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(27/03/2012 16:59:20)

Des critiques infondées sur la batterie de l'iPad HD ?

Tout va bien avec la batterie de la troisième génération d'iPad, en dépit de ce qui a pu être écrit sur le sujet. Elle fonctionne comme prévu et les utilisateurs de la tablette numérique n'ont pas à craindre de l'endommager en la surchargeant, selon les recherches menées par nos confrères de Macworld. Petit rappel des faits. Raymond Soneira, de DisplayMate Technologies, signale une anomalie. Il pense que la batterie de l'iPad HD indique probablement à tort qu'elle est chargée à 100% alors qu'elle serait plus proche de 90%. Selon lui, si l'on arrête le chargement de la tablette au moment où la jauge de la batterie arrive à 100%, on dispose d'une autonomie réduite.

Il ajoute par ailleurs qu'Apple aurait indiqué que laisser son iPad HD branché trop longtemps (pour être sûr de l'avoir bien chargé par exemple) pouvait endommager la longévité de la batterie. Macworld, pour sa part, n'a pas trouvé écho de cette déclaration du constructeur et ce dernier n'a pas souhaité commenté cette question. Toutes les références à cette assertion semblent remonter à l'information communiquée par Mr Soneira ou à ce qu'en a dit CNBC. Et les instructions d'Apple sur le chargement de la batterie de l'iPad ne mentionnent aucun risque de surcharge.

Pas de risque de surcharge

Carl Howe, du cabinet The Yankee Group, vice-président pour les recherches sur le marché mobile, a indiqué à Macworld que cela ne causait pas de dommages [à la batterie de l'iPad] de la laisser branchée. « Il y a un circuit de charge qui permet de s'assurer que cela n'arrive pas », a-t-il précisé. Pour décrire son fonctionnement, Carl Howe le compare à la façon dont on se servirait d'une carafe pour remplir un verre. « Vous ne versez pas l'eau d'un seul coup jusqu'à faire déborder le verre, fait-il remarquer. Au contraire, vous remplissez le verre jusqu'à 5 ou 10% du bord puis vous versez plus doucement pour faire en sorte que cela ne déborde pas. C'est ainsi que fonctionne le circuit de charge ». On parle de « charge de maintien » (trickle-charge) pour désigner ce mode de chargement qui s'effectue comme si on versait au « goutte-à-goutte » pour être sûr de ne pas dépasser « le bord de la batterie », explique Carl Howe. En fait, ce mode fournit aussi une explication à propos de la deuxième remarque de Raymond Soneira. Ce dernier se demandait à quel niveau de chargement se trouvait la batterie au moment où l'iPad affichait 100%. Sur ce point, Carl Howe est d'accord pour dire que la batterie peut effectivement être plus remplie, mais ajoute que ce n'est pas un problème. « La capacité sur laquelle [Apple] communique correspond au moment où l'iPad indique 100% ». Tout ce qui se situe au-delà est une sorte de bonus.

Une batterie plus puissante et donc plus longue à charger

Effectivement, Apple suggère qu'en cas d'utilisation non régulière de l'iPad, son possesseur doit s'assurer de le charger complètement puis de le déchargement entièrement, au moins une fois par mois, pour la santé optimale de la batterie. Et même en cas d'utilisation régulière, un cycle de chargement complet permettra de garantir que l'état de charge de la batterie est correctement indiqué. Étalonner ainsi celle-ci, une fois par mois, sert avant tout à fournir au logiciel des données précises sur l'utilisation pour ajuster ses calculs. Cela signifie qu'on peut sans danger brancher son iPad le soir. Même si l'indicateur de la batterie arrive à 100% à minuit, la tablette pourra rester en charge sans risque jusqu'au matin. L'iPad HD affiche la même autonomie que ses prédécesseurs, soit 10 heures, même s'il a besoin d'une batterie de plus grande capacité pour y arriver : 42,5 watt/h comparé aux 25 watt/h des autres modèles, pour alimenter l'écran Retina à haute résolution. Sans surprise, cette batterie a besoin de davantage de temps pour se charger complètement. Macworld procède actuellement à différents tests sur le dernier iPad dont il communiquera prochainement les résultats. (...)

(26/03/2012 08:39:13)

Coyote veut lutter contre la somnolence au volant

Dès lors qu'il est allumé, le système Coyote enregistre en permanence quatre des principaux facteurs de détection d'un état de somnolence : les variations de vitesse et de direction, l'heure et la durée du trajet.

Ces informations servent, au fil de l'utilisation et après analyse, à prévenir d'un risque de somnolence. Il s'agit alors d'interroger le conducteur pour vérifier la véracité ou non de ce risque. En cas de réponse positive, l'appareil conseille immédiatement une pause en indiquant par exemple la prochaine aire d'autoroute disponible.

Chaque profil est ensuite actualisé afin de déterminer une fréquence de renouvellement de la question : "Ressentez-vous des symptômes de somnolence ?". Selon l'Institut d'étude des accidents de la route, la somnolence au volant est désormais la première cause de mortalité sur autoroute.

(...)

(22/03/2012 09:27:33)

Le réseau Free Mobile testé dans 30 villes françaises : peut mieux faire

La société Sensorly, spécialisé dans la mesure de couverture des réseaux, rend compte des villes françaises les mieux desservies par le réseau Free Mobile, à travers une étude rendue publique par Challenge.fr. Caen, Besançon et Bordeaux apparaissent en tête tandis que Marseille, Paris ou Tours sont en queue de peloton. Cette étude sort au moment où Free Mobile est victime de ses premiers couacs, avec des coupures de réseaux de plusieurs heures dans certaines grandes villes.

Une application, chargée sur le mobile des abonnés à Free Mobile, a permis de mettre en lumière un classement en fonction du taux d'itinérance des abonnés sur le réseau Orange. Avec 48,28% de taux d'itinérance, ce sont donc les abonnés caennais les mieux lotis, juste devant ceux habitant Besançon (52,02%), Bordeaux (54,53%), Brest (59,21%) et Angers (65,63%). A l'inverse, les abonnés de Marseille (96,21%), Strasbourg (96,34%), Aix-en-Provence (97,28%), Nîmes (97,89%), Paris (98,8%) et Tours (100%) sont les plus dépendants du réseau d'Orange.

Cette étude a exploité les données de 2 538 utilisateurs, répartis dans 30 villes de plus de 100 000 habitants.

(...)

(21/03/2012 15:48:43)

Apps : iOS et le HTML5 séduisent de plus en plus les développeurs

Les développeurs mobiles vont de plus en plus utiliser le HTML5 dans leurs applications au cours de l'année 2012, mais la fragmentation va leur compliquer un peu la vie, selon une enquête menée conjointement par IDC et Appcelerator, la plate-forme libre de développement d'applications mobiles et de bureau utilisant des technologies web. Selon cette enquête basée sur les réponses de 2 173 développeurs interrogés entre le 25 et le 27 janvier 2012, 79% des développeurs d'applications mobiles déclarent qu'ils intégreront du HTML5 dans leurs applications cette année. Selon les deux entreprises, c'est beaucoup plus que ce que de nombreux observateurs du secteur avaient anticipé pour le quatrième trimestre. « C'est vraiment une découverte intéressante pour nous », a déclaré Mike King, directeur de la stratégie mobile chez Appcelerator.

Les développeurs envisagent aussi bien de créer des applications HTML5 pures que des applications dites hybrides, « c'est à dire des applications natives qui utilisent du HTML5 pour certaines fonctions, » comme le précise Mike King. Cependant, si le HTML5 est en cours de progression, la fragmentation pose un vrai défi aux développeurs. « C'est incontestablement un vrai problème », a déclaré le directeur de la stratégie mobile chez Appcelerator. Quand les navigateurs se connectent sur son site web, le vendeur observe les éléments HTML5 qu'ils contiennent et utilise ces données pour comparer plusieurs variables. D'après cette analyse, Appcelator constate un écart de 20 à 30 % dans la façon dont les navigateurs consomment du contenu. Mike King explique en partie cette différence entre navigateurs par le fait qu'il n'existe pas en la matière de standard validé.

89% des développeurs intéressés par iOS

Apple est toujours la plateforme la plus populaire parmi les développeurs. 89% des développeurs interrogés se disent en effet très intéressés par le développement d'applications pour l'iPhone, suivis de près - 88% -  par le développement pour l'iPad. Comparativement, Android bataille en deuxième position. En effet, au cours de ce trimestre, le nombre de développeurs qui se disent très intéressés par le développement d'applications pour les smartphones tournant sous Android est tombé à 79% et à 66 % pour les tablettes sous Android. L'an dernier à la même époque, ces chiffres étaient de 87 % et 74 % respectivement. Selon le directeur de la stratégie mobile chez Appcelerator, c'est la fragmentation qui est à l'origine de ce désintérêt des développeurs pour la plate-forme Android. « Les développeurs se plaignent que la plate-forme manque d'unité, qu'ils doivent gérer plusieurs systèmes de monétisation et qu'il y a trop de boutiques en ligne pour leurs applications, » a-t-il ajouté.

Avec Android 4.0, Google à l'intention de freiner cette fragmentation. Mais au moment où l'enquête a été réalisée, le Samsung Galaxy Nexus était le seul téléphone à tourner avec le dernier OS mobile de Google. Depuis, de nouvelles tablettes et de nouveaux smartphones intégrant Android 4.0 ont été annoncés. De plus, des marques comme HTC et Samsung ont commencé à livrer des mises à jour pour leurs téléphones existants. « Android 4.0 est censé réduire la fragmentation, mais les développeurs ont adopté une approche plutôt attentiste pour voir ce qui se passe, » a déclaré Mike King. Selon ce dernier, Google pourrait améliorer l'image de son OS auprès des développeurs en accélérant le déploiement des mises à jour et en freinant une partie de la fragmentation de la plate-forme, par exemple en adoptant de meilleures pratiques. « C'est une piste intéressante pour Google, car, avec l'acquisition de Motorola Mobility, l'entreprise a la possibilité de conduire les meilleures pratiques. Mais dans le même temps, si Motorola doit se hisser au-dessus de la concurrence, Google risque d'avoir du mal à inciter Motorola à construire un matériel attracti », a déclaré Mike King.

Blackberry OS bientôt remplacé par Windows Phone ?

Mais la baisse de popularité d'Android auprès des développeurs n'est rien comparée à la baisse d'intérêt pour la plate-forme BlackBerry de Research In Motion (Rim). Il y a un an 38% des développeurs se disaient très intéressés par le développement d'applications pour l'OS de RIM. Cette année, la proportion est tombée à 16% seulement. En outre, selon l'enquête, l'intérêt des développeurs pour le PlayBook de RIM a chuté de 28%, à 11% seulement. Les difficultés de RIM font que Windows Phone se retrouve en troisième position en terme de popularité auprès des développeurs. Leur niveau d'intérêt pour le système d'exploitation mobile de Microsoft varie peu, à 37%. Les développeurs continuent à penser que le partenariat entre Microsoft et Nokia est une bonne chose. « Si ce n'est qu'ils ont maintenant besoin de vendre plus de téléphones, » a estimé Mike King.

(...)

(21/03/2012 12:07:29)

Peu de tablettes ARM pour le lancement de Windows 8

Microsoft aurait mis au point une stratégie pour éviter que le consommateur ne se perde dans les différences entre les tablettes sous Windows 8 à base de puces ARM et celles à base de puces x86/x64 : la solution réduire au minimum l'offre de tablettes à base de processeurs ARM. Ainsi, lors du lancement de Windows 8, prévu un peu plus tard cette année, il pourrait y avoir moins de cinq terminaux sur base d'ARM disponibles sur le marché, et seulement trois d'entre eux seraient des tablettes tactiles. « À l'inverse, lors du lancement de Windows 8, on trouverait plus de 40 machines sous Windows 8 intégrant des puces Intel. » C'est ce qu'indique un rapport de l'agence Bloomberg, qui ne précise pas si les puces Intel dont il est fait mention auront une architecture x86 (également utilisé par AMD) ou si ce sont des processeurs portant la marque Intel.

S'appuyant sur des sources anonymes, Bloomberg affirme que la raison pour laquelle il y aura si peu de terminaux utilisant la technologie ARM au moment du lancement de W8, c'est que Microsoft a mis en place « un système très rigoureux de contrôle des normes de qualité » pour les terminaux à base d'ARM qui tourneront sous le nouveau système d'exploitation. En outre, l'entreprise de Redmond voudrait aussi avoir un certain contrôle sur le nombre de terminaux ARM disponibles au moment du lancement initial de Windows 8.

Un terrain inconnu pour Microsoft

Avec ce système Windows pour appareils ARM, Microsoft fait son entrée dans un nouveau territoire. Les processeurs ARM sont largement utilisés dans les smartphones et les tablettes, car ils ont la réputation d'être plus économes en énergie que les processeurs x86. Mais historiquement, Windows a été conçu pour tourner sur des puces Intel. Beaucoup d'observateurs se demandent comment Microsoft fera la différence entre les tablettes à base d'ARM et celles à base de puces x86, dans la mesure où ces terminaux offrent des expériences utilisateurs à la fois similaires (l'interface Metro) et différentes (les logiciels). Les dispositifs à base de processeurs ARM reposeront essentiellement sur la nouvelle interface Metro tactile, incluse dans Windows 8, même si ces terminaux seront aussi équipés de la version de bureau traditionnelle de Windows. Cependant, le problème, c'est que les logiciels pour Windows x86 ne tourneront pas sur les périphériques ARM. Si bien que, par exemple, l'installation d'AOL Instant Messenger pour Windows 7 fonctionnera parfaitement sur une tablette sous Windows 8 équipée d'un processeur Intel, mais pas sur un terminal intégrant une puce ARM.

La question est aussi de savoir qui va fabriquer des tablettes ARM pour Windows 8. Le fait que Microsoft est peut-être en train de limiter - du moins au début - la sortie du nombre de terminaux à base de processeurs ARM tournant sous Windows 8, laisse penser que l'éditeur veut éviter de perturber les utilisateurs. Mais savoir quels fabricants produiront ces premières tablettes ARM reste toujours une question sans réponse. Selon certains rapports, Asus et Nokia prévoiraient de sortir des tablettes ARM pour Windows 8. Hewlett-Packard pourrait également produire une tablette ARM, mais commencera d'abord par proposer des dispositifs intégrant des processeurs Intel. Quant à Dell, Lenovo et Samsung, il semble qu'ils proposeront plutôt des tablettes avec des puces Intel.

Le rapport de Bloomberg indique aussi que Windows 8 sera prêt pour un lancement « vers le mois d'octobre. » Cette information a été publiée en ligne avec d'autres rapports. Un calendrier de sortie des dernières versions de Windows rappelle aussi que les systèmes Windows 7 et XP sont sortis en octobre, alors que le lancement de Vista a eu lieu en janvier.

(...)

(20/03/2012 14:52:54)

Une batterie ultrafine signée NEC

Selon Ubergizmo, le géant japonais NEC aurait mis au point une batterie ultrafine, destinée aux écrans souples du futur. Ce premier prototype, de 9cm² pour 0,33mm d'épaisseur, pourrait profiter à des constructeurs comme Samsung ou LG, qui travaillent d'ores et déjà à l'élaboration de terminaux dotés d'un écran souple..

La technologie employée par NEC est celle des batteries organiques circulaires, qui exploite la réaction de sels inoffensifs déposés dans du gel polymère, composé de macromolécules. L'ensemble est capable de délivrer une puissance totale de 3mAh. Selon le japonais, elle fournirait une capacité de charge identique à celle des batteries lithium-ion actuelles.

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(19/03/2012 11:59:36)

L'iPad HD déjà jailbreaké

Des hackers viennent d'affirmer avoir trouvé un moyen de contourner les restrictions techniques d'Apple pour installer des applications non autorisées sur le dernier iPad de la société, commercialisé vendredi dernier. Pour installer des logiciels sur un des terminaux de la firme de Cupertino, il est nécessaire de passer par la plate-forme en ligne App Store. Apple interdit ainsi l'installation d'applications qu'elle n'a pas approuvée, mais les pirates ont trouvé comment «jailbreaker» ces terminaux et installer des programmes non autorisés ou plus simplement piratés via des solutions alternatives telles que Installous, Cydia ou Icy.

ll existerait au mois deux méthodes différentes pour jailbreaker le dernier système d'exploitation mobile d'Apple, iOS 5.1. Des vidéos et des captures d'écran postées ce week-end ont montré le travail réalisé par la célèbre Dev-Team, qui a développé le premier outil de jailbreak. En fait, la méthode qui fonctionnait il y a 4 mois déjà avec l'iPad 2 est encore parfaitement adaptée à l'iPad HD.

Déjà plusieurs témoignages de jailbreak

Stefan Esser, plus connu sous le nom de code "@ i0n1c" sur Twitter a posté une vidéo vendredi montrant le jailbreak du dernier iPad. Ce même jour, "@ MuscleNerd" a également posté des captures d'écran d'un autre iPad HD jailbreaké. Une autre équipe de hackers, Paul Griffen (@ phoenixdev) et Grant Paul (@chpwn), a aussi publié des captures d'écran de leurs iPad HD jailbreakés.

En janvier dernier, l'outil Absinthe A5, capable de jailbreaker l'iPhone 4S et l'iPad 2 animés par iOS 5.0.1,  avait  été dévoilé. Il aura fallu 10 mois environ pour développer cet utilitaire suite au travail réalisé par le groupe de hackers GreenPois0n qui avait trouvé le moyen d'exploiter une faille dans le micro-code du processeur A5.

Si le jailbreak d'un terminal Apple est parfaitement légal aux États-Unis suite à une décision de justice, la société décourage cette pratique. Si les techniciens d'un magasin Apple détectent qu'un dispositif maison a été jailbreaké, ils refuseront d'intervenir sur le produit, en indiquant que cela va à l'encontre de la garantie contractuelle.

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(19/03/2012 10:10:11)

Après les enfants, une tablette pour les seniors

La tablette Tooti Family de Tikeasy fonctionne sous Android mais dispose d'une surcouche personnalisée, donnant accès à une interface et des programmes à l'ergonomie simplifiée. Commercialisée à partir de 299€, elle sera exposée au prochain Salon des seniors, du 29 au 31 mars à la Porte de Versailles (Paris, 15e).

Cette solution "tout en un" comprend la tablette, mais également un abonnement mensuel (compter 12,50 €/mois en WiFi et 30 €/mois en 3G) qui comprend une connexion sans fil et l'accès à une multitude de services : synchronisation et sauvegarde des données en ligne, applications dédiées (messagerie e-mail et SMS, navigateur web, agenda, carnet d'adresses, jeux), mise à jour des programmes et assistance téléphonique. En outre, l'abonné et les membres de sa famille peuvent créer et personnaliser leur propre portail familial.

La Tooti family, qui dispose d'un écran de 10 pouces au format 4/3, est en vente depuis le mois de décembre 2011 sur Internet et chez quelques distributeurs de l'ouest de la France pour 299 € en version WiFi et 379 € en 3G.

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(19/03/2012 10:04:52)

PayPal lance une solution de paiement mobile pour les petits commerces

Après des semaines de rumeurs, PayPal lance PayPal Here, une solution de paiement mobile comprenant une application mobile et un mini lecteur de carte triangulaire qui se relie à un téléphone pour en faire un terminal de paiement. Moyennant une commission de 2,7%, les commerçants peuvent proposer ce service et également utiliser l'appareil photo de leur téléphone pour vérifier l'authenticité des cartes et des chèques. PayPal Here est disponible dans certains magasins américains, canadiens, australiens et hong-kongais. Un lancement élargi aura lieu le mois prochain. (...)

(19/03/2012 09:41:56)

Consumérisation IT : les entreprises s'adaptent

« Nous n'attendions pas des chiffres autant importants » s'est exclamée Isabelle Denervaud, directeur associé au cabinet Bearing Point en présentant les résultats d'une étude sur le mélange des usages personnels et professionnels des outils mobiles. En effet, 84% des répondants (ayant un terminal au moins partiellement payé par l'entreprise) utilisent des outils de communication de la vie personnelle à des fins professionnelles. Isabelle Denervaud juge : « ce n'est plus un épiphénomène ».

79% des répondants affirment continuer les relations professionnels au delà des heures de travail grâce à leurs terminaux mobiles (mails reçus sur des smartphones...). A l'inverse, les usages personnels ou mixtes se multiplient sur des terminaux professionnels : 27% y utilisent les réseaux sociaux, autant y utilisent la messagerie instantanée.

Mélange des genres avéré mais peu souhaité

Pourtant, malgré ce mélange des genres clairement avéré, 64% des répondants voudraient séparer nettement les usages personnels et professionnels même si 65% des « early adopters » souhaitent un outil unique. 58%, cependant, ont une addiction à la connexion : ne plus être connecté à titre personnel ou professionnel leur procure une gêne. Il en résulte trois attitudes possibles pour les collaborateurs : la séparation stricte, le mixage assumé ou des situations intermédiaires changeant selon les moments et les circonstances.

Le nomadisme est une des explications de cette tendance mais ne suffit cependant pas à tout expliquer. Ainsi 63% des employés répondants sont mobiles au moins une fois par semaine, 37% une fois par jour. 70% jugent que ces terminaux permettent d'éviter de retourner inutilement au bureau entre deux rendez-vous ou même envisagent de télétravailler en dehors des rendez-vous importants. Mais le cas du « mobile statique » est aussi à prendre en compte : l'exemple typique est celui du chef de rayon d'hypermarché qui est très peu de temps dans son bureau mais toujours entre son rayon, les réserves, les rendez-vous, etc.

Les entreprises sous-estiment le phénomène

Dans cette optique, la moitié des répondants veut une convergence entre les lignes fixes et mobiles de communication. 74% veulent même pouvoir se connecter à leur environnement professionnel à partir de n'importe quel terminal personnel ou professionnel. Un renforcement des applications collaboratives est également souhaité par ceux qui les emploient déjà.

Mais, si les usages personnels et professionnels se mélangent de plus en plus, le management des entreprises n'en est pas conscient. Ainsi, une étude IDC publiée en 2011 signale que 69 des employés utilisent professionnellement un smartphone et 13% une tablette alors que les employeurs estiment de tels usages à, respectivement 34% et 6%, c'est à dire à peu près la moitié.

Or les enjeux sont considérables, à commencer par la sécurité des données et des applications de l'entreprise. Une information qui « sort » du système d'information peut à tout moment devenir public. Un terminal vérolé peut être une porte d'entrée pour tous les pirates du monde. (...)

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