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Mobilité
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(03/08/2010 10:44:15)
Le marché des téléphones mobiles a crû de 14,5% au 2e trimestre
Les ventes de téléphones mobiles sont au beau fixe. Au cours des six premiers mois de l'année, il s'en est écoulé plus de 620 millions (+18,5% sur un an) dans le monde, selon IDC, contre 523,5 millions sur la même période l'an dernier. Rien qu'au deuxième trimestre, 317,5 millions d'exemplaires ont été commercialisés, soit une augmentation de 14,5% par rapport à la même période un an plus tôt (277,2 millions d'exemplaires).
Mais il apparaît aussi qu'au delà des cinq premiers constructeurs (Nokia, Samsung, LG Electronics, RIM, Sony Ericsson) qui représentent toujours 71,7% de l'ensemble, la part des challengers a augmenté de 28%, en passant de 25,3% de l'ensemble des livraisons au deuxième trimestre l'an dernier à 28,3%.
Samsung a gagné des parts de marché
Nokia demeure la marque la plus vendue au niveau international avec pas moins de 111 millions de produits commercialisés (+7,7% sur un an). L'une des plus belles performances revient à Samsung, deuxième plus gros vendeur au monde. Le fabricant coréen a écoulé 63,8 millions d'exemplaires, selon IDC, soit une hausse de 22%. Sa part de marché sur le trimestre passe à 20,1% contre 18,9% l'an dernier.
LG Electronics s'octroie la 3e place avec plus de 30 millions de mobiles achetés entre avril et juin (+2,7%). Research in Motion (RIM), fabricant spécialisé dans les smartphones, réalise une impressionnante augmentation des ventes de 40% avec 11,2 millions de produits. La marque passe ainsi devant Sony Ericsson dont les ventes chutent de 20,3% à à peine 11 millions de portables.
Les tablettes deviennent une urgence pour Microsoft
Le PDG de l'éditeur de Redmond a répondu à plusieurs questions des analystes. Il est revenu sur les bons résultats financiers du quatrième trimestre 2010, mais aussi sur les critiques relatives à la stratégie dans les tablettes PC. Le dirigeant a indiqué que Windows était déjà disponible pour les ardoises numériques et les notebooks de type tablet PC depuis des années. « Apple a réalisé un travail intéressant pour pousser un produit » souligne Steve Ballmer avant d'admettre « ils ont certainement vendu plus [NDLR : d'iPad] que je ne l'aurais pensé ».
« Pour nous, notre travail est de dire que nous disposons de beaucoup de brevets et de logiciel et qu'il est temps de faire bouger les choses. Comme nous l'avons fait sur les netbook et nous le proposerons avec Windows 7 sur les tablettes » ajoute le dirigeant de Microsoft. Il est plus explicite quand il dit « nous accélérons les négociations avec les partenaires constructeurs. Quand les gens me demandent quand ? je leur répond bientôt, dès que cela sera prêt, mais il s'agit d'un travail urgent. Personne ne doit s'endormir face à ces évolutions ».
Sur les discussions avec les partenaires, il est revenu sur les dernières rumeurs concernant notamment HP et le choix de WebOS (re-contesté sur les tablettes à vocation professionnelle). Il a souligné que « les discussions d'hier peuvent s'arrêter et d'autres se concrétiser dans l'avenir ». Il constate sur Android, une forte fragmentation des terminaux. La multiplication des OS a également été soumise à son analyse « nous assistons à une belle cacophonie. Les gens auront le choix dans les OS. Mais je pense que Windows offre beaucoup d'application et une habitude d'usage ».
Revenant sur la concurrence avec Apple, le responsable de l'activité device explique qu'avec une tablette sous Windows 7, « cela imprime » pour stigmatiser l'absence de port sur l'iPad pour connecter une imprimante.
HP tient un double langage sur ses futures tablettes
Le constructeur, engagé dans la plupart des technologies disponibles actuellement, a décidé d'adopter pour ses futures tablettes une approche qui va à l'encontre des stratégies choisies pour l'iPad d'Apple mais aussi pour des tablettes pro comme la Cius de Cisco. Interrogé pour savoir si HP était également intéressé par les terminaux sous Android, Phil McKinney a déclaré que le constructeur se concentrerait exclusivement sur les deux systèmes d'exploitation, à savoir Windows 7 et WebOS.
Les faits et les spéculations autour de la stratégie d'HP ont fait couler beaucoup d'encre ces dernières semaines, alimentés en partie par des informations révélées par IDG News Service la semaine dernière indiquant que HP préparait une tablette professionnelle - la Slate HP 500 - sous Windows 7 et cherchait également à créer une marque propriétaire nommée PalmPad. Le constructeur avait déjà fait connaître ses projets à propos d'une tablette Slate HP sous Windows 7 cette année (http://micro.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-tablette-internet-hp-revoit-son-projet-slate-3144.html), et ce avant l'acquisition de Palm en avril, pour laquelle l'entreprise a déboursé environ 1,2 milliard de dollars(https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-hp-acquiert-palm-pour-1-2-milliard-de-dollars-30555.html).
Obtenir un hub Wi-Fi/3G
Selon Phil McKinney, la connectivité Internet partagée à travers un appareil mobile de type tablette joue un grand rôle dans la manière dont HP envisage l'avenir. Le Palm Pre propose déjà ses fonctionnalités : il peut se connecter au réseau cellulaire de l'opérateur et être relié en même temps en WiFi à des périphériques situés à proximité. Le Palm n'est qu'un exemple parmi d'autres de ces "hubs" vendus sur le marché aujourd'hui, capable de coupler réseaux cellulaires et WiFi. L'Overdrive de Sprint, l'Evo 4G et le Mifi de Verizon en font également partie. « En apportant un traitement différencié des fréquences sur un appareil mobile, HP va permettre une mise à jour plus fréquente des périphériques » explique Phil McKinney.
Il ajoute que « dans un appareil mobile, c'est sans doute la couche logicielle qui est la plus complexe. Elle doit être modifiée à chaque fois que le constructeur adopte une nouvelle fréquence. En revanche, les logiciels d'interfaçage pour le Wi-Fi changent rarement de manière significative ».
D'autres innovations
« Si la firme travaille sur des technologies, comme le UWB (Ultrawide Band), elle n'a cependant pas encore l'intention de créer un hub sous forme de montre, comme le concept montré il y a cinq ans » a t-il déclaré. « Mais, un autre fabricant, intéressé par l'idée, a déjà réalisé un prototype qui devrait bientôt arriver sur le marché," a t-il dit. Inspiré par les futures plates-formes, HP veut également promouvoir des écrans séparés pour les appareils mobiles, comme les écrans pliables ou au contraire de grands écrans que l'on pourrait disposer dans des salles d'attente et qui se connecteraient avec les appareils mobiles. « Les écrans pourraient être imprimés sur des feuilles de mylar et placés n'importe où, » dit-il. «Tout support pourra devenir un système d'affichage », conclut Phil McKinney.
Même légal, le jailbreaking annule la garantie de l'iPhone
La décision de l'Office américain du Copyright rendant le jailbreaking de l'iPhone juridiquement légal n'a pas vraiment d'importance, puisque, comme l'a rappelé Apple dans une déclaration faite à Cult Of Mac à l'attention de ses clients, la manipulation continuera à annuler la garantie du smartphone. Cela implique en particulier que l'iPhone ne sera pas réparé gratuitement s'il souffre de problèmes de fonctionnement à la suite d'un jailbreaking. «L'objectif d'Apple a toujours été de s'assurer que ses clients profitent d'une expérience irremplaçable avec leur iPhone et nous savons que le jailbreaking peut sérieusement altérer cette expérience. Comme nous l'avons déjà dit, la grande majorité de nos clients ne sont pas intéressés par cette manipulation. D'une part, parce que cela va à l'encontre de la garantie; d'autre part, parce que cela peut rendre l'iPhone instable et moins fiable,» a déclaré la firme de Cupertino en réponse à la décision de l'Office du Copyright qui statuait sur plusieurs mesures d'exceptions applicables au Digital Millennium Copyright Act (DMCA), dont celui rendant le jailbreaking de l'iPhone légal.
Un marché du logiciels parallèle
Le jailbreaking permet d'installer des logiciels commerciaux piratés (IPA) et des applications que l'on ne trouve pas sur l'App Store, et de les faire fonctionner sur le smartphone, le baladeur tactile ou la tablette d'Apple. On peut par exemple transformer son iPhone en routeur WiFi, modifier l'écran d'accueil, envoyer et recevoir des fichiers via Bluetooth, ou modifier le son des alertes et des notifications par défaut. Ceux qui savent faire cette manipulation trouvent ça amusant, mais bricoler le logiciel de l'iPhone peut également être dangereux. Apple a rédigé un long document détaillant la manière dont des modifications non autorisées de l'iOS (comprendre le jailbreaking) peuvent être source d'instabilité majeure et de mauvais fonctionnement. Parmi les problèmes énumérés, la compagnie cite l'instabilité des applications et la perturbation de services comme la messagerie VisualVoice, ou encore la consultation de la météo, ou de la bourse. L'autonomie de la batterie peut également être affectée, les applications non autorisées continuant à tourner en arrière-plan. Sans parler des menaces liées à la sécurité.
Une plate-forme toujours verrouillée
Et si le jailbreaking de l'iPhone est désormais légal, cela ne signifie ni qu'Apple approuve le processus, ni que les utilisateurs pourront contourner plus facilement la protection des logiciels. Certes, Apple, qui avait tenté d'inclure le jailbreaking de l'iPhone dans le DMCA, ne pourra pas mener d'action en justice contre les jailbreakers. Mais en refusant de réparer leurs téléphones gratuitement lorsque les effets négatifs de la manipulation commenceront à se faire sentir, elle leur rend assurément la vie plus difficile. Reste qu'aujourd'hui le phénomène du jailbreak e concerne plus seulement le smartphone à la pomme mais également la plate-forme concurrente Google Android. Certains programmes permettent ainsi de briser le verrou des Motorola Droid pour installer des logiciels piratés, habituellement vendus sur la boutique en ligne Android Market.
(...)(27/07/2010 17:39:46)Premier HTC sous Windows Phone 7 ?
Selon ces images circulant sur Internet, l'appareil apparaît doté d'un écran 3,7 pouces, d'un présumé processeur Snapdragon à 1 GHz, et d'un capteur photo de 8 mégapixels. Celui-ci affiche également trois touches tactiles. D'après Engadget, la rumeur court qu'HTC, le partenaire historique de Microsoft sur les mobiles,
serait en pourparlers avec Verizon et peut-être avec Sprint à propos de ce téléphone sans nom. Bien que les spécifications de ce prétendu mobile HTC sous Windows Phone 7 ne soient que spéculatives, elles respectent à la lettre la configuration matérielle minimale exigée par l'éditeur à ses constructeurs partenaires. Dans son cahier des charges, la firme de Redmond demande en effet que tous les appareils Windows Phone 7 disposent de touches Accueil, Recherche, et Retour, d'un écran multitouch, d'un appareil photo de 5 mégapixels minimum et d'une puce Snapdragon à 1 GHz ou équivalent. Microsoft veut également que les appareils tournant sous Windows Phone 7 soient équipés du WiFi, d'un GPS, d'un accéléromètre, et d'un minimum de 256 Mo de RAM et de 4 Go de mémoire flash. Ces Smartphones doivent également être livrés avec la seule interface de Microsoft ; les surcouches des fabricants, comme la HTC Sense UI, sont dorénavant interdites.
Une plate-forme mieux verrouillée
Les exigences de Microsoft en terme de configuration matérielle ont été imposées aux constructeurs afin d'éviter à Windows Phone 7 d'installer une fragmentation du marché, comme c'est le cas aujourd'hui avec les différentes versions de Google Android. La fragmentation peut dissuader les développeurs d'applications tiers, car cela les oblige à tenir compte de multiples facteurs de forme et des différents OS (1.6, 2.1 ou 2.2) pour concevoir leurs applications. L'approche hardware de Microsoft est similaire à celle d'Apple pour l'iPhone : au fil des générations, le mobile d'Apple a toujours conservé un certain nombre de caractéristiques, du moins jusqu'à présent, y compris en ce qui concerne la taille de l'écran et la disposition des touches.
Vraie innovation ou échec annoncé ?
La spéculation et les critiques autour de Windows Phone 7 continuent à aller bon train depuis mi-juillet, quand Microsoft a dévoilé aux développeurs son OS mobile. Si certains critiques jugent que ce système est une «perte de temps et d'argent», d'autres, comme le blogueur Paul Thurrott, décrivent la future plate-forme Microsoft pour smartphone comme «plus innovante» que tout ce qu'offrent actuellement les plates-formes d'Apple ou de Google (sic)... Les opinions sur le futur OS mobile de Microsoft peuvent varier, mais compte tenu du buzz fait autour de Windows Phone 7, cet OS mobile pourrait devenir le produit Microsoft le plus attendu de 2010. En tout cas, c'est ce que voudrait faire croire l'éditeur et des blogueurs sous influence. Par contre, prédire si les utilisateurs de smartphone choisiront à la prochaine saison des fêtes un mobile Windows Phone 7 plutôt qu'un iPhone, 4, un terminal sous Android, ou encore le prochain BlackBerry OS 6 est une autre affaire. Une des principales questions est devenue aujourd'hui : combien d'applications sont réellement disponibles sur la plate-forme de téléchargement ? Et sur ce dernier point, Microsoft repart avec un sérieux handicap puisque les logiciels et les jeux pour Windows Mobile 6.5 sont incompatibles avec la version 7.0. L'accueil des opérateurs sera également cruciale et ces derniers ont toujours grogné devant les prix pratiqués par Microsoft pour la fourniture de Windows Mobile (35 $ par terminal environ) alors qu'Android ne leur coute rien et qu'ils bénéficient d'arrangements rémunérateurs sur les applications téléchargées.
Crédit photo : Endgadget
Trimestriels SAP : L'éditeur surfe sur une reprise confirmée
L'éditeur allemand a annoncé des résultats trimestriels en forte hausse. Le chiffre d'affaires sur le deuxième trimestre 2010 affiche près de 2,9 milliards d'euros en hausse de 12% sur un an. Les bénéfices opérationnels croissent de 21% à 774 millions d'euros. Les recettes issues de l'activité logicielle progressent de 17% sur un an à 637 millions d'euros et celles combinées logiciel plus services s'établissent à 2,26 milliards d'euros. La marge opérationnelle est aussi en progrès avec 1,8 point de mieux. Le résultat net est de 491 millions d'euros contre 426 millions d'euros un an auparavant.
Arrêtés au 30 juin 2010, SAP a également présenté ses comptes semestriels. Le chiffre d'affaires est en hausse de 9% à 5,4 milliards d'euros et le bénéfice opérationnel progresse de 40% à 1,33 milliards d'euros.
Pour autant les résultats de SAP ne sont pas homogènes selon les territoires, la plus forte croissance réside aux Etats-Unis, +64% et en Asie +11%. Par contre l'Europe, marché historique de l'éditeur, marque un recul de 9% sur les revenus issus des logiciels. La reprise se confirme donc, même si sur certaines zones géographiques, elle est plus lente à se mettre en place. Autre indice de cette bonne santé retrouvée, SAP est payé plus vite, le délai était de 79 jours au 31 décembre 2009, il est maintenant de 73 jours.
Sybase, Business ByDesign et verticalisation
L'activité de Sybase n'est pas incluse dans les résultats de l'éditeur allemand. La Commission européenne a donné son feu vert à l'acquisition la semaine dernière et le groupe a annoncé lors de la présentation des résultats la fin de l'offre publique d'achat de Sybase, en disposant de 92% du capital. Ce dernier a présenté de bons résultats trimestriels avec un chiffre d'affaires de 302 millions de dollars en hausse de 9% sur un an. Jim Hagemann Snabe, co-PDG de SAP a rappelé que Sybase était un axe important de la stratégie de SAP « qui repose sur 3 piliers : fournir des solutions, sur site, à la demande et sur n'importe quel terminal ». L'aspect mobilité est clairement l'atout de Sybase, mais il faudra attendre la mi-août pour connaître les détails de l'après-fusion et le calendrier des produits.
Un autre axe majeur est le développement des solutions auprès du marché des PME. Pour cela et comme annoncé lors de Sapphire now 2010 (lien), la suite intégrée Business by design évolue en version 2.5 « multitenant » à partir de vendredi prochain, mais uniquement, pour l'instant, sur les six pays où elle est déjà commercialisée, dont la France. Business ByDesign s'adresse aux entreprises de taille moyenne qui veulent gérer en ligne, en mode Saas, l'ensemble de leur processus de gestion, en s'affranchissant totalement, donc, de la gestion de l'infrastructure informatique sous-jacente. Celle-ci est entièrement déléguée à l'hébergeur, SAP, en l'occurrence. L'accès à l'application est tarifé sur la base d'un abonnement mensuel, par utilisateur.
Prévisions en hausse
En complément, les partenaires de SAP vont pouvoir ajouter des compétences à la suite de l'éditeur pour verticaliser la solution. Ainsi Hybris propose la gestion du multicanal, des promotions et du merchandising pour les PME, spécialisé dans le e-commerce. Il a en effet annoncé avoir été retenu par SAP pour adresser ce marché.
Conforté par les résultats solides, SAP révise ses prévisions à la hausse comprise entre 9 et 11% (8,2 milliards d'euros en 2009). En excluant l'acquisition de Sybase, la croissance du chiffre d'affaires de SAP est estimée entre 6 et 8%. Le groupe prévoit aussi une marge opérationnelle de 30 à 31% pour 2010.
Crédit Photo: SAP
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