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Mobilité
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(14/10/2011 16:25:51)
Le service iCloud d'Apple rencontre des problèmes
Si l'on en croit l'expérience de certains utilisateurs, le lancement du service de stockage en ligne iCloud, ce mercredi, a remis en mémoire les écueils qui s'étaient présentés il y a trois ans, à l'ouverture du site MobileMe qu'il est censé remplacer. A l'époque, ils avaient pointé du doigt la lenteur de la synchronisation et avaient subi une interruption de service de 11 jours.
En juin, lors de l'annonce d'iCloud sur la conférence annuelle des développeurs, Steve Jobs, alors PDG d'Apple, avait admis qu'il y avait eu des problèmes avec MobileMe. « Ce ne fut pas notre heure de gloire, avait-il dit alors en ajoutant. Mais nous avons beaucoup appris. ». Peut-être pas tant que cela si l'on en juge par le nombre de réclamations publiés par les utilisateurs sur les forums du support relatif à iCloud. Celles-ci font état de différents aléas : incapacité à se connecter en utilisant son identifiant Apple habituel, serveurs surchargés qui ne traitent pas les demandes de migration MobileMe, défauts de backup en ligne sous iOS, bookmarks Safari dupliqués... Chez nos confrères de Computerworld, plusieurs utilisateurs ont rencontré des soucis identiques.
« S'il vous plaît, essayez plus tard ».
Parmi les plaintes les plus signalées figurent l'incapacité d'iCloud à livrer les e-mails ou à laisser les utilisateurs se connecter sur leurs comptes .me ou .mac. « Ne migrez pas vers iCloud sauf si vous voulez être privés de mail pendant plusieurs jours », peut-on notamment lire. Ou encore : « c'est désastreux si vous dépendez de votre compte .me ou .mac pour votre messagerie ».
Apple a admis l'existence de problèmes sur la messagerie iCloud. « Certains utilisateurs rencontrent des erreurs intermittentes d'authentification lorsqu'ils veulent utiliser la messagerie », peut-on lire sur le site du support. « Un service normal sera restauré aussi rapidement que possible. Nous présentons nos excuses pour le désagrément subi ».
Précédemment, Apple avait aussi confirmé qu'iCloud présentait une certaine lenteur lors des demandes de connexions et de vérification d'e-mails. Cela aurait depuis été résolu. La société a par ailleurs reconnu que MobileMe avait en son temps rencontré d'importants problèmes. « En raison de la demande élevée, nous limitons temporairement le nombre d'utilisateurs passant de MobileMe à iCloud », explique-t-elle encore. « S'il vous plaît, essayez plus tard ».
Mettre à jour l'OS avant d'accéder à iCloud
Après la débâcle ayant suivi le lancement de MobileMe en 2008, Steve Jobs avait envoyé un e-mail interne cinglant pour dire que le service n'était pas à la hauteur des standards d'Apple et que ça avait été une erreur de le lancer en même temps que l'iPhone 3G et le nouvel App Store. « Le lancement de MobileMe démontre clairement que nous avons encore à apprendre sur les services Internet. Et c'est ce que nous ferons », avait-il écrit.
Avant d'accéder à iCloud, les utilisateurs doivent installer iOS 5 sur leur terminal mobile, ou mettre à jour vers Mac OS X 10.7.2 sur leur ordinateur Mac. Apple a livré le 12 octobre ces deux mises à jour.
Illustration : le service en ligne iCloud permet de réconcilier ses messageries entre ses différents terminaux que l'on utilise (crédit : Apple).
L'iPhone 4S attire des milliers de fans dont Steve Wozniack
Hommage à Steve Jobs, geek de la première heure, on ne sait pas ce qui pousse les gens à faire la queue pour être parmi les premiers à acheter le dernier smartphone d'Apple. Le lancement de l'iPhone 4S a, comme ses prédécesseurs, été à l'origine de queues devant les Apple Store. En Asie, le phénomène a été très remarqué. En France, l'engouement était moins prononcé avec quelques centaines de personnes présentes avant l'ouverture des magasins.
Steve Wozniack passe la nuit à Las Gatos
Petit clin d'oeil, le co-fondateur d'Apple a débarqué en Seagway devant l'Apple Store, situé sur Santa Cruz Avenue, de Los Gatos en Californie. Steve Wozniack a précisé à la télévision qu'il allait passer la nuit pour être parmi les premiers acheteurs de l'iPhone 4S. Il a profité de l'attente pour surfer sur son iPad et « lire ses mails en retard ».
Illustration : Queue au Japon pour la sortie de l'iPhone 4S
Crédit Photo : IDG NS
(...)(14/10/2011 10:53:35)Paris et les opérateurs mobiles se brouillent sur la Charte sur les ondes
La ville de Paris a annoncé que la Charte parisienne de la téléphonie mobile est rompue, au terme d'un désaccord avec la Fédération française des télécoms (FFT). En conséquence, les Parisiens ne bénéficient plus des garanties apportées par la Charte, tant du point de vue de la transparence que des seuils d'exposition aux ondes électromagnétiques.
Signée en 2003, la Charte parisienne de la téléphonie mobile, liant la Ville de Paris et les quatre opérateurs comportait un seuil maximum d'exposition aux ondes électromagnétiques de téléphonie mobile de 2 V/m en moyenne sur 24 heures, vérifiable et régulièrement contrôlé. Elle prévoyait également un dispositif de concertation avec les riverains, les associations et les mairies d'arrondissement.
A l'issue de nombreuses réunions de négociations dans le but de renouveler cette charte, la Fédération française des télécoms (FFT) et l'ensemble des opérateurs ont fait part d'exigences jugées inacceptables par la ville de Paris, comme l'augmentation du seuil jusqu'à 15V/m ou encore le retrait des opérations d'intégration paysagère des antennes existantes.
La Ville de Paris constate donc le refus par les opérateurs de la FFT de renouveler la charte.
Pannes de BlackBerry : le PDG de RIM présente ses excuses
Le coprésident et fondateur de Research in Motion, Mike Lazaridis, a mis en ligne, le jeudi 13 octobre, une vidéo dans laquelle il s'excuse de la panne qui a provoqué une interruption du service de messagerie des millions de clients de BlackBerry à travers le monde.
"Depuis que nous avons sorti le BlackBerry en 1999, mon objectif a été de fournir des services de communications fiables et instantanés partout sur le planète. Nous n'avons pas atteint cet objectif cette semaine, loin de là. Je m'excuse pour toutes ces pannes cette semaine" explique, face caméra, Mike Lazaridis.
Une persistance des problèmes aux Etats-Unis
Depuis le lundi 10 octobre, de nombreux disfonctionnements privent les abonnés BlackBerry de leur service de messagerie. A l'origine, une panne d'un commutateur au sein du réseau a provoqué un engorgement de données et de messages.
Mike Lazaridis avoue qu'il est encore trop tôt pour savoir si le problème est définitivement réglé. Il promet de plus amples informations à ses clients au fur et à mesure que les services reviendront. Si pour l'heure, tout semble être rentré dans l'ordre en Europe, au Moyen-Orient, en Inde et en Afrique, des problèmes d'accès persistent aux Etats-Unis, en Chine et en Amérique latine.
Cette panne intervient à un moment critique pour RIM. Depuis le début de l'année, l'entreprise a perdu 60% de sa valeur boursière, a annoncé le licenciement de 2 000 employés et sa part de marché sur les smartphones a lourdement chuté, de 18,7% à 11,7% en un an selon Gartner.
(...)
Les terminaux durcis d'entreprise succombent aux charmes d'Android
L'industrie des terminaux informatiques mobiles taillés pour les entreprises est en train de connaître une petite révolution. Embarquant le plus souvent une version mobile de Windows, ces produits durcis, auxquels peuvent être adjointes des options spécifiques, s'ouvrent désormais au système d'exploitation Google Android. A ce jour, le premier exemple illustrant ce changement est la tablette entreprise ET1 que Motorola Solutions vient de dévoiler. Elle devrait être disponible dans le courant du quatrième trimestre 2011. Doté d'un écran couleur tactile de 7'', ce produit autorise notamment le changement de batteries à chaud sans perte de données dans un délai de 15 minutes. Un lecteur de codes-barres bluetooth, un lecteur de cartes et une imprimante mobiles peuvent également lui être associés en option. Autant de caractéristiques avec lesquelles Motorola Solutions entend cibler, par exemple, des clients de la grande distribution et de la distribution spécialisée.
Bien que Motorola Solutions, leader sur le marché de l'AIDC/POS (indentification automatique et collecte de données / Point de vente), dispose désormais d'une longueur d'avance, il sait que ses concurrents vont rapidement adopter l'OS de Google eux aussi. Pour preuve, son principal compétiteur Honeywell (qui jouit d'une part de marché bien moindre) a déjà annoncé la couleur. Dans un récent entretien accordé à Distributique.com, Eric De Greef, le responsable du marketing produit du fabricant pour la mobilité en EMEA, a en effet déclaré qu'Honeywell lancerait une terminal durci de type tablette ou PDA sous Android entre octobre et novembre 2011. Pour préparer l'arrivée de sa prochaine offre sous Android, Honeywell a lancé un programme développeur à travers lequel il veut inciter les ISV à créer ou à rendre des applications compatibles avec l'OS de Google. Les logiciels en question seront hébergé sur l'ISV Store que le fabricant va leur dédier sur le web.
« Les parts de marché d'Android vont exploser »
Mais pourquoi Android vient-il modifier la donne sur le marché des terminaux pour entreprises qui filait le parfait amour avec Windows ? « En 2010, Android ne représentait que 1% du marché de l'AIDC. En 2014, il aura pris 25% des parts de marché en termes d'OS utilisés par cette industrie », répond Eric De Greef, sans pour autant citer de source. A en croire ce dernier, cette explosion ne sera peut-être pas du seul fait des acteurs historiques du marché de l'AIDC/POS, ce qui motivent d'autant ces derniers à faire barrage : « Les fabricants de smartphones et de tablettes classiques s'intéressent à notre industrie car ils savent que certaines applications métiers peuvent fonctionner sur leur matériels. Il y a donc fort à parier qu'ils vont essayer de venir sur notre marché, et ce sera avec Android. »
Illustration : Motorola ET1
Crédit Photo: Motorola
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Il faut ajouter à cette première explication le fait que les développeurs d'applications pousseraient eux-mêmes à l'exploitation d'Android pour ses possibilités de customization importantes. « Il existe une importante communauté de développeurs sous Android. C'est un atout important pour les clients qui souhaitent développer des applications. Il est en effet car il est plus facile de trouver un développeur compétent pour l'OS de Google qu'en .Net de Microsoft », ajoute Philippe Nault, le directeur technique de Motorola Solutions.
De la nécessité de développer des surcouches applicatives...
Mais proposer du matériel sous Android aux entreprises ne peut se faire sans procéder à quelques ajustements destinés à combler les lacunes du système d'application. Motorola Solutions, qui n'a pas opté pour Honeycomb, la version améliorée d'Android pour les tablettes tactiles, mais pour sa version 2.3.4, en a fait l'expérience : « Nous avons développé une surcouche administrative qui permet, par exemple, de créer plusieurs comptes utilisateurs sur une même tablette et de restreindre l'accès à certaines applications métiers seulement. Nous avons également ajoutée des fonctions de cryptage de données », explique Philippe Nault. Toutefois, Android présente également des avantages pour les fabricants. L'OS impose, notamment, moins de contraintes au niveau des spécifications que le matériel doit respecter pour embarquer la version mobile de Windows.
En outre, le coût de la licence du système d'exploitation étant nul avec Android, les produits s'avèrent légèrement moins chers que s'ils fonctionnaient sous Windows. Motorola facturera ainsi sa tablette environ 1500 € pour des commandes d'environ 1000 unités. Est-ce à dire que Google finira un jour par rayer Microsoft de la carte du marché des tablettes pour entreprises ? Les fabricants n'y croient pas mais ce sont les clients, comme souvent, qui finiront pas décider. Honeywell ne s'y trompe pas : même si sa roadmap produit n'est pas encore arrêtée, le fabricant pressent déjà qu'il devra être capable de proposer des matériels sous Android pouvant également tourner sous Windows.
Illustration : Motorola ET1
Crédit Photo: Motorola
(...)(12/10/2011 15:04:04)Pannes Blackberry : un switch coeur de réseau mis en cause
Communication de crise, calmer les esprits, la publication hier d'un message de RIM pour indiquer « un retour à la normal des services » n'a semble-t-il pas convaincu les utilisateurs de BlackBerry qui subissaient encore des ralentissements ou des incapacités de services. Hier soir, le constructeur canadien est revenu à la charge en publiant sur son fil Twitter les raisons de la panne géante qui a touché plusieurs continents Europe, Asie, Afrique, mais aussi quelques pays d'Amérique du Sud. « Message delays were caused by a core switch failure in RIM's infrastructure. Now being resolved. Sorry for inconvenience » (les retards dans la récupération des messages sont dus à une panne d'un commutateur de coeur de réseau dans l'infrastructure de RIM. Maintenant, c'est résolu. Désolé pour ces désagréments).
Le PRA n'a pas fonctionné ?
La commutation de coeur de réseau permet de concentrer les flux de requêtes et d'assurer la distribution de ces demandes aux serveurs qui délivrent les services demandés. En général quand ce switch tombe, le trafic est détourné vers un commutateur de secours. Or, RIM a indiqué que cette solution de back-up n'a pas fonctionné, comme lors de tests réalisés préalablement. En conséquence, les flux de requêtes ont été si nombreux et importants que cela a provoqué un engorgement. Il semble que les retards s'étendent sur l'ensemble des continents, car même l'Amérique du Nord commence à subir des ralentissements sur les services Blackberry.
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