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Middleware et serveurs d'application
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(02/09/2008 16:11:29)
Oracle annonce son Enterprise Pack for Eclipse
Oracle enrichit son middleware Fusion avec des composants dédiés aux développeurs Java. A la suite du rachat de BEA Systems en janvier dernier pour 8,5 Md$, Oracle, qui a décidé de faire de WebLogic son serveur d'applications Java et qui propose depuis quelques semaines WebLogic Server 10g R3, annonce l'Oracle Enterprise Pack for Eclipse. Ce pack panache des technologies BEA et Oracle. Il intègre des plug-in Eclipse pour accélérer les développements Java, Java EE et WebLogic. L'Oracle Enterprise Pack for Eclipse inclut aussi des outils pour les développeurs qui travaillent avec les web services, XML, le framework Spring, les JavaServer Faces, les CSS (Cascading Style Sheets) et JavaScript. (...)
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(13/08/2008 14:12:30)Première mise à jour de WebLogic en tant que serveur d'applications Oracle
Oracle a sorti la première évolution de WebLogic depuis qu'il a annoncé, le 1er juillet dernier, que le serveur d'applications de BEA devenait son « conteneur Java stratégique ». La version 10g Release 3 de WebLogic Server fait apparaître, sans surprise, une meilleure intégration avec les autres produits d'Oracle, tels que Jdeveloper (outil de développement), TopLink (gestionnaire de correspondance relationnel-objet) ou Enterprise Manager (console d'administration). (...)
(08/08/2008 10:32:28)Oracle corrige une faille majeure concernant WebLogic Server et Express
Oracle vient de fournir un correctif d'urgence pour remédier à une faille qui l'a conduit à diffuser une alerte de sécurité la semaine dernière. L'éditeur précise aux administrateurs qu'ils doivent mettre en oeuvre ce patch plutôt que la procédure de contournement qu'il avait précédemment recommandée. La faille a été trouvée dans le plug-in Apache destiné aux serveurs d'applications Oracle WebLogic Server et WebLogic Express (issus de l'offre BEA WebLogic). Elle concerne sept versions du produit, qu'elle rend vulnérables aux attaques distantes. Cette faille sérieuse est classée au niveau 10, le plus haut sur l'échelle CVSS (Common Vulnerability Scoring System) qui évalue l'importance des risques encourus. En trois ans, depuis qu'Oracle a mis sur pied un cycle de mises à jour régulières, cette faille est la première qui l'oblige à procéder à une mise à jour hors cycle. (...)
(11/07/2008 13:45:28)La France en tête des pays ayant adopté l'Open Source
Une étude de Forrester souligne que les Européens, et d'abord les Français, sont plus en avance dans leur recours aux logiciels libres. Mais elle souligne aussi que très peu contribuent aux projets. Les entreprises françaises seraient plus avancées dans l'adoption de l'Open Source que leurs homologues d'Allemagne, du Royaume-Uni, des Etats-Unis et du Canada. C'est ce qui ressort d'une étude menée par Forrester Research, en deux fois; d'abord à l'occasion d'un sondage au troisième trimestre 2007, puis lors de discussions ouvertes à la conférence IT Forum EMEA 2008. Alors que le public nord-américain se dit surtout inquiet de la sécurité du code des logiciels libres (à 71%), le public européen indique que sa priorité (51%) est la qualité du support associé. Forrester note que les entreprises européennes sont ainsi tout à fait prêtes à payer pour du support de logiciels libres, « à condition de pouvoir en mesurer la valeur ». Entreprises américaines (31%) comme européennes (22%) ne sont en tout cas guère inquiètes à cause des menaces juridiques pesant sur l'utilisation de l'Open Source. Les couches d'infrastructure restent de loin le premier domaine pour l'Open Source en entreprise [[page]] Côté technologies utilisées, Forrester constate le cycle habituel d'adoption, à savoir l'introduction de briques de base éprouvées, comme Linux ou Open Solaris, le serveur Web Apache, puis les outils de développement comme Eclipse et langages comme PHP, ainsi que les serveurs d'applications Tomcat et JBoss. De plus en plus, continuent les auteurs de l'étude, Jeffrey Hammond et Diego Lo Giudice, les entreprises envisagent de faire monter l'Open Source dans les couches d'infrastructure : bus de services (ESB), extraction, transformation et chargement de données (ETL), bases de données, applications de gestion de contenu... En revanche, aucune « n'a immédiatement signalé un intérêt » quant à poursuivre cette stratégie au niveau des applications métier. Autre information notable : les entreprises qui s'associent à des communautés Open Source ou qui simplement donnent du code à la communauté sont des exceptions. « La plupart se contentent de consommer de l'Open Source plutôt que d'en produire », écrivent les analystes de Forrester. « Un seul des participants [aux discussions] a indiqué que son organisation contribue au projet Open Source qu'il utilise avec du code mis à jour. » Un comportement typique, précise Forrester, de la plupart des grands départements informatiques. (...)
(03/07/2008 12:18:08)La v5 du serveur d'applications JBoss conforme à OSGI
La version 5 du serveur d'applications Java Open Source JBoss sera disponible dans quelques semaines. Sacha Labourey, le directeur technique de l'entité middleware de Red Hat, a expliqué sur son blog qu'une première version potentiellement commercialisable (RC1) sortait et qu'une seconde devait venir d'ici 6 à 7 semaines, la version finale (commercialisable, celle-ci) étant attendue ensuite. Sacha Labourey insiste sur le côté modulaire de JBoss 5. Pour preuve, le serveur d'applications adopte désormais sur les spécifications OSGI, le système de connexion de composants logiciels écrits en Java (qui forme déjà la base de l'atelier Eclipse, par exemple). Le découpage se poursuit avec un « microcontainer » qui laisse les utilisateurs choisir les API, langages et services qu'ils souhaitent utiliser. [MAJ : voir les précisions en commentaires] Autrement dit, quels que soient les choix techniques futurs, JBoss 5 devrait pouvoir s'en accommoder. « Cette nouvelle architecture signifie que votre investissement dans JBoss est à long terme », conclut Sacha Labourey. (...)
(02/07/2008 09:03:44)Oracle choisit de faire de BEA Weblogic son serveur d'applications
Depuis qu'Oracle a lancé son offre d'achat sur BEA en octobre 2007, tout le monde se demandait quels choix drastiques il opérerait en cas de fusion des gammes de produits. La réponse est venue hier soir, délivrée par Thomas Kurian, vice-président senior d'Oracle responsable de la stratégie middleware. La star de l'offre BEA, le serveur d'applications Java Weblogic, devient le serveur d'applications d'Oracle. Personne ne doutait que Weblogic - fort de commentaires élogieux des analystes et d'une base installée conséquente - continuerait son existence. En revanche, le fait que le serveur d'applications d'Oracle serve de container J2EE au progiciel d'Oracle rend les choses problématiques. Oracle a résolu le dilemme en expliquant que les fonctionnalités de son logiciel qui n'existent pas chez BEA (tel que l'outil de correspondance relationnel-objet) y seraient intégrées, mais qu'en aucun cas les clients de son progiciel e-Business Suite ne seraient forcés de migrer. « Le développement du serveur d'applications va continuer, a précisé Thomas Kurian. Les clients auront simplement la possibilité de migrer. » BEA Aqualogic Repository devient le coeur de l'offre de gouvernance SOA d'Oracle D'autres produits BEA font leur entrée tels quels au catalogue d'Oracle (si on met de côté le changement de nom). Toujours du côté de Weblogic, l'édition dédiée au secteur des opérateurs télécoms, SIP Server, remplace Oracle SIP Server. Le moniteur transactionnel Tuxedo, qui a fait le premier le succès de BEA, reste évidemment inchangé. Le référentiel Aqualogic Repository devient de son côté le référentiel de l'offre de gouvernance des architectures orientées services d'Oracle. Lequel n'avait jusqu'à présent qu'un annuaire UDDI, qui vient donc s'intégrer à l'offre de BEA. [[page]]D'autres produits très spécifiques, comme la machine virtuelle Java JRockit ou l'outil de gestion des serveurs virtuels LiquidVM, viennent compléter immédiatement l'offre Oracle. On peut encore citer une des composantes d'Aqualogic, pour associer de façon centralisée des droits à des utilisateurs ou à des rôles, Aqualogic Enterprise Security, qui deviendra Oracle Entitlements Manager. Les ESB de BEA et d'Oracle seront fusionnés Pour la majorité des produits, toutefois, la stratégie qui prévaut est celle de l'intégration. Côté développement, les éléments de BEA Workshop deviennent par exemple des composants au sein d'un tout nouveau « pack Eclipse » livré gratuitement avec JDeveloper, l'atelier de développement d'Oracle. Pour la conception des processus, le studio de BEA, Aqualogic BPM Designer, vient compléter l'offre d'Oracle, plus axée sur la modélisation des processus d'entreprise. Un moteur unifié sera proposé pour le déploiement. Les bus de services (ESB) seront aussi unifiés, l'ESB d'Aqualogic étant complété par les fonctions de celui d'Oracle. Idem pour les outils de portail : les logiciels de BEA viendront compléter l'offre WebCenter d'Oracle. La gestion des événements complexes (CEP, complex event processing) n'échappe pas la règle, Thomas Kurian jugeant que « l'offre de BEA est avant tout un moteur pour collecter des événements, [alors que celle d'] Oracle propose un grand nombre d'algorithmes pour effectuer les calculs ». D'une façon générale, Thomas Kurian a insisté sur le fait qu'il n'y aurait aucune migration forcée, que ce soit pour les clients de BEA ou d'Oracle, et qu'il s'agisse des produits ou des contrats : une nouvelle liste de prix a été établie, mais les anciennes restent valables, a-t-il dit. Il a également fait valoir que tous les produits mentionnés dans sa présentation comme « en mode maintenance » l'étaient déjà avant l'acquisition de BEA par Oracle. Seule exception : Aqualogic Services Manager, qui reposait sur une offre OEM, « redondante avec Oracle Enterprise Manager », et qui est donc mise de côté. (...)
(26/06/2008 17:31:13)Annuels : Oracle se maintient mais prévoit un ralentissement
Oracle a présenté hier des résultats annuels, toujours très positifs malgré la crise qui perturbe l'économie américaine depuis plusieurs mois. Le chiffre d'affaires de l'exercice s'établit à 22,4 Md$, soit une progression de 25% par rapport à l'année précédente, et le bénéfice net atteint les 5,5 Md$, en hausse de 29% (+27% pour le quatrième trimestre de l'année). Oracle affiche un bénéfice par action de 1,30 $, dépassant ainsi les attentes des analystes, qui tablaient sur 1,27 $. La croissance au quatrième trimestre a été particulièrement soutenue en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique (2,68 Md$ contre 1,99 Md$ un an plus tôt, soit une augmentation de 34,7%). Elle est légèrement moins importante sur le continent américain (3,57 Md$ contre 3 Md$, soit +19%). Oracle est parvenu à maintenir le cap malgré les remous financiers outre-Atlantique en partie grâce à sa stratégie de croissance externe, qui lui a permis de verticaliser et d'étoffer son offre. L'éditeur a en effet procédé à l'acquisition d'une dizaine de sociétés au cours de l'année, dont BEA, en janvier dernier, pour un montant de 8,5 Md$. Rappelons qu'en mars 2007, Oracle avait mis la main sur Hyperion pour 3,3 Md$. Tout récemment, l'éditeur a procédé à une augmentation du tarif de ses solutions. Les prix de son SGBD et de son infrastructure augmentent de 15 à 20%, et pour les produits BEA, la facture s'alourdit de 50%. « Les tarifs présentés dans les catalogues ne reflètent pas toujours ce que le client paie au final, nuance toutefois Ray Wang, analyste chez Forrester Research. Le coût est souvent réduit à l'issu de négociations ». Sur un blog, Ray Wang explique en outre que la faiblesse et la fluctuation du dollar constituent la principale raison pour Oracle de faire ainsi flamber les prix. Pour le premier trimestre de l'exercice qu'il vient d'entamer, Oracle prévoit un léger repli, avec une croissance de son chiffre d'affaires de l'ordre de 18 à 20%. (...)
(26/06/2008 17:03:05)Progress complète son portefeuille SOA avec l'offre d'Iona
Qui sera le plus grand des acteurs de taille moyenne dans les architectures orientées services (SOA) ? Progress a conclu un accord pour racheter Iona (pour 4,05 $ par action, soit environ 149 M$), prolongeant ainsi une série d'acquisitions qui en fait un acteur sérieux sur le marché, derrière Tibco et Software AG. Progress a réalisé un chiffre d'affaires de 494 M$ en 2007, et Iona 77,7 M$. L'addition des deux positionne l'éditeur juste derrière Tibco (577,4 M$), lui-même étant devancé par Software AG (621,3 millions d'euros). Toutefois, comme le rappelle Henry Peyret, analyste senior de Forrester Research, « Progress ne réalisait jusqu'à maintenant pas plus de 50 M$ en SOA ». Selon Giles Nelson, directeur de la technologie au sein de Progress le montant des licences SOA atteindrait en fait 17% du chiffre d'affaires, soit environ 84 M$. Et de commenter : « Cela nous aidera à renforcer notre position en tant que fournisseur indépendant de logiciels SOA. » Artix représente un tiers du chiffre d'affaires d'Iona Iona est quant à lui un spécialiste du middleware - même si là aussi la part des SOA est minoritaire. Sa ligne Artix, dédiée aux SOA, est en progression constante (14% du chiffre d'affaires en 2005, 26% en 2006, 33% en 2007), mais l'éditeur irlandais fait encore près des deux tiers (65%) de son chiffre d'affaires avec Orbix, son offre pour architectures Corba. Et comme l'explique Giles Nelson, les deux architectures sont relativement proches, et la technologie d'Iona jette justement un pont entre les deux. En outre, l'éditeur d'Artix dispose grâce à la robustesse de son offre Corba d'une bonne base installée dans les domaines de la finance et des télécoms - qui intéresse fortement Progress. [[page]] « Toutes les lignes de produit devraient être conservées, » poursuit Giles Nelson. Cela paraît évident pour un certain nombre de technologies, comme « l'annuaire de services de la ligne Artix, qui complétera l'offre de gouvernance Actional », alors que jusqu'à présent, Progress s'appuyait sur un partenariat avec Systinet (entité appartenant désormais à HP). En revanche, la partie ESB, bus de services d'entreprise, risque de créer de la confusion dans l'esprit des clients, prévient Henry Peyret. Dès la finalisation de la transaction, Progress se retrouvera en effet à la tête de trois offres, la sienne, Sonic ESB, Artix ESB d'Iona, et le projet Open Source de l'éditeur irlandais, Fuse. Progress a trois ESB à départager et à positionner sur le marché « Sonic est plus orienté réseau, répond Giles Nelson, lorsque vous cherchez une infrastructure de messagerie interapplicative robuste, en environnement hautement distribué. Artix est plus orienté RPC [appel de procédure distant, NDLR] entre points de terminaison hétérogènes : applications C++, objets Corba, .Net... » Fuse est considéré de son côté comme un moyen de démarrer avec ce type de technologie. Dans tous les cas, cette multiplicité de produits ne gêne pas Progress le moins du monde. L'éditeur reste campé sur sa stratégie consistant à proposer du « best of breed », des briques capables de prendre place dans n'importe quelle architecture, afin de résoudre un problème technologique ponctuel. « Iona avait la même stratégie, continue Giles Nelson, de fournir des produits capables de fonctionner de façon autonome aussi bien qu'ensemble. C'est un élément différentiateur clair entre nous et le gros des éditeurs. » [[page]] Cette stratégie n'avait toutefois guère souri à Iona, dont le chiffre d'affaires stagnait, et dépendait très fortement de quelques gros clients. Boeing comptait ainsi pour 18% de son chiffre d'affaires, et AT&T pour 11%. L'éditeur se savait fragile, et avait mandaté la banque Lehman Brothers en février dernier pour trouver un acquéreur. « Alors que Software AG a très bien su se positionner sur le marché des entreprises de taille moyenne, Iona a manqué ce positionnement. Du moins en termes marketing, car dans les faits, ils y étaient. » Pour l'analyste de Forrester, un gros travail d'explication attend Progress : « Ils ont besoin d'un positionnement stratégique, d'indiquer quels clients ils visent, quelles solutions ils apportent. Je crois que la stratégie du 'best of breed' n'est plus suffisante aujourd'hui. Cela marchera pendant peut-être encore un an ou deux, mais cela devient de plus en plus complexe pour les clients, qui attendent des éditeurs qu'ils fassent le travail d'intégration. Pour moi, il est temps d'établir un vrai message de plateforme. » (...)
(25/06/2008 10:58:05)Oracle fait flamber ses tarifs
Fort de ses positions dominantes, Oracle augmente ses prix comme il ne l'avait pas fait depuis longtemps. L'ampleur de la hausse moyenne -entre 15% et 20%- fait frémir. D'autant qu'elle s'ajoute aux réajustements réguliers, eux, de la puissance des CPU qu'applique Oracle pour ne pas pâtir des progrès des processeurs. Parmi les SGBD et les outils d'infrastructure, Oracle 11g Enterprise Edition augmente de 19% que ce soit en facturation par CPU ou par utilisateur. Les versions Standard et Edition One prennent 16%. Les clients les plus marris sont ceux de BEA, société qu'Oracle vient de racheter. La version haut de gamme du Weblogic Server (rebaptisée Enterprise d'Application Server) augmente de plus de 47%. Quant à la version d'entrée de gamme Weblogic Express, elle semble avoir purement et simplement disparue. Seul le décisionnel est épargné On peut aussi souligner la disparition des portails Workshop et AquaLogic de BEA ainsi que celle du serveur d'applications Java Edition d'Oracle. Le seul domaine ou Oracle n'augmente pas ses prix est celui du décisionnel. Sans doute par crainte de la force de frappe de SAP qui s'est renforcé avec le rachat de Business Object. En fait, Oracle procède même à une baisse de prix. Après tout, pourquoi l'éditeur se priverait-il d'augmenter ses prix vis-à-vis d'une clientèle quasi captive ? La réussite de sa très active politique de croissance externe à laquelle il a consacré plus de 20 Md$ lui permet de se placer à la première ou la deuxième place dans tous les secteurs où il opère. Premiers à commenter ces hausses, les spéculateurs en bourse n'y voient rien à redire. Bien au contraire. Ils poussent le cynisme jusqu'à minorer cette augmentation en avançant le fait que les grands comptes négocient toujours leur facture. Las, eux qui avaient pour habitude de chercher à obtenir une remise de 50% devront maintenant tabler sur plus de 60%... Ces analystes oublient benoîtement le cas des PME à la fois moins riches et moins bien armées. Elles n'auront d'autres choix que de se plier au diktat économique d'Oracle. Mais ce dernier n'est pas le seul à augmenter la pression sur ses clients. Il y a peu, SAP supprimait son tarif de base sur sa maintenance, contraignant tous les nouveaux utilisateurs à payer le prix fort. (...)
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