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Mobilité
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(30/12/2009 16:10:39)
Selon O2, l'iPhone sature les réseaux mobiles
Un trafic de données sur les réseaux mobiles multiplié par 18 depuis le début de l'année. Selon O2, opérateur britannique filiale de l'Espagnol Telefonica, c'est ce qui a conduit à saturer son réseau londonien, et empêché à certains moments des clients de passer ou recevoir des appels et des données. Dans une interview accordée au Financial Times et rapportée par Reuters, un dirigeant d'O2 accuse les smartphones en général, et en particulier l'iPhone, de loin le plus vendu, de peser trop fortement sur la capacité des équipements réseau. Une complainte à vrai dire assez malvenue, O2 ayant bénéficié jusqu'en novembre d'un contrat d'exclusivité avec Apple pour la distribution de l'iPhone. Mais visiblement, l'opérateur n'avait pas anticipé son succès. Il a dû investir 30 millions de livres (33,4 M€) pour moderniser son réseau londonien et installer 200 stations mobiles supplémentaires. Et s'excuser platement pour « ne pas avoir atteint [ses] propres standards » de qualité. Reuters rapporte aussi que l'opérateur américain ATT a interrompu pendant le week-end la vente d'iPhone sur son site à destination des New-yorkais, « déclenchant des spéculations » sur le fait qu'il ferait ça pour éviter d'engorger son réseau. Personne n'avait donc prévenu les opérateurs que si on propose un service facturé très cher à des usagers qui acceptent de payer pour lui, ceux-ci se croient en droit de l'utiliser ? (...)
(30/12/2009 15:31:03)Couverture 3G, l'Arcep recule devant les opérateurs
( Source EuroTMT ) Est-ce le sentiment d'en avoir déjà beaucoup fait contre les trois opérateurs mobiles hexagonaux possédant leur réseau et qu'il n'était pas nécessaire d'en rajouter ? Toujours est-il que l'Arcep s'est contenté d'adresser une simple mise en garde aux deux opérateurs, Orange et SFR, qui ne respectaient pas leurs engagements de couverture 3G. Pour une autorité qui avait promis durant tout l'automne qu'elle ne fuirait pas ses responsabilités, cette simple mise en demeure décrédibilise l'action de l'Arcep. Car ce n'est pas la première fois que les deux opérateurs ne respectent pas leurs engagements. A l'origine du problème : le mode de sélection mis en place pour délivrer les licences 3G. Petit retour en arrière : pour se conformer à la décision européenne d'attribuer les licences UMTS avant le 1er janvier 2002, l'ART (l'ancêtre de l'Arcep) et le gouvernement avaient choisi la procédure de la sélection sur critères plutôt qu'une mise aux enchères, beaucoup plus rentable pour les finances publiques mais très coûteuse pour les trois opérateurs mobiles (qui ont la particularité d'être tous français, ce que ne manquent pas de souligner les concurrents européens qui n'ont jamais pu entrer sur le marché mobile tricolore). Un manque flagrant d'investissements S'ils n'ont été à l'époque que deux candidats à déposer un dossier, France Telecom et SFR, persuadés, comme tous les opérateurs mobiles européens, que l'UMTS serait encore plus rentable que le GSM, avaient surenchéri alors sur les critères d'attribution, notamment en matière de taux de couverture. SFR promettait ainsi de couvrir 75 % de la population deux ans après avoir obtenu la licence, puis 98,9 % après cinq ans et enfin 99,3 % au bout de huit ans. De son côté, France Télécom s'engageait sur un taux de couverture de 54 % deux ans après l'obtention de la licence, 94 % cinq ans plus tard, et 98 % huit ans plus tard. Les licences ayant été délivrées le 31 mai 2001, la première vérification que les engagements étaient bien tenus est donc intervenue à la mi 2003. Mais voilà, entre temps, la bulle boursière a explosé, et les finances des deux opérateurs sont exsangues. Comme, les équipements sont aussi en retard, SFR et Orange sont dans les choux. A l'époque, l'ART entérine la proposition des deux opérateurs de décaler de 28 mois les étapes du calendrier sans, toutefois, changer la dernière : France Télécom et SFR promettent d'atteindre respectivement 98 % et 99,3 % en août 2009. Or, à cette date-là, l'opérateur historique n'avait couvert que 83,7 % de la population, et SFR 74 % (ce qui signifie incidemment que la filiale de Vivendi a quasiment arrêté d'investir depuis deux ans). Et une nouvelle fois, l'autorité se contente d'entériner le nouvel échéancier proposé par les deux opérateurs. Pas de quoi répondre aux besoins des collectivités locales qui s'étaient inquiétées des problèmes de couverture durant tout le processus d'attribution de la quatrième licence 3G. (...)
(28/12/2009 17:55:41)10 services Google pour les entreprises
Les milliards de dollars de chiffre d'affaires de Google proviennent aujourd'hui essentiellement de la publicité. Mais le géant nourrit désormais l'ambition de proposer une plate-forme de cloud computing universelle. Le système d'exploitation Chrome OS, destiné à équiper des terminaux dédiés à l'accès à Internet, est le dernier pion avancé dans cette direction. Voici un aperçu des services en développement ou déjà proposées aux entreprises et aux développeurs. On remarquera que la collaboration est un thème récurrent. 1- Gmail pour les entreprises Pendant longtemps, Gmail n'était qu'une messagerie en mode webmail, concurrente de Hotmail ou Yahoo Mail. Mais elle est désormais déclinée en version entreprise, ciblant ceux qui ne souhaitent plus consacrer des ressources à gérer un serveur Exchange ou Lotus Notes. Gmail s'intègre en outre dans la suite bureautique en ligne Google Apps. La ville de Los Angeles vient de franchir le pas, après avoir évalué ce service au niveau de la sécurité, du contrôle de la vie privée et de la qualité de service. En France, Total étudie, par exemple, la solution de messagerie du géant américain même si aucune décision n'a encore été prise. 2 - Postini : un service de sécurité multi-messageries En 2007, Google a racheté Postini, un service destiné à sécuriser les messageries existantes, notamment via un antivirus en ligne. Google est actuellement en train de greffer ses fonctions sur ses propres applications - Google Apps et Gmail - afin de lever certaines des réticences des entreprises vis-à-vis du Cloud Computing. 3 - Calendar : partager un agenda avec des partenaires Dans les entreprises, de nombreuses entités utilisent Google Apps, parallèlement aux outils bureautiques officiellement déployés. L'un de ses modules, Google Calendar, est ainsi très souvent mis à profit pour partager rapidement un agenda au sein d'un groupe d'utilisateurs internes ou avec des partenaires et des clients. 4 - Google Docs : une suite bureautique basique orientée collaboration Toujours très basique , la suite Google Docs ne peut certes pas rivaliser avec la richesse de Word, Excel ou PowerPoint. Elle fournit toutefois les fonctions essentielles, dés lors que l'on dispose d'une connexion Internet. De plus, il est bien adapté à la réalisation d'un même document par plusieurs personnes géographiquement dispersées. 5 - Google Sites : un outil de création de site Web Issu du rachat de JotSpot en 2007, Google Sites est un outil de création de sites Web certes basique mais qui pourrait intéresser de nombreuses PME. Il se distingue par la possibilité de partager la gestion du site entre plusieurs personnes. La fonction de Wiki va également dans le sens de cette orientation collaborative. [[page]] 6 - Google Wave pour s'attaquer très bientôt à SharePoint Pour l'instant disponible en version bêta limitée, Google Wave veut concurrencer Microsoft SharePoint. Il fournit, en mode Saas, des fonctions de gestion collaborative de projets comparables mais se démarque par sa messagerie instantanée, omniprésente. 7 - Android, la plateforme mobile associée aux services Google Avec Android, Google est parvenu à proposer une alternative Open Source aux systèmes propriétaires d'Apple, Palm ou Nokia. Comme on pouvait s'y entendre, il est optimisé pour exploiter les services Gmail et Google Apps. Mais cette spécialisation pourrait être mal perçue par certaines entreprises, qui regretteront également la pauvreté des fonctions d'administration. 8 - Chrome OS, un système d'exploitation 100% web Destiné à équiper des terminaux nomades de type netbook qui devraient être commercialisés fin 2010, ChromeOS se présente comme une fine couche système entre le navigateur Chrome et le matériel. Son objectif : offrir un accès universel à toute application Web, éventuellement déployée par l'entreprise. 9 - Google Gears : le cloud computing sans Internet L'un des problèmes majeurs du Cloud Computing et du Saas, c'est que l'accès aux applications requiert une connexion Internet. Apparu en 2007, Google Gears apporte une solution en conférant au navigateur des capacités de traitement en local. Il offre une architecture à base de plug-in ciblant les différents navigateurs. Concrètement, elle donne au développeur le moyen de réaliser un plug-in unique, offrant accès à une application, que l'on soit en mode connecté ou déconnecté. Même si Google Reader et Zoho Office utilisent déjà Gears, cette technologie reste confidentielle. Signalons toutefois qu'avec l'arrivée de HTML 5, Google devrait progressivement abandonné Gears. 10 - Google App Engine : un environnement de développement en ligne Google App Engine est un environnement de développement et de déploiement d'applications construit sur un modèle proche de celui de Saleforce, l'éditeur de suivi de relations commerciales et de fichiers clients. Pour l'instant, on ne peut pas dire qu'il ait provoqué une ruée des développeurs mais Google espère qu'il profitera tôt ou tard du pouvoir d'attraction croissant qu'exercera sur eux, le Cloud Computing en général et ses services en particulier. (...)
(24/12/2009 13:32:13)Téléphonie mobile 3G : Orange et SFR sommés de respecter leurs engagements
L'opérateur de télécommunications Orange France couvre 87% de la population métropolitaine en téléphonie mobile 3G. Quant à SFR et Bouygues Telecom, ils n'atteignent respectivement que 81% et 80%. L'Arcep, l'autorité de régulation des communications électroniques et des postes, qui vient de publier cet état des lieux, précise qu'elle mène en ce moment une enquête de qualité de service montrant que les débits médians vont de 2 à 3 Mbit/s selon les opérateurs. Les résultats de cette enquête seront publiés au premier trimestre 2010.
A ce jour, les opérateurs Orange France et SFR n'ont pas atteint les taux de couverture 3G correspondants aux obligations de déploiement inscrits dans leurs autorisations et auxquels ils s'étaient engagés lors de l'appel à candidatures.
L'Arcep vient donc de les mettre en demeure d'atteindre ces objectifs. L'autorité estime qu'ils « ont tous les moyens d'atteindre en 3G une couverture analogue à la 2G » en mettant à niveau les sites déjà déployés en 2G. Elle suggère un « partage avancé » des installations réseau 3G pour accélérer les opérations.
98% de couverture 3G avant fin 2011 pour Orange France et SFR
Pour respecter ses engagements, Orange France doit assurer une couverture de la population en 3G de 91% avant la fin de l'année prochaine, et atteindre un taux de 98% avant fin 2011. SFR, de son côté, doit parvenir à couvrir 84% de la population en 3G d'ici le 30 juin 2010, 88% avant fin 2010, 98% avant fin 2011 et 99,3% fin 2013.
L'autorité de régulation précise par ailleurs que Bouygues Telecom a prévu de poursuivre le déploiement de son réseau pour atteindre, d'ici 2015, une couverture en 3G statistiquement équivalente à celle de la 2G, soit environ 99% de la population. (...)
La SNCF équipe 16 500 agents d'un smartphone HTC avec GPS
La SNCF équipe 16 500 agents de conduite nationaux (conducteurs de trains) d'un kit de mobilité à base de smartphone avec GPS, le modèle Touch HD du constructeur taïwanais HTC. Ce smartphone est doté d'une batterie à haute capacité spécifiquement conçue pour la SNCF par Honeywell Batteries, et d'une housse de protection spécifique à la SNCF réalisée par le français Mobilis. Le déploiement concerne 16 500 assistants numériques à destination de tous les agents de conduite. La Direction de la traction de la SNCF investit ainsi dans un outil métier unique mis à la disposition des Agents de Conduite pour améliorer la qualité de service rendue. Ce déploiement a lieu dans le cadre du système SIRIUS, Système Informatique Regroupant les Informations Utiles au Service. Il s'agit de faciliter l'accès à l'information en situation opérationnelle et les échanges entre services tout en modernisant l'image de la profession d'Agent de Conduite. Cet outil devait être « universel » et s'adapter aux différents pupitres de conduite présents dans les 60 types de locomotives en activité (TGV compris). Le déploiement a été confié à la société Quadria, société de services, dans le cadre d'un contrat de 3 ans, qui livrera des kits prêts à l'emploi. Le service comprend l'intégration, la masterisation, le déploiement et la maintenance J+1 sur toute la France. (...)
(21/12/2009 10:40:17)Bluetooth 4.0 adopte une technologie de réduction d'énergie
Le Bluetooth Special Interest Group (SIG), regroupement d'acteurs impliqués dans le développement de la technologie sans fil Bluetooth, annonce l'adoption d'une technologie à économie d'énergie pour les appareils de nouvelle génération. Cette dernière sera la marque de fabrique du Bluetooth dans sa version 4.0. Moins chère à fabriquer et moins énergivore, la technologie Bluetooth low energy wireless a d'ores et déjà séduit Nokia, le leader mondial de la téléphonie mobile. En plus d'être économe en énergie, le Bluetooth 'Low energy wireless' devrait réduire le temps de latence dans la communication entre appareils et dans le transfert de données, de l'ordre de trois millisecondes. La portée de la connexion sans fil est par ailleurs accrue, pour atteindre plus de 100 mètres. Les données sont sécurisées par un mode de cryptage plus performant. Selon le Bluetooth SIG, il sera possible de mettre en oeuvre cette technologie aussi bien dans les produits en cours de fabrication et normalement basés sur la technologie "classique" du Bluetooth que dans les modèles de prochaine génération. Outre les téléphones portables, les ordinateurs, les téléviseurs, cette technologie devrait se trouver dans les montres, les télécommandes et autres capteurs pour le sport et la santé. (...)
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