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Mobilité
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(29/03/2006 18:02:25)
Technologie : un Mastère pour se spécialiser dans l'informatique nomade
Pour les informaticiens qui souhaitent se positionner sur le marché porteur des applications nomades, devant intégrer des terminaux, des capteurs et autres appareils mobiles, l'Ensea (école nationale supérieure de l'électronique et de ses applications) et L'Itin (école supérieure d'informatique, réseaux et système d'information) joignent leurs enseignements dans un nouveau cursus dédié : un mastère spécialisé en « Télécommunications et informatique Mobiles ». La première promotion de cette formation doit démarrer en octobre prochain. Elle dure un an et s'adresse à des ingénieurs diplômés ou à des titulaires d'une maîtrise avec au moins 3 ans d'expérience en entreprise. (...)
(28/03/2006 17:54:46)Les utilisateurs de Wi-Fi veulent une sécurité plus simple à mettre en place
Le grand public a besoin de normes de sécurité plus simples pour la mise en place de leurs équipements Wi-Fi, selon l'institut ABI Research. L'étude révèle que les difficultés rencontrés par les utilisateurs pour sécuriser leur accès sans fil sont si nombreuses que beaucoup d'entre eux finissent par considérer comme inéluctable l'ouverture à tous les vents de leur connexion. "Le consommateur moyen a pleinement conscience des exigences de sécurité, explique Sam Lucero, analyste pour ABI Research. La complexité des solutions de sécurisation existantes frustre le plus grand nombre qui considère, par conséquent, ce problème comme insoluble". Pourtant, indique l'institut, des solutions relativement simples existent, à l'image de l'AOSS (AirStation One-touch Secure Set-up) de Buffalo Technology ou de l'outil de Bradcom and Atheros. Et le cabinet d'espérer que l'une ou l'autre de ces technologies rejoigne la Wi-Fi Alliance et devienne un standard ouvert au cours de 2006. "Des solutions de sécurité plus simples n'apporteront pas nécessairement à leur créateur un avantage concurrentiel. Mais une fois que la Wi-Fi Alliance s'arrête sur un standard, la plupart des fabricants - sinon tous - l'adopteront". (...)
(27/03/2006 12:41:07)Wimax, la stratégie de Bolloré
R&T : Pourquoi ce soudain intérêt pour le monde des télécoms ? Jean-Christophe Thiery : Voici bientôt cinq ans que le groupe Bolloré s'est lancé dans la communication et les médias. Ce pôle s'est, depuis, considérablement développé. Nous avons, notamment, investi dans Euro Média et la SFP, qui forment le premier groupe français de prestations techniques pour l'audiovisuel et le cinéma ; puis nous avons lancé, avec succès, Direct 8, une chaîne généraliste gratuite de la TNT, totalement en direct. Dans le secteur de la publicité, le groupe est désormais le premier actionnaire d'Havas, présidé par Vincent Bolloré, et d'Aegis. Poursuivant cette logique de diversification ciblée, nous avons réfléchi à la convergence entre les médias et le monde des télécommunications. L'appel à candidature de l'Arcep sur les licences Wimax nous permet de concrétiser notre intérêt pour le secteur des télécoms. Nous sommes candidats aux licences Wimax parce que nous avons un projet ambitieux et cohérent. Nous avons déployé beaucoup d'efforts pour concevoir un réseau de nouvelle génération et optimiser les déploiements nécessaires à une couverture de chaque région. R&T : Quels sont les atouts de la technologie Wimax ? J.-C. T : Tout d'abord, nous avons la certitude que les besoins des consommateurs en haut débit, fixe ou nomade, vont aller crescendo. C'est évident ! Cette demande est nationale et touche tous les citoyens. La technologie Wimax répond totalement à ces besoins. Elle permet de couvrir de larges territoires à des débits élevés et à moindre coût. Le Wimax est, de plus, riche en promesses, notamment avec les évolutions du 802.16e. R&T : Serez-vous un acteur Wimax exclusivement ? J.-C. T : Notre objectif est de nous positionner sur les débits, les tarifs et le contenu. Nous voulons offrir le meilleur service et les contenus les plus pertinents, à des prix attractifs pour nos abonnés. Nous proposerons des offres spécifiques à des communautés (sportives, étudiantes...), et nous nous attacherons à offrir une facture unique incluant les services voix, data, vidéo et, bien évidemment, les services en nomadisme... Nos offres seront acheminées par la technologie Wimax, mais, si besoin, nous n'excluons pas l'usage d'autres technologies, y compris filaires. Le fil directeur de Bolloré Télécom restera, avant toute chose, l'innovation. Nous avons réuni des compétences très pointues pour que les usages du haut débit se généralisent. R&T : Quelles sont vos expertises métiers déclinables sur le Wimax ? J.-C. T : Le groupe Bolloré est très impliqué dans les secteurs du transport, de la logistique, de la gestion d'infrastructures portuaires, domaines dans lesquels le Wimax peut offrir de multiples services innovants. Dans le secteur de la publicité et dans les médias, on peut imaginer que le Wimax nous permettra de diffuser nos contenus vidéo et audio ou encore de gérer l'affichage urbain à distance, permettant ainsi de fournir l'information géographiquement ciblée, de manière dynamique. R&T : Etes-vous confiant sur l'attribution des licences par l'Arcep ? J.-C. T : L'Arcep a retenu des critères objectifs pour retenir les meilleures candidatures. Sur au moins deux des trois critères de sélection, la candidature de Bolloré Télécom me semble intéressante. Tout d'abord, le groupe Bolloré est, depuis près de deux cents ans, un groupe français, indépendant, avec des capacités financières importantes ; cette position lui permet d'investir dans des projets ambitieux dans une perspective de long terme. Notre implication dans le secteur des télécoms sera bénéfique à la concurrence, ce qui constitue un objectif majeur de l'Arcep, comme elle l'a prouvé sur le marché du dégroupage. Par ailleurs, nous avons pris des engagements très concrets pour réduire la fracture numérique en France. Par exemple, nous nous sommes engagés à déployer nos infrastructures Wimax aussi bien dans les zones denses que les zones blanches, ce qui permettra à 99 % de la population et des entreprises françaises d'accéder au haut débit. Nous couvrirons notamment la moitié des zones rurales françaises avant la fin 2008. Ensuite, nous réservons une cagnotte pour couvrir les éventuels trous et zones d'ombre dans la couverture. R&T: Vous êtes-vous fixés une limite en deçà de laquelle vous jetterez l'éponge ? J.-C. T : Chaque région représente un réel intérêt. Par ailleurs, nous faisons confiance à l'Arcep pour composer un ensemble cohérent. R&T: Resterez-vous seul ? J.-C. T : D'ores et déjà, Bolloré Télécom regroupe les talents et les compétences de trois partenaires, dont Hub Télécom, qui est un opérateur télécoms retenu, et Antalis TV, qui est un diffuseur technique performant. Notre démarche est guidée par le pragmatisme, et nous sommes ouverts à tout autre partenariat, notamment avec toutes les collectivités territoriales qui le souhaiteraient. (...)
(22/03/2006 12:39:40)VeriSign s'offre m-Qube, spécialiste de la distribution de contenus
VeriSign poursuit sa stratégie de développement externe. Après avoir acheté le mois dernier 3united et Kontiki, VeriSign continue son marché et vient de s'offrir m-Qube. Cette entreprise américaine propose de développer et de distribuer des contenus pour les téléphones mobiles. M-Qube est capable de délivrer des messages à plus de 200 millions d'inscrits répartis sur le continent nord américain. Des entreprises telles que Sony Pictures, CBS, Reuters ou encore Virgin Mobile Canada lui font confiance. Cette acquisition entre parfaitement dans la visée de VeriSign qui compte être présent sur tous les supports d'information afin de «permettre aux opérateurs et aux portails Internet de proposer à tout moment des services mobiles à haut débit ». Le montant de l'acquisition s'élève à 250 M$ en numéraire. La transaction devrait être finalisée pour le second trimestre 2006. (...)
(21/03/2006 17:39:26)Roaming : réactions partagées des opérateurs mobiles européens
Selon le Financial Times, les opérateurs mobiles européens réagiraient en ordre dispersé mais généralement peu favorablement à la volonté de Bruxelles de légiférer sur les tarifs de l'itinérance, ou roaming. Les analystes estiment que le roaming représente 10 à 15 % des profits des opérateurs mobiles. Vivianne Reding, commissaire européenne à la société de l'information, s'est saisie du dossier estimant les tarifs de ces services « outrageusement élevés ». Le quotidien financier britannique évoque un texte - non communiqué - qui serait la cause de ces divergences entre opérateurs du nord de l'Europe et ceux du sud. En raison du tourisme, les opérateurs du sud seraient largement bénéficiaires du roaming au détriment de leurs concurrents nordiques. Un porte-parole de la commission a expliqué que le processus de législation était en cours mais que rien n'était définitif. La commission préférerait que les opérateurs s'autorégulent et trouvent une solution par eux-mêmes. Ce qui ne devrait pas l'empêcher de présenter rapidement un brouillon du texte au public, histoire de faire monter la pression sur les opérateurs... (...)
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