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Mobilité

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(19/10/2011 16:41:53)
RIM unifie ses OS tablette et smartphones autour de BBX
Après les évènements de la semaine dernière, RIM reprend la main sur le plan technologique en dévoilant un OS unifié. Le BBX OS est un hybride entre QNX, le système d'exploitation de la PlayBook et celui équipant les BlackBerry, qui se trouve actuellement sur les téléphones de RIM. Cet OS apportera aux développeurs la possibilité de travailler avec un grand nombre de librairies de développement Open Source. Le constructeur canadien n'a pas détaillé l'apparence ou les caractéristiques de BBX, sauf pour indiquer qu'il fonctionnerait avec Cloud Services BlackBerry, sur lequel les développeurs peuvent écrire des applications. Le dirigeant a simplement montré une démo d'une application Photo, qui imite le tri des piles de photos. Les photos se déplaçaient avec fluidité sur l'écran, avec même un peu d'effet 3D. RIM a également mis l'accent sur les jeux 3D et les applications HTML5 qui fonctionneront sur la prochaine plateforme.
Mais quand cet OS sera disponible ? Mike Lazaridis n'a pas donné de date sur la sortie des premiers terminaux équipés de BBX. Il n'a pas expliqué non plus si cet OS sera disponible sur la tablette actuelle ou les dernières générations de smartphones. Le Président de RIM a simplement déclaré « nous sommes déterminés sur la Playbook, il n'y a aucun doute sur ce sujet ». Preuve que le constructeur n'a pas l'intention d'abandonner sa tablette, malgré de faibles ventes.
Une annonce bien accueillie
Les développeurs présents à la conférence ont salué l'accent mis par RIM sur les outils Open Source. De plus en plus, les développeurs de BlackBerry peuvent partager des composants logiciels qu'ils créent, a déclaré Aaron Barnes, un développeur de jeu pour la société Motek Mobile.
« C'est un monde qui évolue rapidement », a déclaré Julian White, PDG de Solutions Seregon. Ce dernier propose DragonRAD, des outils multiplateformes pour les applications mobiles et d'ajouter « RIM a une vision plus cohérente aujourd'hui ». Il a été impressionné par les différentes démonstrations, notamment sur l'interface utilisateur Cascades. Il espère que le constucteur portera cette interface sur HTML5.
(...)(19/10/2011 09:57:26)
Paris suspend l'implantation d'antennes de téléphonie mobile
Mao Peninou, adjoint au maire de Paris, a annoncé lors des débats du Conseil municipal du 17 octobre que la Ville de Paris allait prendre ses responsabilités vis-à-vis des opérateurs de téléphonie mobile. La première décision est donc de suspendre toute installation d'antennes, mais également d'ouvrir une étude juridique en ce qui concerne les installations actuelles.
La Mairie souhaite travailler sur une proposition de charte unilatérale, qui serait proposée aux opérateurs souhaitant, à l'avenir, disposer d'une autorisation d'implantation. La capitale recense 186 antennes-relais installées sur les toits, pour un total de 1 200 antennes dans la capitale.
Les opérateurs profitaient jusqu'ici à Paris de l'absence de décision gouvernementale en matière de réglementation de la puissance des ondes électromagnétiques pour tenter d'imposer une dérégulation dans ce domaine. Eric Besson, le ministre chargé de l'Economie numérique, a déploré "la décision unilatérale de la Mairie de Paris de suspendre le déploiement des réseaux numériques mobiles dans la capitale".
Crédit Photo: D.R
L'Idate analyse les problématiques réseaux du haut débit mobile
En amont de la 33ème édition de Digiworld, à Montpellier les 15 et 16 novembre 2011, l'Idate a publié une étude sur les évolutions actuelles du marché des télécommunications et de la mobilité. L'institut a aussi présenté les questions centrales qui seront étudiées au cours du prochain Digiworld.
La première question est le rôle et la diversité des terminaux. En effet, à l'heure du cloud et du multiscreen, le terminal peut-il vraiment être un objet décisif pour réaliser un usage ? Le terminal (smartphone, PC ou télévision) ou les intermédiaires de connexion avec le réseau (comme les box) vont-ils continuer à être fournis par les opérateurs ou pas ? Pour l'institut de recherches, il est acquis que le smartphone sera majoritaire dans les connections sur les réseaux mobiles. Cependant, la variété des appareils se connectant va aller croissante : tablettes, box, etc.
La deuxième question importante est l'évolution des réseaux fixes et mobiles. Un terminal n'a en effet d'intérêt que s'il permet de se connecter à des services et des contenus. La 3G a montré ses limites mais le LTE (4G) demeure encore en devenir, du moins en Europe.
Une grande variété de situations dans le monde
Le déploiement du LTE dépend en premier lieu de l'attribution des fréquences appropriées. Or si cette délivrance a eu lieu il y a déjà plusieurs années aux Etats-Unis, elle n'est toujours pas faite en Grande Bretagne. Dans ce pays, une partie des fréquences utiles est en effet déjà affectée à d'autres usages. D'une manière générale, l'Europe est très en retard par rapport aux Etats-Unis pour toutes les infrastructures du très haut débit. L'une des raisons majeures de ce retard est la réticence des opérateurs à procéder à des investissements considérables alors que la génération précédente d'équipements fonctionne bien. La qualité de l'ADSL (pour le fixe) et de la 3G est en effet largement supérieure en Europe qu'aux Etats-Unis. Le premier pays au monde à déployer du LTE a cependant été la Suède et l'un des pays ayant le plus déployé est l'Allemagne.
A cela s'ajoute une différence de dynamisme et de concentration du marché. Là où l'Europe est, au mieux, en stagnation, les Etats-Unis voient leur marché des télécommunications continuer de croître. La mobilité est l'un des marché les plus durement touchés en cas de crise : la Grèce a ainsi vu son marché s'effondrer de 15% en un an. Le dynamisme du marché asiatique devrait d'ailleurs amener l'Asie à dépasser l'Europe en termes d'accès mobiles à Internet au plus tard d'ici 2015.
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Selon l'Idate, le trafic mobile devrait être multiplié par 33 entre 2010 et 2020, le trafic voix devenant très minoritaire. Quand les infrastructures sont déployées et les offres commerciales similaires, les comportements de consommation entre le mobile et le fixe ont tendance à converger. Les tarifs pratiqués par les opérateurs 4G ne sont d'ailleurs pas tellement supérieurs à ceux pratiqués pour la 3G.
La question des normes
Au contraire de la 3G qui était déployée sur un petit nombre de fréquences et avec des normes bien précises, le LTE souffre d'une certaine diversité. Les bandes de fréquences attribuées, notamment, peuvent être très différentes selon les pays, en fonction des fréquences disponibles. Or un même chipset ne peut pas gérer une infinité de fréquences, ce qui oblige les fabricants à prévoir plusieurs chipsets pour des modèles d'appareils identiques. De plus, la voix pose toujours des soucis sur la 4G à de nombreux opérateurs dont le coeur de réseau n'est pas adapté. Lorsque la 4G est une prolongation de la 3G, comme en Europe, un même chipset peut assurer le service en 4G et 3G. Dans le cas contraire, le terminal doit embarquer et faire fonctionner deux chipsets différents, ce qui influe négativement sur son autonomie. Aux Etats-Unis, AT&T (qui utilise l'UMTS pour sa 3G) a ainsi un avantage concurrentiel sur Verizon (qui avait choisi le CDMA) pour déployer le LTE (4G).
Certains pays (comme les Etats-Unis, la Chine et le Japon) profitent du passage à la 4G pour solder leurs particularités locales de leurs 3G. Cette motivation joue pour déployer plus rapidement la 4G.
Les modèles d'opérateurs en jeu
Le déploiement des infrastructures refait surgir des questions fondamentales sur la répartition des rôles. Rediriger du trafic mobile vers des infrastructures fixes grâce à des hot-spots WiFi privés est une manière de limiter les investissements 4G mais les opérateurs ont du mal à facturer leurs prestations dans ce cadre là tout en conservant leurs marges.
Une autre possibilité est de distinguer le propriétaire de l'infrastructure de son exploitant. Si le modèle a fait ses preuves en France avec le dégroupage des équipements de cuivre, les opérateurs souhaitent éviter une telle séparation des rôles sur les infrastructures très haut débit aussi bien mobiles que fixes. Ils souhaitent en effet maîtriser à la fois leurs infrastructures et le contact client porteur de valeur.
Enfin, en France, le marché est plus mature quant aux offres groupées fixe/mobile/Internet car tous les opérateurs sont présents partout à la fois en fixe et en mobile. Ce n'est pas le cas dans d'autres pays, notamment les Etats-Unis.
Les utilisateurs d'Android sont majoritairement satisfaits et fidèles
Les mobinautes utilisant Android sont majoritairement satisfaits (85,4%) de leur système d'exploitation, selon une étude menée par Surikate, société française spécialisée dans les services de marketing mobile. Ils privilégient les applications et les services Google, et n'envisagent pas de changer de système d'exploitation à l'avenir.
En tête des atouts d'Android pour ses utilisateurs, les applications (55%) puis l'intégration des services de Google (53%), la possibilité de personnalisation (50%), le choix du téléphone (47%) et enfin la lecture de Flash (47%). Leurs fonctions préférées sont les services Google (65%), la personnalisation (55%) et le GPS gratuit (48%).
Une grande fidélité
Les sondés téléchargent en moyenne huit applications par mois, et sont 50% à posséder plus de 40 applications sur leur smartphone. Les jeux sont les plus populaires (66,9% des téléchargements) et le critère principal avant de les télécharger est sa note. L'étude relaie également que 45,5% des utilisateurs d'Android n'ont jamais téléchargé d'application payante.
Ils sont 84,2% à souhaiter rester fidèle à ce système d'exploitation. Ce chiffre monte à 98,4% chez les utilisateurs du téléphone Nexus (Google). Parmi toutes les personnes interrogées, 21,7% possèdent une tablette. Pour 72,4% de ceux-ci, elle est également sous Android.
Cet OS est le plus populaire en France sur smartphones, avec une part de marché de 28,5% fin juillet (source : GfK).
Enquête réalisée durant l'été 2011 auprès de 6.236 utilisateurs du système d'exploitation mobile.
Les dépenses IT devraient croître de 3,9% en 2012 selon Gartner
Même si ce chiffre constitue un léger ralentissement par rapport à 2011 (+5.9%), Gartner souligne que les entreprises semblent vouloir poursuivre leurs investissements IT en dépit des tensions économiques globales.
Selon Peter Sondergaard, senior vice president chez Gartner, 65% des PDG estiment qu'au cours de la prochaine décennie, l'informatique contribuera plus que jamais auparavant à l'essor de leur secteur. Il a également noté que les dirigeants du monde IT doivent s'adapter aux rapides changements de paradigmes auxquels fait face le monde IT. A ce propos, il est revenu sur les défis que représentent le cloud, le web social, l'internet mobile, ainsi que l'explosion de la quantité d'informations disponibles. Pour chacun de ces domaines, il a évoqué les défis principaux qui attendent les dirigeants IT.
Des défis de taille
Le cloud: en 2010, les services cloud représentaient 3% des dépenses des entreprises. Ces 4 prochaines années, ces dépenses vont croître cinq fois plus rapidement que les dépenses IT globales (+19% par année jusqu'en 2015). La manière dont les entreprises gèrent leurs données est ainsi appelée à connaître de profondes mutations.
Le web social: alors que 1,2 milliards de personnes sont aujourd'hui sur des réseaux sociaux, les dirigeants IT doivent urgemment se préoccuper d'incorporer des fonctionnalités sociales au sein même de leurs systèmes d'entreprise.
Les données: selon M. Sondergaard, «La donnée est le pétrole du 21e siècle, et l'analyse fera office de moteur à combustion». Cette explosion du nombre de données disponibles va imposer une refonte totale de la stratégie de gestion des données au sein des entreprises, avec une démultiplication des systèmes (content management, data warehouse) connectés via des services de données et des métadonnées.
L'internet mobile: en 2010, le nombre de laptops, tablettes et smartphones entrés sur le marché a dépassé celui des PC de bureau traditionnels. En 2016, Gartner estime que 900 millions de tablettes numériques seront vendues. Cela nécessitera de la part de l'IT de repenser complètement la manière de fournir ses applications à ses utilisateurs. D'ici à 2014, 60% des entreprises IT auront déployés des app stores privés. Quant aux applications proprement dites, elles seront entièrement reconçues, pour devenir contextuelles, comprenant automatiquement l'intention de l'utilisateur.Crédit Photo : D.R
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