Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 22471 à 22480.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(08/11/2006 17:36:24)
Adobe donne son compilateur mais garde Flash
Le projet Tamarin, qui voit une partie du code du Flash Player donnée à la Fondation Mozilla, est-il le prélude à une mise en Open Source complète du lecteur multimédia d'Adobe ? Non, répond ce dernier. « Il ne faut pas confondre Actionscript, le langage, avec le Flash Player, qui est une collection de technologies », prévient Jimmy Barens, directeur technique avant-vente chez Adobe France. Selon les termes de l'accord qu'Adobe, qui a récupéré Flash en procédant à l'acquisition de Macromedia (l'opération a été finalisée début décembre 2005), vient de conclure avec la Fondation Mozilla, l'éditeur verse à cette dernière le code source de sa machine virtuelle ActionScript, dite AVM2, et uniquement cela. Ce langage propre à Adobe s'appuie sur un langage standardisé, l'ECMAScript, élaboré à partir des premières moutures du Javascript définies par Netscape. La version 2 de l'AVM, sortie avec la version 9 du Flash Player, inclut un compilateur à la volée dont le rôle est de convertir le pseudocode ActionScript en code natif pour la plate-forme d'exécution. Adobe promet donc des gains de performance très importants (jusqu'à un facteur 10) pour l'exécution de code ActionScript sur l'AVM2. Lorsque cette machine virtuelle sera incluse dans Firefox, le navigateur libre et gratuit de Mozilla, le code Javascript profitera alors de ces gains de performance. L'intégration se fera au travers de SpiderMonkey, le moteur d'exécution de Javascript développé par la Fondation, dans le courant de l'année 2008, indique la FAQ du projet Tamarin. Adobe espère instaurer un cercle vertueux Il s'agit d'un premier bénéfice, tant pour les utilisateurs du navigateur que pour les développeurs, qui pourront envisager des applications plus complexes ayant recours au Javascript. Or, avec l'avènement des applications Ajax ayant massivement recours au Javascript, les idées ne manquent pas. Autre bénéfice, plutôt que de travailler sur deux implémentations parallèles de l'ECMAScript, Mozilla et Adobe vont joindre leurs forces. Adobe a promis de mettre à disposition une équipe comprenant notamment les trois créateurs du langage. De son côté, Mozilla rassemble des contributeurs de plusieurs sociétés sous le patronage de son directeur technique, Brendan Eich, le créateur de Javascript. « Nous espérons établir un cercle vertueux, explique Jimmy Barens. Que la communauté se l'approprie, et qu'en retour elle nous aide à l'améliorer. » Adobe espère en effet pouvoir réutiliser les résultats de ces améliorations dans ses propres logiciels, Flash en premier lieu, mais aussi d'autres produits (ou projets comme Apollo) qui recourent au Javascript. Quant à savoir si l'éditeur abandonnera Actionscript, « on verra comment le marché va réagir », répond Jimmy Barens. En attendant, le lecteur d'animations Flash reste entre les mains d'Adobe, au grand dam des amateurs de Linux qui déplorent le peu d'empressement d'Adobe envers leur plate-forme fétiche (la version bêta du Player vient juste de sortir). Quant aux utilisateurs d'Internet Explorer, ils devront se contenter du moteur Javascript du navigateur - à moins que Microsoft ne récupère l'AVM2, maintenant que sa licence le permet (le code sera disponible sous la même triple licence que Firefox, MPL, GPL et LGPL). « Nous les y invitons », conclut Jimmy Barens. (...)
(08/11/2006 17:38:32)Rapport Hetzel : suivre le modèle des écoles d'ingénieurs
Après 6 mois d'enquête, Patrick Hetzel, recteur de l'académie de Limoges et président de la commission du débat national université-emploi, a rendu sa copie de 108 pages à Dominique de Villepin. Son rapport se décline en 6 chapitres qui devraient permettre de meilleures passerelles entre l'université et l'emploi : lutter contre l'échec à l'université ; repenser l'information et l'orientation ; améliorer la professionnalisation ; rapprocher durablement l'université du monde du travail ; créer un partenariat universités/employeurs pour la croissance et faire évoluer l'ensemble du système universitaire. Le maître-mot : professionnaliser Le rapport découvrirait-il une réalité déjà éprouvée par les écoles d'ingénieurs ? Celles-ci obligent en effet, depuis longtemps, leurs étudiants à s'initier aux réalités de l'entreprise notamment via le principe des stages. Dans le domaine de l'informatique, entre 80% et 100% (selon la cote de l'école) des jeunes diplômés sont intégrés au sein de l'entreprise où ils ont fait leurs 6 mois de stage de fin d'études. L'université pourrait être obligée de se conformer désormais à ce fonctionnement pour mieux relier l'université à l'emploi. Le traditionnel modèle universitaire français devra donc impérativement s'adapter aux contraintes de la professionnalisation. Ce devrait être une bonne nouvelle pour les élèves des filières scientifiques et informatiques, parfois taxés d'excellents théoriciens mais sans pratique concrète par les recruteurs qui leur préfèrent souvent de jeunes diplômés déjà aguerris au monde professionnel. (...)
(08/11/2006 17:37:08)Les ingénieurs de Supméca engagés dans la lutte contre les inégalités
Avoir un projet personnel au c?ur de ses études est l'un des aspects de la pédagogie de Supméca. Un an après avoir signé un partenariat avec l'Atev (association de la fondation étudiante pour la ville), Supméca vient de présenter le bilan : un pari réussi puisque onze étudiants ont choisi, à raison de deux heures par semaine, d'aider écoliers et collégiens en difficulté. L'expérience sera d'ailleurs poursuivie cette année avec d'autres étudiants. Cet engagement a permis aux ingénieurs volontaires d'aider non seulement les élèves sur un plan scolaire, mais également d'un point de vue personnel (appréhender l'école de manière positive, préparer son cartable la veille ou s'organiser pour les devoirs). La confrontation entre ces étudiants, excellents élèves d'une école de très haut niveau avec des enfants et adolescents en situation scolaire difficile, est un enrichissement réciproque. Pour les futurs diplômés de Supméca, les réalités quotidiennes de leurs cadets qui n'ont pas forcément le même environnement pour réussir. Et pour ces jeunes, des modèles concrets, alternatifs aux réussites par le sport, le rap ou l'économie souterraine. (...)
(08/11/2006 17:40:27)VMWorld 2006 : VMware montre son outil Fusion pour Mac
A VMWorld, VWware fait la démonstration de son outil de virtualisation pour MacOS X, connu sous le nom de code "Fusion". Actuellement en phase de bêta restreinte, Fusion est en quelque sorte la version Mac de VMWare WorkStation. L'outil apporte plusieurs améliorations par rapport à Parallels, le seul outil de virtualisation disponible à ce jour pour les Mac Intel. Comme son homologue pour Windows et Linux, il permet l'affectation de plusieurs c?urs processeurs physiques au sein d'une même machine virtuelle et supporte la plupart des systèmes 64 bit du marché. "Fusion" apporte aussi un support prototype de l'accélération de l'affichage 3D (via OpenGL) ainsi que l'accès à l'ensemble du catalogue d'appliances VMware existant. Comme VMware Workstation, Fusion nécessite la présence d'un OS sous-jacent, en l'occurrence MacOS X 10.4. En l'état actuel de ses développements, VMware n'a pas décidé de porter son hyperviseur ESX Server sur Mac. Expliquant que ce serait sans doute un projet intéressant et que certains clients avaient fait part de leur intérêt pour une version d'ESX tournant sur les serveurs XServe d'Apple, le chef de produit Mac de VMware a toutefois noté que le principal obstacle au projet reste le fait que la licence OS d'Apple n'autorise pas, à ce jour, l'exécution de son OS serveur au dessus d'une couche virtualisée. (...)
(08/11/2006 17:35:58)VMWorld 2006 : VMware lance un marché des appliances virtuelles
VMWare, le numéro un mondial des solutions de virtualisation de serveurs x86, a profité de l'ouverture de sa conférence utilisateurs VMWorld 2006 à Los Angeles pour annoncer officiellement l'ouverture du Virtual Appliance Marketplace, son marché aux "appliances logicielles" prêtes à l'emploi. L'objectif de la firme est de promouvoir les conteneurs virtuels préconfigurés comme un nouveau mode de distribution des applications d'entreprise. L'intérêt de ces conteneurs étant de pouvoir être déployés et redéployés indépendamment de l'infrastructure serveur. Le Virtual Appliance Marketplace est une extension du programme actuel d'appliances de VMware disponible à l'adresse www.vmware.com/vmtn/appliances. Un modèle proche de celui du couple iPod/iTunes Désormais VMware ne se contente plus de pointer simplement vers les appliances développées par des partenaires ou des utilisateurs enthousiastes. L'éditeur a mis en place un processus de certification qui assure que les appliances disponibles sont fonctionnelles. "Notre modèle est similaire à celui du couple iPod/iTunes, a expliqué Srinivas Krishnamurti, le directeur du développement produit de VMware lors d'une session de questions/réponses avec la presse, à Los Angeles. L'idée de la firme est d'attirer les utilisateurs vers ses solutions de virtualisation au travers du marché des appliances virtuelles, tout en réalisant une petite marge sur la vente des appliances logicielles. "Les sociétés présentes sur le marché nous versent une petite commission sur leurs ventes", a ainsi expliqué Krishnamurti. Les appliances, la passerelle entre OS et applications Ce dernier a également indiqué que les appliances gomment la frontière entre applications et systèmes d'exploitation. La plupart des fournisseurs d'appliances compilent un OS préinstallé et leur application prête à l'emploi et s'engagent à supporter l'ensemble. Selon lui, cette fusion progressive entre OS et applications est l'un des bénéfices accessoires des appliances virtuelles. Krishnamurti a toutefois reconnu que le modèle était particulièrement viable avec Linux (et notamment les outils et distributions de Rpath), mais qu'il restait problématique sous Windows du fait du modèle de licence de Microsoft. Parmi les fournisseurs d'applications prêtes à l'emploi en conteneurs figurent un grand nombre de solutions basées sur Linux comme le serveur collaboratif de Zimbra, l'appliance de gestion de trafic de Zeus, les outils de routage financier de Cohesive FT, les distributions de Red Hat et la distribution Linux sécurisée d'Astaro. Des éditeurs comme Oracle ou IBM utilisent aussi le système pour proposer des versions démos de leur SGBD ou dans le cas d'IBM de sa solution de collaboration web WorkPlace. Ingres propose également sa base Open Source en "appliance logicielle" grâce à Rpath. Ironiquement, Microsoft a été mis en avant comme un exemple de l'intérêt des appliances virtuelles. L'éditeur de Redmond a annoncé la veille du lancement du Virtual Appliance Marketplace de VMware son programme Virtual Hard Disk Test Drive qui va permettre d'évaluer certains de ses produits phares, comme Exchange ou SQL Server, sous la forme d'appliances prépackagées avec Windows. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |