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Linux

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(26/09/2007 17:18:41)

La GPL v3 ne séduit pas les développeurs Open Source

Décidément, la version 3 de la GPL (GNU Public Licence) peine à trouver des utilisateurs. Après un accouchement long de dix-huit mois, cette licence a finalement été rendue publique en juillet dernier. Depuis, malgré quelques grands projets Open Source, comme Samba, qui l'ont adopté, elle ne séduit pas. Le cabinet d'études Evans Data a ainsi interrogé 380 développeurs Open Source à son sujet. Il en ressort que 6 % d'entre eux seulement l'utilise pour au moins un projet. Les deux tiers ne comptent pas s'en servir d'ici à la fin de l'année, et 43 % d'entre eux estime qu'ils le l'utiliseront jamais. De plus, il y a presque deux fois plus de développeurs qui se disent réticents à rejoindre un projet ayant adopté la GPL v3 que de développeurs prêts à s'y intégrer. Pour John Andrews, PDG d'Evans Data, ce sont les restrictions de la GPL, intégrées notamment pour éviter que se reproduise un autre accord à l'image de celui scellé entre Novell et Microsoft, qui expliquent ce désintérêt : « La GPL v3 est controversée car elle impose des restrictions à ce qu'on peut faire avec des programmes sous cette licence. Les développeurs sont divisés et confus au sujet de ces restrictions, certains sont contre ces restrictions, d'autres, en nombre égal, sont en leur faveur et d'autres encore pensent que, de toute façon, elles ne pourront pas être respectées. » Notons que ce sont les mêmes points qui empêchent Linus Torvalds de passer Linux sous GPL v3, au grand dam de Richard Stallman. (...)

(25/09/2007 17:40:15)

+20% pour les formations en logiciels libres en 2007

La formation est un bon indicateur de l'adoption d'une technologie par les entreprises. D'après la seconde édition de l'Observatoire des logiciels libres créé par deux spécialistes de la formation, Anaska et ib-groupe Cegos, le nombre de personnes formées aux logiciels libres a progressé de 20% entre 2006 et 2007. Preuve que les environnements ouverts séduisent toujours plus. Le succès de la plate-forme LAMP (Linux Apache MySQL PHP), notamment, ne se dément pas. Par ailleurs, le catalogue de formations s'enrichit désormais de sessions dédiées à un public moins technique : c'est le cas des outils de gestion de la relation client (comme SugarCRM,) et de solutions de reporting/décisionnel (comme JasperSoft et l'ETL de Talend). L'Observatoire note un engouement indéniable pour des formations autour du langage de développement Ajax et des outils du Web 2.0. Il montre aussi que si les sessions PHP portaient à l'origine sur le langage en lui-même, les entreprises cherchant désormais à se former aux techniques et architectures avancées. Elles sont demandeuses de cursus sur des frameworks comme Symfony et le Zend Framework, qui s'imposent peu à peu. Les formations aux outils décisionnels - BI et reporting - Open Source connaissent également un certain succès. Parmi les leaders, des solutions comme JasperSoft et Talend. Anaska et ib-groupe Cegos indiquent aussi que le nombre de personnes formées aux bases de données Open Source comme MySQL a progressé de 40% cette année, et que les entreprises s'intéressent à des contenus toujours plus pointus. Enfin, ils notent que le nombre de formations autour de Linux reste stable, les universités et les écoles d'ingénieurs proposant toujours plus de formations initiales. Et que les entreprises forment de plus en plus en interne sur la suite bureautique OpenOffice.org, dont les téléchargements ont progressé de 46% entre 2006 et 2007. (...)

(25/09/2007 15:15:35)

Linux influence un marché qui le fait évoluer à son tour

Au fil des mois, la planète Linux change d'aspect au point d'influencer l'équilibre de l'ensemble de la galaxie informatique. C'est le constat fait par George Weiss, un des vice-présidents du Gartner Group lors de l'édition 2007 de l'Open Source Summit qui s'est tenue la semaine dernière à Las Vegas. Révolu le temps où Linux inspirait indifférence ou mépris à ses opposants. Désormais l'OS libre joue dans la cour des grands où ces derniers l'ont eux-mêmes invité. La signature d'un accord controversé entre Microsoft et Novell illustre parfaitement la nouvelle tendance : faute de pouvoir détruire Linux autant essayer d'en tirer le plus de profit possible. Sur un autre mode, mais dans le même esprit, la stratégie OpenSolaris de Sun vise les mêmes objectifs. Dans le rôle de champion historique, Red Hat n'est pas dans la position la plus confortable. Pris pour cible par Oracle, le numéro un des distributions Linux va devoir aussi négocier la généralisation de la virtualisation, une technologie qui ne peut que faire baisser ses revenus. Novell profite du canal Microsoft Aujourd'hui, Novell pourrait occuper la meilleure position. Certes vilipendé par ses congénères de l'Open Source, l'éditeur de Suse dispose désormais d'un formidable canal de distribution, celui de Microsoft. Un atout auquel viennent s'ajouter les compétences en matière de gestion des identités, de la sécurité et des systèmes, d'autres thèmes brûlants pour les DSI. Pour le Gartner, l'autre distribution à suivre de près est celle d'Ubuntu. Elle est la favorite de Sun et vient d'être reconnue par VMware. Les autres distributions -Fedora, Debian, Mandriva, Asianux...- sont, aux yeux du Gartner, moins proéminentes sur le marché. Paradoxalement, Microsoft figure parmi les acteurs les plus touchés par l'évolution de Linux. Non seulement, il joue un rôle majeur dans cette évolution, mais il est aussi désormais directement touché par cette évolution. Windows reconnaît techniquement l'existence de Linux et la cohabitation se généralise. Conséquence : Microsoft et ses partenaires doivent adapter leurs politiques de licence et, estime George Weiss, certification et administration de la plateforme Windows Server gagnent en complexité. (...)

(24/09/2007 17:44:21)

Les Unix propriétaires appelés à s'effacer derrière Linux

Vers 2009, l'environnement Unix ne sera plus assez attrayant pour que les développeurs utilisent cette plateforme pour développer de nouvelles applications. Mais les Unix propriétaires devraient encore exister longtemps. Ne serait-ce que pour maintenir le parc applicatif actuel. Ce jugement a d'autant plus de poids qu'il a été émis par George Weiss, un des vice-présidents du Gartner Group lors de l'édition 2007 de l'Open Source Summit qui s'est tenue la semaine dernière à Las Vegas. Prenant pour exemple AIX d'IBM, il constate que cet Unix continue d'évoluer malgré - ou à cause - du soutien de son éditeur à Linux. Comme si AIX servait d'antichambre aux fonctionnalités qui viennent ensuite s'ajouter à Linux. Chez Sun, on place de plus en plus Solaris sur le même terrain que Linux, consacrant beaucoup d'effort à présenter OpenSolaris comme une évolution naturelle de Linux. Si les Unix propriétaires faiblissent, c'est au profit d'un Linux qui monte en puissance. George Weiss s'est d'ailleurs exprimé dans le cadre d'une intervention intitulée "Planifier une entreprise avec un Linux de troisième génération". Après les serveurs Web et l'infrastructure dans un premier temps, les applications et les serveurs départementaux dans un second, Linux aborde désormais le troisième niveau, celui des applications critiques. Pour George Weiss, cet OS est déjà suffisamment aguerri pour répondre à 80% des applications et des environnements. Ce Linux de troisième génération devrait prendre place d'ici 24 mois avec des fonctionnalités supplémentaires comme un scheduler optimisé, la prise en compte croissante du temps réel, un gestionnaire de fichiers haute performance, une virtualisation complète du noyau (kernel) et l'intégration à ce niveau d'un hyperviseur, etc. (...)

(05/09/2007 14:56:33)

Oracle Enterprise Linux, l'autre distribution Linux

Né du pillage de la distribution Linux de Red Hat (RHEL), l'Unbreakable Linux d'Oracle change de nom et s'affirme comme une distribution à part entière. Oracle Enterprise Linux, qui est donc un "fork" de RHEL, commence à gagner en visibilité dans le monde Linux. Oracle voyait d'un mauvais oeil Red Hat proposer un middleware de plus en plus complet. Il tente de lui couper les vivres en utilisant son propre Linux sur lequel il casse les prix du support et garantit une meilleure réactivité. Oracle racole les clients du support de Red Hat à coup de tarifs 65% inférieurs et se fait même prendre à annoncer des conversions de comptes très anticipées, voire mensongères. Dans la droite ligne de son esprit d'entreprise, l'opportunisme Linux d'Oracle mélange coups bas, professionnalisme et technologie. L'éditeur vient de réaliser le portage de Yast (Yet Another Setup Tool), excellent outil de Novell loué par tous les utilisateurs de Suse. Dans la foulée, il met au pot de l'Open Source en GPL v2 Btrfs, système de fichiers bourré de fonctionnalités dont sont friands les administrateurs système. Btrfs rejoint Oracle Cluster File System, système de fichiers intégré à Linux depuis le kernel 2.6.16. L'éditeur met aussi en Open source Linux Test Kit, outil de validation des configurations Oracle/Linux. (...)

(30/08/2007 18:06:15)

Trimestriels Novell : pertes réduites, ventes Linux en hausse

Novell a réduit ses pertes nettes à 3,4 M$ sur son troisième trimestre fiscal clôt le 31 juillet 2007 (contre 6,5 M$ l'an dernier). La perte opérationnelle a également été sensiblement réduite, à 10,15 M$, contre 39,6 M$ l'an dernier. Sur la période, le chiffre d'affaires de l'éditeur de logiciels d'infrastructure Open Source a progressé de 3 % à 243 M$, un résultat supérieur aux prévisions des analystes. Le fournisseur souligne la forte progression (+ 77 %) du chiffre d'affaires réalisé avec ses produits pour Linux, celui-ci s'élevant à 21 M$ sur le trimestre échu. Novell précise qu'il a facturé 38 M$ sur ces produits au cours du trimestre (+95 % par rapport à l'an dernier). Sur la même période, ses solutions de gestion d'identité et de sécurité ont généré 30 M$ (dont 27 M$ pour les outils d'accès sécurisé, +2 %) et ses solutions d'administration de système et des ressources, 35 M$ (+ 4%). Le chiffre d'affaires des produits de collaboration (GroupWise, Open Enterprise Server, Open Workgroup Suite...) est en léger recul (-2 %) à 83 M$. (...)

(30/08/2007 14:28:56)

Un héron pour la prochaine distribution majeure d'Ubuntu

Alors que Gusty Gibbons, la prochaine mise à jour d'Ubuntu est prévue pour cet octobre, Canonical, éditeur de la distribution Linux, planche déjà sur sa future évolution prévue pour 2008. Baptisée Hardy Heron (ou version 8.04), celle-ci est attendue pour le mois d'avril. Et contrairement aux autres versions de la distribution Linux, ses utilisateurs professionnels se verront proposer un support technique et des mises à jour de sécurité pour les cinq années suivantes. En règle générale, hormis Dapper Drake sortie en juin 2006, toutes les distributions Ubuntu ont un support technique de 18 mois. Les utilisateurs intéressées par Hardy Heron sont invités à proposer quelles fonctions qu'ils souhaiteraient voir intégrer dans cette version, sur la check-list virtuelle des développeurs, ou lors du sommet des développeurs qui aura lieu en octobre prochain à Cambridge (Massachusetts). (...)

(29/08/2007 17:32:05)

Microsoft ne peut s'exonérer de la GPL v3.0, selon la FSF

Microsoft devra respecter les licences Open Source. C'est la dernière conclusion en date tirée par la FSF (Free Software Foundation) après l'accord de partenariat passé entre Microsoft et Novell en novembre 2006. Dans son communiqué publié le 28 août, la FSF menace Microsoft de poursuites judiciaires s'il n'applique pas à la lettre la licence GPLv3. « Microsoft a dit qu'il souhaitait qu'on respecte ses soi-disant « propriétés intellectuelles » - un terme de propagande destiné à entraîner la confusion entre le droit des brevets, le copyright et d'autres droits non liés, et à obscurcir les différents problèmes qu'ils posent. Nous ferons en sorte - et dans la mesure de nos moyens, nous aiderons les autres détenteurs de licences GPLv3 - que Microsoft respecte nos copyrights et se mette en conformité avec nos licences, » affirme la FSF dans son communiqué. Cet accord entre Microsoft et Novell fut le premier d'une longue liste passée avec différents acteurs Open Source (Linspire, Xandros, etc.) pour les protéger d'éventuelles poursuites pour non-respect de la propriété intellectuelle de Microsoft inclut dans les logiciels libres (sans précision à ce jour sur les points litigieux !). Il prévoit notamment l'introduction de 70 000 coupons dans les produits Microsoft donnant droit à la distributions SUSE Linux et à son support technique, en échange d'un versement par Microsoft de 240 M$ à Novell. Microsoft, un distributeur Linux Pour la FSF, ces coupons font de Microsoft de facto un distributeur Linux et l'oblige à respecter les obligations de la version 3 de la GPL. Et notamment, le fait que «si un utilisateur reçoit une promesse d'exemption de brevet de la part de Microsoft en achetant une copie d'un programme sous GPL v3 auprès d'un agent Microsoft, Microsoft sera tenu par la GPL v3 d'étendre cette protection à tous les prochains utilisateurs de ce logiciel », précise-t-elle. Or, Microsoft a essayé en juin dernier de s'exonérer par avance des obligations de la GPLv3 en estimant qu'il n'était que l'agent de Novell et non un distributeur. Une charade juridique que ne reconnaît pas la FSF : « Si Microsoft distribue nos travaux licenciés sous GPL3, ou paie autrui pour les distribuer à son compte, il doit le faire selon les termes de cette licence. Il ne peut le faire autrement, et ne peut s'auto-exempter des exigences de la GPLv3. » (...)

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