Flux RSS
Mobilité
3327 documents trouvés, affichage des résultats 271 à 280.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(29/11/2011 15:55:34)
Microsoft adapte ses logiciels à plusieurs OS mobiles avec AgreeYa Mobility
Microsoft a annoncé hier qu'il accorderait les licences de plusieurs de ses logiciels à AgreeYa Mobility, une société qui développe des application mobiles. Elles seront disponibles pour Android de Google, iOS d'Apple, Blackberry OS de RIM, ou Web OS d'HP. Les applications d'AgreeYa Mobility seront compatibles avec des produits comme Remote Desktop Services, Windows Azure, Active Directory et SharePoint. L'objectif est de faciliter l'utilisation de ces applications pour les employés qui s'appuient sur leurs terminaux personnels pour travailler, a indiqué Sandy Gupta, directrice générale des solutions ouvertes chez Microsoft.
Une plus grande variété de terminaux mobiles
Grâce à cet accord de licence, AgreeYa sera en mesure de proposer une application qui permettra aux salariés de visualiser des documents SharePoint sur leurs terminaux personnels. L'employé pourra ensuite éditer ses documents sur une imprimante de la société. « Evidemment, ce n'est qu'une étape, mais elle est concrète pour que les services d'entreprise puissent s'interopérer avec des applications mobiles », a ajouté Sandy Gupta.
Microsoft a conclu des accords de licence similaires avec d'autres fournisseurs pour développer le même type d'applications, mais elles étaient destinées à un seul terminal ou à un même système d'exploitation. Le dernier accord se traduira donc par l'intégration d'une plus large gamme de terminaux mobiles.
AgreeYa Mobility une filiale d'AgreeYa Solutions, travaille avec des fabricants de terminaux, principalement en Asie, pour développer des logiciels pour smartphones et tablettes. Son PDG, Krish Kupathil a indiqué qu'il prévoyait de lancer une suite d'applications en mars 2012. Plusieurs fabricants ont déjà testé ses solutions, mais Krish Kupathil a refusé de communiquer leurs noms. Les produits seront disponibles dans les app stores et dans d'autres points de vente.
(...)
RIM étend son outil de gestion de flotte mobile aux terminaux Android et iOS
BlackBerry Mobile Fusion, présenté par RIM, est un outil conçu pour simplifier la gestion des smartphones et des tablettes qui fonctionnent actuellement sous BlackBerry OS et la future plate-forme de BBX qui est basée sur l'OS QNX. Mais Fusion Mobile sera également capable de gérer les terminaux sous Android (2.1 ou supérieur) de Google et iOS (4 et 5) d'Apple.
La consumérisation de l'IT progresse en entreprise et RIM pense qu'il a une carte à jouer dans la gestion de flotte mobile. En effet, de plus en plus d'entreprises donnent le choix à leurs salariés de travailler avec leur propre terminal. Les responsables IT des sociétés s'attachent alors à s'assurer de la sécurité des accès et de l'intégration des terminaux au sein du SI. De nombreux éditeurs proposent déjà des outils de gestion de flotte mobile, notamment Sybase, Zenprise et Fiberlink, mais RIM dispose d'une longue expérience avec plusieurs millions de terminaux circulant au sein des entreprises, notamment au travers du BlackBerry Entreprise Server (BES). Mobile Fusion va donc s'intégrer au sein du BES pour gérer l'ensemble de la flotte de mobile. Parmi les fonctionnalités dont dispose cet outil de device management, on retrouve la gestion d'actifs, la configuration et l'intégration des politiques de sécurité (effacement à distance etc...), les profils des utilisateurs, de groupes, la gestion des applicatifs, de la connectivité sans fil, etc.
Le service BlackBerry Mobile Fusion est pour l'instant en test chez plusieurs clients et partenaires. Il sera effectivement lancé au mois de mars 2012.
Un Trojan envoie des SMS surtaxés depuis des mobiles Android
Ce type de Trojan chargé d'envoyer des messages SMS ou d'initier des appels vers des numéros surtaxés, a d'abord été conçu pour la plateforme Symbian de Nokia et les OS mobiles basés sur Java. Il a été aussi essentiellement localisé en Chine ou en Russie depuis plusieurs années. Cependant, la propagation rapide de terminaux sous Android, combinée à l'ouverture de la plateforme mobile de Google, a attiré les auteurs de malware, les incitant à piéger de nouvelles victimes sur ce marché du smartphone.
Jusqu'au début de cette année, la grande majorité des chevaux de Troie Android, repérés ici et là, ciblaient surtout des utilisateurs chinois et russes. Principalement parce que l'installation d'applications provenant de sources non officielles est très répandue dans ces pays-là. Néanmoins, comme le fait remarquer Denis Maslennikov, analyste senior spécialisé dans les malwares chez Kaspersky Lab, « ces derniers mois, les auteurs de logiciels malveillants ciblant la plate-forme Android se sont tournés vers le marché international. » Le nouveau cheval de Troie pour Android découvert par Kaspersky porte le nom de Trojan-SMS.AndroidOS.Foncy. Et, à en juger par les divers témoignages publiés en ligne par les victimes, celui-ci a fait son apparition dans le courant du mois de septembre. « Le malware se présente comme une application de gestion des messages SMS, et est distribué via des sites d'hébergement de fichiers, » indique l'analyste. Une fois installée sur un périphérique, l'application envoie quatre faux messages texte à des numéros préenregistrés et surtaxés en France, en Belgique, en Suisse, au Luxembourg, en Allemagne, en Espagne, au Royaume-Uni et au Canada, selon le pays où a été émise la carte SIM.
Un moyen simple de faire de l'argent
Lorsqu'ils ont analysé le cheval de Troie, les experts de Kaspersky ont remarqué que le code responsable de l'envoi de messages texte non autorisés au Canada était cassé. Mais les auteurs du malware ont peut-être corrigé ce bout de code dans les versions plus récentes. « Aujourd'hui, malheureusement, les Trojan SMS sont un moyen simple pour les cybercriminels de se faire rapidement et facilement de l'argent, » a déclaré Denis Maslennikov dans un blog. « L'utilisation frauduleuse des services SMS surtaxés se répand partout dans le monde, et je suis sûr que cela ne va pas s'arrêter de si tôt, » a-t-il ajouté.
Malgré des incidents comme celui-ci et les nombreuses mises en garde de spécialistes de la sécurité, affirmant que le nombre de chevaux de Troie pour Android est en augmentation rapide, tout le monde n'a pas l'air convaincu que le système d'exploitation mobile de Google pose un problème en matière de malware. Il y a une semaine, Chris DiBona, responsable des programmes Open Source de Google, a accusé les vendeurs d'antivirus d'utiliser la peur pour vendre des logiciels de sécurité « inutiles » pour Android. Les experts en sécurité sont en désaccord avec l'évaluation du développeur de Google et estiment que, même si les chevaux de Troie pour Android n'ont pas encore prouvé leur capacité d'auto-réplication, leurs diverses intrusions sur l'Android Market officiel suffisent à en faire une réelle menace.
(...)(29/11/2011 12:09:12)Twitter rachète Whisper Systems, pour sécuriser les smartphones Android
En mettant la main sur Whisper Systems, un spécialiste des solutions de sécurité pour les smartphones sous Android, le site de micro-blogging Twitter renforcera ses options de sécurité mobile. L'offre de l'éditeur se compose de WhisperCore, un logiciel qui procède au chiffrement complet de la mémoire du disque ainsi que d'outils de gestion pour les téléphones Android. Gratuites pour les particuliers, ces applications sont payantes pour les clients professionnels
Les autres solutions développées par Whisper Systems incluent le cryptage de texte et de la voix, des logiciels pare-feu et de la sauvegarde chiffrée.
Dans un billet de blog consacré à cette acquisition, l'éditeur n'expose pas ce que Twitter fera de sa technologie. Il y indique simplement que ses logiciels continueront à être disponibles, mais que ses produits et services seront hors ligne au cours de la période de transition. Sur un forum du site de Whisper Systems, les utilisateurs n'étant apparemment pas au courant de l'acquisition se sont déjà demandés pourquoi ils ne pouvaient pas télécharger ces produits.
Déverrouillage via les empreintes de doigts
De son côté, Twitter n'a pas fait de commentaires sur les projets qui découleront de cette acquisition. Whisper Systems possède un certain nombre de caractéristiques conçues pour compenser les faiblesses de sécurité d' Android. Ses utilisateurs peuvent par exemple révoquer de manière sélective les autorisations que demandent une application, en continuant à utiliser l'app.
Le logiciel inclut également une fonctionnalité visant à contrecarrer une personne qui a volé un téléphone en déterminant un code de déverrouillage du téléphone basé sur des traces de doigts sur l'écran. Certains téléphones Android affichent des lignes de points et ils peuvent être déverrouillés lorsque l'utilisateur glisse un doigt sur certains points. Or, un attaquant pourrait être en mesure de recréer le modèle en examinant les traces de doigts sur l'écran. Parce que WhisperCore affiche un code dans une colonne, le voleur ignore dans quel ordre sont placés les chiffres pour pouvoir déverrouiller le téléphone.
Il y a quelques mois, Whisper Systems avait publié un kit de développement logiciel afin que les développeurs puissent commencer à bâtir quelques fonctionnalités de WhisperCore dans leurs applications.
Peu d'entreprises procèdent à du chiffrement complet du disque pour Android, et il existe de nombreuses autres approches relatives à la sécurisation des téléphones sous cet OS. Des groupes comme 3LM et Good Technology proposent des services de sécurité mobile pour les entreprises. En outre, les produits de gestion de terminaux mobiles développés par des firmes comme Sybase, BoxTone, Zenprise, MobileIron ou Fiberlink laissent les responsables sécurité définir les politiques de base comme l'obligation du mot de passe et l'effacement à distance, et offrent également d'autres fonctionnalités liées à la sécurité.
(...)
La 3G attendue en 2013 dans le métro parisien
Les voyageurs RATP pourraient disposer d'un accès à la téléphonie de troisième génération, dite 3G, d'ici à deux ans, a indiqué à l'agence Relaxnews Marie-Catherine Lecoufle, responsable produits publicitaires et commerciaux. La régie des transports franciliens lancera prochainement son appel d'offre auprès des quatre opérateurs mobile (Orange, SFR, Bouygues et Free).
"Nous aimerions déployer rapidement la 3G dans le métro parisien pour répondre à la demande de nos voyageurs, qui jusqu'ici n'accèdent qu'à la 2G, réseau qui arrive rapidement à saturation", explique la représentante de la RATP. Et d'ajouter : "nous tablons sur un délai de deux ans, maximum, pour obtenir un accès à la téléphonie de troisième génération, si nous trouvons un partenaire intéressé parmi les opérateurs".
La RATP attribuerait l'offre à un seul fournisseur mobile "car ce serait plus rapide et moins coûteux", avance Marie-Catherine Lecoufle. Le partenaire de la régie pourrait alors, lui-même, nouer des accords avec les autres opérateurs. 5 millions de voyageurs transitant dans le métro quotidiennement pourraient bénéficier de la 3G, soit d'une connexion internet plus rapide et moins saturée.
(...)(28/11/2011 12:23:08)Free Mobile : Un forfait à 10 euros et un lancement à Noël ?
Il y a quelques jours le Figaro indiquait que le réseau de Free Mobile était prêt et couvrirait 27% de la population. L'opérateur respecterait ainsi l'obligation inscrite dans sa licence. L'ARCEP va réaliser un audit de vérification du taux de couverture. Une fois le quitus accordé, Iliad pourra débloquer son accord d'itinérance avec Orange sur le reste du territoire. Il reste néanmoins deux interrogations pour lesquelles on assiste à un ballet de rumeurs et de prévisions.
La première question concerne la date de lancement de l'offre Free Mobile. La période de début janvier semble écartée au profit du mois de décembre. 14 décembre, 19 décembre ou 24 décembre toutes les propositions fusent sur le web. La raison : la période de Noël est traditionnellement la plus importante pour recruter des abonnés, car les contrats avec les opérateurs arrivent à expiration. Certains pensent qu'Iliad testerait une version d'essai de son offre mobile en décembre, avant de se lancer officiellement et sur une plus grande échelle au mois de janvier.
Des pronostics et la concurrence s'affine
Autre interrogation, le contenu des offres. Xavier Niel, fondateur d'IIiad a toujours affirmé sa volonté de diviser par deux la facture de la téléphonie mobile dans les foyers. L'agence de presse Reuters a demandé à 9 analystes de se pencher sur la question. Free Mobile devrait avoir un éventail d'offres dont les prix s'étaleraient entre 10 et 27 euros par mois. L'offre la moins chère commencerait même à 5,90 euros par mois pour deux heures d'appels. Pour apporter des prix aussi serrés, les analystes pronostiquent l'utilisation de la téléphonie par Internet via Skype, mais surtout la non-subvention du terminal, ainsi que l'absence de distribution physique.
La concurrence a depuis quelques mois présenté son arsenal d'offres pour contrer Free mobile. B&Y de Bouygues Telecom, Red de SFR et Sosh d'Orange ont été lancées. Ce dernier va faire évoluer son offre 2h le 15 décembre prochain, mais sans savoir si le prix va baisser ou apportera de l'Internet illimité (sans bridage). On peut s'attendre à ce que les opérateurs traditionnels réagissent après le lancement de Free mobile, pour le plus grand bonheur des consommateurs.
Didier Lamouche nommé PDG de la co-entreprise ST-Ericsson
Nommé il y a un an directeur général du fabricant de semiconducteurs franco-italien STMicroelectronics, Didier Lamouche devient PDG de la société ST-Ericsson. Cette co-entreprise, créée en 2009, est détenue à parité par STMicroelectronics et par la division plateforme mobile d'Ericsson, acteur suédois des télécommunications. Elle est spécialisée dans les circuits électroniques pour les terminaux mobiles (smartphones et tablettes, notamment).
La nomination de Didier Lamouche à la tête de ST-Ericsson sera effective le 1er décembre 2011. A ce poste, il remplace Gilles Delfassy, ce dernier gardant un rôle de conseil auprès du PDG durant une période de transition. Depuis avril, il était déjà membre du conseil d'administration de ST-Ericsson.
Tout en conservant son poste de directeur général de STMicroelectronics, Didier Lamouche se concentrera désormais à plein temps à la direction de ST-Ericsson, est-il indiqué dans le communiqué de sa nomination, à un moment où la société entre dans une phase de livraison en volume.
Didier Lamouche est également au conseil d'administration de Soitec et Adecco. De 2005 et 2010, il fut PDG du groupe français Bull. Il bénéficie d'une expérience de 25 ans sur le secteur des semiconducteurs. Après avoir rejoint IBM Microelectronics en 1985, il avait été nommé en 2003 vice-président pour IBM, responsable des opérations mondiales pour les semiconducteurs. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |