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(16/03/2012 15:35:03)

iPad : l'impatience des fans ne se dément pas

À Tokyo, 400 personnes environ faisaient le pied de grue devant l'Apple Store du très chic quartier de Ginza. Les premiers acheteurs, des japonais décalage horaire oblige, ont fièrement exhibé leur tablette selon notre correspondant local, Jay Alabaster d'IDG NS (voir illustration principale).

Pour être sûr de repartir avec un des iPad HD mis en vente, certains tokyoïtes ont attendu 1 jour et demi devant la boutique. Juste avant l'heure fatidique, 8 heures locales, des dizaines de chemises bleues (les employés d'Apple) ont égrené les dernières secondes avant le démarrage des ventes. Une phalange de journalistes était entassée sur plusieurs rangs devant la porte principale.


Crédit photo Jay Alabaster d'IDG NS Tokyo

Le premier client autorisé à pénétrer dans le magasin est reparti avec la tablette la moins chère, 42 800 Yen soit 395 euros. Il s'agit de Ryo Watanabe, un étudiant de 19 ans, qui a attendu 36 heures pour être le premier à acheter un iPad 16 Go/WiFi au magasin de Ginza. Devant les journalistes, il a tendrement bercé sa tablette toujours dans la boîte. « Ce n'est pas que j'aime spécialement Apple, c'est juste qu'Apple fait de bons produits, donc je les choisis », a-t-il indiqué.

Ambiance "bon enfant" dans certaines capitales mais pas à Paris

À Paris, une centaine de personnes attendaient devant la boutique de l'Opéra selon notre correspondant Peter Sayer d'IDG NS Paris. Certains clients ont été admis dans le Saint des Saints peu de temps après 8h du matin. Ceux qui sont restés dehors étaient presque moins nombreux que les journalistes, les vigiles et une équipe de guérilla marketing venue promouvoir l'application Lekiosque.fr et distribuer des tasses de café aux premiers clients parisiens.


Crédit photo Peter Sayer, IDG NS Paris

Devant la boutique Orange sur les Champs Élysées, aucune activité particulière (voir illustration ci-dessous). À l'intérieur, on pouvait encore apercevoir un panneau publicitaire pour l'iPad 2.


Crédit photo Peter Sayer, IDG NS Paris

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À Londres, après quelques heures d'attente, les premiers consommateurs ont pu entrer dans la boutique de Regent Street pour acquérir l'iPad HD, selon notre confrère Mikael Ricknas d'IDG NS Londres.


Crédit photo Mikael Ricknas d'IDG NS Londres

Mais tous ceux qui se sont réveillés de bonne heure pour s'aligner ce vendredi matin devant les magasins de la pomme n'ont pas trouvé la même ambiance. Si à Tokyo et Londres les fidèles de la marque semblaient décontractés et contents de se retrouver, encourageant les premiers à entrer dans les boutiques, posant volontiers pour les photographes de presse, à Paris l'ambiance semblait tendue avec des vigiles tentant d'écarter les équipes marketing de LeKiosque.fr et des clients impatients et anxieux à la mine patibulaire. Un actif marché noir s'est en effet développé depuis mai dernier avec des acheteurs issus de l'ex-Europe de l'Est.


Crédit photo Peter Sayer, IDG NS Paris

Depuis l'arrivée de l'iPad 2, les concurrents d'Apple ont lancé des dizaines de  tablettes. Samsung, Sony et Toshiba proposent par exemple des produits beaucoup plus convaincants. Mais aucun n'arrive à générer le même engouement. Et la sortie de l'iPad HD est encore une fois un événement.

Les précommandes en ligne de cette ardoise ont rapidement épuisé les stocks, et il y a actuellement 2 à 3 semaines d'attente avant l'expédition du produit. Apple a fait en sorte de conserver un peu de stock pour le lancement dans ses magasins. Les analystes indiquent que l'écran haute résolution du terminal est compliqué à fabriquer et peut être à l'origine des pénuries qui touchent l'entreprise. Cela avait déjà été le cas pour le lancement de l'iPad 2.

(...)

(16/03/2012 11:33:24)

Les plaintes liées à la téléphonie mobile explosent selon l'Afutt

Les problèmes de facturation mobile arrivent au premier rang des litiges recensés en 2011 dans le domaine des télécoms, selon l'Observatoire des plaintes et insatisfactions de l'Association française des utilisateurs de télécommunications (Afutt) dévoilé jeudi 15 mars. Pour la première fois, la téléphonie mobile concentre plus de plaintes (53%) que l'accès à internet (38%). La téléphonie fixe ne représente plus que 9% des réclamations.

Juste derrière les plaintes liées à la facturation de opérateurs mobiles figure la manque de qualité des prestations, qui se traduit le plus souvent par des interruptions de service, des débits insuffisants ou encore une couverture 3G jugée insatisfaisante. La résiliation des contrats arrive au troisième rang des litiges signalés.

Dans le détail, parmi les 24 motifs relevés par l'Afutt, la téléphonie mobile fait l'objet de critiques en matière de facturation (25,3%), de résiliation de contrat (16,9%), de recouvrement et contentieux (11%), de contrat (10,5%) et d'intervention du SAV (5,6%).

En ce qui concerne les fournisseurs d'accès Internet (FAI), les plaintes les plus fréquentes concernent l'interruption de service (dans 16,7% des cas), la résiliation de contrat (15,5%), la livraison/installation (14,2%), la facturation (10,6%) et enfin la qualité de fonctionnement (8,2%).

(...)

(16/03/2012 09:20:58)

Les e-books peinent toujours à s'implanter en France

Alors que le 32e Salon du livre ouvre ses portes à Paris (du 16 au 19 mars 2012), le livre électronique peine à convaincre le public français. Pour 2011, GfK estime que 1,1 million de livres numériques ont été téléchargés de façon payante pour un chiffre d'affaires de 12M€. Le faible taux d'équipement des français en liseuses électroniques et les prix jugés trop élevés des e-books représentent encore les principaux freins au développement de ce nouveau mode de lecture dans l'Hexagone.

Une étude de A.T. Kearney, publiée au mois de février 2012, montre un taux de pénétration du marché des e-books en France de seulement 0,5% en 2011, contre 20% aux Etats-Unis, pays de tous les records en la matière. Toujours selon le cabinet d'expertise, il y aurait environ 60.000 titres en français disponibles sur le marché, pour un prix moyen 15€ TTC, le plus élevé observé par l'étude.

Le marché de l'e-book en France est encore naissant, tout juste en développement avec l'arrivée tardive, à l'automne 2011, de solutions grand public (le Kindle d'Amazon, le Kobo by Fnac, le Cybook Odyssey chez Virgin etc.). Fin 2011, le taux de pénétration des liseuses en France n'est d'ailleurs que de 0,2% en France, contre 20% aux Etats-Unis (source : A.T. Kearney).

Des prix encore trop élevés

L'offre se concentre essentiellement sur trois types de plateformes : les incontournables (Apple, Amazon et Google), les sites des professionnels de l'édition (Eden Livres qui rassemble Flammarion, Gallimard et La Martinière, Numilog pour Hachette ou encore 1001Libraires qui est une initiative du Syndicat de la Librairie Française) et les services d'autoédition (Lulu, BoD, The Ebook Alternative, etc.).

Si le catalogue de livres disponibles en version électronique ne cesse de s'étoffer, les prix sont relativement dissuasifs. Chez Amazon, les titres sont proposés environ 20% à 25% seulement moins chers que les versions imprimées, comme c'est le cas par exemple pour le prochain Marc Levy, Si c'était à refaire (annoncé à 14,99€ l'e-book contre 19,95€) ou le livre de Katherine Pancol Les Yeux jaunes des crocodiles (16,99€ contre 21,37€ ou 7,12€ en livre de poche). Ces tarifs sont d'autant plus surprenants que les e-books ne génèrent par définition aucun coût d'impression ou de distribution.

Malgré tout, si beaucoup d'e-books sont souvent encore chers, l'offre proposée recèle également de nombreux titres gratuits. C'est notamment vrai pour toutes les oeuvres tombées dans le domaine public, comme c'est le cas pour tous les documents et ouvrages mis en ligne sur Gallica (archives de la Bibliothèque nationale de France).

Outre le prix, le deuxième frein au développement du livre électronique en France concerne les différents formats proposés, libres (txt, pdf, epub) ou propriétaire (mobi, azw), avec lesquels le grand public n'est pas forcément familier.


 

(...)

(15/03/2012 17:10:00)

La tablette Playbook pourra bénéficier de BlackBerry 10

Rob Orr, vice-président de RIM et responsable produits, a confié mercredi 14 mars au site TechRadar que le prochain système d'exploitation BlackBerry 10 sera compatible avec la tablette Playbook. BB10 doit succéder, d'ici la fin de l'année, au système d'exploitation actuel, BlackBerry 7.

"Les premiers appareils compatibles BB10 seront disponibles fin 2012 [...] Peu de temps après sa présentation, nous intégrerons également BB10 sur le PlayBooks"affirme Rob Orr. En revanche, il ne s'exprime pas sur une hypothétique nouvelle tablette signée RIM, s'en tenant pour le moment au seul Playbook.

Une première démonstration de BlackBerry 10 avait été effectuée au Mobile World Congress de Barcelone, à la fin du mois de février.

(...)

(15/03/2012 09:41:25)

Selon KPMG, l'Internet mobile est devenu une banalité

L'accès Internet mobile est de moins en moins marginal pour les consommateurs. L'étude menée par KPMG dans 31 pays dont la France montre une nette progression de ce type d'accès : 8% des consommateurs privilégient aujourd'hui leur mobile pour surfer, y compris sur des sites de e-commerce, contre moins de 1% en 2008.

L'usage mobile concerne désormais beaucoup de consommateurs : 14% suivent l'actualité sur leur terminal mobile (mais uniquement sur des sites gratuits dans la très grande majorité des cas), 7% y font des achats... KPMG souligne que ces actions ne concernaient pas même 1% des consommateurs en 2008.

Les services bancaires mobiles ont le vent en poupe

Côté finances, la monétique mobile et les services bancaires mobiles sont très demandés. 66% des répondants voudraient payer avec leur mobile. 52% ont eu accès à des informations bancaires les six derniers mois sur leur mobile contre 19% en 2008. Cependant, en France, la banque mobile semble être moins séduisante : 30% des Français seraient prêts à payer avec leur mobile et 52% ignorent si leur banque dispose d'un site web ou d'une application pour mobile (contre 38% au niveau mondial).

Les achats en ligne continuent de progresser mais les clients sont de plus en plus tentés d'utiliser leur smartphone pour bénéficier de promotions via des QR codes : 20% au niveau mondial, 15% en France. De la même façon, l'influence des avis de consommateurs via les blogs, les réseaux sociaux, etc. reste très forte. La confiance est un facteur essentiel du succès d'un e-commerçant. La confidentialité des données préoccupait 87% des consommateurs en 2008 contre 90% aujourd'hui. Les modes de paiement se doivent d'être ceux d'établissements reconnus et sécurisés voire dédiés tels que Paypal.

Enfin, les consommateurs ne restent fidèles à leur opérateur téléphonique qu'en regard de trois critères majeurs : qualité du réseau (80%), qualité de service (78%) et prix (77%). (...)

(09/03/2012 10:20:42)

Econocom a intégré ECS en 15 mois

«Cette opération est derrière nous ». En quelques mots,  Bruno Lemaistre, l'un des deux directeurs généraux d'Econocom aux côtés de Jean-Philippe Roesch,  règle le cas ECS. Au plan opérationnel, la fusion est maîtrisée, Econocom a l'habitude avec 15 rachats en 10 ans. Financièrement parlant, l'opération semble également terminée, pour preuve la société a emprunté 240 ME au moment de ce rachat, aujourd'hui, elle est totalement désendettée.

L'ensemble des résultats financiers est d'ailleurs positif. Le chiffre d'affaires annuel 2011 s'élève à 1,58 milliard d'euros, la société anticipait 1,4. « L'activité commerciale s'est révélée meilleure que prévue », commente Galliane Touze, secrétaire générale. L'apport de synergies, prévu par le rapprochement avec ECS est plus élevé qu'anticipé , avec 66,6 ME d'économies, 44% de plus que ce qui était prévu.

En pro forma, la croissance est de 1%. La société anticipait une tendance négative. En fait, elle s'est désengagée de deux activités d'ECS jugée non stratégiques, l'une sur les petits comptes (-de 500 salariés chez Econocom), l'autre avec des contrats de location entraînant des recours contre le groupe. C'est 60 ME qui sont sortis du périmètre. A périmètre comparable, sans  ces 60 ME, la croissance est de 5%.

Les chiffres de la rentabilité

La rentabilité se vérifie avec un résultat opérationnel courant de 66,6 ME, contre 47,5 sur 2010. Le résultat opérationnel s'élève à 46 ME, à 64,6 retraité des éléments non récurrents, le résultat net part du groupe se situe à 21,5 ME, 41,6 ME retraité des éléments non récurrents, contre 28,8 lors de l'exercice précédent.

Econocom souligne également plusieurs éléments montrant l'équilibre de ses comptes.  Equilibrage géographique, par exemple. Avec l'apport d'ECS, Econocom est davantage présente en Europe du sud et en Europe du nord. La France représente la moitié du CA. Le premier client ne réalise que 3,5% du CA, pas de dépendance donc.

Surtout, la société est désendettée. En octobre 2010, pour le rachat d'ECS, elle avait emprunté 240 ME. Aujourd'hui, elle affiche un désendettement net. La trésorerie brute, à 218 ME fin 2010, se retrouve à 145 ME fin 2011.


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Econocom se base toujours sur trois activités : distribution, services et location, mais en ajoute de nouvelles. On connaissait Everpad, une offre destinée à vendre des tablettes Apple iPad aux entreprises. Econocom a été la première en Europe à obtenir cet accord. 25 000 tablettes sont aujourd'hui vendues (et financées). NeverStop, offre venue d'ECS permet à l'aide d'un boîtier d'assurer à distance la maintenance réseau. Enfin, myBaas assure la sauvegarde sécurisée des données, c'est une offre issue d'un partenariat noué avec EMC.

En plus de ces trois offres proprement dites, Econocom ouvre deux nouveaux fronts. Un en rapport avec son métier classique de gestion de parcs, l'autre très novateur. La société est sur la virtualisation du poste de travail et de serveurs, elle a pris 40% du capital d'une start up belge spécialisée sur ce thème, Centix. Par ailleurs, Econocom, qui a ouvert un digital center  à Paris, planche sur le thème des objets communicants.

La société est à l'affut de nouvelles acquisitions, forte de sa bonne santé financière et de sa capacité à intégrer. Manifestement, le temps n'est plus aux acquisitions de taille mais plutôt à des structures plus légères. Dans le leasing, où les banques veulent se défaire de leurs filiales moins stratégiques ? Dans la virtualisation du poste de travail et des serveurs ? La réponse ne saurait tarder, avec une année 2012, où Econocom anticipe un très prudent CA de 1,6 ME et un ROC de 70 ME. (...)

(09/03/2012 09:49:56)

Une serious game pour préparer les entretiens annuels d'évaluation chez EDF

Avec plus de 100 000 salariés en France, EDF est un des plus grands employeurs du pays. Il doit comme tel organiser les entretiens d'annuels d'évaluation de chaque collaborateur. La société souhaitait que chaque salarié s'implique davantage dans cet exercice. L'entretien annuel d'évaluation devait devenir un moment-clé de la vie du salarié dans l'entreprise.

La société avait déjà eu recours à une solution de serious game pour ses managers proposée par l'éditeur Daesign. L'objectif de ce module était de former les managers à la conduite de l'entretien annuel d'évaluation.

La direction commerce d'EDF a donc décidé de recourir à une nouvelle version du même serious game destinée cette fois aux salariés. Contrairement à d'autres serious games exécutés uniquement en ligne, celui-ci s'insère comme fil rouge d'une formation présentielle. Il est cependant également mis à disposition en exercice d'auto-entrainement.

Après des sessions pilotes au bilan satisfaisant, l'outil est actuellement en cours de déploiement. Le coût du projet n'a pas été communiqué. (...)

(08/03/2012 15:15:44)

Shadow, l'outil de développement web mobile gratuit d'Adobe

L'outil Shadow d'Adobe permet de naviguer en même temps sur le bureau d'un ordinateur et un terminal mobile. Pour les designers, l'application va faciliter le test de leurs productions et de contrôler les mises à jour de leurs sites. Selon Adobe, l'outil est capable d'effectuer la révision et le débogage de manière plus efficace, du fait que les concepteurs pourront visualer le comportement de chaque modification sur tous les appareils cibles simultanément. « Shadow est destiné aux concepteurs web front-end, - autrement dit l'intégrateur HTML - et aux développeurs qui souhaitent offrir de meilleures expériences web mobile, » a déclaré Bruce Bowman, chef de produit senior du pôle Digital Media Business d'Adobe. « L'outil leur permet de connecter différents périphériques mobiles à leur ordinateur. Shadow synchronise la navigation sur l'ordinateur et celle sur les dispositifs connectés. L'outil fait une inspection et un débogage à distance. » Le client Shadow existe client à la fois pour Mac et Windows, supporte iOS et Android, et analyse les workflows HTML, CSS et JavaScript. Le logiciel fonctionne via une extension du navigateur Chrome. Le client n'est pas réservé aux programmes d'Adobe, et peut être utilisé avec n'importe quel outil de développement.

Voir et inspecter

Shadow permet aux développeurs de pointer les erreurs, de tester de nouvelles idées et mises en page, et de voir les changements en temps réel sur les terminaux mobiles connectés. Celui-ci fonctionne en WiFi et reconnaît tous les périphériques connectés au même réseau. L'outil permet de suivre les changements rapides qui se produisent dans le domaine du développement, les nouveaux terminaux, les mises à jour des systèmes d'exploitation et les différentes versions de navigateurs.

Les niveaux de fonctionnalités varient selon le navigateur, quelques-uns comportent de nouvelles technologies, en avance sur les règles du W3C, ce qui suppose un contrôle constant pour s'assurer que le site web fonctionnement bien sur tous les support, ou au moins qu'il subit des impacts supportables. La fonction d'inspection de Shadow permet aux utilisateurs de réaliser la plupart des ajustements depuis leur ordinateur sans avoir à interagir avec les périphériques. Adobe explique que, alors qu'aujourd'hui, la plupart des développeurs travaillent selon la méthode des essais et des erreurs, Shadow leur permet de contrôler toutes les révisions depuis un ordinateur unique. « Plus le développeur web peut garder les yeux fixés sur son propre écran et ses mains sur sa propre souris, sans avoir à manipuler d'autres appareils, plus il peut être efficace », a déclaré Bruce Bowman. « Shadow permet le contrôle à distance des terminaux mobiles. Il n'y a dans ce mode fonctionnement aucune ambiguïté, aucun hasard, juste des outils d'édition précis. »

Une meilleure navigation avec le HTML 5

Comme pour les autres outils de développement web d'Adobe Labs, Edge, Muse, et Wallaby, Shadow s'inscrit dans la politique de l'éditeur qui consiste à promouvoir des produits HTML 5, et à prendre sa distance avec les sites mobiles basés sur Flash. Cette orientation est cohérente avec la position d'Adobe qui veut s'éloigner de la plate-forme Flash pour la création de contenu pour les terminaux mobiles. Contrairement à des applications natives développées avec des langages de programmation comme Xcode et Objective C, Shadow cible le web comme une plate-forme, de sorte que toute personne qui code avec du HTML 5, du CSS et JavaScript peut profiter du nouvel outil de développement web d'Adobe.

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Le logiciel client est disponible pour Mac et Windows, et comporte des extensions pour les teminaux mobiles, plus une extension pour le navigateur Chrome de Google. Une fois que tout est installé sur chaque appareil cible, l'utilisateur peut se connecter, naviguer, et se synchroniser avec l'ordinateur de bureau via la navigation synchronisée. Il suffit de taper un code d'autorisation sur le terminal pour accepter la connexion avec l'ordinateur et accéder au contrôle à distance et à la navigation synchronisée. Shadow est compatible avec Webkit, le moteur de rendu open-source intégré aux navigateurs Safari d'Apple et Chrome de Google, ainsi que les navigateurs sous iOS et Android. Il est compatible avec les iPad, iPhone et iPod Touch tournant sous iOS 4 et suivants.

Des origines Open Source

Shadow est basé sur le logiciel Open Source Weinre (Remote Web Inspector). Pris tel quel, il faut une certaine habileté pour utiliser Weinre. Cependant, Shadow a été doté d'une interface front-end qui atténue sa complexité, si bien que les concepteurs n'ont pas besoin d'avoir des connaissances en développement pour l'utiliser. Une fois installé, les utilisateurs voient immédiatement et simultanément sur les terminaux les changements appliqués dans le design ou le code. Adobe a connecté et testé environ 20 terminaux simultanément, et selon l'éditeur, le nombre d'appareils est illimité. « C'est une économie de temps réelle. Aujourd'hui les développeurs doivent manipuler en permanence le terminal, charger une URL longue, taper son adresse sur un minuscule clavier. Et ils doivent le faire sur chaque appareil qu'ils veulent tester, » a fait valoir le chef de produit senior du pôle Digital Media Business d'Adobe. « A chaque fois qu'ils font des modifications, ils doivent réactualiser chaque navigateur. Ils passent leur temps à rafraîchir les navigateurs. C'est pénible et ennuyeux. Shadow va s'occuper de tout ça maintenant. »

La version finale de Shadow devrait être disponible sur l'Adobe Store au cours du second semestre 2012. L'application sera également disponible sur l'iTunes Store et l'Android Market. La version desktop commerciale sera payante, mais Adobe n'a pas encore indiqué son prix. Enfin Shadow sera également disponible sous forme d'abonnement sur le nouveau service Creative Cloud d'Adobe, lequel devrait être lancé avant la fin du premier semestre de cette année.

On peut trouver plus d'informations sur Shadow sur le site web d'Adobe. L'éditeur a demandé aux utilisateurs de donner leur avis sur le produit avant sa sortie commerciale.

(...)

(08/03/2012 11:44:55)

Les utilisateurs veulent plus de services cloud à partir de leurs terminaux mobiles

D'ici fin 2013, les particuliers veulent accéder à plus de services de cloud par le biais de leurs appareils mobiles (smartphones, tablettes, TV connectées, ordinateurs). Ils sont 90% à souhaiter que ces service soient ainsi accessibles, estime le Gartner. Dans cette optique, les consommateurs émettent quatre souhaits principaux : stocker, synchroniser, avoir des flux disponibles, partager leurs contenus de manière transparente quelque soit l'appareil ou la plate- forme.  Parmi les services concernés, le Gartner pense à : Netflix, Google Apps, Amazon Music, Microsoft SkyDrive et icloud Apple.

Le passage vers des services de cloud computing personnels va s'accélérer en 2012. Les consommateurs vont apprendre à utiliser de tels services. Selon Andrew Selon Andrew Johnson, vice président du cabinet d'études, «ces services de cloud computing deviennent une partie de la vie des gens, les fournisseurs de périphériques et de plate-forme doivent intégrer les services de cloud, afin de gagner des clients en 2012. Et les marques doivent s'étendre dans cette direction à travers de multiples dispositifs, plates-formes et services. "

L'adoption croissante des terminaux mobiles a tout changé

« La notion de cloud computing n'est pas nouvelle pour les consommateurs, souligne Andrew Johnson, mais le raffinement et la diversité des services aux consommateurs, eux, sont bel et bien des nouveautés. »Pour lui, l'adoption croissante des terminaux mobiles par les consommateurs a tout changé, en limitant le stockage interne, pour mieux s'appuyer sur des services de cloud. 

Le Gartner apporte également cinq recommandations aux fournisseurs pour qu'ils s'adaptent à ce phénomène :

· Que les services de cloud personnels deviennent un élément essentiel des efforts de développement. Invisibles et omniprésents aujourd'hui, monétisables demain ;

· Prendre le temps d'éduquer et d'évangéliser à propos des services de cloud computing pour les consommateurs. Faire co-exister de nouveaux modèles commerciaux, tels que la souscription et les services de streaming, avec les services existants ;

· Les fournisseurs de services doivent offrir une synchronisation des contenus invisible pour le consommateur ;

· Les services de cloud personnels ne peuvent pas être liés à un périphérique spécifique ou à une plateforme, mais doivent fonctionner de manière transparente ;

· Contrer l'absence de protection des données de consommation, ou le manque de fiabilité du service, qui pourraient conduire à une réaction des consommateurs pour des raisons tenant à la vie privée et aux préoccupations de sécurité.
(...)

(08/03/2012 10:28:51)

Des parodies vidéo du lancement de l'iPad 3

Certains internautes n'ont pas attendu la présentation officielle de l'iPad 2012 pour mettre en ligne des vidéos parodiant la future tablette d'Apple. Fausse publicité ou test en avant-première, iPad écologique ou tablette à tout faire, les vidéos humoristiques fleurissent sur la toile.

Voici une sélection de cinq parodies consacrées à l'iPad 3 :

- Premier test exclusif de l'iPad 3 : http://youtu.be/Lgd4u2Oda08

- L'iPad 3 en pierre : http://youtu.be/ZgHGpHUBnk4

- Une fausse publicité : http://youtu.be/3tqLwZjcK4U

- Commander l'iPad de tous les records : http://youtu.be/SHeCN9CiYC8

- Découvrir toutes les nouvelles fonctionnalités étonnantes de l'iPad 3 :http://youtu.be/XdAkcGk1sOk

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