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Mobilité

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(12/07/2011 12:10:54)
Google va redimensionner les applis smartphones pour les tablettes sous Android
La rareté d'applications spécifiquement développées pour les tablettes sous Android avait été l'une des grandes déceptions des utilisateurs. Mais cela pourrait peut-être changer. Google vient en effet d'annoncer sur le blog des développeurs Android que la prochaine mise à jour d'Android 3.0, alias Honeycomb, permettra de redimensionner les applications pour smartphone afin de les adapter à l'écran des tablettes Android. Un bouton spécial situé sur la barre des applications permettra aux utilisateurs de zoomer et de faire passer l'application en mode plein écran. Cette fonctionnalité est déjà présente sur l'iPad d'Apple.
Cette capacité de zoom permet d'agrandir la surface d'affichage de l'application sur la totalité de l'écran de la tablette sans trop perdre en résolution graphique. Selon Scott Main, l'un des principaux contributeurs du blog Android Developers, cette technique de zoom offre une alternative satisfaisante pour utiliser les fonctions de base d'une application sans trop de pixellisation. « Imaginez votre application sur un écran de téléphone à laquelle vous appliquez un zoom de 200%, » écrit-il. « Tout est plus grand, mais aussi plus pixellisé, parce que le système n'a pas redimensionné votre mise en page ou n'a pas utilisé les ressources alternatives pour le dispositif. »
Une alternative de second choix en attendant Ice Cream Sandwich
Scott Main fait remarquer que, si la nouvelle fonction de zoom est meilleure que la fonction standard « étirer pour remplir l'écran » d'Android 3.0 disponible pour les applications mobiles, cela reste encore une alternative de second choix, la première étant de disposer d'applications spécifiquement développées pour Android 3.0. Le bloggeur conseille également aux développeurs qui ont conçu des applications pour des smartphone avec des écrans plus grands, de désactiver la nouvelle fonction zoom dans leurs applications, au motif que « si l'application est réellement conçue pour s'adapter à des tailles d'écran plus large, la compatibilité écran offrira probablement une expérience utilisateur moins bonne pour votre application. »
La fragmentation a longtemps été un problème pour les développeurs d'applications Android, qui se plaignent de n'avoir aucun moyen de vérifier si leurs applications fonctionnent efficacement sur les multiples plateformes. Pour remédier à cela, Google travaille à une nouvelle version d'Android (nom de code « Ice Cream Sandwich») qui vise pour la première fois à unifier les multiples versions de son système d'exploitation mobile. L'objectif de la firme de Mountain View est de créer un système d'exploitation qui peut s'adapter à tous les terminaux sous Android, que ce soit un téléphone du genre Droid Pro et son petit écran, ou un Droid X et son écran large ou une tablette Xoom de Motorola. Pour l'instant, Google n'a pas communiqué de date de sortie pour Ice Cream Sandwich, mais le système Android unifié de Google pourrait bien être livré d'ici la fin de l'été ou cet automne.
Les Français restent prudents sur le m-commerce
Le m-commerce n'en est encore qu'à ses début en France. Les Français utilisent encore peu leur téléphone portable pour faire des achats. Ils sont sensibles aux problématiques de sécurité et sont méfiants face à la géolocalisation. C'est ce qui ressort d'une étude CSA pour Orange et Terrafemina.
Utiliser son téléphone portable pour effectuer des achats reste une pratique encore marginale en France. Seulement un Français sur dix (9%) déclare avoir déjà effectué une opération de m-commerce. Parmi les pratiquants, la liste de leurs achats les plus fréquents concerne des produits numériques : l'achat d'une application pour Smartphone (74%), vient ensuite l'achat de jeux pour téléphone (46%), la musique (39%), une sonnerie de téléphone portable (32%).
L'achat de biens réels est plus difficile
Paradoxalement, les Français pensent que le m-commerce est amené à se développer même s'ils ne sont majoritairement pas intéressés par l'achat de produits via leurs terminaux mobiles ! Certains produits ou services recueillent alors un intérêt notable quoique minoritaire : les titres de transport en commun (28%), les places de cinéma (22%), les billets de train ou d'avion (21%) et les places de musées (21%). Seuls 8% des Français pensent que le m-commerce ne va pas se développer.
Au titre des inquiétudes vis à vis du m-commerce, on note la géolocalisation et la sécurité des transactions. Les Français sont ainsi majoritairement méfiants face à la géolocalisation. Trois quarts d'entre eux considèrent cette fonctionnalité comme trop intrusive et dangereuse. Ils estiment que le lieu où ils se trouvent relève de leur vie privée.
Reste qu'une minorité (23% des Français) voit dans la géolocalisation une opportunité pour les consommateurs de bénéficier d'offres personnalisées et avantageuses. Les Français qui sont le plus favorables à cette fonctionnalité sont des hommes de 18-34 ans et les possesseurs de smartphone.
La sécurité reste un frein
La sécurité des moyens de paiement est le critère le plus important pour se mettre au m-commerce aux yeux des français : pour 42 % d'entre eux, c'est le premier critère nécessaire. Les critère les plus cités sont ensuite : la simplicité d'utilisation (19%), la garantie de ne pas recevoir de nombreux messages de publicité (15%), les prix pratiqués (11%), les offres supplémentaires et les produits disponibles.
Les Français qui utilisent le plus le m-commerce sont les possesseurs de smartphone (25% d'entre eux ont déjà effectué un achat avec leur mobile), suivi par les CSP + (15%) et les jeunes. Un quart des hommes de 18-24 ans (25%) ont ainsi déjà pratiqué le m-commerce, tout comme 16% des femmes du même âge.
(...)(11/07/2011 16:38:31)
Les ventes de smartphones et tablettes explosent en France
Le marché des télécoms est largement porté par le développement des ventes de smartphones, dont les ventes progressent de 80% sur les cinq premiers mois de l'année par rapport à la même période l'année dernière, soit un total de 3,8 millions de pièces. Le coup est rude pour les téléphones mobiles classiques, qui chutent en même temps de 15% en volume (et de 40% en valeur).
A la fin de l'année, GfK estime qu'il est probable que les ventes de smartphones dépasseront pour la première fois les ventes de mobiles classiques avec un total de 11,9 millions ventes contre 11,8 millions pour les autres. Cette croissance des ventes de smartphones s'accompagne d'une importante baisse des prix (139 euros en moyenne par appareil, avec subvention des opérateurs).
Quant aux tablettes tactiles, elles ont également le vent en poupe avec 350 000 unités écoulées sur les cinq premiers mois de l'année. Ces ventes sont conformes aux prévisions de l'institut, qui estime qu'il se vendra un peu plus d'un million de tablettes d'ici fin décembre 2011.
eBay acquiert Zong, spécialiste du paiement mobile
Le site d'e-commerce Ebay a annoncé l'acquisition de la société Zong pour 240 millions de dollars. Spin-off de l'entreprise Echovox (basée à Genève), Zong est active dans le paiement mobile; elle est domiciliée à Palo Alto en Californie depuis le printemps 2010. Le service de Zong - entre autres intégré à Facebook Credit - permet de réaliser des micro-paiements sur le web (typiquement des biens virtuels). L'acheteur s'identifie via son téléphone portable et les achats sont ajoutés à sa facture téléphonique. Selon le communiqué, Zong collabore avec plus de 250 opérateurs mobiles dans le monde et son service de paiement sécurisé est employé dans 45 pays.
Enrichir l'offre PayPal
En faisant l'acquisition de Zong, eBay souhaite étendre vers le mobile son service de paiement PayPal, qui compte quelque 100 millions de comptes actifs. « L'expertise de Zong dans la facturation via les opérateurs signifie qu'elle a le potentiel d'atteindre plus de 4 milliards de personnes équipées d'un téléphone portable - y compris celles qui n'ont pas ou ne veulent pas utiliser leur carte de crédit en ligne », explique sur son blog Scott Thompson, président de PayPal. De son côté, David Marcus, CEO de Zong, qualifie ce rachat d'« accélérateur » qui va permettre à la société de prendre une autre dimension avec ce qu'elle a développé au cours des trois dernières années.
Zong compte à l'origine parmi ses actionnaires plusieurs investisseurs privés genevois, la société suisse Virtual Network, ainsi que les sociétés de capital-risque Matrix Partners, Advent Venture Partners et Newbury Ventures.
www.ICTjournal.ch
Les nouvelles technologies se jouent des bonnes manières
61% des personnes interrogées estiment qu'il devrait exister un ensemble de règles pour régir l'utilisation des terminaux mobiles en public. Par exemple, un tiers serait pour l'interdiction des objets nomades dans les lieux publics.
Pourtant, l'utilisation des mobiles et l'addiction aux réseaux sociaux sont entrés dans les moeurs et ne surprennent plus. Il ressort d'une étude sur "Les nouvelles habitudes liées à l'usage des nouvelles technologies" que consulter sa page Facebook devant ses amis ou ses collègues ne choque plus que 7% des gens, qu'emporter son ordinateur portable en week-end n'en émeut que 9% et que les objets nomades ont désormais leur place dans la chambre (seuls 7% s'y opposent formellement).
Dès le réveil
Cette étude confirme également l'addiction des mobinautes à leur smartphone ou leur tablette, puisque 67% des personnes interrogées indiquent qu'elles les consultent avant de partir travailler le matin et que près d'un quart (23 %) le fait avant même être sorti du lit.
Ce sondage indépendant a été réalisé en mai 2011 par Redshift Research auprès de 12.761 personnes interrogées dans seize pays d'Europe, du Moyen Orient et de l'Afrique (Royaume-Uni, France, Italie, Allemagne, Espagne, Roumanie, Pays-Bas, Afrique du Sud, République tchèque, Suède, Belgique, Pologne, Turquie, Arabie Saoudite, Emirats arabes unis et Egypte). (...)
Recap IT : Obama mort sur Twitter, Ulysse s'échoue, un jailbreakeur protecteur
Semaine agitée dans le monde de l'IT avec plusieurs affaires liées à la sécurité. Ainsi, Apple pourtant très à cheval sur ces questions-là a été victime de hackers. Certes le butin est maigre, 27 comptes piratés mais l'exploit est symbolique. Plus cocasse, un hacker du nom de Comex a annoncé le déverrouillage des versions 4.3. d'iOS et donc de l'iPad 2 (en version 4.3.3 seulement) et propose après jailbreak un patch (disponible sur Cydia) pour corriger la faille dont il s'est servi pour craquer la tablette. Une sorte de Robin des Bois de la piraterie informatique. Moins drôle, le compte twitter du média Fox News a été piraté et a annoncé la mort de Barack Obama. La chaîne de télévision s'est excusée, mais a mis en exergue les problèmes de sécurité liés au site de micro-blogging. Quelques interrogations se sont aussi fait jour à propos de l'accès des données dans le cloud au regard de certains cadre réglementaires comme le Patriot Act aux Etats-Unis. Le Parlement européen s'est ému d'un aveu de Microsoft qui pourrait sur demande transférer des données de clients européens vers des sites soumis à l'autorité américaine. Cette migration serait en contradiction avec la directive sur la protection des données. Ces affaires n'empêchent pas l'éditeur d'annoncer la mise à la retraite du support du SP1 de Windows Vista et d'Office XP qui aura lieu à l'occasion du prochain Patch Tuesday.
Sale temps aussi pour l'entreprise commune entre la SNCF et IBM avec le projet Ulysse. Après les syndicats qui estiment que ce partenariat représente des risques pour l'emploi avec une volonté de réduire le nombre de sous-traitant et d'externaliser les compétences dans des pays à bas coût, c'est au tour de la direction de l'établissement public de s'interroger sur la pérennité du projet et d'envisager sa fin. Cette affaire intervient alors que Big Blue a dévoilé son rapport remis au Président de la République en mars dernier « Pour une administration plus innovante : 6 pistes pour accompagner la transformation de l'État ». Dans ce rapport, IBM prévoit 2 milliards d'euros d'économies.
Enfin la procédure Oracle de la semaine, me direz-vous ? Et bien après les fleurets mouchetés avec HP, retour à l'épisode contre Google sur les brevets Java. La firme de Larry Ellison s'est déjà tournée vers les constructeurs de terminaux mobiles et tablettes qui utilisent Android, pour leur demander un droit de 15 à 20 dollars par terminal pour utiliser les technologies Java.
(...)
Oracle exigerait jusqu'à 20 dollars par terminal Android
Si Oracle gagne le procès qu'elle a intenté contre le géant du web, les conséquences pour Google et l'ensemble du marché Android pourraient être désastreuses, selon les analystes. Oracle ne va sûrement pas se contenter d'un paiement forfaitaire, mais exigera une part sur chaque téléphone et tablette vendus. Pour les fabricants de terminaux, ce coût supplémentaire changerait la donne et ils regarderont sans doute à deux fois avant de s'engager sur la plateforme Android. Certes, ils n'abandonneront pas Android pour quelques dollars versés sur chaque combiné vendu, mais ils pourraient par contre commencer à s'intéresser à d'autres plateformes, comme Windows Phone, et réduire le nombre de téléphones sous Android.
Cette bataille a commencé l'an dernier, Oracle accusant Google de contrefaçon et d'atteinte au droit d'auteur pour des brevets utilisés dans Android. Oracle affirme que Google utilise sans licence la machine virtuelle Dalvik qui fait tourner les applications Java sur les appareils Android, technologie développée par Sun Microsystems, dont Oracle a bouclé le rachat l'année dernière. « Compte tenu de ce que j'ai pu voir jusqu'à présent, je pense qu'Oracle est en position de force, » a déclaré Dave Mixon, avocat chez Bradley Arant Boult LLP Cummings, qui a suivi le dossier de près. Lors d'une audience préliminaire qui donne généralement la tendance dans les litiges sur les brevets, le juge avait donné un avis favorable à Oracle.
Google est sur la défensive et Oracle maintient la pression. « Oracle a pris une posture agressive. L'éditeur a compris qu'il avait mis Google en difficulté et qu'il pouvait gagner, » a déclaré l'avocat. L'éditeur de Redwood a aussi trouvé un bon levier en réclamant directement aux constructeurs un droit de licence sur le logiciel - de 15 à 20 dollars par appareil. « Oracle a approché les principaux OEM, les invitant à adhérer à un programme en vertu duquel ils acceptaient de licencier directement la technologie auprès d'Oracle, » a déclaré Jonathan Goldberg, analyste chez Deutsche Bank. Pour l'instant Oracle a refusé de commenter cette information et Google n'a pas voulu réagir.
Oracle commence à négocier avec les constructeurs de terminaux
« Ce coût de licence mettrait Android et Windows Phone 7 au même niveau, » a ajouté l'analyste. Microsoft rappelle souvent que, même si Android est techniquement libre, les équipementiers doivent financer les recherches nécessaires pour intégrer le logiciel sur leur matériel. La licence payée par les fournisseurs pour Windows Phone inclut le support qui permet l'intégration du logiciel. « Les fabricants de terminaux mobiles vont devoir réfléchir sérieusement pour décider s'ils continuent ou non avec Android, » a déclaré Jack Gold, analyste chez J. Gold Associates. « Ils ont opté pour Android parce que le système était gratuit et qu'ils pouvaient le modifier. Si les termes changent, les fabricants vont commencer à considérer le coût. » Même s'il est certain que les constructeurs de téléphones ne voudront pas complètement abandonner Android, la manière dont ils dépendent d'Android va être remise en question.
« Le fait qu'Oracle approche les constructeurs pour leur proposer un accord sur la licence ressemble fort à un stratagème en vue d'engager des négociations, » a déclaré Dave Mixon. « Google n'est pas seulement attaquée par Oracle. Il est aussi soumis à la pression de ses clients, » a t-il ajouté. « Si les partenaires de Google disent au géant de la recherche qu'Oracle fait pression sur eux pour leur faire payer la licence de la technologie, ils peuvent inciter Google à négocier avec Oracle, » a t-il déclaré. Cependant, il est peu probable qu'Oracle demande vraiment aux constructeurs de payer aussi cher pour chaque appareil Android vendu. « Finalement, je pense que personne ne paierait cette somme. Oracle veut tuer Android, » a estimé Jonathan Goldberg. Selon lui, Oracle accordera des remises, permettant aux équipementiers de payer beaucoup moins que 15 dollars par téléphone. « C'est un équilibre délicat pour Oracle, » a déclaré Dave Mixon. « Ils veulent le succès d'Android. Ils ne veulent pas faire peser sur Android le risque de donner à quelqu'un les motifs de trouver une alternative en accord avec le droit. »
Crédit photo : HTC
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Cependant, Oracle pourrait ne pas être le seul à demander aux OEM de payer pour utiliser une technologie dans Android. Microsoft, qui affirme aussi que certaines de ses technologies sont utilisées dans Android, a annoncé qu'elle avait négocié des accords de licence pour les appareils Android de HTC et quelques autres fabricants de plus petite taille. La firme de Redmont demande également à Samsung de lui verser 15 dollars par téléphone sous Android. Microsoft pourrait tirer d'Android une source de revenus, mais l'éditeur préfèrerait plutôt que sa propre plateforme mobile Windows réussisse : elle présente davantage de potentiel en terme de revenus possibles avec les services connexes.
Cela signifie que les motivations de Microsoft sont différentes de celles d'Oracle pour demander aux OEM des droits de licence raisonnables sur Android. « Si les grands équipementiers comme Samsung et Motorola peuvent se permettre de payer un ou deux dollars de plus par téléphone, ce coût pourrait avoir un impact plus important en Chine, où de nombreux fabricants de téléphones utilisent Android, » a déclaré Johnathan Goldberg. « A qui vont-ils payer ce droit ? A Oracle?
Un Android à la sauce chinoise ?
Les constructeurs chinois ont une approche très différente de la propriété intellectuelle», ajoute-t-il encore. Les fabricants de téléphones chinois ne paieraient probablement pas pour licencier Android et pourraient faire de la plateforme un casse-tête pour les utilisateurs et les développeurs. « Je ne pense pas qu'ils abandonneraient Android, mais ils pourraient l'utiliser illégalement. Ils pourraient transformer l'OS massivement », a encore déclaré l'analyse. Selon lui, les équipementiers chinois continueraient à utiliser Android, mais afin d'éviter d'avoir à payer des frais de licence, ils continueraient son développement hors de la communauté Android et de Google afin d'éviter d'être repérés.
Cela empêcherait Google de tirer des ressources potentielles d'Android, à partir des nombreux services implémentés dans l'OS. Cela contribuerait également à fragmenter encore plus la communauté, actuellement divisée en raison des multiples versions d'Android présentes simultanément sur le marché. « C'est déjà un problème et celui-ci deviendrait tout simplement ingérable, » a encore déclaré Jonathan Goldberg.
Repartir de zéro
Afin d'éviter tout frais de licence, Google a certainement cherché à savoir s' l pouvait simplement construire une base qui rendrait caduque toute violation de la technologie d'Oracle. « Dans la mesure où un certain nombre de brevets litigieux ne sont pas énoncés dans la plainte, il est difficile de savoir à quel point Google est dépendante de la technologie d'Oracle pour Android, » a déclaré l'analyste. Mais il pense plutôt que la technologie couvre des fonctions de niveau relativement bas, qu'il serait difficile de remplacer. « Remettre à plat une partie de l'OS prendrait du temps et entraînerait probablement des problèmes de compatibilité avec les téléphones existants sur le marché, » fait remarquer Jack Gold. « Ils devraient tout recommencer. Ce n'est jamais une bonne chose, » a t-il dit.
Dans l'intervalle, la bataille juridique continue. « Selon le degré de motivation de chaque parti, l'affaire pourrait traîner pendant des années avec les procédures d'appels et les expertises successives pour identifier le droit des brevets, » a estimé Dave Mixon. « Mais si Google pense perdre au final, le conflit pourrait bien trouver une issue rapide, » a t-il déclaré. « Dans ce cas, nous connaitrons sans doute le montant de la redevance, mais les termes de l'accord amiable resteront probablement confidentiels, » a t-il dit. « Google serait perçu comme le perdant et Oracle insisterait probablement sur la confidentialité pour garder la posture du vainqueur, que ce soit justifié ou non. »
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