président Nicolas de Tavernost à l'AFP. « Il semble que les utilisateurs de Megaupload sont venus voir les séries américaines sur nos offres gratuites et légales de TV replay. Depuis 15 jours, nous avons un trafic très important sur nos sites de TV replay ».
Même remarque du côté de Canal+, qui a connu une hausse des ventes de ses contenus de VOD, disponibles sur la plate-forme CanalPlay, de l'ordre de 20% dans les sept jours qui ont suivi la fermeture du site américain, selon une estimation de Manuel Alduy, directeur cinéma du groupe, publiée sur son compte Twitter.
Au demeurant, les habitués de Megaupload ne sont pas tous tournés vers une solution légale pour pallier sa fermeture. Les réseaux peer to peer, comme BitTorrent, ou d'autres sites d'hébergement (Despositfiles, Hotfile ou RapidShare) ont également connu une hausse de leur fréquentation.
20% des TV achetées en 2011 sont connectées
Deux fois plus qu'il y a dix ans : il s'est vendu 8,7 millions de téléviseurs en France en 2011 (8,5 millions en 2010), un record selon les données présentées par le Syndicat des industries de matériels audiovisuels électroniques (Simavelec). Dans ce total, les téléviseurs connectés représentent 20% des appareils vendus. Un chiffre qui pourrait doubler en 2012.
Le président du syndicat, M. Philippe Citroën (également Directeur général de Sony France), prévoit un léger tassement en 2012, après deux années exceptionnelles, tablant entre 6,5 et 7,6 millions de ventes.
Les années à venir seront marquées par une amélioration de la qualité de l'image, notamment avec l'arrivée des écrans oled et un perfectionnement de la technologie 3D, mais aussi une ergonomie revue et simplifiée via des télécommandes plus conviviales, à commandes vocales et gestuelles.
L'AFA questionne les jeunes sur le contenus choquants sur Internet
L'Association des fournisseurs d'accès et de services Internet (AFA) lance aujourd'hui, un questionnaire à destination des jeunes (à partir de 13 ans), dans le cadre du programme « Safer Internet » de la Commission européenne. L'AFA interroge les internautes sur leurs habitudes vis à vis des images, des vidéo ou des textes choquants sur Internet. Le but de est savoir dans quelle proportion ceux-ci signalent ces contenus, à leurs parents comme aux autorités compétentes.
Ce formulaire de cinq questions est mis en ligne tout au long du mois de février, sur le site de l'AFA.
Le Safer Internet Day, organisé depuis 2005, est destiné à promouvoir une utilisation plus sûre et plus responsable d'Internet par les jeunes.
Le labo top-secret de Google se dévoile un peu sur le web
Après les propos du New York Times au mois de novembre dernier sur le laboratoire top-secret de Google, baptisé Google X, le géant de l'Internet dévoile un peu de ce projet à travers le dépôt d'un nom de domaine wesolveforx.com. Le site affiche un message de présentation « Solve for X est un endroit où les curieux peuvent écouter et discuter de technologies radicales pour résoudre des problèmes mondiaux. Radical, dans le sens où ces solutions pourraient aider des milliards de personnes. Radical dans le sens où l'audace des propositions s'apparente à de la science-fiction. Et radicale dans le sens où il y a une vraie rupture technologique à terme pour donner l'espoir de changer la vie ». Le site se définit comme un forum pour encourager et amplifier les technologies basées sur le travail d'équipe et des pensées innovantes. Le site n'est pas encore ouvert (inscription obligatoire pour être averti du lancement officiel), mais on devine certains éléments et une vidéo YouTube montre la démarche expliquée dans le texte introductif.
Repenser l'avenir
Pour mémoire, le laboratoire Google X permettait selon le quotidien économique américain aux chercheurs de travailler sur le développement de technologies pour construire des ascenseurs qui vont dans l'espace ou permettre la publication d'un avis sur le menu du soir dans Google+. Il serait à l'origine aussi de la voiture automatisée présentée à l'automne 2011. Enfin, le journal explique que les scientifiques du laboratoire travaillent sur une centaine de projets. Un grand nombre d'entre eux seraient axés sur la robotique - par exemple, créer des robots qui pourraient aller travailler pendant que leurs propriétaires restent à la maison, ou d'autres qui seraient capables de s'occuper d'êtres humains. Le laboratoire travaillerait aussi sur des projets d'ampoules et de cafetières que l'on pourrait allumer et éteindre à distance depuis un téléphone sous Android.
Vidéo de présentation wesolveforX.com sur YouTube
(...)(06/02/2012 17:11:08)Lync Online de Microsoft s'ouvre aux autres messageries instantanées
David Gritter, en charge des solutions voix professionnelles chez Microsoft a déclaré lors du salon ITexpo à Miami, que Lync Online va s'ouvrir aux autres messageries instantanées comme Yahoo Messenger. Le responsable n'a pas fourni de détail sur le calendrier de cette interopérabilité en soulignant juste que c'était inscrit dans la feuille de route. David Gritter rappelle aux revendeurs et intégrateurs des solutions Office 365 qu'ils ont besoin de savoir précisément ce que peut faire ou pas Lync Online, notamment vis-à-vis des autres messageries instantanées.
Lync Online propose déjà une messagerie instantanée via Windows Live Messenger, mais accuse un retard sur Lync Server 2010, qui fédère d'autres services basés sur le protocole XMPP, comme Jabber, Google Talk, Yahoo, AOL ou la version entreprise de la messagerie instantanée Sametime de Lotus d'IBM.
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